Archives de la catégorie Daniel Briez

INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan : une mise en image d’une singularité quantique, l’homme


Depuis 1998, mon cheminement personnel m’a amené à explorer à travers des états de conscience modifié d’autres niveaux que celui dans lequel nous évoluons : l’espace-temps linéaire (celui de l’horloge), vision communément admise par la quasi totalité de l’Humanité.

Ces voyages m’ont permis d’accéder à différents niveaux d’information et « d’observer », ou plutôt je devrais dire de « ressentir » différents espace-temps, mais surtout de vivre corporellement la discontinuité des temps et des espaces telle qu’Einstein l’a démontré.

Je viens de voir le film « Interstellar » qui m’a vraiment interpellé. Le réalisateur, Christopher Nolan (Inception, The Dark Knight) a su, pour la première fois dans l’histoire du cinéma, mettre en image le concept de temps discontinus. Il a su intégrer visuellement dans son film la notion « d’espace intersticiel », qui, sur le plan Matière, est la seule notion qui permette de comprendre pourquoi l’homme constituant la focalisation d’une discontinuité d’espace-temps éprouve néanmoins la sensation d’être vivant dans une continuité de temps comprenant un passé, un présent et des futurs.

Le message de ce film est que le lien reliant ces discontinuités n’est qu’une seule énergie : l’Amour. Je pense avoir l’occasion de revenir de multiples fois sur cette notion. Mais, je ne possède pas de mots assez amples pour remercier ce réalisateur qui m’a permis de comprendre le lien qui existe entre le Quantique et l’Amour.

Je ne saurais trop conseiller à chacun de voir et revoir ce film et je serais heureux de partager vos points de vue.

Amour et Lumière

Daniel

INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan 

INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan

INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan 

INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan

INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan 

INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan

INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan 

INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan

à lire en complément dans Télérama : 

Christopher Nolan raconte en BD un chapitre manquant d’“Interstellar” 

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LES UNIVERS DIMENSIONNELS ET QUANTIQUES


VENDREDI 12 DECEMBRE 2014 à 20:00

LES UNIVERS DIMENSIONNELS ET QUANTIQUES

LES UNIVERS DIMENSIONNELS ET QUANTIQUES

LES UNIVERS DIMENSIONNELS ET QUANTIQUES, comment les intégrer, sur le plan énergétique, dans sa réalité quotidienne.

Cette conférence et le stage qui suivra seront donnés en CANALISATION CONSCIENTE par Daniel Briez, auteur du « Manuel d’Insertion Galactique », Éditions Monique Ethier, et de « Cristaux et Quantique », Éditions Guy Trédaniel (ouvrages à retrouver sur http://daniel-briez.com/ ) et instructeur des stages « Merkabah »

Depuis janvier 2013, nous assistons à un phénomène énergétique unique dans l’histoire de l’Humanité : l’intégration dans notre champ de réalité terrestre des plans multidimensionnels et galactiques. Cette insertion, ayant pour conséquence le raccourcissement puis la suppression de la Loi de cause à effets. Cela n’est pas sans provoquer dans le meilleur des cas de fortes pressions énergétiques, dans les cas les plus difficiles des collisions de trajectoire nous amenant à profondément réviser notre structure de vie personnelle.

Cette conférence est destinée à vous introduire à la compréhension de ces énergies et surtout à localiser l’impact de ces flux dans votre vie quotidienne et la façon dont ils orientent votre trajectoire vers la mise en place d’un profil conforme à vos codes identitaires.

Le stage vous permettra de comprendre l’incidence et les conséquences de ces flux dans votre quotidien. Il vous donnera, au moyen d’exercices pratiques, la possibilité d’initier l’intégration de ces nouveaux champs énergétiques dans votre vie personnelle afin d’intégrer, en conscience, les différents mécanismes multidimensionnels.

CONTACT RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS

mail : harmonieetconscience888@orange.fr
Tel : 06 74 50 62 68

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STAGE ACTIVATION DE LA MERKABAH


Cycle de 10 jours en deux sessions, à Sarlat (Dordogne) – ouvert à tous

MERKABAH

PRESENTATION :

N’empruntant rien aux théories circulant sur la Merkabah, l’espace-temps que constitue ce stage ouvre à la reconnexion avec la globalité multidimensionnelle de vos codes et vous permet d’accéder à une mutation instantanée de vos différents champs de conscience. Les « connaissances » sur ce sujet importent peu. Les fréquences vibratoires liées à la Merkabah sont inscrites sur le plan cellulaire dès la naissance, présentes et vivantes au sein de votre corps.

L’activation des champs merkabiques modifient fondamentalement les périmètres de conscience et les systèmes de croyance qu’ils émettent. Ceci permet une intégration de ces champs de perception personnels inégalée.

Par le jeu de la résonance, l’expérience du stage vous offre l’espace d’éveil à ce qui est déjà inscrit en vous. Chaque participant est « légitime ». L’envie et l’appel à la participation de ce type de stage est toujours juste et ne relève pas du hasard. Lorsqu’il s’agit d’un mécanisme aussi fondamental que la Merkabah, c’est l’expérience qui trame la « connaissance ».

Les supports énergétiques que sont les Cristaux et les Couleurs, à travers le Thème de Cristal et le Chromotem personnels, serviront de trame à cette intégration.

CONTACT, RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS :

Wydiane : 06 42 82 26 02 ou par notre formulaire d’inscription à remplir et nous adresser en cliquant ici, http://www.cristaux-sante.com/docs/bulletin-2014.pdf

LIEU :

Centre Culturel et de Congrès de Sarlat , Le Colombier, 24200 – Sarlat la Canéda

PRIX DU CYCLE :

1380€ (session 1: 690€, session 2 : 690€ (La participation aux 2 sessions est obligatoire)

Daniel Briez

Daniel Briez

FORMATEUR :

Daniel BRIEZ, chercheur, auteur et conférencier, enseigne l’énergétique depuis une vingtaine d’années.
Il est considéré comme l’un des experts français de la Lithothérapie et de la Chromothérapie. Importateur de minéraux depuis les années 80, sa démarche personnelle lui a permis de comprendre les schémas directeurs de la construction des réalités ainsi que leur rapport avec la science quantique.
Il est le créateur du Chromotem, du Thème de Cristal.
Il est aussi le créateur-concepteur de la ligne Parfums de Couleur sous la marque portant son nom.

SES OUVRAGES

  • La Science des Chakras, voie initiatique du quotidien , éd. De Mortagne
  • La Guérison spirituelle par les pierres précieuses, éd. De Mortagne
  • Les Anges, éd. De Mortagne
  • Le Thème Angélique, éd. De Mortagne
  • Shamballa, la réconciliation, éd. Monique Ethier
  • Shamballa, le Chemin de l’Initiation, éd. Monique Ethier
  • Manuel d’insertion galactique, éd. Monique Ethier
  • Parfums de Couleur, se soigner par les parfums, éd. Inlay – Cristaux et Santé, éd. Trajectoire

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L’handicap, ou comment se créer une nouvelle méthode pour être dans l’instant présent.


En prologue au texte qui suit,  je tiens à préciser combien je suis conscient de côté choquant de la formulation du titre de mon article. L’handicap qui est le mien est bénin par rapport à quantité d’êtres qui souffrent au quotidien, et qui n’ont pas, comme moi, la possibilité de changer quoique ce soit à leur état. Mon texte se veut un modeste témoignage de ce que vivent tous ces êtres, et surtout un témoignage en direction des bien-portants qui considèrent trop souvent leur santé comme « normale ».

Daniel Briez, au pied d'un volcan d'Indonésie pour la sélection du soufre. Photo Serge Briez ®capmediations

Daniel Briez, au pied d’un volcan d’Indonésie pour la sélection du soufre. Photo Serge Briez ®capmediations

Je souhaiterais vous faire part d’une nouvelle prise de conscience, qui s ‘est posée pour moi à la suite d’un grave accident vasculaire sur la jambe gauche, le 29 mars 2013, et qui a eu, pour conséquence, l’ablation du muscle redresseur de ma jambe gauche.

Dans mon parcours de vie s’est peu à peu imposée une profonde sérénité par rapport à la mort. Jusqu’à mon accident vasculaire, je pensais en être détaché. Cela entraînait, inconsciemment pour moi, une forme de détachement vis-à-vis de mon corps. Ce que je ne captais pas, avant cette date, était que cette sorte de détachement recouvrait une stratégie inconsciente, créée par mon ego, pour ne pas prendre en compte les nécessités vitales de mon corps physique. En d’autres termes, celui-ci jouait encore avec moi, afin que je ne sois pas réellement présent dans l’Instant, dans le but de développer une stratégie de fuite en avant dans laquelle ma viscérale peur de l’insécurité pouvait pleinement se développer. Cette stratégie, que je pensais avoir écarté de mon parcours de vie depuis de nombreuses années, et que je suis capable de mettre en exergue avec chacun de mes étudiants, je la vivais inconsciemment. Il en résultait une hyper-activité patentée, tout en formulant le fait que je pensais réellement être dans une phase de délégation de mes activités professionnelles vers mes jeunes collaborateurs. En fait, je tenais toujours le pouvoir (mais en toute bonne foi inconsciente!). Lire la suite »

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La Déesse


J’ai reçu ce texte sur mon mail aujourd’hui. Il me semble tellement juste que j’ai eu l’envie de le partager avec vous.

La Déesse 

Une Déesse est une femme qui émerge de ses profondeurs. C’est une femme qui a exploré honnêtement son côté sombre et a appris à célébrer sa Lumière. C’est une femme qui peut tomber amoureuse des magnifiques possibilités qui l’habitent. 

Gala de dos, regardant un miroir invisible, par Salvadore Dali, huile sur toile 1960, Musée Théâtre Dali de Figueres, photo Serge Briez®

Gala de dos, regardant un miroir invisible, par Salvadore Dali, huile sur toile 1960, Musée Théâtre Dali de Figueres, photo Serge Briez®

C’est une femme qui connaît la Magie et les endroits Sacrés en elle, qui peuvent élever son âme.
C’est une femme qui émet de la Lumière, qui est magnétique, chacun peut sentir sa présence lorsqu’elle est dans une pièce.
Elle est forte et douce à la fois.
Elle a une énergie sexuelle puissante et a appris à maitriser son pouvoir de séduction.
Elle adore son corps, elle est aérienne.
Elle chérit la beauté, la lumière et l’amour. Elle est une mère pour tous les enfants. Elle coule avec la Vie dans la grâce facile.
Elle peut guérir avec un regard ou avec sa main.
Elle est sensuelle et intrépidement érotique, et s’engage dans le sexe de façon à partager avec une autre Âme, le contact du Divin.
Elle est la compassion et la sagesse. Elle est le chercheur de Vérité et s’intéresse profondément à quelque chose de plus grand qu’elle.
C’est une femme qui sait que son but dans la vie est de s’élever avec l’Amour. C’est une femme amoureuse de l’amour.
Elle sait que la Joie est son destin et qu’en l’embrassant et le partageant avec les autres, les blessures se guérissent.
C’est une femme qui est venue pour savoir que son partenaire est sensible, perdu et effrayé comme elle l’a été de temps à autres. Elle est venue pour comprendre les cicatrices qu’il a, et sait que l’Amour qu’ils partageront ensemble pourra être le soulagement, la guérison de leurs blessures.
C’est une femme qui peut s’accepter comme elle est, et accepter les autres comme ils sont. Elle est capable de se pardonner ses erreurs, et ne pas se sentir menacée même quand on l’attaque.
C’est une femme qui peut demander de l’aide quand elle en a besoin ou aider lorsqu’on lui en demande.
Elle respecte les frontières, le siennes et celles des autres. Elle peut voir Dieu dans les yeux des autres. Elle peut voir Dieu en Elle. Elle peut voir Dieu dans chaque situation de la Vie.
C’est une femme qui prend ses responsabilités pour tout ce qu’elle crée dans sa vie.
C’est une femme qui est dans le soutien et le don, totalement.
C’est une Déesse.

Auteur anonyme

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DALI ET LES MINERAUX


DALI ET LES MINERAUX

Il y a quelques temps, mon frère, en visite à la Fondation Dali à Figueras, m’a rapporté un livre-catalogue sur les Bijoux créés par Salvador Dali.

Salvadore Dali, Fondation Dali à Figueras, photo Serge BRIEZ®

Salvadore Dali, Fondation Dali à Figueras, photo Serge BRIEZ®

Interpellé depuis mon adolescence par cet artiste, l’observation de cette œuvre, que je ne connaissais pas, m’a laissé perplexe et j’ai eu envie de partager avec vous ces quelques réflexions.

Tout d’abord, le moins qu’on puisse dire est qu’il s’agit de bijoux non conventionnels. Mais peut-on encore parler de « bijoux » lorsque nous nous trouvons face à ces créations. En fait, je ne ressens aucune différence entre l’acte de création d’un de ses tableaux ou lithographies et ces « bijoux ». La barrière de la convention (un bijou doit être porté, il est défini par un usage précis, etc. 😉 explose littéralement. Toutes les conventions disparaissent. Il mêle minéraux bruts, éclats de pierres précieuses et magnifiques pierres taillées, dans un équilibre savamment étudié ou une discordance soigneusement pensée.

Salvadore Dali, Fondation Dali à Figueras, photo Serge BRIEZ®

Salvadore Dali, Fondation Dali à Figueras, photo Serge BRIEZ®

Salvador Dali casse littéralement les critères de l’esthétisme et du « bon goût » tellement affirmé chez les grands joailliers. Habituellement, en joaillerie, sont principalement utilisées des pierres précieuses taillées. Les éclats ou les minéraux communs ne sont pratiquement jamais considérés comme digne d’intérêt. Le fait de mélanger minéraux bruts, éclats de pierres précieuses, pierres précieuses casse les critères de la profession et nous entraine dans un univers dépourvu de codes. Le langage de la pierre se libère de ses conventions. Le minéral entre alors dans un espace de partage avec l’observateur qui transcende jusqu’au règne du minéral ou l’empreinte de la forme. Il en ressort une invitation à la réflexion. 

Salvadore Dali, Fondation Dali à Figueras, photo Serge BRIEZ®

Salvadore Dali, Fondation Dali à Figueras, photo Serge BRIEZ®

De par son absence de codes identifiables, cette réflexion devient perplexité qui ouvre à la rêverie. Elle permet alors de capter les modes d’autocensure de notre regard (ce qui est beau et ce qui ne l’est pas), et les limites que nous posons inconsciemment dans notre perception des choses. Une invitation à la méditation.

Salvadore Dali, Fondation Dali à Figueras, photo Serge BRIEZ®

Salvadore Dali, Fondation Dali à Figueras, photo Serge BRIEZ®

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Couleurs, énergies quantiques et intégration personnelle


Cycle de 13 jours à Sarlat (Dordogne) – tout public – Non résidentiel 

La Couleur est directement liée aux caractéristiques de l’ADN. Elle permet de décoder l’ensemble des énergies que vous rencontrez au quotidien, ainsi que ce qui compose votre architecture personnelle. Votre carte chromatique est composée de vos codes identitaires, des empreintes des chocs physiques et émotionnels qui ont ponctué votre vie, de empreintes des différents modèles éducatifs, culturels ou sociaux qui vous ont été transmis et de vos tentatives successives pour définir ce que vous êtes et vos besoins. 

Formation couleurs, Daniel Briez

Formation couleurs, Daniel Briez

Les tensions que vous rencontrez constituent la stricte émanation des déséquilibres énergétiques existant entre votre véritable nature (codes identitaires), ce que vous en avez compris (vision déformée par tous les apports mentionnés ci-dessus depuis votre naissance) et l’interprétation que vous en posez dans votre quotidien. Seule une réintégration globale de vos fréquences personnelles vous permet d’atteindre un état d’équilibre qui vous apportera compréhension, sérénité et accomplissement. 

Depuis 1996, le Chromotem permet d’établir la cartographie chromatique de chaque individu. Il est ainsi possible de définir ses capacités naturelles et ses principaux points de tension, ceux-ci pouvant être régulés par l’apport de la Couleur.

Le cycle « Couleurs, énergies quantiques et intégration personnelle est destiné à :

  • comprendre et intégrer les 13 Fréquences-mère organisant l’énergie de vie et la conscience sur votre plan de réalité
  • permettre à chaque participant d’accéder à son propre Chromotem et de comprendre son architecture énergétique, ses caractéristiques et les intégrer par la régulation des anomalies qui ont déséquilibré son système. 
  • replacer l’ensemble de vos fréquences dans un continuum quantique vous permettant ainsi d’accéder à d’autres niveaux de conscience. 

Ce cycle n’est pas un travail de développement personnel. Il est destiné à permettre à chacun de prendre conscience de ses éléments constitutifs et de disposer des moyens pour réguler ce qui lui semble devoir être. Sur le plan thérapeutique, il permet aux praticiens de comprendre l’architecture quantique qui sous-tend toute structure de travail

Ce travail s’appuie simultanément, à raison d’une Couleur par jour, sur l’étude de votre Chromotem personnel et sur l’intégration de chaque Couleur. La compréhension et l’intégration de la Couleur inscrite dans sa perception quantique vous permet d’accéder à la mise en place de votre énergie de manifestation dans le strict respect de ce que vous êtes et de vos besoins. A l’issue de ce cycle, toutes les fréquences sont intégrées.

1ère session – 4 jours

POURPRE – ROUGE – ORANGE – OR

Cette première session porte sur la perception, la connaissance et la gestion des plans physique et émotionnel. 

Quelques sujets traités : 

  • principes de base de l’énergie quantique
  • temps et espace, réalités multidimensionnelles
  • trajectoire de conscience et construction des systèmes de croyance
  • rapport à l’environnement, famille, argent, lignées ancestrales et histoire personnelle 
  • définition des codes identitaires et de la notion de désir
  • définition des besoins identitaires, se centrer et ainsi mieux définir ses besoins
  • relations au monde professionnel, à la prospérité et aux évènements qui y sont liés.

2ème session – 4 jours

JAUNE – VERT – TURQUOISE – ROSE

La deuxième session porte sur la construction des schémas psycho-émotionnels et mentaux et les stratégies par lesquelles ils impactent notre réalité quotidienne. La déformation apportée par les systèmes de croyance individuels ou collectifs est étudiée précisément. La compréhension des mécanismes de projection et d’illusion et la construction de l’ego sont au centre de cette session, ainsi que les implications énergétiques des états multi-dimensionnels.

Quelques sujets traités : 

  • perception énergétique du lâcher prise
  • élaboration et mise en action de l’ego
  • étude des systèmes projectifs et des états d’addiction émotionnelle ou physiologique
  • rapport à l’amour et gestion de l’affectif
  • détermination des espaces vitaux et perception de leur impact sur la prise de décision
  • régulation du plan mental
  • rapport à la créativité et rapport au monde.
  • relativité des systèmes dimensionnels
  • gestion des systèmes transversaux et des interactions dimensionnelles

3ème  session – 5 jours

BLEU –INDIGO – VIOLET –BLANC – ARGENT

La troisième session est destinée à compléter la mise en fréquence du plan cellulaire et quantique et à définir et intégrer  concrètement les codes identitaires qui vous définissent. L’identification et l’appréhension des mécanismes de construction de la trajectoire de vie est au centre de ce travail. Cette perception aboutit à la mise en phase des désirs essentiels avec les évènements du quotidien. Elle permet de mettre en oeuvre la puissance de créativité et d’aimanter à vous les moyens d’action pour la concrétiser. 

Quelques sujets traités : 

  • Verbe, parole, silence et non-dits
  • perception à long et moyen terme et développement de la vision personnelle, clairvoyance
  • identification et gestion des mécanismes d’états de conscience modifiés
  • perception des champs énergétiques et changements de champs de conscience
  • perception multidimensionnelle et intégration des données dans le quotidien
  • identification des besoins d’accomplissement.

Dates 2013: 1e session – du 7 au 10 mars;   2e session – du 4 au 7 avril;   3e session – du 5 au 9 juin

(La participation aux 3 sessions est obligatoire)

Lieu : Centre Culturel et de Congrès de Sarlat, Le Colombier – 24200 Sarlat la Canéda

Prix : Cycle complet 1270€ (1ère session – 390 €, 2ème session – 390 €, 3ème session – 490 €) 

 

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2013 UN NOUVEAU COMMENCEMENT


Je ne reviendrais pas sur l’énergie de 2012 qui a fait l’objet de plusieurs articles de ma part. Sur ce point, un simple témoignage personnel. Nous avons pu sentir, moi-même et les membres de mon entourage, une profonde mutation cellulaire qui s’est traduite par des coups de fièvre, des rhumes passagers et surtout une énorme fatigue, comme si nous avions eu des mois d’insomnies consécutives. Cette charge est en train de disparaître, surtout pour les personnes qui se sont préparées à cette mutation. 

 Tournons-nous maintenant vers les temps à venir.

Opale noire d'Australie, ®photo Serge Briez - Cristaux-sante

Opale noire d’Australie, ®photo Serge Briez – Cristaux-sante

Les temps à venir seront marqués par une nécessité absolue de faire concorder nos fréquences énergétiques personnelles avec les situations, les structures et les événements que nous impulsons. La non-concordance énergétique se traduira sans délai par une « explosion » (structure et/ou événements).

Par ailleurs, nous allons bénéficier à partir du mois d’Avril 2013, d’une poussée énergétique comme nous n’en avons jamais connu. Elle favorisera grandement l’émergence de nouveaux champs de conscience, mais aussi la réalisation de nouveaux projets qui pouvaient être latents depuis plusieurs années. 

 L’heure est donc à la créativité. Nous vous laissez pas endormir par les « flons-flons » pessimistes véhiculés par les médias et les pouvoirs publics. Utilisez la période de janvier à mars pour terminer la conception de vos projets et allez de l’avant.

Tout est à inventer. Nous allons découvrir dans les dix prochaines années bien plus que nous avons découvert en deux mille ans.

Alors, une belle année à tous et merci pour votre fidélité.

Amour et Lumière 

Daniel 

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BIEN VIVRE SA MORT : Manuel pratique pour réussir le Passage


Ami lecteur, depuis plusieurs mois vous avez du vous interroger sur le fait que je me faisais aussi rare.

En fait, l’énergie d’un ouvrage a mobilisé toutes mes ressources d’écriture depuis Janvier. Il m’a littéralement « pris la tête » et le cœur. C’est ainsi que je suis heureux de vous informer de la sortie de mon dernier livre,

« Bien vivre sa mort, Manuel pratique pour réussir le Passage », Editions Dangles.
BIEN VIVRE SA MORT : Manuel pratique pour réussir le Passage, Daniel Briez Editions Dangles, Prix 10 € format poche 240 pages

BIEN VIVRE SA MORT : Manuel pratique pour réussir le Passage, Daniel Briez Editions Dangles, Prix 10 € format poche 240 pages

Ce sujet peut paraître très en marge de mes thématiques habituelles. Pourtant, il m’a fallu toutes les perceptions et l’entièreté d’un parcours de vie de chercheur pour le mener à bien. Il est donc probablement l’ouvrage qui reflète le plus ma vision de la vie et de la mort.

Pourquoi cet ouvrage ? Lire la suite »

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GÉOBIOLOGIE, MINÉRAUX ET SANTÉ


Le corps humain est composé principalement d’eau (environ 70% de sa masse corporelle) et de minéraux.

LES MINERAUX

La première molécule que construit la cellule humaine lorsqu’elle se duplique est une molécule de dioxyde de silicium (travaux du Professeur Monod, Prix Nobel de Chimie en 1965). Elle sert de moyen de transmission à l’ADN pour transmettre ses codes au corps cellulaire. Le corps humain se compose d’environ 75000 milliards de cellules, donc d’autant de molécules de dioxyde de silicium qui est également la composition du Quartz ou Cristal de Roche.

QUARTZ ROSE MADAGASCAR, photo Serge Briez©www.cristaux-sante.com

QUARTZ ROSE MADAGASCAR, photo Serge Briez©www.cristaux-sante.com

Le Quartz constitue 12% de la Lithosphère (croûte terrestre) et sert de mémoire et de conducteur à tous les micro-processeurs qui permettent aux moindres machines présentes autour de nous de fonctionner. Sur le plan énergétique et au niveau de la transmission des fréquences, il est donc évident qu’il existe un lien profond entre notre corps, la planète Terre, et les machines qui peuplent le moindre espace de nos lieux de vie.

QUARTZ LEMURIEN DRUZE, MADAGASCAR, photo Serge Briez©www.cristaux-sante.com

QUARTZ LEMURIEN DRUZE, MADAGASCAR, photo Serge Briez©www.cristaux-sante.com

Le corps humain est donc un gigantesque émetteur-récepteur, capable de capter des éléments et des fréquences qui vont bien au-delà de ce que nous pensons ordinairement. Il est par conséquent particulièrement sensible aux fréquences de tous ordres émises autour de nous, à commencer notamment par toutes les fréquences électro-magnétiques. De ce fait, la pollution électro-magnétique de notre environnement s’avère l’une des principales causes du vieillissement prématuré de la cellule et de l’altération de notre santé.

L’énorme concentration de minéraux dans notre corps et son ultra-sensibilité nous amène à réagir profondément à ce type de pollutions. Elle nous donne parallèlement le potentiel de réguler ces perturbations par la simple utilisation de certains minéraux qui entrent directement en résonance avec ceux que contient notre corps.

L’EAU

Depuis de nombreuses années, ont été mis en évidence les mécanismes de la « mémoire de l’eau ». Les travaux du chercheur français, Jacques Benvéniste, et la diffusion des photos sur la cristallisation de l’eau du japonais Masaru Emoto ont largement concouru à vulgariser cette connaissance. La molécule d’eau « mémorise » tout ce avec quoi elle est en contact vibratoire. En tout premier lieu, nous devons donc nous interroger sur la qualité de l’eau que nous buvons et sur la quantité que nous en absorbons quotidiennement qui est, la plupart du temps, insuffisante. 

photo Serge Briez©

photo Serge Briez©

Par ailleurs, si une molécule d’eau pure se trouve placée au contact énergétique d’une eau de mauvaise qualité (eaux stagnantes ou eaux usées), et ce notamment sur de longues durées, elle aura tendance à se mettre à l’unisson de cette fréquence et à abaisser sa fréquence vibratoire au niveau de celle qu’elle rencontre majoritairement. En d’autres termes, si votre habitation se trouve construite au-dessus d’une eau ne renouvelant pas naturellement son oxygénation (eaux mortes immobilisées dans des couches de marnes ou des terrains argileux), l’eau stagnante émettra une « fréquence d’eau morte » à sa verticale. Elle « tirera » vers le bas votre propre fréquence vibratoire, et polluera toutes les molécules d’eau présentes sur son trajet. Cela signifie qu’une eau stagnante présente sous votre habitat, altèrera progressivement (nous parlons ici à l’échelle de quelques mois ou quelques années puisque nous ne déménageons pas tous les mois – nous séjournons 8 à 12 heures par jour dans notre habitat) la fréquence de votre eau cellulaire. Celle-ci perdra progressivement sa tonicité, ses capacités de nettoyage et la qualité de sa fréquence. Ce mécanisme aura pour conséquence une détérioration rapide de votre capacité de ressourcement et se traduira par les symptômes que nous détaillons précisément dans la rubrique « Biologie de l’habitat »

LES MINERAUX EN TANT QUE VECTEURS DE SANTE

Le minéral, par la grande résonance qu’il possède avec le corps humain, constitue le moyen de régulation le plus adapté des dysfonctionnements des plans organique et vibratoire. En effet, le minéral constitue une « fréquence-type » que le corps ‘reconnaît ». Il se met alors en résonance avec cette fréquence et relance ainsi ses propres systèmes énergétiques. Nous assistons parfois ainsi à de véritables petits « miracles » grâce auxquels, au simple contact de la pierre, le corps retrouve des fonctions premières et fonctionne à nouveau en état d’équilibre.

LE MINERAL CONSTITUE UN DES MEILLEURS MOYENS D’EQUILIBRAGE DE L’HABITAT

C’est la raison pour laquelle il est particulièrement recommandé d’utiliser les minéraux pour réguler les principales pollutions de votre habitat plutôt que tout système conçu par l’homme. Outre leur efficacité (certaines pierres neutralisent en totalité et définitivement certaines pollutions), la « relance » qu’ils opèrent, sur le plan énergétique, permet de résoudre bien des difficultés.

La première question que chacun doit se poser lorsqu’il se sent fatigué, en tension, ou lorsque les évènements de vie sont tendus, c’est : « Quelle est la qualité énergétique de mon habitat ? »

Un diagnostic à distance, simple et peu coûteux, vous permettra de répondre à cette question essentielle. Il vous évitera de vous égarer dans des procédures coûteuses, voire même hasardeuses sur vos états émotionnels, la qualité de votre alimentation ou votre histoire de vie, pour ne citer que ses aspects-là.

La mise en place de minéraux dans votre habitat vous aidera à retrouver vitalité et optimiste et vous servira de support énergétique pour développer votre démarche d’équilibre.

Sarlat, le 24 Avril 2012, 18h41

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LES TECHNIQUES DE LA MERKABHA


Depuis une dizaine d’années, le mot « Merkabha » est devenu à la mode, au même titre que le mot « quantique ». Le problème est que bien de fausses idées sont véhiculées sur le sujet et qu’il est difficile de se faire une idée sur la réalité de ce concept. Cela est d’autant plus difficile que les exemples concrets d’activation de la Merkabha ne sont pas légions et procèdent plutôt du domaine de la croyance ou de la légende.

Mais qu’est-ce que la Merkabha ?

Le mot Merkabha est composé des racines égyptiennes suivantes : Mer (l’esprit), Ka (le double ou l’âme), et Bha (le corps). Il désigne dans la Tradition hébraïque le Char ou Corps de Lumière. Dans le nouveau Testament, il est le Corps d’Ascension.

lever de soleil au Mont Moïse, Massif du Sinaï, ©Photo Guylène Briez

lever de soleil au Mont Moïse, Massif du Sinaï, ©Photo Guylène Briez

Cette symbolisation correspond à une observation physique d’un corps humain qui accélère sa vitesse de rotation cellulaire jusqu’à des fréquences qui lui permettent de se dématérialiser pour se rematérialiser ensuite dans un autre lieu physique (on parle en science fiction de « téléportation »). Il est vrai que l’exemple le plus connu, même si les témoignages directs sont sujet à caution, est celui de l’Ascension du Christ, ou de la dématérialisation de certains Rimpotché tibétains.

Par cet article, je souhaiterais vous donner ma perception de ce processus. Comme pour chacun de mes textes, il n’engage que ma responsabilité et constitue une piste que je soumets à votre réflexion.

Dans mon expérience, le corps merkabhique est effectivement un corps d’élévation luminique créé par l’accélération de la vitesse de rotation du plan cellulaire. Le liquide cellulaire possède un sens de rotation qui est le même que celui du magma de notre planète. Sa rotation crée une force centrifuge qui est à la base du nettoyage cellulaire quotidien. C’est sur ce mécanisme que repose la détoxination du corps et l’apport d’éléments nutritifs dans la cellule. Ordinairement, cette rotation est lente mais elle peut être accélérée en utilisant certains états de conscience modifiée.

Les Techniques Merkabhiques sont un ensemble d’exercices et de techniques reposant sur l’utilisation de fréquences vibratoires (sons, couleurs, fragrances, cristaux) employées pour accélérer la vitesse de rotation cellulaire. A l’obtention du seuil critique, se produit une « réactivation » des codes merkabhiques internes. Chaque être humain possède ces codes qui lui permettent, lorsqu’il atteint le niveau de conscience requis, de retrouver sa capacité d’utilisation du Corps de Lumière. Ces codes sont uniques, individuels et non transmissibles. Ils sont aussi intimes que le génome. En d’autres termes, j’estime que lorsque l’on prône la possibilité d’utilisation d’une méthode globale d’activation applicable à tout le monde, on véhicule une vision partielle et incomplète du processus requis pour obtenir des résultats tangibles.

Quelles sont les facteurs qui oblitèrent les codes merkabhiques et les empêchent de s’activer ?

 Les principaux facteurs oblitérant l’activation de la Merkabha sont constitués des multiples couches de croyance qui ont été imprimées dans le corps humain, au fil des millénaires, par l’éducation, les différents incidents de vie et les multiples chocs accumulés. Ces empreintes engramment la fréquence d’élévation et l’embourbe dans des fréquences densifiées qui n’ont plus de connexion avec notre fréquence d’origine.

 Dans ma perception, il est clair que l’humain ne « descend » pas du singe. Nous cherchons depuis longtemps le « chaînon manquant », et nous ne sommes pas près de le découvrir, car il n’a jamais existé. L’Homme vient des étoiles. Il est arrivé sur la planète au moyen de son Corps de Lumière et possède toujours la mémoire de ses Codes d’Ascension.

Comment réactiver ces codes ?

Comme l’étymologie du mot Merkabha l’indique, le Corps de Lumière correspond à la catalysation des codes stellaires (Mer), des codes animiques (Ka) et des codes cellulaires et génétiques (Bha). La dissolution des systèmes de croyance constitue le point de départ de cette activation. Il est quasiment impossible de localiser toutes les croyances que nous portons sur le plan cellulaire. Aussi est-il nécessaire d’utiliser des moyens qui dissolvent les automatismes créés par les systèmes de croyance afin de restituer au corps sa dimension première et lui permettre ainsi de relancer la configuration énergétique qui permet d’entrer en conscience de l’alignement requis pour activer la Merkabha.

Depuis 1998, j’ai animé trois sessions de formation sur ce sujet. Il s’est écoulé cinq à six années entre chaque étape, me laissant un temps de maturation et permettant à de nouvelles fréquences et de nouveaux champs de conscience de s’incarner sur le plan terrestre. A mon sens, il n’est pas possible de faire de ce sujet un « fonds de commerce ». Il n’est qu’à répondre à cette impulsion « venue d’ailleurs » donnant l’impérieuse nécessité de matérialiser de nouveaux champs de conscience.

En cette année de mutation planétaire, le stage « Techniques de la Merkabha » s’inscrit dans cette perception, année où notre transition s’avère impérieuse. Les états de conscience modifiée constituent un des moyens privilégiés pour accéder à des niveaux informatifs dégagés des limites du mental. J’utiliserai ce moyen afin de condenser l’information par le Verbe et apporter à chacun des participants de nouvelles fréquences informatives.

Je ne pense pas que le groupe aboutira à une activation effective de la Merkabha au dernier jour du stage, mais il contribuera à « nettoyer » le terrain collectif et surtout à déblayer des champs parasitaires qui oblitèrent depuis trop longtemps la vision de chacun.

Je vous convie donc à ce magnifique voyage dans la Conscience Universelle que j’aurais le plaisir de vivre avec ceux d’entre vous qui choisiront de se joindre à ce travail.

Sarlat, le 13 Mars 2012

 PS L’intégration de la Merkabha porte sur l’intégration du 12 qui introduit au 13.     

LES TECHNIQUES DE LA MERKABHA

Stage de 4 jours à Sarlat (Dordogne) – tout public – non résidentiel

Ce stage constitue une introduction aux techniques de perception, de développement et de mise en place des Techniques de la Merkabha. Sans rapport avec les travaux de Drunvalo Melchisédech, ce stage constitue une approche novatrice et délibérément originale pour dissoudre les barrières à l’activation du « Véhicule de Lumière ». Il introduit à l’énergie des Maîtres Ascensionnés et permet de comprendre sur quelles bases les Maîtres ont construit leur Ascension.

Quelques uns des sujets abordés :

  • évaluation des systèmes de croyance

  • bases techniques des niveaux luminiques

  • introduction à la Science de Synthèse

  • perception et voyages dimensionnels

  • expérimentation des outils multidimensionnels

  • etc.

Prix : 490 €  (Remise de 30% pour les personnes participant au cycle « La Science des Couleurs »)

Inscriptions : Wydiane 06 42 82 26 02  – formations@cristaux-sante.com

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ENTERREMENT OU INCINERATION


Cet article doit être associé à la lecture des articles intitulés « La Mort » et « L’accompagnement du passage de la mort ».

Les deux précédents articles ont permis de définir les conditions énergétiques et vibratoires requises pour aider un défunt à accomplir le passage de la mort dans les meilleures conditions.

Les moments de l’enterrement ou de la crémation sont sensés clôturer le mécanisme du passage à la mort. « Sensés », car si les conditions requises pour que le désengagement de la conscience par rapport au corps cellulaire ne sont pas totalement accomplies à ce moment-là, le processus peut nécessiter un temps beaucoup plus long que celui que l’on consacre ordinairement sur le plan matériel au traitement du corps.

La mise en terre et les instants précédant la crémation du corps sont les derniers moments mis à la disposition de l’entourage pour aider le mort à quitter définitivement son corps.

Pour cette raison, il est absolument indispensable qu’un climat de paix et de sérénité soit présent autour de celui-ci. Le « Maître de cérémonie » (voir article sur « L’accompagnement du passage de la mort ») doit veiller avec beaucoup d’attention à ce que le climat de sérénité requis demeure tout le temps de l’exposition du corps du défunt à son entourage. Il peut être extrêmement important pour le défunt d’être accompagné par un grand nombre de personnes. L’équilibre énergétique de paix est plus difficile à maintenir, mais la puissance dégagée par la force d’amour du groupe vis-à-vis du défunt s’en trouve considérablement renforcé, et constitue un puissant levier pour faciliter son dégagement. Il est clair qu’il est recommandé que l’ambiance de ce temps soit recueillie, ou joyeuse comme c’est le cas dans certaines cultures. 

Il est important de réfléchir au contenu de ces derniers instants. La narration de poèmes, un hommage au défunt, une musique favorisant le recueillement et l’élévation, ou d’autres éléments élevant le niveau vibratoire de l’environnement du défunt seront autant d’éléments favorisant le passage.

enterrement ou incinération, photo Serge Briez®2012

enterrement ou incinération, photo Serge Briez®2012

Il y a lieu de s’interroger sur le bien-fondé de certaines pratiques. Si le collégial des « Maîtres de cérémonie » (voir article précédent) estime, en son âme et conscience, que certaines dispositions des dernières volontés du défunt altère le climat de sérénité requis, les choix doivent être faits en conscience, en portant attentivement l’attention sur l’impact que les actes posés auront sur l’énergie du corps du défunt.

Deux options s’offrent alors à l’entourage:

– la mise en terre

– ou l’incinération. 

La mise en terre présente l’avantage de permettre au mort de disposer d’un délai pratiquement hors limites (temps de désagrégation du corps en terre) pour dégager sa conscience du corps physique. L’inconvénient de la mise en terre réside dans le fait qu’en cas de libération partielle de la conscience, le mort éprouve le sensation d’être enterré vivant. Cette sensation peut s’avérer extrêmement pénible. Elle s’atténuera progressivement au fur et à mesure que le mort prendra conscience du processus de dégagement de son esprit du corps. N’oublions pas que toute pénibilité rallonge le temps nécessaire au processus de libération finale. L’idéal, bien évidemment, est que les différentes opérations d’accompagnement du défunt aboutissent au dégagement de sa conscience avant la mise en terre. Le corps physique devient alors une enveloppe vide et il n’existe plus alors aucune sensation d’inconfort.

La crémation peut paraître préférable à l’inhumation. En effet, s’il subsiste quelques scories d’attachement entre la conscience et la cellule, l’intérêt de la crémation est de totalement supprimer le support matériel du corps en quelques minutes et de libérer la totalité des énergies vibratoires. Néanmoins, Attention! La quote-part des attachements résiduels doit être réduite à sa plus simple expression. Si tel n’est pas le cas, l’impact sensoriel sur le corps, au moment de la crémation, sera profondément douloureux. Le défunt éprouvera la sensation d’être brulé vif. Il est impératif de respecter un délai de trois à quatre jours dans le cas de la crémation afin de permettre au corps de totalement se libérer. Ou pour le moins, il est nécessaire de vérifier que la libération de la conscience est accomplie. Le délai communément posé de deux jours (en fonction d’enjeux purement matériels) est tout à fait inapproprié. La crémation supprime le support matériel cellulaire et contraint la conscience à se dégager. C’est la raison pour laquelle elle est couramment usitée dans les coutumes de population hautement évoluées sur le plan spirituel.

Je pense que le lecteur aura compris qu’il n’existe pas une solution meilleure que l’autre. Son efficacité est essentiellement fonction de la qualité d’un environnement serein et harmonieux créé autour du défunt. Le propre degré d’avancement spirituel du défunt aura également un impact majeur dans la fluidité de cette libération.

Cet article sera suivi de deux autres intitulés « Le Deuil », et « Transfert énergétique des lignées ancestrales au moment de la mort.

Luxembourg, le 4 mars 2012, 16h40

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LA SCIENCE DES COULEURS


Les croyances construisent, sur le plan énergétique cellulaire, des automates inconscients qui altèrent gravement la dimension quantique de l’homme, aboutissant à une perte de connexion avec lui-même et son environnement. Les peurs, les souffrances psychologiques, morales ou physiques, l’insatisfaction chronique, la pénurie matérielle trouvent toutes leur origine dans ce mécanisme. 

La Couleur constitue le seul moyen connu actuellement pour reconstituer l’être dans sa dimension originelle. Cette dimension est la seule qui puisse établir un équilibre entre les nécessités matérielles du quotidien et notre propre cheminement de conscience. Cet équilibre constitue le point de passage obligatoire à l’établissement d’une vie épanouie et satisfaisante. En réactivant les fréquences du corps sur l’ensemble des niveaux, la Couleur permet de restituer au plan cellulaire ses équilibres naturels et ainsi de le libérer des entraves que constituent les croyances.

Pourquoi la Couleur ?

La Couleur est une fréquence vibratoire et ondulatoire qui agit dans la résonance du corps corpusculaire. Elle entre ainsi en relation avec la cellule et lui restitue sa vibration originelle, fréquence naturelle installée antérieurement à la présence des altérations produites par les différents systèmes de croyance. A noter que les croyances sont présentes à de nombreux niveaux et proviennent de multiples sources: personnelles, familiales et générationelles, éducatives, sociétales, historiques ou collectives. Il est impossible d’en localiser d’une manière exhaustive la totalité. Une tentative d’identification au moyen du mental serait une démarche illusoire et improductive qui ne permettrait pas au corps de se libérer totalement de leurs empreintes.

Pour obtenir une totale libération, le processus ne peut que s’accomplir sur les plans vibratoires et fréquentiels, seuls exempts de l’emprise du mental.

La science des couleurs, photo Daniel Briez ©

 

L’emploi de la Couleur permet de dissoudre ces automates énergétiques sans entrer dans la nécessité de les identifier. La perception mentale entre en dernier ressort, au moment de la prise de conscience que génère la libération d’une croyance. C’est un peu comme une bulle d’air qui éclos à la surface de l’eau. Au moment du dégagement de l’automate énergétique parasitaire, nous vivons ce que nous appelons une « prise de conscience ». Cela est le signe du dégagement définitif de cet automate.

La « Science des Couleurs » est un processus vibratoire et énergétique cellulaire. L’utilisation d’outils exempts de croyances (cristaux, sons, parfums de couleur, etc.) permet à la cellule de se souvenir de son programme de base. La mise en contact vibratoire avec des fréquences ne laissant intervenir ni les croyances, ni le mental (elles vibrent simplement), lui permet de se relancer elle-même. A partir de cette relance, la cellule n’a de cesse que de dissoudre tout ce qui ne lui est pas naturel et bénéfique, en d’autres termes, tous les systèmes et toutes les croyances qui parasitent son équilibre naturel.

Le déroulement du cycle de formation « La Science des Couleur » a été construit afin d’intégrer une Couleur par jour, temps d’immersion minimum pour que le corps enregistre et se remémore chaque fréquence. Il nous permet de nous dégager définitivement d’un long, coûteux et douloureux travail de développement. Ainsi est-il possible de se consacrer simplement et sans entraves à l’accomplissement de notre vie, dans tous ses aspects. 

Commentaire personnel :

Il est toujours difficile de parler d’une formation que l’on donne sans être taxé de complaisance avec soi-même ou avoir l’intention d’attirer le lecteur dans ses formations. Je conseille donc au lecteur de lire le paragraphe suivant en s’attachant à son ressenti et d’observer ce qui lui semble juste.

Au fil des années, j’ai mis au point un cycle de 13 jours (scindé en 3 sessions sur une période de six mois) sur « La Science des Couleur ». Il m’a toujours été difficile de définir cette formation, tant elle touche à tous les niveaux d’être et de conscience, aussi bien dans ses aspects physiques et émotionnels que dans l’activation des états de conscience et des états de conscience modifiée. Il n’en est pas moins vrai qu’année après année, j’ai pu observer que le dégagement de l’empreinte des croyances s’opérait de plus en plus rapidement. Probablement cela est-il due, en grande partie, à la formidable évolution de conscience à laquelle nous assistons depuis quatre ou cinq ans. Le vécu que j’ai eu depuis 20 ans dans cette formation me permet de dire que le stagiaire qui vit ce processus durant ces six mois, dégage définitivement l’ensemble de ses croyances conscientes ou inconscientes, ou s’il ne le fait pas totalement, dispose du « mode d’emploi » énergétique de son être pour terminer seul le processus. Cela s’opère en douceur, sans conflit d’ego, sans débordements émotionnels, dans la plus grande simplicité, car le cycle n’est pas un cycle de développement personnel (il ne vient donc pas en opposition avec le mental et l’ego), il se contente de placer l’attention de chacun à un autre niveau (au moyen de tous les outils que nous utilisons), niveau à partir duquel tout se construit et se déconstruit. Il appartient ensuite à chacun de décider du degré de sa mise en oeuvre. Je ne puis donc que convier chacun à participer à cette formation. Gain de temps, gain d’argent, confort de vie, compréhension de soi, insertion dans la réalité universelle et environnementale sont autant de points qui en découlent. 

Arlon, Belgique, le 2 Mars 2012 à 10h42 

STAGE LA SCIENCE DES COULEURS

Cycle de 13 jours à Sarlat (Dordogne) – tout public – Non résidentiel

La perception et les sensations que nous avons des couleurs constituent la « cartographie » de la résonance énergétique de notre être. Cette résonance « aimante » vers nous, les évènements qui construisent notre quotidien. Nous pouvons ainsi diagnostiquer et apprendre à réguler l’ensemble des mécanismes de tension que nous rencontrons. La compréhension et l’intégration de la Couleur nous permet d’accéder aux réponses que nous nous posons sur le sens de notre vie et le chemin que nous avons entrepris. Elle nous permet de comprendre nos comportements, les causes profondes qui prédominent notre quotidien et nous donne les moyens de réguler les aspects inconfortables de notre existence.

Par ailleurs, la Couleur est le seul vecteur connu permettant d’accéder à la multidimensionnalité et pouvant servir de support informationnel aux informations quantiques.

Ce cycle n’est pas un stage de développement personnel mais donne tous les moyens nécessaires pour construire sa démarche personnelle. La connaissance de la Couleur constitue un véritable mode d’emploi de la gestion de notre patrimoine de vie.

Basé sur l’intégration et la compréhension d’une fréquence chromatique par jour, cette formation est construite pour réinitialiser le fonctionnement de chaque couleur dans notre ensemble énergétique et vibratoire, nous permettre de comprendre les « ponts » dont nous disposons pour accéder aux champs de perception quantiques et accéder aux différentes dimensions dans lesquelles nous évoluons simultanément. L’approche est simple, ne demande aucune connaissance particulière, et donne à chacun, dans sa perception, les méthodes et les moyens d’entrer totalement dans la compréhension de lui-même.

A l’issue de cette formation,  l’ensemble des fréquences sont intégrées, les systèmes de croyance et/ou mémoires du passé sont identifiées et/ou dissoutes, le chemin est libre pour accomplir son expérience de vie  sans plus aucune « casserole » attachée à son parcours de vie

1ère session – 4 jours

LE CORPS PHYSIQUE ET EMOTIONNEL

POURPRE – ROUGE – ORANGE – OR

Cette première session pose les connaissances théoriques requises pour comprendre le fonctionnement de la Couleur sur les plans physiologiques, énergétiques et vibratoires. Elle apporte la connaissance et le mode de gestion des plans physique et émotionnel.

Quelques uns des sujets traités :

  • principes de physique quantique, perception de l’espace et du temps
  • comprendre et intégrer le rapport à sa trajectoire d’évolution par rapport au temps et à l’environnement
  • intégrer le rapport à la famille, à l’argent, aux lignées ancestrales et à sa propre histoire
  • acquérir la capacité à se connaitre soi-même
  • se centrer sur soi-même, percevoir la nature de ses codes identitaires et ainsi mieux définir ses besoins
  • gérer la relation que nous établissons avec le monde professionnel, la prospérité et les évènements qui y sont liés.

Dates : du 6 au 9 Avril 2012

Lieu : SARLAT (Dordogne), Inscriptions et informations : Wydiane 06 42 82 26 02

2ème session – 4 jours

LE CORPS MENTAL

JAUNE – VERT – ROSE –TURQUOISE

Cette session permet de comprendre et d’intégrer la façon dont notre plan mental commande notre quotidien. Elle apporte la compréhension des mécanismes de projection et d’illusion qui amènent souvent à définir des objectifs de vie ne correspondant pas à nos aspirations profondes. Elle permet de percevoir la notion d’espace individuel et donne les moyens de le gérer. Elle permet de se placer dans l’instant présent et permet de redéfinir et de mieux positionner notre rapport à l’ego et ainsi définir nos objectifs de vie.

Quelques uns des sujets traités :

  • compréhension de la nature de l’ego et du mental et alignement sur ces énergies dans le rapport à la vie
  • gestion et intégration du lâcher prise
  • évaluation et élimination des systèmes projectifs, des états d’addiction émotionnelle ou physiologique
  • rapport à l’amour et gestion de l’affectif, gestion de la place et de l’espace personnel
  • accession à la perception multidimensionnelle
  • organisation générale du système de vie, pacification du plan mental
  • mise au service des besoins les plus essentiels et de la capacité de créativité et optimisation du plan mental.

Dates : du 3 au 6 mai 2012

Lieu : SARLAT (Dordogne), Inscriptions et informations : Wydiane 06 42 82 26 02

3ème session – 5 jours

LE CORPS SPIRITUEL ET CONCEPTUEL

BLEU –INDIGO – VIOLET –BLANC – ARGENT

Cette session permet de comprendre et d’intégrer concrètement les aspirations qui naissent en nous. Elle nous permet de les identifier, d’appréhender les mécanismes de construction de la trajectoire de vie et ainsi de mettre en phase les désirs essentiels et la création des évènements du quotidien. Elle nous permet d’appréhender les principales lois de la création de la matière et de les mettre concrètement en œuvre. Elle permet de prendre conscience de la puissance de créativité et de l’utiliser.

Quelques uns des sujets traités :

  • perception des lois de création de la Matière
  • gestion de la parole, du silence et des non-dits
  • perception à long et moyen terme et développement de la vision personnelle et de la clairvoyance
  • identification et gestion des mécanismes de médiumnité et de channeling
  • perception des champs spirituels et des mondes invisibles
  • connexion au multidimensionnel et intégration de ces données dans le quotidien
  • identification de la nature du cheminement de conscience et définition de sa propre trajectoire.

Dates : du 29 Août au 2 septembre 2012

Lieu : Sarlat (Dordogne)

Prix : 1ère session – 390 €, 2ème session – 390 €, 3ème session – 490 €

Inscriptions et informations : Wydiane 06 42 82 26 02 – formations@cristaux-sante.com

ATTENTION LE CYCLE DOIT ÊTRE FAIT DANS SON INTÉGRALITÉ. LES 3 SESSIONS SONT INDISSOCIABLES

Les personnes ayant antérieurement fait ce cycle bénéficient d’une remise de 50%

Inscriptions et informations : Wydiane 06 42 82 26 02 formations@cristaux-sante.com

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L’ACCOMPAGNEMENT DU PASSAGE DE LA MORT


Pour être bien compris, cet article doit être associé à la lecture des articles intitulés

– La Mort

– L’enterrement ou la crémation

Tout d’abord, observons le sens étymologique du mot défunt. Défunt provient du mot latin functus qui signifie fonction. Un dé-funt (defunctus) est donc quelqu’un qui est déchargé (dé) de sa fonction (functus). Defunctus signifie en latin celui qui est déchargé, et par extension celui qui a accompli. En d’autres termes, c’est celui qui a accompli sa vie. Il convient donc de l’accompagner pour que le défunt devienne un mort.

Le mot mort est issu de l’ancien égyptien MOUTH qui signifie mutation ou changement d’état. Il possède la même racine que le mot MAAT (Vérité). Chez les Hébreux, il est issu du mot MOTH, racine étymologique des mots mother, mère, mutation, matière.

Autant dire que le mot mort ne porte pas le sens d’une disparition ou d’un anéantissement mais bien celui d’une mutation.

La mort est la naissance à une autre vie, vie de conscience.

Dans l’article intitulé « La Mort », nous avons détaillé le fait que les fonctions cognitives de l’être ne s’interrompaient pas avec l’arrêt des fonctions organiques du corps physique, d’où l’absolue nécessité d’aménager un espace et un temps pour le repos du corps physique afin de lui permettre de réaliser sa séparation avec l’esprit.

Rien ne s'efface jamais, photo Serge Briez©

Rien ne s'efface jamais, photo Serge Briez©

Pour bien comprendre ce mécanisme, il est important de détailler les niveaux par lesquels la cellule (Matière) et l’esprit (Conscience) sont en relation symbiotique.

Il existe deux niveaux symbiotiques entre le corps cellulaire et l’esprit :

– Le niveau conscient

Le niveau conscient est le plus communément appréhender. Toutes les informations vécues dans le quotidien sont enregistrées par la cellule. Dans la perception ordinaire, nous appelons cela mémoires. Nous assimilons souvent la mémoire à une des fonctions du cerveau. Tel n’est pas le cas, en tout premier lieu, la mémoire est cellulaire, pour ensuite, si cela s’avère nécessaire, être mise en forme par le cerveau (que l’on confond souvent, par ailleurs, avec le mental).

Simultanément à la mémorisation cellulaire, l’enregistrement des données s’opère au niveau de l’esprit. Celui-ci, simultanément transfère ces données à une banque de données globale que nous nommerons, par facilité, l’âme. La fonction de l’âme est essentielle. Sans elle, la relation à l’univers de l’être et du corps serait limitée à la seule incarnation présente. Si tel était le cas, cette configuration aurait pour effet de nous amener à répéter pratiquement toujours les mêmes expériences dans chaque incarnation, sans possibilité de créativité et de renouvellement.

A partir du niveau conscient, nous évoluons vers des sphères d’un niveau vibratoire de plus en plus élevé (que nous qualifierons de spirituel), au fur et à mesure de la complémentation des phases de notre expérimentation de la vie quotidienne. Notre cheminement de conscience repose sur la qualité de cette expérimentation sensorielle, sur le niveau de perception que nous en avons et sur la satisfaction des besoins de nos premiers niveaux organiques.

– Le niveau inconscient

Le niveau inconscient est plus difficile à percevoir car il ne repose pas sur le cheminement de conscience que nous observons couramment. Il constitue le mécanisme automatique qui permet de stocker d’innombrables données en attente de traitement par notre conscience.

Ce niveau est essentiel car il permet au corps de réunir toutes les conditions de survie requises pour conserver son intégrité. Il lui permet de traiter la totalité des informations émises par son environnement et de déterminer les données qui peuvent mettre en danger sa survie. C’est à ce niveau que se situe ce que nous nommons l’instinct de conservation.

Dans ce niveau sont enregistrés la moindre de nos conversations, le moindre évènement, les plus infimes fréquences transmises par les étoiles, l’influence des égrégores collectifs, les mouvements de la planète, en fait tout ce qui a une influence , même infinitésimale sur notre survie. C’est ainsi que le corps peut rester vivant, y compris dans des situations extrêmes.

Lors du processus du passage de la mort, ce niveau est fondamental car c’est celui qui contient le plus de données à décrocher et surtout dans lequel se trouvent l’ensemble des liens inconscients avec les membres de notre entourage et tous les êtres que nous avons croisé dans notre vie.

Il est fondamental de comprendre la nature de ces liens. Chaque parole que nous prononçons, la totalité de celles que nous entendons, tous les gestes, tous les regards que nous échangeons subsistent sur le plan énergétique. Rien ne s’efface jamais. Même si ces données n’encombrent pas notre mémoire ou ne sont pas conscientisées, elles demeurent en nous et conserve un lien avec le corps cellulaire de la personne avec laquelle nous avons échangé, même s’il s’agit d’un simple regard fugitif échangé avec un passant trente années auparavant . Ce sont ainsi des milliards de fils énergétiques qui nous lient aux innombrables individus que nous avons croisé de notre vivant.

Lorsque l’esprit se désincruste du corps, ces attaches énergétiques se coupent et l’énergie se transfère en totalité sur celui qui reste vivant. Il s’agit d’un décrochage. Il ne faut pas chercher plus loin l’origine du mécanisme qui est fréquemment décrit au moment d’une NDE concernant la visualisation de toute la vie à rebours.

Que l’interlocuteur soit présent physiquement auprès du corps, qu’il se rappelle les faits ou les mots, que le défunt n’ait été croisé qu’un instant fugitif, cela est la même chose. Ce qui déclenche ces liens est la simple mémorisation inconsciente de ces éléments. 

Ce mécanisme de décrochage est ressenti particulièrement puissamment dans le cas de l’énergie de filiation. Lorsque le père meurt, la totalité de la charge énergétique des ancêtres de la lignée se transfère sur son fils ainé. Si c’est la mère, le transfert s’opère sur la fille ainée. Il peut être extrêmement favorable pour chacun ce transfert se fasse en conscience entre le père et le fils ou la mère et la fille, quelques temps avant le décès, voire quelques années avant. Cela allègera considérablement la personne en fin de vie et permettra à celle qui reste de mieux gérer le transfert. Au moment du décès, le décrochage cellulaire sera d’autant plus fluide.

Nous comprenons donc que les conditions énergétiques dans lesquelles s’inscrit le défunt au moment de sa mort sont essentielles. Chaque perturbation énergétique dans les jours qui suivent le décès sont préjudiciables au décrochage et entraînent pour le défunt des souffrances et perturbent le mécanisme de passage, allant même parfois jusqu’à l’interrompre.

Quelles sont les circonstances qui interrompent le processus de séparation des entités corps et esprit ?

Le regret. Le défunt est dans l’obligation d’avoir réglé ses comptes. S’il estime qu’il avait encore quelque chose à faire ou à dire avant de partir, et qu’il n’a pas réunnit les conditions pour que cela se fasse, la sensation d’inacomplissement crée une attache à la forme physique et il est difficile pour le défunt de partir.

L’attachement. Si le défunt est attaché à des biens matériels, à un lieu ou à des êtres, il en est de même que précédemment. De même si l’un ou plusieurs de ses proches ne veulent pas le laisser partir et font preuve d’un attachement excessif (ex : une mère qui perd un de ses enfants ou une femme dont le mari décède).

L’ignorance. S’il est totalement dans l’ignorance des mécanismes de passage, il en est de même.

Le refus des champs spirituels. Un véritable athée, par conviction, attaché à une vision mécaniste et scientiste du monde, se trouve complètement désemparé dans le nouveau plan dans lequel il se retrouve, et le passage ne s’opère pas.

La colère. Si une colère subsiste chez le défunt au moment de son décès, le niveau vibratoire de la colère se situe dans une fréquence trop basse pour permettre le passage.

Les pratiques médiumniques ou spirites. Le processus de rappel des morts au travers de médiums maintient ceux-ci à proximité de la fréquence terrestre (comme une ancre) et ne permet pas leur dégagement

Ces facteurs génèrent des fréquences vibratoires denses qui retardent, voire empêchent la dissociation du corps et de l’esprit. La combinaison de plusieurs facteurs peut créer une véritable prison énergétique créant une impossibilité au défunt de réaliser son passage. Dans ce cas, l’esprit reste emprisonné dans le corps avec la relation sensorielle décrite précédemment.

L’usage de cérémonies religieuses réunissant un grand nombre de personnes crée un égrégore de haut niveau vibratoire autour de l’énergie du défunt. C’est ainsi que se construit un puissant effet de levier permettant aux énergies denses de s’élever au défunt de se libérer.

Il est par conséquent clair que la nature vibratoire de l’environnement créée autour du corps du défunt joue un rôle fondamental. Si de bonnes conditions de transfert ne sont pas en place, le mort n’a pas la possibilité d’intervenir directement sur l’état énergétique de son corps. Un mort livré à lui-même possède naturellement les ressources nécessaires pour accéder à ce dégagement. La qualité de son environnement devient par conséquent importante. Si elle est bonne, le passage s’opère dans de bonnes conditions et rapidement. Si elle s’avère perturbée, le passage se prolonge, peut parfois s’interrompre.

L’égrégore énergétique constitué par les personnes réunies autour de lui fait office de levier pour élever la fréquence cellulaire du corps physique et permettre le dégagement de l’esprit. L’atmosphère créée autour du mort doit être constituée de paix, de tendresse et de sérénité. Il est fondamental d’éviter, autant que faire ce peut, les grands débordements émotionnels, les pleurs et le transfert de ses propres peurs de de la mort vers le défunt. Trop souvent, nous voyons, jusque sur le lit de mort du défunt, se produire des règlements de compte familiaux. Il est clair que la mort agit comme un mécanisme de catharsis vis-à-vis de l’entourage et renvoie chacun à sa propre disparition. Cette catharsis libère des émotions qui sont parfois bloquées depuis des dizaines d’années. Néanmoins, l’espace du mort n’est ni le lieu, ni le moment, pour libérer nos propres peurs, eu égard au respect que nous devons porter au défunt, quelque soit le rapport que nous avons pu avoir avec lui.

Les plus gros dérapages proviennent fréquemment des désaccords qui naissent de la répartition des legs et héritages. Chacun attend de recevoir, consciemment ou inconsciemment, une reconnaissance directe ou indirecte du mort. Il est important de noter que dans la gestion des legs, la qualité du legs spirituel transmis par le défunt à chacun est essentielle. Ce n’est pas pour rien qu’a été institué la notion de dernières volontés ou de testament. Si le legs spirituel est imparfait, incomplet ou inexistant, il est probable que la part du legs matériel sera conflictuelle. S’il a été correctement géré par le défunt dans les années précédant son décès, il est probable que tout se déroulera dans l’harmonie requise.

Conseils pour créer un passage harmonieux.

– Désigner un groupe de maîtres de cérémonie. Il s’agit, de préférence, d’un collégial de trois personnes désignées par la famille ou les plus proches du défunt. Ils seront considérés par tous comme des sages et seront garants du bon déroulement des opérations. Eviter la collégialité de deux personnes qui porte le risque de voir naître des conflits de personnalités.

– S’en remettre aux décisions de ces sages pour l’ensemble de l’organisation des journées dédiées au défunt jusqu’à l’enterrement.

– Un des membres du collège des sages doit toujours être présent auprès du corps du défunt, vingt quatre heures sur vingt quatre. Ils sont les garants de la paix nécessaire autour du défunt. Ils gèrent les débordements inopportuns et temporisent les conflits s’il y a lieu.

TRES IMPORTANT : si un conflit se déclenche, il ne doit absolument pas se développer en présence du défunt. Si cela est inévitable, faire sortir les personnes en lice de la maison. Le maître de cérémonie est celui qui canalise les énergies en présence et leur permet de demeurer à un niveau de paix et d’harmonie.

– Laisser les maîtres de cérémonie évaluer le temps nécessaire au défunt pour se libérer de son esprit et fixer ainsi, si possible, la date de l’enterrement ou de l’incinération.

Ne pas transformer le corps par les procédés thanatologiques en usage. Il est préférable, si les conditions de conservation du corps sont difficiles, de clore le cercueil plutôt que de faire subir au corps des transformations qui seront ressenties par le défunt comme des actes chirurgicaux sans anesthésie.

– Evidemment, suivre à la lettre les dernières volontés du défunt, si elles ont été formulées, quelles que soient les réactions qu’elles suscitent dans l’entourage.

Dernière observation.

De nombreuses personnes qui décèdent manquent de culture spirituelle. Le défunt se trouve alors dans une perception de conscience extérieure à lui-même. Pour cette raison, de nombreuses cultures ont pour coutume d’entourer le mort de pleureuses. Cela lui permet de comprendre qu’il est bien mort et qu’il doit se retourner vers lui-même.

Pour conclure, c’est le retrait de la fréquence conscience/esprit de la cellule qui entraine sa dégradation et permet au corps de se dissoudre. A un moment donné les personnes qui entoure le défunt sentent qu’il est parti. Il est temps alors de le mettre en terre ou de l’incinérer.

Sarlat, le 15 Janvier 2012, 19h25


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LA MORT


Une intense discussion avec des membres de ma famille m’a récemment montré que les phénomènes énergétiques liés à la mort étaient encore trop peu, voire pas, connus. Cela a motivé la rédaction des trois articles intitulés

– La Mort,
– L’accompagnement du passage de la mort
– L’enterrement ou la crémation.

S’il est un passage qui vient chercher chacun dans son intimité et ses convictions, c’est bien celui de la mort du corps physique. Ce mécanisme mal connu est l’objet de bien des spéculations. Il me semble important de définir simplement les principales étapes de ce processus de passage afin d’éviter des incohérences préjudiciables au défunt et lui permettre de se libérer de son corps physique dans les meilleures conditions possibles.

En premier lieu, n’oublions pas qu’on ne meurt qu’une fois et que ce que l’on « loupe » à ce moment-là est irrémédiablement passé. Il est donc recommandé d’aborder cet évènement majeur de notre parcours de vie avec conscience et d’éviter les plus gros dommages, que ce soit nous-même qui mourrions ou un membre de notre entourage.

L’être humain est composé de deux entités distinctes vivant sur une base symbiotique, l’une sur le plan de la conscience, l’autre sur celui du physique : l’esprit et le corps.

Le corps est constitué de l’ensemble de la masse corporelle et cellulaire. Elle sert de véhicule à l’esprit. Elle lui permet de réaliser, tout au long de l’incarnation, des expériences sensorielles de conscience extrêmement diversifiées et précises, lui donnant ainsi la possibilité de pratiquer consciemment les lois du fonctionnement de la Matière. La mise à disposition du corps physique, au moment de la conception puis de la naissance, est fondamental. Il s’agit, ni plus ni moins, du seul support tangible et opérationnel qui permet à l’esprit d’évoluer et d’acquérir de nouveaux champs d’investigation. Il n’en existe pas d’autre dans le champ de perception qui est le nôtre Ici et Maintenant.

Pyramide de Dahchour, Egypte photo Serge Briez©

Pyramide de Dahchour, Egypte photo Serge Briez©

Le corps dispose à la fois de fonctions conscientes (tout ce que touche à la sensorialité et à l’élaboration de la conscience), et des fonctions inconscientes (tout ce qui touche aux automatismes organiques permettant au corps de conserver son activité vivante et les systèmes inconscients de traitement de l’information qui lui permettent de s’ajuster aux milliards de données qu’il reçoit de son environnement, à chaque instant).

Cette masse cellulaire possède une autonomie qui conditionne grandement, selon les informations qu’elle a accumulée durant son expérimentation, la nature énergétique de la façon dont est vécue le passage de la vie à la mort et de la perception que nous en avons en tant qu’acteur ou spectateur.

L’esprit peut être défini comme la part éternelle de l’être. Partons du postulat suivant qui consiste à dire que les lecteurs de cet article croient en l’immortalité de l’âme. Il n’est bien évidemment pas question d’entrer Ici dans un débat sur la nature de l’âme mais d’utiliser ce mot comme étant la désignation du support de l’énergie qui est nous, qui était en nous avant l’incarnation et avait expérimenté d’autres corps ou d’autres formes de vie simultanément ou antérieurement à l’expérience présente, et qui en expérimente dans les temps parallèles ou à venir.

Nous ne sommes donc pas de Maintenant. Notre esprit a survécu à d’innombrables corps ou autres formes de matérialisation. L’esprit habite le plan cellulaire et est intimement lié à son fonctionnement organique, à tel point qu’il peut aller jusqu’à en modifier, voir interrompre, les processus organiques automatiques. Toutefois, il n’en est qu’un hôte.

Qu’est-ce que la mort ?

La mort représente l’arrêt des fonctions organiques du corps. Il serait une grave erreur de penser que les fonctions cognitives s’interrompent au moment de la mort. Ce n’est pas parce que le coeur s’arrête ou que l’encéphalogramme d’un individu est sans activité que ses fonctions sensorielles s’interrompent instantanément, qu’il ne sent plus rien, qu’il n’entend plus rien, qu’il n’éprouve plus d’émotions et qu’il ne réfléchit plus.

La croyance la plus couramment adoptée sur notre planète consiste à penser que les facultés cognitives sont exclusivement liée au fonctionnement de notre cerveau. Il n’en est rien. L’esprit et le cerveau se juxtaposent, le temps de l’incarnation pour optimiser l’expérimentation de vie, mais ils sont indépendants et se dissocient au moment de la mort. Cette configuration permet à l’âme de ne pas perdre les données collationnées durant une vie et de se les mémoriser (ou non) dans une incarnation ultérieure. Dans le cas contraire, les données seraient irrémédiablement perdues par la désagrégation du corps cellulaire. Ce serait fort dommage et terriblement improductif.

Autrefois, dans notre société, avant que la mort ne soit cachée dans le ghetto des hôpitaux et des maisons de retraite ( qu’il faudrait plutôt appeler parfois « maisons à mourir »), l’individu mourait chez lui. Il restait dans sa maison, entouré par les siens, le temps que l’inhumation s’organise. Cela laissait le temps à chacun de le rencontrer une dernière fois, puis il était mis en bière et conduit au cimetière, la plupart du temps accompagné d’une cérémonie religieuse.

Ce processus répondait à une nécessité profonde. Pourquoi ? 

Tout simplement parce qu’il faut un délai de trois à quatre jours (sept jours dit la tradition hébraïque) pour que le corps se libère totalement de sa sensibilité sensorielle et de l’empreinte de l’esprit qui enregistre toutes ces informations. En d’autres termes, qu’est-ce que cela signifie ?

Cela signifie qu’au moment de l’arrêt des fonctions vitales, il faut quelques heures, voire parfois quelques jours, pour que le défunt simplement comprenne que son corps physique est mort. Cela est d’autant plus vrai lorsque l’être décède brutalement (accident), d’une manière inattendue et sans aucune préparation. Plus il est jeune et plus l’incompréhension est grande. Il en est de même pour les individus qui ne se sont pas préparés, de leur vivant, à ce passage. Une personne dont les fonctions vitales se sont dégradées progressivement sera plus préparée que quelqu’un qui décède par accident. Quelqu’un ayant réfléchi, de son vivant, au passage de la mort, sera plus à même de réaliser ce passage dans de bonnes conditions et surtout de comprendre ce qui lui arrive.

Je voudrais ici faire part d’une anecdote. Il y a quelques années, chaque fois que je passais en voiture sur la nationale entre Apt et Avignon (84), au carrefour de Notre Dame des Lumières (ce n’est pas un gag cosmique!), mon regard était accroché par un individu que je voyais au bord de la route, en train d’attendre. Lorsque je regardais plus attentivement, évidemment, je ne voyais rien puisqu’il s’agissait d’une vision spontanée générée par la clairvoyance de l’entité énergétique d’un décédé. Le phénomène se répétant chaque fois que je passais sur cette route, je compris qu’il m’était demandé d’intervenir. Je garais mon véhicule et m’approchais. Je me trouvais alors face à un homme d’une quarantaine d’années qui était désemparé. Il était bloqué là depuis plusieurs mois (en fait un peu plus de deux ans), et il ne savait pas comment quitter cet endroit. Je lui expliquais alors qu’il était décédé et les mécanismes de passage. Je lui annonçais qu’il n’était nullement nécessaire pour lui de demeurer sur place et qu’il pouvait passer ailleurs. Il compris parfaitement mes propos et m’expliqua qu’il n’avait jamais eu la moindre préoccupation au sujet de la mort, qu’il était décédé dans un accident de voiture à ce carrefour et que depuis, il attendait que quelqu’un vienne l’aider, mais que personne ne répondait (et pour cause !) à ses appels. Je sentis un profond soulagement s’installer en lui. Je lui proposais alors de l’aider à quitter ce plan. Ce qu’il accepta et je lui fit faire le passage.

Lorsque le corps physique s’arrête :

– L’ouïe ne s’interrompt pas. Le défunt entend pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours après son décès ce qui se dit autour de lui. Son esprit enregistre et comprend comme s’il n’était pas mort.

– La vision ne s’interrompt pas. Elle se modifie dans la mesure où elle se trouve totalement véhiculée par le Chakra frontal (Troisième Oeil). Elle est donc physique et clairvoyante. L’esprit voit tout ce qui se passe dans le périmètre du corps et bien au-delà.

– La sensation du toucher ne s’interrompt pas. L’esprit enregistre avec presque la même acuité et la même sensibilité la façon dont le corps est touché ou traité. Imaginez la sensation de quelqu’un qui est autopsié ou qui donne ses organes à la médecine – sensation d’être découpé vivant (on n’anesthésie pas un mort). Imaginez ce que doit ressentir celui qui est incinéré trop tôt – sensation d’être brûlé vif (il faut faire de la place ou se débarrasser d’un mort qui dérange trop les vivants !! ).

Autant dire qu’il faut témoigner une grande attention et un grand respect au défunt et au corps du défunt, dans la mesure où il ne dispose plus d’aucune autonomie et où il n’a plus aucune possibilité d’expression vis-à-vis des vivants.

Durant les quelques jours suivant le décès (quatre à sept jours selon les cas), ses sensations sont au moins équivalentes à celle d’un vivant. Dans un premier temps, elles sont exacerbées, dans la mesure où le défunt entre dans un domaine de son existence qui lui est souvent inconnu. La plupart du temps, il ne possède pas la mémoire de ses autres morts. Parfois il souffre encore physiquement. Et il n’a personne avec qui communiquer ses angoisses, son mal-être, ses incompréhensions et ses souffrances, cela s’ajoutant à la peine de se séparer de la vie et des êtres qu’il aime. Puis progressivement, le rapport sensoriel au corps s’atténue, le temps que l’esprit se « désincruste » du corps cellulaire. Au fur et à mesure de son retrait la relation symbiotique avec le corps s’atténue jusqu’à disparaitre au bout de quelques jours.

C’est durant ce temps que la qualité énergétique du rapport existant entre le corps et son environnement est essentielle. Une atmosphère de calme, d’amour, de partage et de fraternité sont indispensables à la libération du corps dans de bonnes conditions. Si tel n’est pas le cas, la souffrance du défunt peut devenir extrême.

Il conviendrait donc de sérieusement s’interroger sur la façon dont nous traitons les morts dans notre société, sur ce que nous leur faisons subir, et sur notre façon de les accompagner dans ce passage dont les mécanismes ont été totalement occultés alors qu’ils étaient parfaitement connus autrefois. Heureusement, il n’en est pas de même dans d’autres cultures où les traditions d’accompagnement sont restées en place et où la mort est prise en compte avec la même attention et la même présence (parfois la même joie) que la naissance.

Sarlat, le 14 janvier 2012, 16h28      

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« Droit de tendresse »


Wydiane possède un talent d’écriture qui s’affine au fil des ans. Sa sensibilité et sa créativité donne à son regard une évidence telle qu’il me semble important de partager sa vision avec vous.

Daniel Briez

Droit pénal, droit des affaires, droit à la liberté d’expression, droit des obligations, droit de la concurrence, droit de la consommation, droit des marques, droit de grève, droit d’auteur, droit des collectivités territoriales, droit fiscal, droit… Que ce soit au niveau du droit privé, du droit public, ou du droit mixte, chaque énoncé a sa raison d’être et la particularité d’amener un terrain de réflexion public.

Partant de là, car nous n’y posons pas assez d’attention à mon sens, peut-être pourrions-nous imaginer, que s’il existait une quatrième catégorie nommée « droit d’essence », le droit de tendresse y figurerait en première ligne. En effet, nous les humains considérons la tendresse comme chose évidente, et donc, sans droit spécifique. Cela ne veut pas dire pour autant que l’on a pas le droit de tendresse envers nous-même comme avec autrui !

DROIT DE TENDRESSE

DROIT DE TENDRESSE

Ceux qui s’exprimaient avant la naissance publique du droit à la liberté d’expression risquaient lourd, mais heureusement et « n’ayons crainte », il n’en est pas de même pour l’expression libre de notre tendresse, malgré la non-officialité de son « droit »….

Alors, pourquoi ne la libérons-nous pas, cette chère tendresse qui imprègne nos corps sans même que l’on y prête attention? Quelles barrières nous créons-nous pour la brider ainsi? Nous faudrait-il une promulgation de loi pour que cela éveille nos actions et pensées? Arrivé là, l’heure serait grave, mais s’il le faut, alors, nous qui avons l’habitude d’agir car on nous y autorise, peut-être pouvons-nous nous pencher sur cette loi de principe fondateur que représenterait le droit à la tendresse… Non pas avec des bulletins de votes et une opinion publique mouvementée, mais avec des gestes, des mots, de l’empathie, des regards, de la maturité, et bien évidemment, du cœur.

Non ! Face à ce droit, nous n’avons de compte à rendre à personne.

Non ! Nous ne gagnons et ne perdons rien.

Non ! Nous ne serons pas reconnus publiquement pour en être un représentant.

Non ! On ne peut être attaqué.

Non ! Il n’y aura ni révolution, ni roi, ni jugements…

Oui ! Enfin serons-nous peut-être plus humains.

Ce soir, une profonde tristesse m’anime, alors même que mon être déborde d’incompréhension. Et, parce que j’aime à savoir la tendresse circuler, j’écris ce mot, et propose ce droit de cœur, au cas où il serait oublié… Et si ne serait-ce qu’un instant, l’énergie de tendresse retrouvait corps entre deux mots, il en naîtrait un « merci ».

Commençons donc par voir que la tendresse n’est ni « cul-cul », ni difficile, ni inutile, ni finie. La tendresse est là où on la regarde, là où on la dit, là où on l’émane. La tendresse fait partie de nous, si cela n’est pas-même l’énergie qui nous a permit de nous incorporer Ici et Maintenant, par amour pour notre Terre, par amour pour notre expérience, par amour pour nos intégrations et créations 

Il est vrai que la tendresse n’a pas de valeur monétaire, qu’il n’y a pas de situations à tendresse potentielle, ni de tendresse intérieure brute.

En revanche, il y a des sourires dans le métro, des caresses aux êtres aimés, un échange avec un sans-abri, un sac pesant soulevé pour un papi, des annulations de paroles déjà lancées, des « on pose les armes? », des mots doux à un enfant, des « juste comme il aime », une oreille tendue, un « merci d’exister » lors d’un appel téléphonique difficile, des « je t’aime », des attentions pour ceux qui ne se souviendront peut-être jamais de nous, des « juste pour le plaisir », une main cherchant l’autre devant un film, des petits rien qui nous font rire, du coeur là où on ne le mettait pas ou plus, des clins d’oeil à observer, des « laissons tomber, non? », des regards aimants, et tout ce qu’on invente chaque jour.

La tendresse ne fait pas peur, elle nous fait juste du bon, et balaye ce qui ne la regarde pas. La magie de la tendresse, c’est que « plus y’en à, plus on aime ».

Fuir l’énergie de tendresse serait comme fuir de son corps, fuir de notre être.

N’en avons-nous pas marre de piquer ceux qu’on aime par peur d’être piqué, où parce que « c’est lui qui a commencé !!! »?

N’en avons-nous pas marre de souffrir de la non-tendresse des autres sans se demander si nous-même étions dans cette énergie?

N’en avons nous pas marre de regarder de travers la moindre personne qui ose encore aider quelqu’un ou nous demander un petit quelque chose avec le sourire (« qu’est ce qu’il me veut celui là…?)?

N’en avons nous pas marre de punir nos enfants alors qu’ils n’aspirent qu’à un minimum de tendresse de notre part?

N’en avons nous pas marre de penser « qu’en tant qu’adulte », la tendresse c’est plus pour nous…

N’en avons nous pas marre de mener la bagarre pour un oui ou pour un non, alors qu’avec une pincée de cœur, plus rien de l’histoire ne tient debout…

La non-tendresse bloque le moteur circulatoire des flux entre chacun, et cristallise les énergies en instance. Cette paralysie énergétique due à la crispation de notre essence de tendresse met nos corps, et donc tout ce qui en émane, dans l’impasse. Ensuite, on se demande « ce qu’on a bien pu faire pour que cela arrive »… Alors que l’on a simplement figé notre plus belle valeur d’échange, notre trame au partage. 

La tendresse est une des manifestation de nos codes, qui aime à être mise en vie pour nous impulser vers nous-même, et donc vers autrui.

La tendresse est un essentiel, une impulsion de cœur qui trouve résonance dans chaque particules de matière.

Elle plurielle les liens, tout en respectant leurs mouvements.

Elle est l’émanation sensible de nos parcelles d’essence.. 

Ne pas laisser circuler l’énergie de tendresse représente, à mon sens, un des plus durs égoïsmes de l’humanité, ne serait-ce que vis à vis de nos corps ignorés.

Pour prendre la mesure de la force que porte la tendresse incarnée dans notre quotidien, nous pouvons peut-être imaginer que nous serions tels des kayakistes évoluants au fil de l’eau, et que la tendresse serait notre pagaie.

Tout kayakiste ne s’imaginerait pas se lancer dans une aventure aquatique en sachant qu’il va croiser des rapides et autres obstacles, sans prendre sa pagaie avec lui. Face à un parcours mouvementé, plus la pagaie s’inscrit profondément dans l’eau, plus elle fait avancer le tout. Si on la perd, on part inexorablement à la dérive… Et si par malheur, même avec elle, on se prend un roc ou l’on se coince, c’est en redoublant de force d’appui sur elle qu’on arrive à se sortir d’impasse, même si cela peut se révéler fatiguant.

Mais que préfère le kayakiste: redoubler d’intensité d’appui sur sa pagaie quitte à s’essouffler momentanément, ou bien laisser l’eau couler tout en restant bloqué une heure, puis deux, voire toute la nuit, car l’effort l’épuise? Je doute fort que la nuit passée seul sur l’eau lui soit plus agréable que la solution lui demandant de l’effort. En effet, on n’a pas encore vu de kayakiste jeter à l’eau sa pagaie, en jugeant le courant trop mouvementé pour gérer son parcours. Si c’était le cas, il risquerait de perdre littéralement son axe de trajectoire dans les rapides, voire, de perdre la vie. 

La pagaie est à la fois outil de direction, de nuances, de vitesse, de secours, mais aussi de créativité, de jeu…de complicité avec les mouvements du canoë évoluant sur l’eau.

Nous sommes bien inscrit en matière, Ici et Maintenant, évoluant au fil de nos instants d’être. Partant de là, où comptons-nous donc aller sans l’outil essentiel que représente l’énergie de tendresse? 

Demandons-nous alors où est ce que nous posons la tendresse dans notre corps, dans nos pensées, dans nos paroles, dans nos gestes… Et surtout, où est ce que nous ne le la voyons pas.

Si le droit à la tendresse n’existe pas, c’est que peut-être, nous ne sommes pas sensés nous poser la question. Cela pourrait être comme se demander « pourquoi le droit au poivre dans la cuisine n’existe pas? ». Simplement, l’expérience montre que la tendresse, contrairement au poivre pour la cuisine, n’a apparemment, malgré ses miracles, pas encore été reconnue comme releveuse de saveur… comme éleveuse de conscience. 

À ce titre, chaque être est donc en mesure de choisir son sentier sur la richesse du terrain de la tendresse, mais avant cela, faudrait-il encore le déceler, à l’intérieur, comme l’extérieur. 

Bien plus qu’un « droit », la tendresse est une des précieuses clefs dont nous disposons au sein de ce que nous sommes, et qui à mon sens, malgré notre fâcheuse tendance à l’égarer, n’a pas fini de nous démontrer sa lumière.

Wydiane – mercredi 28 décembre, Sarlat, 00h00


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LISA GERRARD, UNE VOIX D’AUTRES MONDES


Depuis de nombreuses années, Lisa Gérrard accompagne mon écriture. Les ambiances d’autres mondes que sa voix suggère soutiennent mon inspiration. Certains morceaux me placent dans d’autres temps, sur d’autres terres.

LISA GERRARD

LISA GERRARD

Totalement engagée dans la voie de la défense de la planète, elle a été connu à travers le groupe Dead Can Dance. Elle chante aujourd’hui en solo.

Discographie:

THE SILVER TREE

WHALERIDER

DUALITY Lisa Gérrard et Peter Bourko

SPIRITCHASER Dead Can Dance

Whale Rider

Sarlat, le 9 janvier 2012, 13h30

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MUTATIONS


En cette année de puissantes mutations, il me semble urgent de comprendre les principes sur lesquels reposent la mutation des énergies de vie. Cet article est un premier pas dans la transformation de cette perception.

Fréquemment, la tendance, et il en est trop souvent fait mention dans certains ouvrages, lorsque nous nous trouvons face à une énergie à muter, est de « remettre » cette énergie au Ciel ou à la Terre pensant que nous pouvons nous dégager de cette charge énergétique par ce moyen. Il existe même des pratiques qui consistent à mettre les mains au sol ou à toucher un arbre pour cela. Imaginez ce que vous ressentiriez si votre voisin venait essuyer ses mains sales sur vos vêtements propres.

Il existe une grande perversité dans ce mécanisme. Il est important de comprendre qu’en tout premier lieu, cette « masse énergétique » (car il s’agit d’une véritable matière) vient se rajouter à celles de même fréquence et nourrir des égrégores, qui eux-mêmes alimentent des forme-pensées présentes au niveau de l’Humanité. Ces égrégores s’auto-alimentent et ont tendance à tourner en boucle. Comme nous conservons des scories de ces fréquences, même si nous pensons nous en être dégagées (nous en sommes bien les émetteurs), elles ont tendance à revenir se coller à nous et possèdent le pouvoir de nous ramener dans leurs énergies. Nous retombons alors dans le niveau antérieur à ce que nous pensons avoir été un dégagement.

Cette charge contribue à « plomber » la Terre et l’Humanité et n’est profitable pour personne, et surtout pas à nous, puisqu’elle est porteuse d’un effet boomerang surmultiplié par la puissance de tous les dégagements de même nature qui ont été fait par des milliers, voire des millions d’individus sur notre planète. Ceci est la première conséquence de ce positionnement.

Dans le même temps, les plans qui nous entourent deviennent de véritables poubelles. Imaginez une chape de crasse et d’énergies non intégrées présentes à quelques mètres au-dessus de nos têtes et juste sous nos pieds. Car, ne nous y trompons pas, compte tenu de la densité de ces charges, elles ne vont pas loin et restent à quelques mètres de notre corps physique. Rapidement, si nous renouvelons fréquemment ce type de pratique, notre environnement énergétique immédiat devient un véritable cloaque et il devient impossible de nous élever vers des plans vibratoires plus conscients, ni de bénéficier de l’énergie vivifiante que peut nous transmettre notre planète.

La deuxième conséquence (c’est probablement la plus dommageable pour notre évolution) est que nous déchargeons de la possibilité de muter nous-même cette énergie. Nous ne profitons pas de la conscience générée par cette expérience. En d’autres termes, nous n’apprenons rien, et cela nous amène à répéter sans cesse les mêmes situations inconfortables, les mêmes difficultés comportementales, les mêmes croyances. En résumé, nous tournons en boucle.

Nous sommes des organes de mutation. Notre corps est la plus vivante démonstration de notre capacité à muter.

Pensez aux milliards d’éléments que notre corps mute simplement pour assimiler notre alimentation et les centaines de pollution que nous recevons chaque jour.

la mutation des énergies de vie, photo Serge Briez ©

la mutation des énergies de vie, photo Serge Briez ©

Si nous souhaitons véritablement évoluer, il convient donc d’adopter un autre positionnement. Notre ventre, et notamment sur le plan énergétique ce que nous appelons Chakra Sacré, possède une faculté matricielle de transformation et de mutation des énergies. Nous pouvons donc tout ramener en nous, au niveau de notre ventre et laisser notre corps et surtout l’ensemble de notre système énergétique muter ce qui doit l’être. Ce positionnement présente de nombreux avantages :

1) Nous ne mutons que la fraction mutable de l’énergie que nous avons à dégager. Lorsqu’elle se transforme, cette fraction énergétique change de nature, devient assimilable et génère ce que nous appelons une « prise de conscience » (à lire dans le sens littéral du terme : prendre une fraction de conscience). Elle concourre à notre évolution et crée ainsi de nouveaux matériaux qui participent à notre développement.

2) La fraction non mutable demeure en nous et poursuit son processus de mise en conscience. Cette fraction ne se dégagera que lorsque le processus d’intégration aura abouti. Le grand intérêt de ce mécanisme réside dans le fait que nous ne nous défaussons pas de notre énergie tant qu’elle nous est utile. Nous ne sommes donc pas contraints de reproduire des énergies de tension à répétition, conséquence du fait que nous nous sommes dégagés sans intégrer ce que nous avions à intégrer.

3) Nous développons une véritable « écologie énergétique », agissant en conscience et en responsabilité de ce que nous émettons. Nous participons ainsi à l’équilibre planétaire.

Cet article me permet donc de lancer un appel à tous ceux qui demandent aux « Etres de Lumière », à leurs guides, aux Anges, à la Terre de prendre en charge leurs difficultés. S’il vous plait, arrêtez. Le temps est venu de se prendre en charge et d’intégrer les énergies que nous créons. Arrêtez de croire que vous pouvez ne pas muter ce que vous expérimentez. Arrêtez de croire que vous n’en avez pas les capacités. Prenez conscience de votre puissance. Prenez conscience de votre pouvoir de mutation et participez à l’élévation de notre humanité.

Merci à vous tous.

Sarlat, le 3 Janvier 2011, 11h54 

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LE COMMENCEMENT DE LA FIN ET DU DÉBUT


Depuis des années, je consacre ma journée du 1er janvier de chaque année à moi-même et surtout à un retour sur ce que j’ai accompli dans l’année et ce que choisit de faire dans l’année qui débute. La seule année où j’ai dérogé à cela était le 1er Janvier 2004, où j’ai senti une impulsion irrésistible me demandant d’aller passer le réveillon à La Turbale (44). C’est ainsi qu’à minuit, le 31 décembre 2003, j’ai uni ma vie avec Guylène. Ce texte est le reflet de certaines réflexions d’aujourd’hui.

Il est un mot que nous utilisons universellement et que nous prononçons sans conscience : REVEILLON. Peut-être pourrons-nous le prendre dans le sens littéral du terme : Réveillons-nous ? ou Réveillons-nous !!

Pour moi, nous avons passé l’année 2011 à nous réveiller. Trop souvent on dit que rien ne va, oubliant de regarder tout ce qui va. Ce qui va en semblant aller mal est bien évidemment toutes les transformations sociétales :

– instauration des « démocraties » au Moyen Orient (même si les Frères Musulmans ne semblent pas vraiment être démocrates, ils ont été élus par la majorité des électeurs de leur pays donc le reflet de leur société),

– grippage du système bancaire et financier mondial (prémices démontrant que ce système injuste vit ses derniers années),

– incertitudes politiques en France (quand nous déciderons-nous à avoir des gens responsables pour nous gouverner?).

Autant de facteurs et d’évènements qui démontrent que notre société arrive au bout d’un système de pensée, au bout de sa logique économique, au bout de la vision que nous avions d’un parcours de vie aux normes (études, mariage, carrière professionnelle, enfants puis retraite…).

Dans le même temps, vous êtes de plus en plus nombreux (vos témoignages le montrent) à vivre le même processus dans votre vie quotidienne : remise en cause de votre position dans la famille, le travail ou la société, questionnements sur le sens des choses et de la vie, questionnements sur le but de vie, remise en cause des modes de raisonnement ou de pensée, désaffection pour les religions, les écoles de pensée, les écoles ésotériques ou initiatiques…

L’observation de ces mouvements peut sembler préfigurer une trajectoire nous menant vers le chaos, l’écroulement d’un monde. Et cela est vrai, quelque part.

Le chaos des habitudes, le chaos du non-respect de soi, le chaos du mode de pensée unique, le chaos des soit-disants acquis qui ne le sont que dans nos systèmes de croyance. En d’autres termes, la façon de vivre et de penser en vigueur pour nous-mêmes et nos parents depuis 50 ans est en train de disparaitre.

Que reste-t’il alors ?

Quel monde allons-nous créer ?

Et quel monde vont construire nos enfants ?

Car ne nous y trompons pas, ce n’est pas nous qui détenons les solutions. Notre mode de pensée est sclérosé et manque d’idées novatrices. Notre énergie s’est usée à tenter de développer des solutions qui ne nous correspondent pas car personne ne nous avait appris à nous écouter nous-mêmes et à aller chercher en nous les réponses. Alors même si nous le faisons maintenant par la force des choses, il est clair que nous n’avons plus le même « jus » qu’il y a quelques années. Ce sont les générations à venir qui trouveront les solutions aussi bien au niveau de la science, des industries que des modes de pensée.

Alors comment aborder cette mutation ?

L’ouverture à de nouveaux champs de perception est la seule solution dont nous disposons. Il est certain que nous ne regardons pas au bon endroit avec les bonnes lunettes. Notre vision rationnaliste, et je qualifierai de rationnaliste également notre façon d’appréhender et de regarder les systèmes énergétiques qui est bien trop conforme à certains modes de pensée, nous masque la réalité d’un monde que nous avons toujours eu sous les yeux mais que nous n’avons jamais réellement regarder.

Alors, il est fort probable que l’année 2012, dans l’énergie d’alignement qu’elle apportera le 21 Décembre, verra une remise en cause et en questions de toutes les certitudes sur lesquelles nous avions construit notre vie. Nous pouvons le faire dans la douceur si nous acceptons toutes les remises en cause qui se présenteront à nous, ou dans la douleur si nous résistons au fait de ne pas avoir raison (la périphrase « avoir raison » étant pris dans son sens littéral : être dans le socialement raisonnable).

Alors je tiens à profiter de cette première lettre à mes lecteurs pour remercier chacun du soutien que j’ai pu recevoir depuis que j’ai ouvert ce blog en janvier. Au départ, pour moi, la création de ce blog était plus la réponse à un besoin personnel de libération de la communication d’un auteur qui se sentait frustré de ne rien pouvoir communiquer de son travail que tous les deux ou trois ans, à la sortie d’un nouveau livre. Très rapidement la croissance du lectorat et les commentaires que vous avez manifesté, m’ont témoigné du fait d’une certaine résonance de mes réflexions. J’avoue m’être pris au jeu et trouver aujourd’hui beaucoup de plaisir à diffuser la vision, qui parfois vous surprend ou vous choque, que mon oeil d’observateur pose sur le monde, notre société et les énergies en mouvement. Je prends l’engagement de poursuivre cette voie avec la même sincérité et la même éthique que celle qui me porte aujourd’hui.

Un immense merci donc à chacun. Le temps que vous consacrez à lire ces textes leur permettent d’exister.

Et surtout, les plus belles réussites et transformations pour cette belle année de mutation 2012.

Sarlat, le 1er Janvier 2012, 19h55   

le Sinaï juin 2011, photo SergeBriez©

le Sinaï juin 2011, photo SergeBriez©

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QU’EST-CE QUE L’EGO ?


A l’origine, l’ego est un outil indispensable à la reconnaissance de soi-même. Sans lui, vous ne pouvez prendre conscience que vous existez en tant qu’individu individualisé, unique et essentiel (essentiel pris dans son sens étymologique de : émanant de l’Essence). A l’Origine, nous faisons partie d’un vaste ensemble qui regroupe le/les univers, et au-delà, dans lequel évolue la Conscience composée de tout ce qui existe. Inclus dans ce Tout, vous avez choisi de vous incarner dans un corps humanoïde, dans un Espace et un Temps définis, en l’occurrence celui où vous êtes actuellement, afin de réaliser une expérience plus particulière de la Conscience que vous avez défini à travers différents paramètres que vous avez choisi consciemment avant votre incarnation (sexe, race, caractéristiques physiques, sociales, ethniques, historiques, principales prédispositions physiques, mentales et émotionnelles). Vous étant incorporé dans le corps dans lequel vous êtes actuellement, il vous a fallu, pour simplement prendre conscience que vous existiez séparément du Tout, vous regarder, vous tourner vers vous-même et pour ce faire établir une représentation de vous-même, un peu comme si vous vous regardiez dans un miroir. « Celui » qui a établi la représentation de vous-même et qui a dit « je suis cela » est l’ego.

La confusion de l’ego

Le problème dans ce mécanisme de représentation de l’ego est que l’ego est aussi celui qui met en œuvre les évènements concrètement : on peut dire « celui qui agit ». De là à penser que celui qui dit « je suis cela » et qui agit, soit celui qui est aux commandes de votre vie, donc VOUS, il n’y a qu’un tout petit pas à franchir, pas qu’ont franchit tous les systèmes éducatifs et religieux et bien des systèmes philosophiques, rajoutant à la confusion générale et vous amenant à penser que VOUS êtes l’ego.

IL N’EN EST RIEN ;

L’EGO ET VOUS SONT DEUX ENTITES DIFFERENTES ;

L’une (VOUS) est porteuse de la Conscience, en reliance étroite avec le Tout, et porteuse de toutes les codifications vous permettant d’accomplir le programme que vous avez établi avant votre incarnation. L’autre (l’ego) n’est qu’une représentation de vous-même vous permettant de vous regarder, donc de prendre conscience que vous existez et vous permettant de vous regarder exister, agissant pour VOTRE compte, mais en aucun cas le pilote du véhicule.

TOUTES LES INSATISFACTIONS QUE VOUS RESSENTEZ EN VOUS SONT LE FRUIT DE CETTE CONFUSION.

Toutes les difficultés que vous rencontrez dans la vie trouvent tout ou partiellement leur origine dans cette confusion. Le simple fait de remettre l’ego à sa juste place vous permet de dissoudre une grande partie des difficultés que vous connaissez, notamment sur le plan émotionnel.

EGO, photo Serge Briez ©

EGO, photo Serge Briez ©

Sarlat, le 28 Décembre 2011, 19h47 

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