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LES UNIVERS DIMENSIONNELS ET QUANTIQUES
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, CONFERENCES, Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE, STAGE FORMATION VOYAGE le 14 novembre 2014
VENDREDI 12 DECEMBRE 2014 à 20:00
LES UNIVERS DIMENSIONNELS ET QUANTIQUES, comment les intégrer, sur le plan énergétique, dans sa réalité quotidienne.
Cette conférence et le stage qui suivra seront donnés en CANALISATION CONSCIENTE par Daniel Briez, auteur du « Manuel d’Insertion Galactique », Éditions Monique Ethier, et de « Cristaux et Quantique », Éditions Guy Trédaniel (ouvrages à retrouver sur http://daniel-briez.com/ ) et instructeur des stages « Merkabah »
Depuis janvier 2013, nous assistons à un phénomène énergétique unique dans l’histoire de l’Humanité : l’intégration dans notre champ de réalité terrestre des plans multidimensionnels et galactiques. Cette insertion, ayant pour conséquence le raccourcissement puis la suppression de la Loi de cause à effets. Cela n’est pas sans provoquer dans le meilleur des cas de fortes pressions énergétiques, dans les cas les plus difficiles des collisions de trajectoire nous amenant à profondément réviser notre structure de vie personnelle.
Cette conférence est destinée à vous introduire à la compréhension de ces énergies et surtout à localiser l’impact de ces flux dans votre vie quotidienne et la façon dont ils orientent votre trajectoire vers la mise en place d’un profil conforme à vos codes identitaires.
Le stage vous permettra de comprendre l’incidence et les conséquences de ces flux dans votre quotidien. Il vous donnera, au moyen d’exercices pratiques, la possibilité d’initier l’intégration de ces nouveaux champs énergétiques dans votre vie personnelle afin d’intégrer, en conscience, les différents mécanismes multidimensionnels.
CONTACT RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS
mail : harmonieetconscience888@orange.fr
Tel : 06 74 50 62 68
EXPERIENCE D’HOMME, canalisations-lâcher prise
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, Daniel Briez, HUMEUR le 3 août 2011
J’ai éprouvé le désir, ce matin de vous parler de mon expérience d’homme dans son quotidien, vivant simultanément ses états d’entrepreneur, de chef d’entreprise, de chercheur spirituel et d’explorateur de la conscience et des moyens d’y accéder.
Les membres de mon entourage m’ont souvent demandé comment je pouvais mener toutes ces activités de front, sans être autrement fatigué que par les efforts que je demande à mon corps physique. Ma réponse a toujours été la même : être dans le Présent, sans jamais laisser aucune projection polluer cet instant.
Etre dans le présent, c’est créer un espace-temps de quelques minutes, ou quelques secondes comportant ses propres éléments (personnes, évènements, pensées, etc.), totalement indépendant des autres espaces-temps. Ainsi, ce temps est-il porteur de sa propre énergie, de sa propre puissance, de sa propre logique. Il ne vient pas « peser » sur ma force vitale. Je peux ainsi, dans la même heure et alternativement, parler avec mon banquier, gérer un incident de production à Madagascar, recevoir un de mes partenaires pour définir notre programme de travail annuel, écrire une canalisation, répondre à plusieurs appels téléphoniques. Les heures peuvent se succéder avec la même intensité (et elles le font). Le soir, je ne me sens pas fatigué outre mesure. Je n’ai sûrement pas réalisé le programme de travail que je me prévoyais le matin. Mais j’ai assuré mes tâches quotidiennes sans projeter sur le passé ou le futur un seul instant, regardant chaque élément d’un regard neuf et détaché (celui de l’instant). J’ai alors le sentiment d’avoir fait ce que j’ai à faire et le lendemain est un autre jour.
Etre dans le présent m’a amené à opter souvent pour des décisions totalement irrationnelles, qui n’auraient en tout cas jamais été admises par mon mental rationnel, décisions constituant apparemment un facteur risque sur le plan notamment de la pérennité financière de mes entreprises. Pourtant, à chaque étape, mon être m’a toujours commandé de faire ce qu’il ressentait, y compris faire table rase ou remettre fondamentalement en cause des structures de vie qui m’apportaient stabilité et confort financier.
Le seul critère retenu dans ces choix est le ressenti (Oui/Non),
et surtout le respect de mon intégrité personnelle et du code déontologique qui en découle. C’est ainsi que j’ai souvent été amené à prendre des décisions que mon entourage ne comprenait pas, voire désapprouvait. A postériori, ceux-ci finissaient par admettre que ma vision s’avérait juste et nous permettait d’ouvrir de nouveaux champs d’activité, de nouveaux territoires de conscience.
La canalisation m’a profondément aidé sur ce plan. J’ai beaucoup canalisé, notamment en public, dans les quinze premières années de ma démarche de conscience (1990/2005).
Comme tout un chacun, j’étais encore alors bardé de systèmes de croyances.
Le passage le plus important pour moi a été en 1996, où, lors d’une canalisation avec El Morya sur la réincarnation, le contenu des informations énoncé ce jour-là par celui-ci a complètement pulvérisé les systèmes de croyance qui étaient les miens à cette époque. Je croyais alors en le Karma et ma vision personnelle s’était construite autour de cette perception qui me permettait de confortablement comprendre un certain nombre d’évènements qui avaient égrainé ma vie. La vision quantique de Morya et surtout son insistance à démontrer que le karma n’existait pas mais possédait la force de création que nous posons dans nos croyances jusqu’à induire l’incarnation dans certaines vies, m’a complètement déstabilisé. Il m’a fallu environ deux années pour assimiler les notions de temps, d’espace et la mécanique de construction des univers.
La canalisation a été pour moi une formidable école de lâcher-prise. J’étais un individu qui toujours avait été dans le contrôle. Laisser ce que je croyais être à l’époque une « autre conscience » parler à ma place m’a appris à lâcher mes croyances et à être totalement dans le présent, notamment par le fait que les informations reçues par ce moyen étaient souvent en contradiction avec mes propres systèmes de pensée. Néanmoins, j’ai toujours fait confiance à ce que je recevais car l’énergie de l’Amour était et est la trame dominante de ces messages.
Je parlerais dans un autre article des techniques de canalisation et des critères sur lesquels reposent une « véritable » canalisation et qui différencient celle-ci d’une construction du mental qui croit canaliser.
Merci de votre attention.
Sarlat, le 3 août 2011, 6h28
CHANNELING OU MEDIUMNITE
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, Daniel Briez le 27 juillet 2011
La confusion est souvent faite entre channeling et médiumnité. Le différence se situe principalement sur le plan énergétique d’où découle la nature des informations reçues par une méthode ou l’autre.
En préalable, il faut savoir que ces deux facultés ne nécessitent aucune aptitude particulière. En d’autres termes, n’importe quelle personne disposant d’un minimum de centrage est en mesure de développer ces deux techniques. Un minimum de pratique énergétique et la connaissance de la base des principes énergétiques est simplement nécessaire.
La médiumnité est une faculté de connexion qui se développe au niveau du plexus solaire (chakra solaire). Elle constitue une capacité de lecture des champs de l’astral présents autour de nous. L’astral est un plan qui contient les énergies les plus lumineuses comme les plus noires selon l’état dans lequel on se trouve et le niveau où l’on se place. Les guides de Lumière, les fées, les elfes, les gnomes, tous les petits êtres de la Nature, les démons, les vampires, les entités et les défunts sont présents dans ce plan. La difficulté réside dans le fait que selon l’état de la personne qui pratique la médiumnité, le niveau de connexion et la nature des éléments contactés diffèrent. A savoir que si le médium rencontre des difficultés émotionnelles ou relationnelles, sa résonance le connectera avec des entités denses. Par ailleurs, si son hygiène de vie n’est pas de bonne qualité, ou si elle fume, par exemple, sa fréquence vibratoire sera basse et elle contactera de bas niveaux.
Le problème de ces niveaux est que le désir de communication des entités de ces niveaux est tellement grand qu’ils peuvent prendre l’apparence d’êtres plus évolués pour entamer une relation avec le médium et nouer des rapports de longue durée entrainant celui-ci dans des plans illusoires sans qu’il en ait conscience. N’oublions pas que le plan astral est également le plan des désirs et que si le désir du médium est de communiquer avec un être déterminé, il peut très bien se trouver une entité de passage qui lui donnera l’illusion d’être cette personne alors qu’elle est tout autre chose.
La dernière difficulté de la médiumnité est que cet état entraine souvent la perte de conscience, pour le médium de ce qu’il fait et ainsi, il lui est impossible, par le biais de son ressenti de contrôler la qualité de ce qu’il reçoit ainsi que le niveau d’où émane l’information. C’est ainsi que l’on peut aboutir à de grandes supercheries en mettant en action des médiums de la plus parfaite bonne foi.
Le channeling est une technique différente qui constitue une mise en action des Chakras laryngé, frontal et occipital. Il s’agit d’une élévation vibratoire de la conscience ordinaire qui change de niveau et qui connecte des niveaux de conscience d’un niveau supérieur. C’est un peu comme si l’on prenait l’ascenseur pour connecter un niveau supérieur. Le grand intérêt de cette technique est que les deux niveaux de conscience (celui du channel et la conscience contactée) cohabitent en toute conscience. En d’autres termes, le channel, qu’il utilise la parole ou l’écriture, reste toujours conscient de l’information qu’il reçoit, Il peut ainsi intervenir dans sa conscience ordinaire, soit en coupant la communication s’il le souhaite, soit en participant librement à cet échange et en attestant de la validité de son ressenti par rapport à ce qu’il reçoit.
On est en droit de se demander alors comment peut-on être sûr que le channel ne transmet pas des informations de son mental plutôt que celles d’une conscience supérieure. Le critère en est fort simple. Une véritable canalisation doit toujours donner au moins une information inédite. Une canalisation ne parlant que de s’aimer les uns les autres, en prônant de beaux sentiments mais sans rien apporter de nouveau que ces bons sentiments sera, à priori, une oeuvre du mental. Une canalisation qui met l’auditeur dans l’obligation de faire quelque chose ou qui porte des traces de jugement en est une aussi. Il convient donc d’être attentif au contenu des informations reçues.
Il faut savoir enfin que tout ce qui est « matière » est susceptible d’être l’objet d’une canalisation. La matière est atomique et dans tout atome se trouve la Conscience. Une chaise, un morceau de moquette, la peinture d’un mur, un insecte, une plante, un oiseau, etc, sont en mesure de communiquer si l’on s’en donne la peine.
Par ailleurs, les deux techniques sont physiquement fatigantes. Il convient de pratiquer régulièrement des exercices d’équilibrage énergétique ainsi que de respecter une bonne qualité et hygiène de vie (alcool, viandes rouges ou cigarettes ne sont pas recommandées).
Le lecteur aura compris, je pense, qu’il vaut mieux développer les techniques de channeling qui présentent moins de risques potentiels que la médiumnité qui présente un risque de captation et de parasitage par des énergies dont il sera ensuite difficile de se débarrasser.
Une dernière observation. Il existe peu de channels véritables et souvent ils décèdent relativement jeunes, victimes de problèmes cardiaques.
Sarlat, le 27 Juillet 2011 2h00