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INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan : une mise en image d’une singularité quantique, l’homme
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 19 novembre 2014
Depuis 1998, mon cheminement personnel m’a amené à explorer à travers des états de conscience modifié d’autres niveaux que celui dans lequel nous évoluons : l’espace-temps linéaire (celui de l’horloge), vision communément admise par la quasi totalité de l’Humanité.
Ces voyages m’ont permis d’accéder à différents niveaux d’information et « d’observer », ou plutôt je devrais dire de « ressentir » différents espace-temps, mais surtout de vivre corporellement la discontinuité des temps et des espaces telle qu’Einstein l’a démontré.
Je viens de voir le film « Interstellar » qui m’a vraiment interpellé. Le réalisateur, Christopher Nolan (Inception, The Dark Knight) a su, pour la première fois dans l’histoire du cinéma, mettre en image le concept de temps discontinus. Il a su intégrer visuellement dans son film la notion « d’espace intersticiel », qui, sur le plan Matière, est la seule notion qui permette de comprendre pourquoi l’homme constituant la focalisation d’une discontinuité d’espace-temps éprouve néanmoins la sensation d’être vivant dans une continuité de temps comprenant un passé, un présent et des futurs.
Le message de ce film est que le lien reliant ces discontinuités n’est qu’une seule énergie : l’Amour. Je pense avoir l’occasion de revenir de multiples fois sur cette notion. Mais, je ne possède pas de mots assez amples pour remercier ce réalisateur qui m’a permis de comprendre le lien qui existe entre le Quantique et l’Amour.
Je ne saurais trop conseiller à chacun de voir et revoir ce film et je serais heureux de partager vos points de vue.
Amour et Lumière
Daniel
à lire en complément dans Télérama :
Christopher Nolan raconte en BD un chapitre manquant d’“Interstellar”
PRESENT, PROJETS FUTURS ET PROJECTIONS
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMEUR le 17 décembre 2011
Cher lecteur, désolé du manque d’articles, ces dernières semaines. Une longue tournée de salons et de conférences à l’extérieur qui m’a par ailleurs permis de rencontrer nombre d’entre vous, m’a maintenu à l’écart de mon clavier. Voici de nouvelles réflexions, qui, je l’espère, contribueront à votre réflexion. Merci pour vos témoignages et votre soutien.
« L’incapacité à rester dans le présent altère les projets et détruit le présent. » Réflexion issue d’une conversation avec mon épouse Guylène à l’origine de cet article.
Il est souvent fait référence à l’instant présent dans l’ouverture à la nouvelle ère qui s’annonce. Une des questions qui se pose alors est la compatibilité entre le fait d’être présent dans l’instant, et le fait de faire des projets puis de les élaborer.
Lorsqu’un humain n’est pas totalement stabilisé dans l’instant présent, il vit ce que nous pouvons appeler un état de « conscience ordinaire ». Le mot « ordinaire » n’est pas pris dans un sens péjoratif. Il qualifie simplement le fait que l’immense majorité de la race humaine et particulièrement les peuples issus de tradition occidentale ne vivent pas l’instant présent, et sont continuellement dans des alternances de référencement aux expériences passées, ou en train de projeter leurs visions dans le futur, allers-retours incessants ne leur permettant pas de voir la réalité de l’instant présent.
Pour comprendre le mécanisme permettant de rendre compatible l’élaboration de projets futurs avec la vie dans l’instant, il convient de se rappeler certains points fondamentaux de la physique quantique nous permettant de comprendre le fonctionnement du temps et de l’espace. Einstein, et les physiciens quantiques après lui, ont démontré que la notion d’espace-temps, et notamment d’un temps linéaire s’écoulant comme l’indique un chronomètre, est une convention mentale et sociale qui permet à l’humain de se situer dans le temps et l’espace. Cette notion ne repose sur aucune réalité physique.
Le temps définit un espace de perception. Il est discontinu.
Il s’agit de séquences discontinues, séparées des précédentes et suivantes de quelques micro-secondes, qui constituent des temps intersticiels par lesquels transitent toutes les informations concernant la totalité de nos champs d’expériences simultanés (passés, présents ou futurs). Les temps intersticiels sont connectés à la totalité des possibles et des vies simultanées (qui sont d’ailleurs innombrables chez les humanoïdes que nous sommes).
Le seul espace de connexion et de prise de conscience de cette multitude d’informations est l’instant présent.
C’est le seul. Il n’en existe pas d’autres et nous n’avons aucune possibilité de nous connecter à nous-même autrement que par cette connexion de notre corps physique avec l’instant présent.
Lorsque nous sommes dans notre réalité présente, Ici et Maintenant, sans aucune incursion dans un passé qui n’existe que dans notre mental et un futur qui ne peut qu’être hypothétique puisqu’il n’existe que dans notre tête, nous sommes connectés à la totalité de nos plans d’existence. Cela signifie que, sur un plan inconscient, notre corps collationne toutes les informations nous concernant, dans tous nos champs de réalité simultanés, sans que notre mental puisse avoir conscience des transferts qui s’opèrent. Cela est parfaitement adapté à ce que nous sommes, car le mental limiterait au un milliardième la masse d’informations reçues en quelques secondes s’il devait les visualiser et en prendre acte.
Ces informations s’enregistrent dans le corps et leur masse constitue le terreau sur lequel nait nos projets.
De ce point de départ, nous pouvons projeter l’image mentale d’un projet. Nous visualisons un projet que nous portons en nous, qui s’avère la convergence des informations contenues dans le « terreau » que nous portons, lui-même issu de ce que nous sommes, des codes qui nous composent et de toutes les informations que nous recevons des temps et des espaces dans lesquels nous sommes simultanément.
Nous le projetons dans un futur plus au moins lointain et nous le laissons libre de vivre son évolution. N’oublions pas qu’il s’agit d’un temps qui existe déjà simultanément à notre propre perception de l’instant présent et qu’il possède une autonomie en lien avec tous nos plans simultanés. Il est à la fois « nous » et il n’est pas « nous » dans l’instant présent puisqu’il s’agit d’un autre temps.
Nous pouvons y retourner régulièrement pour observer son évolution. Nous avons peut-être le sentiment qu’il s’agit d’une évolution élaborée par notre mental. En fait, il n’en est rien. Ce plan est simplement en reliance avec nous comme tous nos autres plans simultanés et il vit son évolution comme nous vivons la nôtre dans l’instant présent.
A un moment donné, les deux plans peuvent se rejoindre, c’est ainsi que le projet aboutit et s’inscrit dans l’instant présent. Le projet est alors arrivé à matérialisation.
L’autre façon de se positionner est la conscience ordinaire. Nous sentons une envie naitre en nous. Notre mental saisit cette idée et en élabore une forme mentale issue de son analyse et surtout du référencement à ses expériences antérieures. Cela signifie que le mental ne cesse de faire des allers-retour entre un passé qui n’est que le fruit de sa propre élaboration mentale (car qui se souvient? C’est le mental qui retient certaines éléments du « passé » et en rejette d’autres qui ne lui conviennent pas) et le futur qui devient un amalgame de matériaux que le mental met en forme, à force de volonté et surtout en maintenant une perception constante sur le futur.
Dans ce cas de figure, il n’existe aucune présence posée dans l’instant présent. Cela signifie que l’être est à la fois coupé des matériaux générés par l’instant présent, et notamment de l’énergie vitale que l’instant génère, mais aussi de toutes les sources d’informations simultanées existant dans tous les plans, tous les temps et les espaces dans lesquels nous sommes simultanément. Cette projection mentale, par sa force de projection, court-circuite les espaces interstitiels dans lesquels circulent les données et créé une sorte de ligne de force uniquement nourrie par la force du mental et de la volonté.
Autant dire que le projet devient une sorte de coque vide, dépourvue d’énergie vitale, qui, si elle nait un jour, ne sera porteuse que d’illusions créées par notre mental, sans reliance avec la réalité de ce que nous sommes et dépourvues de nos propres énergies.
La fiabilité de cette construction sera donc extrêmement limitée et par définition, vouée à la destruction car ne comportant que peu, voire pas, de reliance avec ce que nous sommes.
Le mode opératoire est donc le suivant :
– laisser naitre une idée de notre être (sa naissance est émise par ce que nous appelons l’intuition)
– la laisser grandir sans que le mental s’empare d’elle (il suffit simplement de l’observer au fil des jours)
– au moment où cela nous semble être le temps, la projeter dans un futur plus ou moins lointain (peut-être en profiter pour la verbaliser, cela lui donnera plus de forces et d’énergie)
– la laisser vivre sa vie en poursuivant notre action dans l’instant présent, tout en observant l’évolution de ce projet en nous
– quand l’échéance de matérialisation est arrivée, mettre en oeuvre le projet qui sera alors bien différent de l’idée première et qui aura profité de tous les apports de l’instant et des informations que vous avez collationné durant tout le temps de son élaboration.
Lavay (Suisse), le 14 décembre 2011, 12h24
STEVE JOBS EST MORT, ANNIHILATION OU LIBERTE, LE CHOIX,
Publié par Daniel Briez BLOG dans CRISTAUX & SANTÉ, Daniel Briez, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 7 octobre 2011
ANNIHILATION OU LIBERTE, LE CHOIX
STEVE JOBS EST MORT
Steve Jobs, le fondateur et créateur d’Apple est mort. L’Histoire dira probablement de lui qu’il a été un des plus grands génies de cette planète, au même niveau que Galilée, Léonard de Vinci ou Einstein. Il a surtout été celui qui a le plus concouru à développer la liberté sur cette planète.
Pour comprendre l’extraordinaire apport de cet homme, je vous propose de vous placer dans une vision énergétique et vibratoire de son oeuvre. L’ordinateur a été la première machine utilisant le dyoxide de silicium comme support de mémoire. Il est important de savoir que chaque microprocesseur de la moindre machine qui nous entoure aujourd’hui en contient et que c’est sur ce Cristal constitue la « mémoire » de la machine.
Or, toute particule de Quartz (puisque c’est bien de cela qu’il s’agit) mémorise tout ce qu’elle rencontre, notamment les intentions (pensées) du créateur des machines qui sont construites autour de ses fonctions. Lorsque le concepteur d’une machine (l’ordinateur en l’occurrence) développe son invention et notamment son système d’exploitation dans une intention d’hégémonie, chaque nouvelle machine ou système d’exploitation reproduit ensuite est porteuse de cette énergie.
C’est ainsi que nous avons vu depuis 25 ans se développer deux visions du monde diamétralement opposée:
– celle de Bill Gates et de Windows (les PC) qui a aujourd’hui totalement envahit la planète. On ne compte plus les condamnations aux Etats-Unis ou au niveau de la C.E.E. de Windows pour entente illégale et tentative de constitution de monopole. Même si Bill Gates a tout fait ces dernières années pour se redonner une image de marque correcte en faisant don d’une partie de sa fortune à des oeuvres caritatives et en développant les actions dans ce domaine, il n’en demeure pas moins que dès le départ de l’informatique et encore aujourd’hui, Bill Gates n’a eu de cesse que son système devienne quasiment le passage obligé de tout individu et de toute industrie. Il y a grandement réussit puisque Windows constitue la quasi totalité des systèmes d’exploitation utilisé en informatique aujourd’hui. Bill Gates n’a jamais caché sa volonté de voir son système devenir le seul au monde. Par la résonance de cette volonté, la moindre des machines qu’il produit, issue de cette intention, est porteuse, par le jeu de la mémoire de ses micro-processeurs, de cette intention. Elle véhicule ainsi une énergie d’annihilation de la liberté et concourre à éteindre les libertés de l’homme sur la planète. Elle alimente la mise sous dépendance du plus grand nombre au profit exclusif d’un tout petit nombre d’individus qui n’ont aucun intérêt à ce que les choses changent. Cette intention est porteuse de l’énergie du mental et de l’ego qui constituent des fréquences purement émotionnelles et maintiennent l’homme dans une dépendance aux émotions qui freinent, voire annihilent, le développement de sa conscience.
– celle de Steve Jobs, qui, dès le départ, a toujours voulu mettre la machine au service de l’homme en trouvant des solutions qui étaient basées sur le fonctionnement intuitif de l’homme et non sur son mental. Le développement de l’intuition favorise l’accession aux dimensions supérieures de la Conscience et permettent à l’Homme de s’éveiller.
Pour les utilisateurs d’ordinateur, il n’y a qu’à comparer le nombre d’heures d’apprentissage nécessaires pour apprendre à utiliser le moindre logiciel sur PC et la facilité avec laquelle, en quelques dizaines de minutes, on accède à l’utilisation d’un Apple. Je ne parlerai pas des « bugs » programmés sur PC destinés à maintenir l’utilisateur sous dépendance, ni de la multiplication des versions qui obligent l’utilisateur à mobiliser son mental dans une seule direction, celle de l’intellect, lui ôtant ainsi la possibilité de développer la puissance de créativité de l’intuition.
Pour le bien de l’humanité, Steve Jobs a toujours refusé cette annihilation de l’homme et n’a eu de cesse de proposer au marché des machines toujours plus performantes dans leur conception et surtout basées sur un éveil de l’intuition de ses utilisateurs.
En tant qu’utilisateur d’ordinateur (j’utilise l’ordinateur depuis la création des premières machines de bureau dans les années 80), je peux témoigner de l’influence que j’ai subi, sans en comprendre le sens. J’utilise mes ordinateurs quotidiennement puisque je suis écrivain et que ces machines me servent aussi de support de développement de toutes ms activités. Ce n’est que depuis quelques mois que j’ai pris conscience de la mise sous influence que je subissais par l’usage quotidien que je faisais de mes PC.
Il y a 10 mois, séduit par l’extraordinaire facilité d’utilisation de l’Ipad, je décidais d’en acquérir un pour l’utiliser dans sa fonction nomade. Je suis en effet quelqu’un qui se déplace énormément et je souhaitais posséder une machine ultra-légère me permettant de travailler n’importe où, dans n’importe quelles circonstances. Alors que l’utilisation d’un Ipad est d’une totale simplicité, il me fallu plus de 5 mois pour arriver à faire fonctionner l’envoi des emails. Je ne compris pourquoi que lorsque je pus enfin entrer dans un fonctionnement normal, où je sentis une transformation totale de mon niveau vibratoire au moment de l’écriture. Je mis quelques mois à comprendre véritablement le sens de tout cela.
Travaillant depuis des années sur la vibration des Cristaux en Lithothérapie, je rapprochais mes sensations et mes difficultés de ma pratique du Quartz et compris progressivement que PC et Apple étaient porteurs de « codes » complètement différents qui faisaient que PC était au service d’une mise sous dépendance de l’utilisateur et Apple un système apportant la liberté à son utilisateur. Et là, (le lecteur m’aura compris) je ne parle pas d’uns interprétation symbolique, mais bien d’un état vibratoire conditionnant le fonctionnement du corps sur le plan énergétique et influençant toutes les décisions que nous pouvons prendre au quotidien. Je ne sais pas si les « codes » véhiculés par Windows ou Apple sont inscrits volontairement (cela n’est pas mon débat), mais même s’il ne s’agit que de l’émanation de ses concepteurs, l’influence est terriblement puissante et conditionne une grande partie des comportements terrestres.
Je reviens donc à la disparition de Steve Jobs. Nous perdons avec lui un des gardiens majeurs de la liberté sur cette planète. Son positionnement dans l’élaboration de ses créations et le contre-poids qu’il a su créer face à l’hégémonie de Bill Gates fait probablement de lui une des personnes les plus importantes dans l’histoire de l’Humanité.
Je souhaite (et je demande) que ses successeurs restent dans la même vision que lui, car je ne peux imaginer que son positionnement ait été fortuit. Steve Jobs savait profondément ce qu’il faisait et l’enjeu que son action représentait dans la libération de la conscience de l’homme. Nous nous devons de lui rendre un profond hommage et lui porter une extrême gratitude en tant que porteur des libertés de l’individu.
Il est mort au moment où il a probablement réussi sa mission. L’IPAD et l’Iphone sont devenus, ces quatre dernières années, incontournables et prennent de plus en plus une position dominante sur le marché. Si les successeurs de Steve Jobs gardent le cap, ces outils permettront à l’homme de se libérer véritablement. Porteurs d’une fréquence hautement lumineuse, ils faciliteront l’accession pour l’Homme à de hauts niveaux de conscience, notamment en lui permettant de communiquer sans contrainte, mais surtout en diffusant une fréquence d’éveil qui est portée par chaque machine d’Apple. Une immense gratitude pour lui et toutes nos pensées de lumière pour ses proches et ses collaborateurs.
Nantes, le 7 Octobre 2011, 3h53