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Stage Activation de la Merkabah


Activation de la Merkabah

MERKABAH

Cycle de 10 jours en deux sessions, à Sarlat (Dordogne) – ouvert à tous

Session 1 – du 16 au 20 septembre 2015

Session 2 – du 6 au 10 avril 2016

N’empruntant rien aux théories circulant sur la Merkabah, l’espace-temps que constitue ce stage ouvre à la reconnexion avec la globalité multidimensionnelle de vos codes et vous permet d’accéder à une mutation instantanée de vos différents champs de conscience. Les
« connaissances » sur ce sujet importent peu. Les fréquences vibratoires liées à la Merkabah sont inscrites sur le plan cellulaire dès la naissance, présentes et vivantes au sein de votre corps.

L’activation des champs merkabiques modifient fondamentalement les périmètres de conscience et les systèmes de croyance qu’ils émettent. Ceci permet une intégration de ces champs de perception personnels inégalée.

Par le jeu de la résonance, l’expérience du stage vous offre l’espace d’éveil à ce qui est déjà inscrit en vous. Chaque participant est
«légitime». L’envie et l’appel à la participation de ce type de stage est toujours juste et ne relève pas du hasard. Lorsqu’il s’agit d’un mécanisme aussi  fondamental  que  la  Merkabah,  c’est  l’expérience  qui  amène  la «connaissance».

Les supports énergétiques que sont les Cristaux et les Couleurs à travers le Thème de Cristal et le Chromotem personnel servent de trame à ce stage, ainsi que de multiples « exercices guidés » par Daniel BRIEZ.

Dates : 

Session 1 – du 16 au 20 septembre 2015 (790 €)

Session 2 – du 6 au 10 avril 2016 (790€)

Lieu : Centre Culturel et de Congrès de Sarlat ,  Le Colombier, 24200 – Sarlat la Canéda

Prix  du cycle: 1580€ (session 1: 790€, session 2 : 790€ (La participation aux 2 sessions est obligatoire)

Inscriptions : Wydiane : 06 42 82 26 02 ou par notre formulaire d’inscription à remplir et nous adresser en cliquant ici, par notre formulaire  de contact en choisissant « stages et formations »

Portrait de Daniel Briez

FORMATEUR :

Daniel BRIEZ, chercheur, auteur et conférencier, enseigne l’énergétique depuis une vingtaine d’années.
Il est considéré comme l’un des experts français de la Lithothérapie et de la Chromothérapie. Importateur de minéraux depuis les années 80, sa démarche personnelle lui a permis de comprendre les schémas directeurs de la construction des réalités ainsi que leur rapport avec la science quantique.
Il est le créateur du Chromotem, du Thème de Cristal.
Il est aussi le créateur-concepteur de la ligne Parfums de Couleur sous la marque portant son nom.

SES OUVRAGES

 

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Stage Cristaux et Lithothérapie


Cristaux et Lithothérapie

Opale noire d'Australie, ®photo Serge Briez - Cristaux-sante

Opale noire d’Australie, ®photo Serge Briez – Cristaux-sante

Stage de 5 jours à Sarlat (Dordogne) – Ouvert à tous les passionnés de cristaux 

du 26 au 30 Août 2015

Formation de base en Lithothérapie, ce stage est destiné à donner les bases pratiques et théoriques de l’utilisation des cristaux et minéraux dans les champs d’applications du bien-être, de l’habitat ou du développement personnel et spirituel. Les Cristaux et minéraux possèdent une profonde résonance vibratoire avec le corps humain et ses plans vibratoires et psycho- émotionnels. Ils peuvent ainsi être utilisés pour réguler toutes les difficultés de la vie quotidienne aussi bien sur les plans physiologique ou psycho-émotionnel (stress, difficultés affectives, colère, rapport difficile avec le plan matériel, non-dits…), sur les plans de l’environnement (régulation des effets de faille, pollutions par les eaux vives ou stagnantes, pollution électromagnétiques, etc.)

Quelques sujets abordés :

  • Cristaux et énergie quantique,
  • Introduction au Thème de Cristal
  • Minéraux et déséquilibres du corps et de l’esprit
  • Toute question pratique reliée à l’utilisation des pierres pour le bien-être
  • Harmonisation de l’habitat par les minéraux,
  • etc…

Ce stage n’est pas un stage de développement personnel. Il constitue avant tout une expérimentation individuelle de l’énergie des minéraux et de leur ressenti. La théorie ne vient qu’en contrepoint de l’expérimentation (nombreux exercices guidés avec les pierres).

Dates :du 26 au 30 août 2015 ;

Lieu : Centre Culturel et de Congrès, Le Colombier – 24200 Sarlat la Caneda

Prix : 590 €

Inscriptions : Wydiane : 06 42 82 26 02 ou par notre formulaire d’inscription à remplir et nous adresser en cliquant ici, par notre formulaire  de contact en choisissant « stages et formations »

Portrait de Daniel Briez

FORMATEUR :

Daniel BRIEZ, chercheur, auteur et conférencier, enseigne l’énergétique depuis une vingtaine d’années.
Il est considéré comme l’un des experts français de la Lithothérapie et de la Chromothérapie. Importateur de minéraux depuis les années 80, sa démarche personnelle lui a permis de comprendre les schémas directeurs de la construction des réalités ainsi que leur rapport avec la science quantique.
Il est le créateur du Chromotem, du Thème de Cristal.
Il est aussi le créateur-concepteur de la ligne Parfums de Couleur sous la marque portant son nom.

SES OUVRAGES

 

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LA MORT


Une intense discussion avec des membres de ma famille m’a récemment montré que les phénomènes énergétiques liés à la mort étaient encore trop peu, voire pas, connus. Cela a motivé la rédaction des trois articles intitulés

– La Mort,
– L’accompagnement du passage de la mort
– L’enterrement ou la crémation.

S’il est un passage qui vient chercher chacun dans son intimité et ses convictions, c’est bien celui de la mort du corps physique. Ce mécanisme mal connu est l’objet de bien des spéculations. Il me semble important de définir simplement les principales étapes de ce processus de passage afin d’éviter des incohérences préjudiciables au défunt et lui permettre de se libérer de son corps physique dans les meilleures conditions possibles.

En premier lieu, n’oublions pas qu’on ne meurt qu’une fois et que ce que l’on « loupe » à ce moment-là est irrémédiablement passé. Il est donc recommandé d’aborder cet évènement majeur de notre parcours de vie avec conscience et d’éviter les plus gros dommages, que ce soit nous-même qui mourrions ou un membre de notre entourage.

L’être humain est composé de deux entités distinctes vivant sur une base symbiotique, l’une sur le plan de la conscience, l’autre sur celui du physique : l’esprit et le corps.

Le corps est constitué de l’ensemble de la masse corporelle et cellulaire. Elle sert de véhicule à l’esprit. Elle lui permet de réaliser, tout au long de l’incarnation, des expériences sensorielles de conscience extrêmement diversifiées et précises, lui donnant ainsi la possibilité de pratiquer consciemment les lois du fonctionnement de la Matière. La mise à disposition du corps physique, au moment de la conception puis de la naissance, est fondamental. Il s’agit, ni plus ni moins, du seul support tangible et opérationnel qui permet à l’esprit d’évoluer et d’acquérir de nouveaux champs d’investigation. Il n’en existe pas d’autre dans le champ de perception qui est le nôtre Ici et Maintenant.

Pyramide de Dahchour, Egypte photo Serge Briez©

Pyramide de Dahchour, Egypte photo Serge Briez©

Le corps dispose à la fois de fonctions conscientes (tout ce que touche à la sensorialité et à l’élaboration de la conscience), et des fonctions inconscientes (tout ce qui touche aux automatismes organiques permettant au corps de conserver son activité vivante et les systèmes inconscients de traitement de l’information qui lui permettent de s’ajuster aux milliards de données qu’il reçoit de son environnement, à chaque instant).

Cette masse cellulaire possède une autonomie qui conditionne grandement, selon les informations qu’elle a accumulée durant son expérimentation, la nature énergétique de la façon dont est vécue le passage de la vie à la mort et de la perception que nous en avons en tant qu’acteur ou spectateur.

L’esprit peut être défini comme la part éternelle de l’être. Partons du postulat suivant qui consiste à dire que les lecteurs de cet article croient en l’immortalité de l’âme. Il n’est bien évidemment pas question d’entrer Ici dans un débat sur la nature de l’âme mais d’utiliser ce mot comme étant la désignation du support de l’énergie qui est nous, qui était en nous avant l’incarnation et avait expérimenté d’autres corps ou d’autres formes de vie simultanément ou antérieurement à l’expérience présente, et qui en expérimente dans les temps parallèles ou à venir.

Nous ne sommes donc pas de Maintenant. Notre esprit a survécu à d’innombrables corps ou autres formes de matérialisation. L’esprit habite le plan cellulaire et est intimement lié à son fonctionnement organique, à tel point qu’il peut aller jusqu’à en modifier, voir interrompre, les processus organiques automatiques. Toutefois, il n’en est qu’un hôte.

Qu’est-ce que la mort ?

La mort représente l’arrêt des fonctions organiques du corps. Il serait une grave erreur de penser que les fonctions cognitives s’interrompent au moment de la mort. Ce n’est pas parce que le coeur s’arrête ou que l’encéphalogramme d’un individu est sans activité que ses fonctions sensorielles s’interrompent instantanément, qu’il ne sent plus rien, qu’il n’entend plus rien, qu’il n’éprouve plus d’émotions et qu’il ne réfléchit plus.

La croyance la plus couramment adoptée sur notre planète consiste à penser que les facultés cognitives sont exclusivement liée au fonctionnement de notre cerveau. Il n’en est rien. L’esprit et le cerveau se juxtaposent, le temps de l’incarnation pour optimiser l’expérimentation de vie, mais ils sont indépendants et se dissocient au moment de la mort. Cette configuration permet à l’âme de ne pas perdre les données collationnées durant une vie et de se les mémoriser (ou non) dans une incarnation ultérieure. Dans le cas contraire, les données seraient irrémédiablement perdues par la désagrégation du corps cellulaire. Ce serait fort dommage et terriblement improductif.

Autrefois, dans notre société, avant que la mort ne soit cachée dans le ghetto des hôpitaux et des maisons de retraite ( qu’il faudrait plutôt appeler parfois « maisons à mourir »), l’individu mourait chez lui. Il restait dans sa maison, entouré par les siens, le temps que l’inhumation s’organise. Cela laissait le temps à chacun de le rencontrer une dernière fois, puis il était mis en bière et conduit au cimetière, la plupart du temps accompagné d’une cérémonie religieuse.

Ce processus répondait à une nécessité profonde. Pourquoi ? 

Tout simplement parce qu’il faut un délai de trois à quatre jours (sept jours dit la tradition hébraïque) pour que le corps se libère totalement de sa sensibilité sensorielle et de l’empreinte de l’esprit qui enregistre toutes ces informations. En d’autres termes, qu’est-ce que cela signifie ?

Cela signifie qu’au moment de l’arrêt des fonctions vitales, il faut quelques heures, voire parfois quelques jours, pour que le défunt simplement comprenne que son corps physique est mort. Cela est d’autant plus vrai lorsque l’être décède brutalement (accident), d’une manière inattendue et sans aucune préparation. Plus il est jeune et plus l’incompréhension est grande. Il en est de même pour les individus qui ne se sont pas préparés, de leur vivant, à ce passage. Une personne dont les fonctions vitales se sont dégradées progressivement sera plus préparée que quelqu’un qui décède par accident. Quelqu’un ayant réfléchi, de son vivant, au passage de la mort, sera plus à même de réaliser ce passage dans de bonnes conditions et surtout de comprendre ce qui lui arrive.

Je voudrais ici faire part d’une anecdote. Il y a quelques années, chaque fois que je passais en voiture sur la nationale entre Apt et Avignon (84), au carrefour de Notre Dame des Lumières (ce n’est pas un gag cosmique!), mon regard était accroché par un individu que je voyais au bord de la route, en train d’attendre. Lorsque je regardais plus attentivement, évidemment, je ne voyais rien puisqu’il s’agissait d’une vision spontanée générée par la clairvoyance de l’entité énergétique d’un décédé. Le phénomène se répétant chaque fois que je passais sur cette route, je compris qu’il m’était demandé d’intervenir. Je garais mon véhicule et m’approchais. Je me trouvais alors face à un homme d’une quarantaine d’années qui était désemparé. Il était bloqué là depuis plusieurs mois (en fait un peu plus de deux ans), et il ne savait pas comment quitter cet endroit. Je lui expliquais alors qu’il était décédé et les mécanismes de passage. Je lui annonçais qu’il n’était nullement nécessaire pour lui de demeurer sur place et qu’il pouvait passer ailleurs. Il compris parfaitement mes propos et m’expliqua qu’il n’avait jamais eu la moindre préoccupation au sujet de la mort, qu’il était décédé dans un accident de voiture à ce carrefour et que depuis, il attendait que quelqu’un vienne l’aider, mais que personne ne répondait (et pour cause !) à ses appels. Je sentis un profond soulagement s’installer en lui. Je lui proposais alors de l’aider à quitter ce plan. Ce qu’il accepta et je lui fit faire le passage.

Lorsque le corps physique s’arrête :

– L’ouïe ne s’interrompt pas. Le défunt entend pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours après son décès ce qui se dit autour de lui. Son esprit enregistre et comprend comme s’il n’était pas mort.

– La vision ne s’interrompt pas. Elle se modifie dans la mesure où elle se trouve totalement véhiculée par le Chakra frontal (Troisième Oeil). Elle est donc physique et clairvoyante. L’esprit voit tout ce qui se passe dans le périmètre du corps et bien au-delà.

– La sensation du toucher ne s’interrompt pas. L’esprit enregistre avec presque la même acuité et la même sensibilité la façon dont le corps est touché ou traité. Imaginez la sensation de quelqu’un qui est autopsié ou qui donne ses organes à la médecine – sensation d’être découpé vivant (on n’anesthésie pas un mort). Imaginez ce que doit ressentir celui qui est incinéré trop tôt – sensation d’être brûlé vif (il faut faire de la place ou se débarrasser d’un mort qui dérange trop les vivants !! ).

Autant dire qu’il faut témoigner une grande attention et un grand respect au défunt et au corps du défunt, dans la mesure où il ne dispose plus d’aucune autonomie et où il n’a plus aucune possibilité d’expression vis-à-vis des vivants.

Durant les quelques jours suivant le décès (quatre à sept jours selon les cas), ses sensations sont au moins équivalentes à celle d’un vivant. Dans un premier temps, elles sont exacerbées, dans la mesure où le défunt entre dans un domaine de son existence qui lui est souvent inconnu. La plupart du temps, il ne possède pas la mémoire de ses autres morts. Parfois il souffre encore physiquement. Et il n’a personne avec qui communiquer ses angoisses, son mal-être, ses incompréhensions et ses souffrances, cela s’ajoutant à la peine de se séparer de la vie et des êtres qu’il aime. Puis progressivement, le rapport sensoriel au corps s’atténue, le temps que l’esprit se « désincruste » du corps cellulaire. Au fur et à mesure de son retrait la relation symbiotique avec le corps s’atténue jusqu’à disparaitre au bout de quelques jours.

C’est durant ce temps que la qualité énergétique du rapport existant entre le corps et son environnement est essentielle. Une atmosphère de calme, d’amour, de partage et de fraternité sont indispensables à la libération du corps dans de bonnes conditions. Si tel n’est pas le cas, la souffrance du défunt peut devenir extrême.

Il conviendrait donc de sérieusement s’interroger sur la façon dont nous traitons les morts dans notre société, sur ce que nous leur faisons subir, et sur notre façon de les accompagner dans ce passage dont les mécanismes ont été totalement occultés alors qu’ils étaient parfaitement connus autrefois. Heureusement, il n’en est pas de même dans d’autres cultures où les traditions d’accompagnement sont restées en place et où la mort est prise en compte avec la même attention et la même présence (parfois la même joie) que la naissance.

Sarlat, le 14 janvier 2012, 16h28      

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