LA MORT


Une intense discussion avec des membres de ma famille m’a récemment montré que les phénomènes énergétiques liés à la mort étaient encore trop peu, voire pas, connus. Cela a motivé la rédaction des trois articles intitulés

– La Mort,
– L’accompagnement du passage de la mort
– L’enterrement ou la crémation.

S’il est un passage qui vient chercher chacun dans son intimité et ses convictions, c’est bien celui de la mort du corps physique. Ce mécanisme mal connu est l’objet de bien des spéculations. Il me semble important de définir simplement les principales étapes de ce processus de passage afin d’éviter des incohérences préjudiciables au défunt et lui permettre de se libérer de son corps physique dans les meilleures conditions possibles.

En premier lieu, n’oublions pas qu’on ne meurt qu’une fois et que ce que l’on « loupe » à ce moment-là est irrémédiablement passé. Il est donc recommandé d’aborder cet évènement majeur de notre parcours de vie avec conscience et d’éviter les plus gros dommages, que ce soit nous-même qui mourrions ou un membre de notre entourage.

L’être humain est composé de deux entités distinctes vivant sur une base symbiotique, l’une sur le plan de la conscience, l’autre sur celui du physique : l’esprit et le corps.

Le corps est constitué de l’ensemble de la masse corporelle et cellulaire. Elle sert de véhicule à l’esprit. Elle lui permet de réaliser, tout au long de l’incarnation, des expériences sensorielles de conscience extrêmement diversifiées et précises, lui donnant ainsi la possibilité de pratiquer consciemment les lois du fonctionnement de la Matière. La mise à disposition du corps physique, au moment de la conception puis de la naissance, est fondamental. Il s’agit, ni plus ni moins, du seul support tangible et opérationnel qui permet à l’esprit d’évoluer et d’acquérir de nouveaux champs d’investigation. Il n’en existe pas d’autre dans le champ de perception qui est le nôtre Ici et Maintenant.

Pyramide de Dahchour, Egypte photo Serge Briez©

Pyramide de Dahchour, Egypte photo Serge Briez©

Le corps dispose à la fois de fonctions conscientes (tout ce que touche à la sensorialité et à l’élaboration de la conscience), et des fonctions inconscientes (tout ce qui touche aux automatismes organiques permettant au corps de conserver son activité vivante et les systèmes inconscients de traitement de l’information qui lui permettent de s’ajuster aux milliards de données qu’il reçoit de son environnement, à chaque instant).

Cette masse cellulaire possède une autonomie qui conditionne grandement, selon les informations qu’elle a accumulée durant son expérimentation, la nature énergétique de la façon dont est vécue le passage de la vie à la mort et de la perception que nous en avons en tant qu’acteur ou spectateur.

L’esprit peut être défini comme la part éternelle de l’être. Partons du postulat suivant qui consiste à dire que les lecteurs de cet article croient en l’immortalité de l’âme. Il n’est bien évidemment pas question d’entrer Ici dans un débat sur la nature de l’âme mais d’utiliser ce mot comme étant la désignation du support de l’énergie qui est nous, qui était en nous avant l’incarnation et avait expérimenté d’autres corps ou d’autres formes de vie simultanément ou antérieurement à l’expérience présente, et qui en expérimente dans les temps parallèles ou à venir.

Nous ne sommes donc pas de Maintenant. Notre esprit a survécu à d’innombrables corps ou autres formes de matérialisation. L’esprit habite le plan cellulaire et est intimement lié à son fonctionnement organique, à tel point qu’il peut aller jusqu’à en modifier, voir interrompre, les processus organiques automatiques. Toutefois, il n’en est qu’un hôte.

Qu’est-ce que la mort ?

La mort représente l’arrêt des fonctions organiques du corps. Il serait une grave erreur de penser que les fonctions cognitives s’interrompent au moment de la mort. Ce n’est pas parce que le coeur s’arrête ou que l’encéphalogramme d’un individu est sans activité que ses fonctions sensorielles s’interrompent instantanément, qu’il ne sent plus rien, qu’il n’entend plus rien, qu’il n’éprouve plus d’émotions et qu’il ne réfléchit plus.

La croyance la plus couramment adoptée sur notre planète consiste à penser que les facultés cognitives sont exclusivement liée au fonctionnement de notre cerveau. Il n’en est rien. L’esprit et le cerveau se juxtaposent, le temps de l’incarnation pour optimiser l’expérimentation de vie, mais ils sont indépendants et se dissocient au moment de la mort. Cette configuration permet à l’âme de ne pas perdre les données collationnées durant une vie et de se les mémoriser (ou non) dans une incarnation ultérieure. Dans le cas contraire, les données seraient irrémédiablement perdues par la désagrégation du corps cellulaire. Ce serait fort dommage et terriblement improductif.

Autrefois, dans notre société, avant que la mort ne soit cachée dans le ghetto des hôpitaux et des maisons de retraite ( qu’il faudrait plutôt appeler parfois « maisons à mourir »), l’individu mourait chez lui. Il restait dans sa maison, entouré par les siens, le temps que l’inhumation s’organise. Cela laissait le temps à chacun de le rencontrer une dernière fois, puis il était mis en bière et conduit au cimetière, la plupart du temps accompagné d’une cérémonie religieuse.

Ce processus répondait à une nécessité profonde. Pourquoi ? 

Tout simplement parce qu’il faut un délai de trois à quatre jours (sept jours dit la tradition hébraïque) pour que le corps se libère totalement de sa sensibilité sensorielle et de l’empreinte de l’esprit qui enregistre toutes ces informations. En d’autres termes, qu’est-ce que cela signifie ?

Cela signifie qu’au moment de l’arrêt des fonctions vitales, il faut quelques heures, voire parfois quelques jours, pour que le défunt simplement comprenne que son corps physique est mort. Cela est d’autant plus vrai lorsque l’être décède brutalement (accident), d’une manière inattendue et sans aucune préparation. Plus il est jeune et plus l’incompréhension est grande. Il en est de même pour les individus qui ne se sont pas préparés, de leur vivant, à ce passage. Une personne dont les fonctions vitales se sont dégradées progressivement sera plus préparée que quelqu’un qui décède par accident. Quelqu’un ayant réfléchi, de son vivant, au passage de la mort, sera plus à même de réaliser ce passage dans de bonnes conditions et surtout de comprendre ce qui lui arrive.

Je voudrais ici faire part d’une anecdote. Il y a quelques années, chaque fois que je passais en voiture sur la nationale entre Apt et Avignon (84), au carrefour de Notre Dame des Lumières (ce n’est pas un gag cosmique!), mon regard était accroché par un individu que je voyais au bord de la route, en train d’attendre. Lorsque je regardais plus attentivement, évidemment, je ne voyais rien puisqu’il s’agissait d’une vision spontanée générée par la clairvoyance de l’entité énergétique d’un décédé. Le phénomène se répétant chaque fois que je passais sur cette route, je compris qu’il m’était demandé d’intervenir. Je garais mon véhicule et m’approchais. Je me trouvais alors face à un homme d’une quarantaine d’années qui était désemparé. Il était bloqué là depuis plusieurs mois (en fait un peu plus de deux ans), et il ne savait pas comment quitter cet endroit. Je lui expliquais alors qu’il était décédé et les mécanismes de passage. Je lui annonçais qu’il n’était nullement nécessaire pour lui de demeurer sur place et qu’il pouvait passer ailleurs. Il compris parfaitement mes propos et m’expliqua qu’il n’avait jamais eu la moindre préoccupation au sujet de la mort, qu’il était décédé dans un accident de voiture à ce carrefour et que depuis, il attendait que quelqu’un vienne l’aider, mais que personne ne répondait (et pour cause !) à ses appels. Je sentis un profond soulagement s’installer en lui. Je lui proposais alors de l’aider à quitter ce plan. Ce qu’il accepta et je lui fit faire le passage.

Lorsque le corps physique s’arrête :

– L’ouïe ne s’interrompt pas. Le défunt entend pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours après son décès ce qui se dit autour de lui. Son esprit enregistre et comprend comme s’il n’était pas mort.

– La vision ne s’interrompt pas. Elle se modifie dans la mesure où elle se trouve totalement véhiculée par le Chakra frontal (Troisième Oeil). Elle est donc physique et clairvoyante. L’esprit voit tout ce qui se passe dans le périmètre du corps et bien au-delà.

– La sensation du toucher ne s’interrompt pas. L’esprit enregistre avec presque la même acuité et la même sensibilité la façon dont le corps est touché ou traité. Imaginez la sensation de quelqu’un qui est autopsié ou qui donne ses organes à la médecine – sensation d’être découpé vivant (on n’anesthésie pas un mort). Imaginez ce que doit ressentir celui qui est incinéré trop tôt – sensation d’être brûlé vif (il faut faire de la place ou se débarrasser d’un mort qui dérange trop les vivants !! ).

Autant dire qu’il faut témoigner une grande attention et un grand respect au défunt et au corps du défunt, dans la mesure où il ne dispose plus d’aucune autonomie et où il n’a plus aucune possibilité d’expression vis-à-vis des vivants.

Durant les quelques jours suivant le décès (quatre à sept jours selon les cas), ses sensations sont au moins équivalentes à celle d’un vivant. Dans un premier temps, elles sont exacerbées, dans la mesure où le défunt entre dans un domaine de son existence qui lui est souvent inconnu. La plupart du temps, il ne possède pas la mémoire de ses autres morts. Parfois il souffre encore physiquement. Et il n’a personne avec qui communiquer ses angoisses, son mal-être, ses incompréhensions et ses souffrances, cela s’ajoutant à la peine de se séparer de la vie et des êtres qu’il aime. Puis progressivement, le rapport sensoriel au corps s’atténue, le temps que l’esprit se « désincruste » du corps cellulaire. Au fur et à mesure de son retrait la relation symbiotique avec le corps s’atténue jusqu’à disparaitre au bout de quelques jours.

C’est durant ce temps que la qualité énergétique du rapport existant entre le corps et son environnement est essentielle. Une atmosphère de calme, d’amour, de partage et de fraternité sont indispensables à la libération du corps dans de bonnes conditions. Si tel n’est pas le cas, la souffrance du défunt peut devenir extrême.

Il conviendrait donc de sérieusement s’interroger sur la façon dont nous traitons les morts dans notre société, sur ce que nous leur faisons subir, et sur notre façon de les accompagner dans ce passage dont les mécanismes ont été totalement occultés alors qu’ils étaient parfaitement connus autrefois. Heureusement, il n’en est pas de même dans d’autres cultures où les traditions d’accompagnement sont restées en place et où la mort est prise en compte avec la même attention et la même présence (parfois la même joie) que la naissance.

Sarlat, le 14 janvier 2012, 16h28      

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  1. #1 par Wanda le 18 décembre 2016 - 3 h 24 min

    Bonsoir ma grand mère est morte hier samedi.
    Lire votre article me permets de me rendre près d’elle plus apaisée sachant qu’ elle me perçoit encore, bien que le apparence qui lui a été donnée ne lui ressemble pas. Mon entourage la trouve paisible mouyen je la trouve contrariée (j’ai eu des photos quelques Heures après son décès et sa préparation )malgré moi j’ai eu peur de e que j’ai vu.
    Votre article me permet de aller vers elle sans répulsion et avec amour je sais qu’on là l’un pour l’autre je la ressens .
    je ne veux surtout pasl empêcher de partir sinon je sais qu’elle va souffrir et moi aussi.
    J’ai une question ma mamie a choisi la crémation moi c’est une chose quimportant me perturbe, aura-t-elle mal même si elle s’est préparée à redevenir poussière?
    Un grand merci à vous.

    • #2 par Daniel Briez BLOG le 13 février 2017 - 10 h 37 min

      Bonjour,
      Et tout d’abord toutes mes pensées. Rien ne peut compenser le départ d’un être que nous aimons. Il restera toujours dans notre cœur. Concernant la crémation, je mentionne dans mon livre « Bien vivre sa mort » Editions Dangles qu’il est nécessaire d’attendre quatre jours, le temps nécessaire à la conscience cellulaire de se dégager de l’empreinte du corps physique, ce qui supprime tout ressenti physique. Au-delà de ce temps, il n’y a pas de problèmes. Désolé pour le retard de ma réponse. J’étais à l’étranger depuis de nombreuses semaines.
      Amour et Lumière
      Daniel

  2. #3 par FAUCHER le 5 mars 2012 - 13 h 36 min

    Merci pour votre article fort intéressant et surtout très instructif pour moi. J’avais des notions ,via le bouddhisme,du passage à la mort. A la lecture de votre article, instantanément, j’ai eu l’image de ma mère venant de décéder sur son lit d’hôpital. Ma sœur ayant besoin de la voir « pour faire le deuil », je l’accompagnais. Un sentiment de frayeur mêlé de curiosité m’envahit en entrant dans la chambre. Je la regardais, saisie, ébahie, en me posant une foule de questions. Ressentait-elle quelque chose à notre arrivée à son chevet? sentait-t-elle mon bouleversement, cette foule de questions qui n’auraient plus jamais de réponses etc….j’étais craintive devant cette « morte »,était-ce véritablement ma mère? J’étais dans un brouillard, figée, je contournais le lit en l’observant, muette en me disant, elle n’est peut-être pas vraiment morte. C’était comme si elle dormait. Dommage que cet article me soit venu trop tard, j’aurais sans doute, compris davantage de chose. Je n’aurais pas eu cette peur de la toucher avec cette sensation de « trop tard maintenant, elle ne ressent plus rien ». Je l’aurais accompagnée en conscience, entourée de douceur et compassion. Encore merci.

    • #4 par Daniel Briez BLOG le 6 mars 2012 - 15 h 08 min

      Merci de votre témoignage. Il est clair que nous sentons la « présence » de l’être aimé, lorsque nous sommes à ses côtés quelques heures après sa mort. C’est la raison pour laquelle il m’a semblé essentiel d’expliquer les mécanismes énergétiques liés à ce passage.
      Cordialement
      Daniel BRIEZ

  3. #5 par BOSIO le 28 février 2012 - 11 h 45 min

    Une anesthésie et analgésie sont pratiquées lors des prélèvements d’organe. Les protocoles d’anesthésie réanimation sont identiques à ceux des « vivants ». On se continuellement dit qu’un « mort » est un vivant jusqu’au bout. Merci de vérifier avant de diffuser de telles informations à un public sensible. Le corps est par la suite « restauré » en comblant les différents sites de prélèvement et en préservant son intégrité. Je vous invite à vous rapprocher d’un coordinateur de prélèvement d’organes ou d’assister à telle intervention où le plus grand respect est accordé à celui/celle que l’on prélève. D’autre part, avant tout prélèvement d’organe, 2 électro-encéphalogrammes « plat » ne montrant AUCUNE activité sensorielle sont pratiqués confirmant l’arrêt de l’activité cérébrale. Tout cela me laisse interrogative quant à la véracité du reste de votre article qui semblait à priori digne d’intérêt. Mais ……

    • #6 par Daniel Briez BLOG le 28 février 2012 - 15 h 21 min

      Je ne connaissais absolument pas l’existence de ce type de procédure pour le prélèvement d’organes. En êtes-vous réellement sure et pouvez-vous nous donner des références sur lesquelles nous renseigner. Par ailleurs, un électro-encéphalogramme plat n’est pas la preuve que la « sensoralité » énergétique n’existe pas. Je suis même certain du contraire. Maintenant, vous pouvez vous interroger sur la véracité de mes articles. Ils sont des pistes qui reposent sur mes convictions et expériences personnelles. Ils n’engagent que moi.
      Merci de vos commentaires.
      Daniel BRIEZ

  4. #7 par Séverine Grandamy le 5 février 2012 - 12 h 24 min

    Très beau « commentaires »!!Assurément magnifique.
    Ma mère est décédée à l’hôpital il y a maintenant 8ans des suites d’un cancer qui a duré 10ans.Votre texte est très juste car à l’époque le désarroi s’est emparée de moi et de ma mère à quelques jours du grand départ et bien que ce passage soit profondément intime et vécut différement pour chacun,aussi bien pour ceux qui partent que pour ceux qui restent, votre témoignage montre un lien qui nous réunit tous.Après la panique nous avons pu retrouver,ma mère et moi un grand calme et son départ fut magnifique.Bon avant de partir elle m’a quand même dit « les voies du seigneur sont impénétrables »!?!Ele fut athée convaincu toute ça vie,comme quoi il est jamais trop tard..mais pour moi aujourd’hui qui est dévelloppé des cellules cancéreuses(bah depuis le temps que je collectionne les bouquinqs de médecines à 60cents d’Emmaus et que je cherche un moyen de travailler à l’hôpital,spécialement auprès des gens ayant dévelloppé un cancer sans passer par les voies classiques…oui,oui je suis bien dans la bonne fréquence mais un peu décalée)
    Au vue de mes cellulles qui manifestent une volonté indépendante de mon mental, j’ai regardé la mort en face il y a peu de temps.Je crois que l’annonce de la maladie et particulièrement le cancer qui est une « maladie » de l’adn,est aussi,quand notre corps n’est que peu touché, une formidable annonce de ré-mission.Et le travail de DAniel est un outil fabuleux pour déployer toute la sagesse infinie qui ce cache sous la carapace de la maladie.En plus d’être accompagné par de bons médecins autre que des revendeurs de pillules,car là aussi attention malgré toute la bonne volonté dont font preuve certains spécialistes.
    L’allopathie est une formidable industrie pharmaco-chimique,et devinez qui tient les rênes du bissness:la famille Rockfeller!Mais parfois je sais qu’il est dificille de faire autrement.
    Merci Daniel et courage à tout ce qui traverse cette période de grand boulversement en conscience.Et aux autres.

    • #8 par Daniel Briez BLOG le 8 février 2012 - 10 h 32 min

      Merci pour votre témoignage. La mort touche à notre intimité la plus absolue et nous renvoie à ce que nous sommes fondamentalement, au-delà des structures, des croyances et du chemin de vie. L’expérience du corps qu’elle met en évidence est souvent quelque chose que nous avons longtemps laissé de côté, jusqu’au jour où celui-ci commence à se révéler défaillant. Notre perspective change alors et nous sommes plus proche de nous-même et des autres.
      Le décès de nos parents nous renvoie toujours à cela, notamment de par la puissance des liens énergétiques qui nous unissent à eux. Il est d’autant plus important de réussir en conscience ce passage pour le défunt et ceux qui restent.
      Cordialement
      Daniel

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