Archives de la catégorie Codes identitaires, Energies et Matérialisation
Couleurs, énergies quantiques et Chromotem
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHROMOTEM, Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE, STAGE FORMATION VOYAGE le 10 décembre 2014
Stage couleurs
Cycle de 13 jours en 2 sessions à Sarlat (Dordogne) – tout public – Non résidentiel
La Couleur est directement liée aux codes de votre ADN. Elle permet de comprendre l’architecture énergétique sur laquelle se construit la Réalité. Le Chromotem (www.chromotem.com) est un outil qui permet d’évaluer les énergies que vous rencontrez au quotidien. Il représente une cartographie chromique précise de votre architecture personnelle, de votre identité profonde.
Les tensions que vous rencontrez constituent la stricte émanation des déséquilibres énergétiques existant entre votre véritable nature (codes identitaires – Chromotem), ce que vous en avez compris, et la vision que vous en avez dans votre quotidien. La réintégration globale de vos fréquences personnelles vous permet d’atteindre un état d’équilibre qui vous apporte compréhension, sérénité et accomplissement.
Le cycle « Couleurs, énergies quantiques et Chromotem » est destiné à :
- Comprendre et intégrer les 13 Fréquences-mère organisant l’énergie sur votre plan de réalité
- Permettre à chaque participant d’intégrer son propre Chromotem et de comprendre son architecture énergétique, ses caractéristiques et les intégrer par la régulation des anomalies qui ont déséquilibré son système personnel.
- Replacer l’ensemble de vos fréquences dans un continuum quantique vous permettant ainsi d’accéder à d’autres niveaux de conscience.
Ce cycle n’a pas pour but d’effectuer un travail de développement personnel. Il est destiné à permettre à chacun de prendre conscience de ses éléments constitutifs et de disposer des moyens pour réguler ce que bon lui semble.
Ce travail s’appuie simultanément, à raison d’une Couleur par jour, sur l’étude de votre Chromotem personnel à travers son interprétation par Daniel BRIEZ (créateur de l’outil) et sur l’intégration de chacune des énergies des treize Couleurs-mères.
La compréhension et l’intégration de la Couleur (inscrite dans sa perception quantique) vous permet d’accéder à la mise en place de votre énergie de manifestation dans le strict respect de ce que vous êtes et de vos besoins. A l’issue de ce cycle, toutes les fréquences sont intégrées.
1ère session – 7 jours
POURPRE – ROSE – ROUGE – ORANGE – OR – JAUNE
Cette première session porte sur la perception, la connaissance et la gestion des plans physique et émotionnel.
Quelques sujets traités :
- physique quantique,
- trajectoire d’évolution,
- rapport au corps et à la matière (argent, quotidien, travail…),
- centrage sur soi,
- intuition,
- sexualité,
- codes identitaires,
- rayonnement,
- valeur de soi…
2ème session – 6 jours
VERT – TURQUOISE – BLEU – INDIGO – VIOLET – BLANC
La deuxième session porte sur la construction des schémas mentaux et les stratégies par lesquelles ils impactent notre réalité quotidienne. La déformation apportée par les systèmes de croyance individuels ou collectifs est étudiée précisément. La compréhension des mécanismes de projection et d’illusion et la construction de l’ego sont au centre de cette session.
Quelques sujets traités :
- le fonctionnement de l’ego,
- alignement,
- pacification du mental,
- libération de plan émotionnel,
- lâcher-prise,
- élimination des systèmes de croyances et des projections relationnelles,
- espace personnel,
- trouver sa place,
- perception multidimensionnelle.
Cette session est également destinée à compléter la mise en fréquence du plan cellulaire et quantique et à définir et intégrer concrètement les codes identitaires qui vous définissent. L’identification et l’appréhension des mécanismes de construction de la trajectoire de vie est au centre de ce travail. Cette perception aboutit à la mise en phase des désirs essentiels avec les évènements du quotidien. Elle permet de mettre en oeuvre la puissance de créativité et d’aimanter à vous les moyens d’action pour la concrétiser.
Quelques sujets traités :
- perception des lois de création de la Matière,
- le rapport à la communication,
- les non-dits,
- développement des perceptions clairvoyantes et notion de vision globale,
- champs spirituels,
- perceptions des mondes subtils au quotidien,
- nature du cheminement de conscience et intégration globale de soi et de nos dimensions.
Dates (la participation aux 2 sessions est obligatoire) :
Session 1 – du 10 au 16 Mai 2017,
Session 2 – du 15 au 20 Septembre 2017
Lieu : Centre Culturel et de Congrès de Sarlat, Le Colombier – 24200 Sarlat la Canéda
Prix : Cycle complet 1870€ (1ère session – 995 €, 2ème session – 875 €)
Inscriptions : 06 42 82 26 02 ou par notre formulaire d’inscription à remplir et nous adresser en cliquant ici, par notre formulaire de contact en choisissant « stages et formations »
FORMATEUR :
Daniel BRIEZ, chercheur, auteur et conférencier, enseigne l’énergétique depuis une vingtaine d’années.
Il est considéré comme l’un des experts français de la Lithothérapie et de la Chromothérapie. Importateur de minéraux depuis les années 80, sa démarche personnelle lui a permis de comprendre les schémas directeurs de la construction des réalités ainsi que leur rapport avec la science quantique.
Il est le créateur du Chromotem, du Thème de Cristal.
Il est aussi le créateur-concepteur de la ligne Parfums de Couleur sous la marque portant son nom.
SES OUVRAGES
- La Science des Chakras, voie initiatique du quotidien , éd. De Mortagne
- La Guérison spirituelle par les pierres précieuses, éd. De Mortagne
- Les Anges, éd. De Mortagne
- Le Thème Angélique, éd. De Mortagne
- Shamballa, la réconciliation, éd. Monique Ethier
- Shamballa, le Chemin de l’Initiation, éd. Monique Ethier
- Manuel d’insertion galactique, éd. Monique Ethier
- Parfums de Couleur, se soigner par les parfums, éd. Inlay – Cristaux et Santé, éd. Trajectoire
STAGE ACTIVATION DE LA MERKABAH
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHROMOTEM, Codes identitaires, Energies et Matérialisation, CRISTAUX & SANTÉ, Daniel Briez, PARFUMS DE COULEUR, SCIENCE DE SYNTHESE, STAGE FORMATION VOYAGE le 25 octobre 2014
Cycle de 10 jours en deux sessions, à Sarlat (Dordogne) – ouvert à tous
PRESENTATION :
N’empruntant rien aux théories circulant sur la Merkabah, l’espace-temps que constitue ce stage ouvre à la reconnexion avec la globalité multidimensionnelle de vos codes et vous permet d’accéder à une mutation instantanée de vos différents champs de conscience. Les « connaissances » sur ce sujet importent peu. Les fréquences vibratoires liées à la Merkabah sont inscrites sur le plan cellulaire dès la naissance, présentes et vivantes au sein de votre corps.
L’activation des champs merkabiques modifient fondamentalement les périmètres de conscience et les systèmes de croyance qu’ils émettent. Ceci permet une intégration de ces champs de perception personnels inégalée.
Par le jeu de la résonance, l’expérience du stage vous offre l’espace d’éveil à ce qui est déjà inscrit en vous. Chaque participant est « légitime ». L’envie et l’appel à la participation de ce type de stage est toujours juste et ne relève pas du hasard. Lorsqu’il s’agit d’un mécanisme aussi fondamental que la Merkabah, c’est l’expérience qui trame la « connaissance ».
Les supports énergétiques que sont les Cristaux et les Couleurs, à travers le Thème de Cristal et le Chromotem personnels, serviront de trame à cette intégration.
CONTACT, RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS :
Wydiane : 06 42 82 26 02 ou par notre formulaire d’inscription à remplir et nous adresser en cliquant ici, http://www.cristaux-sante.com/docs/bulletin-2014.pdf
LIEU :
Centre Culturel et de Congrès de Sarlat , Le Colombier, 24200 – Sarlat la Canéda
PRIX DU CYCLE :
1380€ (session 1: 690€, session 2 : 690€ (La participation aux 2 sessions est obligatoire)
FORMATEUR :
Daniel BRIEZ, chercheur, auteur et conférencier, enseigne l’énergétique depuis une vingtaine d’années.
Il est considéré comme l’un des experts français de la Lithothérapie et de la Chromothérapie. Importateur de minéraux depuis les années 80, sa démarche personnelle lui a permis de comprendre les schémas directeurs de la construction des réalités ainsi que leur rapport avec la science quantique.
Il est le créateur du Chromotem, du Thème de Cristal.
Il est aussi le créateur-concepteur de la ligne Parfums de Couleur sous la marque portant son nom.
SES OUVRAGES
- La Science des Chakras, voie initiatique du quotidien , éd. De Mortagne
- La Guérison spirituelle par les pierres précieuses, éd. De Mortagne
- Les Anges, éd. De Mortagne
- Le Thème Angélique, éd. De Mortagne
- Shamballa, la réconciliation, éd. Monique Ethier
- Shamballa, le Chemin de l’Initiation, éd. Monique Ethier
- Manuel d’insertion galactique, éd. Monique Ethier
- Parfums de Couleur, se soigner par les parfums, éd. Inlay – Cristaux et Santé, éd. Trajectoire
LA MORT
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 16 janvier 2012
Une intense discussion avec des membres de ma famille m’a récemment montré que les phénomènes énergétiques liés à la mort étaient encore trop peu, voire pas, connus. Cela a motivé la rédaction des trois articles intitulés
– La Mort,
– L’accompagnement du passage de la mort
– L’enterrement ou la crémation.
S’il est un passage qui vient chercher chacun dans son intimité et ses convictions, c’est bien celui de la mort du corps physique. Ce mécanisme mal connu est l’objet de bien des spéculations. Il me semble important de définir simplement les principales étapes de ce processus de passage afin d’éviter des incohérences préjudiciables au défunt et lui permettre de se libérer de son corps physique dans les meilleures conditions possibles.
En premier lieu, n’oublions pas qu’on ne meurt qu’une fois et que ce que l’on « loupe » à ce moment-là est irrémédiablement passé. Il est donc recommandé d’aborder cet évènement majeur de notre parcours de vie avec conscience et d’éviter les plus gros dommages, que ce soit nous-même qui mourrions ou un membre de notre entourage.
L’être humain est composé de deux entités distinctes vivant sur une base symbiotique, l’une sur le plan de la conscience, l’autre sur celui du physique : l’esprit et le corps.
Le corps est constitué de l’ensemble de la masse corporelle et cellulaire. Elle sert de véhicule à l’esprit. Elle lui permet de réaliser, tout au long de l’incarnation, des expériences sensorielles de conscience extrêmement diversifiées et précises, lui donnant ainsi la possibilité de pratiquer consciemment les lois du fonctionnement de la Matière. La mise à disposition du corps physique, au moment de la conception puis de la naissance, est fondamental. Il s’agit, ni plus ni moins, du seul support tangible et opérationnel qui permet à l’esprit d’évoluer et d’acquérir de nouveaux champs d’investigation. Il n’en existe pas d’autre dans le champ de perception qui est le nôtre Ici et Maintenant.
Le corps dispose à la fois de fonctions conscientes (tout ce que touche à la sensorialité et à l’élaboration de la conscience), et des fonctions inconscientes (tout ce qui touche aux automatismes organiques permettant au corps de conserver son activité vivante et les systèmes inconscients de traitement de l’information qui lui permettent de s’ajuster aux milliards de données qu’il reçoit de son environnement, à chaque instant).
Cette masse cellulaire possède une autonomie qui conditionne grandement, selon les informations qu’elle a accumulée durant son expérimentation, la nature énergétique de la façon dont est vécue le passage de la vie à la mort et de la perception que nous en avons en tant qu’acteur ou spectateur.
L’esprit peut être défini comme la part éternelle de l’être. Partons du postulat suivant qui consiste à dire que les lecteurs de cet article croient en l’immortalité de l’âme. Il n’est bien évidemment pas question d’entrer Ici dans un débat sur la nature de l’âme mais d’utiliser ce mot comme étant la désignation du support de l’énergie qui est nous, qui était en nous avant l’incarnation et avait expérimenté d’autres corps ou d’autres formes de vie simultanément ou antérieurement à l’expérience présente, et qui en expérimente dans les temps parallèles ou à venir.
Nous ne sommes donc pas de Maintenant. Notre esprit a survécu à d’innombrables corps ou autres formes de matérialisation. L’esprit habite le plan cellulaire et est intimement lié à son fonctionnement organique, à tel point qu’il peut aller jusqu’à en modifier, voir interrompre, les processus organiques automatiques. Toutefois, il n’en est qu’un hôte.
Qu’est-ce que la mort ?
La mort représente l’arrêt des fonctions organiques du corps. Il serait une grave erreur de penser que les fonctions cognitives s’interrompent au moment de la mort. Ce n’est pas parce que le coeur s’arrête ou que l’encéphalogramme d’un individu est sans activité que ses fonctions sensorielles s’interrompent instantanément, qu’il ne sent plus rien, qu’il n’entend plus rien, qu’il n’éprouve plus d’émotions et qu’il ne réfléchit plus.
La croyance la plus couramment adoptée sur notre planète consiste à penser que les facultés cognitives sont exclusivement liée au fonctionnement de notre cerveau. Il n’en est rien. L’esprit et le cerveau se juxtaposent, le temps de l’incarnation pour optimiser l’expérimentation de vie, mais ils sont indépendants et se dissocient au moment de la mort. Cette configuration permet à l’âme de ne pas perdre les données collationnées durant une vie et de se les mémoriser (ou non) dans une incarnation ultérieure. Dans le cas contraire, les données seraient irrémédiablement perdues par la désagrégation du corps cellulaire. Ce serait fort dommage et terriblement improductif.
Autrefois, dans notre société, avant que la mort ne soit cachée dans le ghetto des hôpitaux et des maisons de retraite ( qu’il faudrait plutôt appeler parfois « maisons à mourir »), l’individu mourait chez lui. Il restait dans sa maison, entouré par les siens, le temps que l’inhumation s’organise. Cela laissait le temps à chacun de le rencontrer une dernière fois, puis il était mis en bière et conduit au cimetière, la plupart du temps accompagné d’une cérémonie religieuse.
Ce processus répondait à une nécessité profonde. Pourquoi ?
Tout simplement parce qu’il faut un délai de trois à quatre jours (sept jours dit la tradition hébraïque) pour que le corps se libère totalement de sa sensibilité sensorielle et de l’empreinte de l’esprit qui enregistre toutes ces informations. En d’autres termes, qu’est-ce que cela signifie ?
Cela signifie qu’au moment de l’arrêt des fonctions vitales, il faut quelques heures, voire parfois quelques jours, pour que le défunt simplement comprenne que son corps physique est mort. Cela est d’autant plus vrai lorsque l’être décède brutalement (accident), d’une manière inattendue et sans aucune préparation. Plus il est jeune et plus l’incompréhension est grande. Il en est de même pour les individus qui ne se sont pas préparés, de leur vivant, à ce passage. Une personne dont les fonctions vitales se sont dégradées progressivement sera plus préparée que quelqu’un qui décède par accident. Quelqu’un ayant réfléchi, de son vivant, au passage de la mort, sera plus à même de réaliser ce passage dans de bonnes conditions et surtout de comprendre ce qui lui arrive.
Je voudrais ici faire part d’une anecdote. Il y a quelques années, chaque fois que je passais en voiture sur la nationale entre Apt et Avignon (84), au carrefour de Notre Dame des Lumières (ce n’est pas un gag cosmique!), mon regard était accroché par un individu que je voyais au bord de la route, en train d’attendre. Lorsque je regardais plus attentivement, évidemment, je ne voyais rien puisqu’il s’agissait d’une vision spontanée générée par la clairvoyance de l’entité énergétique d’un décédé. Le phénomène se répétant chaque fois que je passais sur cette route, je compris qu’il m’était demandé d’intervenir. Je garais mon véhicule et m’approchais. Je me trouvais alors face à un homme d’une quarantaine d’années qui était désemparé. Il était bloqué là depuis plusieurs mois (en fait un peu plus de deux ans), et il ne savait pas comment quitter cet endroit. Je lui expliquais alors qu’il était décédé et les mécanismes de passage. Je lui annonçais qu’il n’était nullement nécessaire pour lui de demeurer sur place et qu’il pouvait passer ailleurs. Il compris parfaitement mes propos et m’expliqua qu’il n’avait jamais eu la moindre préoccupation au sujet de la mort, qu’il était décédé dans un accident de voiture à ce carrefour et que depuis, il attendait que quelqu’un vienne l’aider, mais que personne ne répondait (et pour cause !) à ses appels. Je sentis un profond soulagement s’installer en lui. Je lui proposais alors de l’aider à quitter ce plan. Ce qu’il accepta et je lui fit faire le passage.
Lorsque le corps physique s’arrête :
– L’ouïe ne s’interrompt pas. Le défunt entend pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours après son décès ce qui se dit autour de lui. Son esprit enregistre et comprend comme s’il n’était pas mort.
– La vision ne s’interrompt pas. Elle se modifie dans la mesure où elle se trouve totalement véhiculée par le Chakra frontal (Troisième Oeil). Elle est donc physique et clairvoyante. L’esprit voit tout ce qui se passe dans le périmètre du corps et bien au-delà.
– La sensation du toucher ne s’interrompt pas. L’esprit enregistre avec presque la même acuité et la même sensibilité la façon dont le corps est touché ou traité. Imaginez la sensation de quelqu’un qui est autopsié ou qui donne ses organes à la médecine – sensation d’être découpé vivant (on n’anesthésie pas un mort). Imaginez ce que doit ressentir celui qui est incinéré trop tôt – sensation d’être brûlé vif (il faut faire de la place ou se débarrasser d’un mort qui dérange trop les vivants !! ).
Autant dire qu’il faut témoigner une grande attention et un grand respect au défunt et au corps du défunt, dans la mesure où il ne dispose plus d’aucune autonomie et où il n’a plus aucune possibilité d’expression vis-à-vis des vivants.
Durant les quelques jours suivant le décès (quatre à sept jours selon les cas), ses sensations sont au moins équivalentes à celle d’un vivant. Dans un premier temps, elles sont exacerbées, dans la mesure où le défunt entre dans un domaine de son existence qui lui est souvent inconnu. La plupart du temps, il ne possède pas la mémoire de ses autres morts. Parfois il souffre encore physiquement. Et il n’a personne avec qui communiquer ses angoisses, son mal-être, ses incompréhensions et ses souffrances, cela s’ajoutant à la peine de se séparer de la vie et des êtres qu’il aime. Puis progressivement, le rapport sensoriel au corps s’atténue, le temps que l’esprit se « désincruste » du corps cellulaire. Au fur et à mesure de son retrait la relation symbiotique avec le corps s’atténue jusqu’à disparaitre au bout de quelques jours.
C’est durant ce temps que la qualité énergétique du rapport existant entre le corps et son environnement est essentielle. Une atmosphère de calme, d’amour, de partage et de fraternité sont indispensables à la libération du corps dans de bonnes conditions. Si tel n’est pas le cas, la souffrance du défunt peut devenir extrême.
Il conviendrait donc de sérieusement s’interroger sur la façon dont nous traitons les morts dans notre société, sur ce que nous leur faisons subir, et sur notre façon de les accompagner dans ce passage dont les mécanismes ont été totalement occultés alors qu’ils étaient parfaitement connus autrefois. Heureusement, il n’en est pas de même dans d’autres cultures où les traditions d’accompagnement sont restées en place et où la mort est prise en compte avec la même attention et la même présence (parfois la même joie) que la naissance.
Sarlat, le 14 janvier 2012, 16h28
PRESENT, PROJETS FUTURS ET PROJECTIONS
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMEUR le 17 décembre 2011
Cher lecteur, désolé du manque d’articles, ces dernières semaines. Une longue tournée de salons et de conférences à l’extérieur qui m’a par ailleurs permis de rencontrer nombre d’entre vous, m’a maintenu à l’écart de mon clavier. Voici de nouvelles réflexions, qui, je l’espère, contribueront à votre réflexion. Merci pour vos témoignages et votre soutien.
« L’incapacité à rester dans le présent altère les projets et détruit le présent. » Réflexion issue d’une conversation avec mon épouse Guylène à l’origine de cet article.
Il est souvent fait référence à l’instant présent dans l’ouverture à la nouvelle ère qui s’annonce. Une des questions qui se pose alors est la compatibilité entre le fait d’être présent dans l’instant, et le fait de faire des projets puis de les élaborer.
Lorsqu’un humain n’est pas totalement stabilisé dans l’instant présent, il vit ce que nous pouvons appeler un état de « conscience ordinaire ». Le mot « ordinaire » n’est pas pris dans un sens péjoratif. Il qualifie simplement le fait que l’immense majorité de la race humaine et particulièrement les peuples issus de tradition occidentale ne vivent pas l’instant présent, et sont continuellement dans des alternances de référencement aux expériences passées, ou en train de projeter leurs visions dans le futur, allers-retours incessants ne leur permettant pas de voir la réalité de l’instant présent.
Pour comprendre le mécanisme permettant de rendre compatible l’élaboration de projets futurs avec la vie dans l’instant, il convient de se rappeler certains points fondamentaux de la physique quantique nous permettant de comprendre le fonctionnement du temps et de l’espace. Einstein, et les physiciens quantiques après lui, ont démontré que la notion d’espace-temps, et notamment d’un temps linéaire s’écoulant comme l’indique un chronomètre, est une convention mentale et sociale qui permet à l’humain de se situer dans le temps et l’espace. Cette notion ne repose sur aucune réalité physique.
Le temps définit un espace de perception. Il est discontinu.
Il s’agit de séquences discontinues, séparées des précédentes et suivantes de quelques micro-secondes, qui constituent des temps intersticiels par lesquels transitent toutes les informations concernant la totalité de nos champs d’expériences simultanés (passés, présents ou futurs). Les temps intersticiels sont connectés à la totalité des possibles et des vies simultanées (qui sont d’ailleurs innombrables chez les humanoïdes que nous sommes).
Le seul espace de connexion et de prise de conscience de cette multitude d’informations est l’instant présent.
C’est le seul. Il n’en existe pas d’autres et nous n’avons aucune possibilité de nous connecter à nous-même autrement que par cette connexion de notre corps physique avec l’instant présent.
Lorsque nous sommes dans notre réalité présente, Ici et Maintenant, sans aucune incursion dans un passé qui n’existe que dans notre mental et un futur qui ne peut qu’être hypothétique puisqu’il n’existe que dans notre tête, nous sommes connectés à la totalité de nos plans d’existence. Cela signifie que, sur un plan inconscient, notre corps collationne toutes les informations nous concernant, dans tous nos champs de réalité simultanés, sans que notre mental puisse avoir conscience des transferts qui s’opèrent. Cela est parfaitement adapté à ce que nous sommes, car le mental limiterait au un milliardième la masse d’informations reçues en quelques secondes s’il devait les visualiser et en prendre acte.
Ces informations s’enregistrent dans le corps et leur masse constitue le terreau sur lequel nait nos projets.
De ce point de départ, nous pouvons projeter l’image mentale d’un projet. Nous visualisons un projet que nous portons en nous, qui s’avère la convergence des informations contenues dans le « terreau » que nous portons, lui-même issu de ce que nous sommes, des codes qui nous composent et de toutes les informations que nous recevons des temps et des espaces dans lesquels nous sommes simultanément.
Nous le projetons dans un futur plus au moins lointain et nous le laissons libre de vivre son évolution. N’oublions pas qu’il s’agit d’un temps qui existe déjà simultanément à notre propre perception de l’instant présent et qu’il possède une autonomie en lien avec tous nos plans simultanés. Il est à la fois « nous » et il n’est pas « nous » dans l’instant présent puisqu’il s’agit d’un autre temps.
Nous pouvons y retourner régulièrement pour observer son évolution. Nous avons peut-être le sentiment qu’il s’agit d’une évolution élaborée par notre mental. En fait, il n’en est rien. Ce plan est simplement en reliance avec nous comme tous nos autres plans simultanés et il vit son évolution comme nous vivons la nôtre dans l’instant présent.
A un moment donné, les deux plans peuvent se rejoindre, c’est ainsi que le projet aboutit et s’inscrit dans l’instant présent. Le projet est alors arrivé à matérialisation.
L’autre façon de se positionner est la conscience ordinaire. Nous sentons une envie naitre en nous. Notre mental saisit cette idée et en élabore une forme mentale issue de son analyse et surtout du référencement à ses expériences antérieures. Cela signifie que le mental ne cesse de faire des allers-retour entre un passé qui n’est que le fruit de sa propre élaboration mentale (car qui se souvient? C’est le mental qui retient certaines éléments du « passé » et en rejette d’autres qui ne lui conviennent pas) et le futur qui devient un amalgame de matériaux que le mental met en forme, à force de volonté et surtout en maintenant une perception constante sur le futur.
Dans ce cas de figure, il n’existe aucune présence posée dans l’instant présent. Cela signifie que l’être est à la fois coupé des matériaux générés par l’instant présent, et notamment de l’énergie vitale que l’instant génère, mais aussi de toutes les sources d’informations simultanées existant dans tous les plans, tous les temps et les espaces dans lesquels nous sommes simultanément. Cette projection mentale, par sa force de projection, court-circuite les espaces interstitiels dans lesquels circulent les données et créé une sorte de ligne de force uniquement nourrie par la force du mental et de la volonté.
Autant dire que le projet devient une sorte de coque vide, dépourvue d’énergie vitale, qui, si elle nait un jour, ne sera porteuse que d’illusions créées par notre mental, sans reliance avec la réalité de ce que nous sommes et dépourvues de nos propres énergies.
La fiabilité de cette construction sera donc extrêmement limitée et par définition, vouée à la destruction car ne comportant que peu, voire pas, de reliance avec ce que nous sommes.
Le mode opératoire est donc le suivant :
– laisser naitre une idée de notre être (sa naissance est émise par ce que nous appelons l’intuition)
– la laisser grandir sans que le mental s’empare d’elle (il suffit simplement de l’observer au fil des jours)
– au moment où cela nous semble être le temps, la projeter dans un futur plus ou moins lointain (peut-être en profiter pour la verbaliser, cela lui donnera plus de forces et d’énergie)
– la laisser vivre sa vie en poursuivant notre action dans l’instant présent, tout en observant l’évolution de ce projet en nous
– quand l’échéance de matérialisation est arrivée, mettre en oeuvre le projet qui sera alors bien différent de l’idée première et qui aura profité de tous les apports de l’instant et des informations que vous avez collationné durant tout le temps de son élaboration.
Lavay (Suisse), le 14 décembre 2011, 12h24
LA FIDELITE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMANITÉ, SCIENCE DE SYNTHESE le 8 novembre 2011
Cet article fait partie intégrante d’une série de 9 articles parus ou à paraitre :
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1- Le couple
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2 – La triade
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3 – Le jugement
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4 – Le mariage
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5 – La fidélité
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6 – Le divorce
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7 – Les enfants du divorce
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8 – La transparence
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9 – coutumes et rebellion
L’article qui suit s’inscrit comme la suite de l’article Le Mariage et dans le contexte des articles sur le Couple et la Triade. Il est fortement recommandé de lire ces trois textes en préalable de celui-ci pour comprendre le champ d’observation qui y est développé.
La fidélité dans le Couple reste un des points d’achoppement majeur de notre société. Jusqu’aux années 60, la société occidentale reposait sur un schéma binaire classique, mis en oeuvre par la Tradition judéo-chrétienne. Le Couple se construisait par un acte préalable : le mariage. Il était censé ne pas exister de relations sexuelles entre partenaires avant le mariage. Un des principes fondateurs du mariage sur lequel repose le Couple est la Fidélité.
Après 68, la structure millénaire du mariage et les structures sociales en général ont été remises profondément en cause. Il a alors été prôné l’union libre, ou la pluralité de partenaires. Cela n’est néanmoins resté pour beaucoup qu’à l’état de fantasme ou de potentialité, dans la mesure où le schéma énergétique dominant demeurait le Couple, et son prolongement naturel, le mariage.
Pourquoi la Fidélité constitue-t-elle un des aspects essentiels du Couple ?
On peut bien évidemment parler des valeurs traditionnelles et morales issues de l’emprise de la judéo-chrétienté dans notre société. La Bible énonce dans les Dix Commandements: « Tu ne commettras pas l’adultère ».
Pourtant, il est intéressant et important de modérer cette notion de fidélité et de l’observer dans son contexte énergétique. Une coûtume ou une tradition, quelle qu’elle soit, repose toujours sur une logique énergétique qui conduit à la gestion des équilibres de vie. Elle est le moyen trouvé par les Anciens, puis relayé par les religions, pour donner des principes de fonctionnement à la masse de la population ne disposant pas encore d’une vision énergétique consciente des choses pour fonctionner dans un cadre stable et durable préservant les équilibres sociaux et politiques (voir article Coutumes et Rebellion à paraître).
Il ne faut donc pas rejeter une coutume sous prétexte que nous sommes dans une période de désaffection des anciennes structures. La mutation sociale tend toujours à rejeter en bloc les valeurs anciennes, pour ensuite constater que certaines avaient leur raison d’être. Les nouvelles structures alors se les réapproprient en les reformulant.
Qu’en est-il de la Fidélité ?
J’ai souvent rencontré, sur mon parcours de vie, des êtres qui prônaient ce que l’on appelle « l’union libre ». Je les voyais néanmoins réagir et souffrir lorsque c’était leur partenaire qui rencontrait une autre personne. Pourquoi ?
La notion de fidélité n’est pas un concept intellectuel. Il s’agit de la préservation d’un espace énergétique essentiel pour que le projet de vie et les projets en général puissent se matérialiser.
Dans l’article N°1 sur le Couple, j’ai défini la fonction du couple sur le plan énergétique et quels besoins fondamentaux cette structure permet de nourrir. L’Homme et la Femme (ou les deux partenaires d’un Couple homosexuel ou lesbien) ont des positionnements et des actions complémentaires et créent des apports différents dans l’acte de matérialisation. En d’autres termes, les projets émis par un Couple ne peuvent s’accomplir que par la gestion et le renforcement de cette complémentarité, même si elle s’avère de nature inconsciente.
Imaginez une bulle, bulle énergétique constituée par l’union de deux êtres.
Cette bulle génère une énergie commune qui s’amplifie progressivement et alimente le ou les projets en cours. Cette bulle a besoin d’une certaine durée pour arriver à maturité et être en mesure d’alimenter les projets de vie. Si nous souhaitons que cette bulle soit solide, capable de générer une véritable puissance de création émettant des projets significatifs, c’est-à-dire nourrissant chacun des partenaires, chacun doit se sentir en sécurité. La confiance est un des piliers de la structure du Couple. Sans elle, l’édifice est vacillant et sans cesse remis en question dans ses fondements. Le principe de la confiance repose sur la Transparence (je reviendrai sur cette notion dans un autre article).
Si pour une raison ou une autre, l’un des partenaires noue une relation avec une autre personne. Que se passe-t-il ?
Il y a apport d’une autre énergie. Cette énergie modifie les fondements sur lesquels le Couple a été construit. Sans préjuger de la nature et de la valeur de cette énergie, elle pollue le système mis en place précédemment en introduisant dans la bulle d’autres informations, un autre profil énergétique. Les données de base s’en trouvent perturbées, voire modifiées.
C’est la raison pour laquelle les Anciens ont traduit ce mécanisme par le principe de fidélité. Mariage pour renforcer la présence du Ternaire chez les deux partenaires (voir article N°4 sur la Mariage). Fidélité pour préserver la durabilité et la cohérence énergétique du système ainsi construit.
Ceci est le mécanisme vu d’un premier niveau sur le plan du cheminement de Conscience. La Fidélité est donc un élément indispensable à la pérennité de l’acte d’union et à la création en général. Elle apporte durée, stabilisation, renforcement puis amplification des énergies des deux partenaires.
Dans le contexte du retour à l’être stellaire et de la réintégration de l’énergie du 3, cela se passe de la même façon.
Nous avons vu dans les articles N°2 et N°4, que des couples pouvaient arriver à un point de leur évolution où la présence d’un troisième partenaire s’avérait incontournable.
Dans ce cas de figure, les éléments énoncées ci-dessus sont toujours en vigueur. Il ne s’agit pas d’union libre, mais bien de l’ouverture de la « bulle » du Couple à une troisième énergie et à son intégration en conscience. Cette « bulle à 3″ constitue alors un des plus fantastiques laboratoire de Conscience pour expérimenter et mettre en pratique au quotidien l’Amour inconditionnel (je reviendrai sur l’expérience du Chemin à Trois dans un autre article ».
Ainsi convient-il de restituer à cette notion, qui pourrait sembler surannée en première lecture, ses lettres de noblesse et choisir en Conscience d’être totalement fidèle à ses engagements, mais non pas en entrant dans la frustration et les non-dits (car les élans vers le 3 seront inévitables et irrépressibles), mais en partageant, en toute transparence, les mouvements intérieurs que chacun des partenaires ne manquera pas de vivre intérieurement.
Merci à vous de votre attention.
Sarlat, le 7 novembre 2011, 12h19
REPONSES A LA TRIADE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMANITÉ, SCIENCE DE SYNTHESE le 6 novembre 2011
Après la question posée par M. Van der Elst J. sur l’article LA TRIADE OU LA TRINITE NOUVELLE/ANCIENNE STRUCTURE DE CONSCIENCE, il me semble important de publier en article sa question et ma réponse qui vient compléter ainsi l’article.
question de Mr Van der Elst J. Envoyé le 04/11/2011
Voilà, comme par « Hasard », une réponse à mon questionnement en tant qu’homme, mais qui remonte la réflexion dans la structure de l’Univers plutôt que de la maintenir dans l’émotionnel. Merci beaucoup.
On entend, ces derniers temps, beaucoup parler des amours plurielles qui, je suppose, reflètent le même processus.
Ici, vous ne parlez que de l’homme (la femme apparaît en filigrane)… se pourrait-il cependant que la femme éprouve aussi le besoin d’un deuxième homme pour appuyer un processus énergétique ?
Dans le cas de couples homosexuels, l’un ou l’autre jouant le rôle de femme et d’homme, se peut-il quand même que ce soit celui dans le rôle de la femme qui ait ce besoin ?
Je vous rajoute des questions . Merci déjà pour cet article.
Merci pour vos questions. Je vais bien évidemment vous répondre dans les limites de ma « vision ». Ces propos n’engagent que moi.
Je ne crois pas un seul instant aux « relations plurielles ». J’ai même le sentiment qu’elles sont, elles aussi, encore un moyen que crée l’ego pour escamoter l’Essentiel.
La recherche du 3 repose sur une réflexion consciente :
– au préalable d’abord en localisant les points de tension du couple et en comprenant la nature du 3. Cela se fait très en amont d’une nouvelle rencontre. La nouvelle rencontre n’est que l’aboutissement d’un profond travail de maturation où elle s’impose comme un paramètre indispensable de l’évolution du 2.
– ensuite, l’embryon du 3 se pose alors par la rencontre, mais elle n’est que le point de départ d’un cheminement où les trois partenaires font l’expérience matérielle de l’amour inconditionnel. Cela n’est jamais simple car au-delà des « bagages » de chacun, la charge de l’inconscient collectif d’une part et de l’environnement social d’autre part est terrible. Si le préalable n’a pas été suffisamment maturé, on aboutit obligatoirement à l’échec.
La relation plurielle n’est donc pas de même nature. Elle est une fuite en avant, aussi insatisfaisante pour l’être profond que le 2.
La fidélité, qu’elle soit au 2 ou au 3 est donc essentielle.
Lorsque je parle de l’homme dans mes articles, je me réfère la plupart du temps, par facilité sémantique, à l’humain en général. Je devrais plutôt utilisé l’Homme. Pourtant l’homme est plus susceptible d’entrer dans ce processus, car il possède moins que la femme de possibilités de substitution à ce « manque ».
Dans le cas de couples homosexuels ou lesbiens, le processus est le même si les rôles sont bien marqués. Je n’ai malheureusement pas cette expérience de vie donc il m’est délicat d’en parler. Je peux simplement vous dire ce que j’ai pu observer. Il est clair tout d’abord que je suis sans tabou en la matière. L’axe hétérosexuel est celui qui me correspond dans cette vie.
Pourtant dans ce que je vois autour de moi, mon sentiment est que les « rôles » ne sont habituellement pas totalement « marqués ». Et cela n’a rien à voir avec la sexualité. Je pense donc que chaque partenaire a tendance à passer d’une énergie à l’autre. Ce qui n’est pas simple, évidemment, et peut générer des difficultés émotionnelles, des interrogations, des culpabilités. A moins que chacun soit conscient de cette « alternance ».
Comment la gérer ensuite… Mystère…
Peut-être pourrez-vous apporter vos propres axes de réflexions à mes lecteurs ? Votre sentiment est le bienvenu.
Un grand merci pour la conscience de vos questions.
Daniel Briez
LE JUGEMENT, MIROIR DE SOI-MEME
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE le 3 novembre 2011
Cet article fait partie intégrante d’une série de 9 articles parus ou à paraitre :
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1- Le couple
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2 – La triade
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3 – Le jugement
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4 – Le mariage
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5 – La fidélité
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6 – Le divorce
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7 – Les enfants du divorce
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8 – La transparence
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9 – coutumes et rebellions
Le monde est ainsi fait qu’il nous propose à chaque instant de nous révéler ce que nous sommes.
La loi de résonance apporte l’immense plaisir d’aimanter (du verbe aimer) les choses, les êtres et les évènements qui sont dans la même résonance que nous, pour nous montrer des aspects de nous-mêmes que nous ne voulons pas ou ne savons pas regarder.
Je voudrais ainsi mettre en exergue un rapport à l’environnement qui est présent chez presque chacun d’entre nous : le jugement que nous portons sur les choses ou les personnes.
Nous rencontrons régulièrement dans notre vie quotidienne des êtres ou des évènements avec lesquels nous ne nous sentons pas en accord. Cela est normal puisque la nature-même de ces points de tension est de permettre à notre conscience de faire des expériences et d’évoluer sur sa propre trajectoire.
Nous pouvons analyser nos réactions selon deux axes principaux, selon le focal de conscience que nous utilisons :
– nous pensons que ces êtres ou ces événements ne correspondent pas à nos codes intérieurs, et nous les écartons.
– ces êtres ou ces évènements nous dérangent ou nous choquent, et nous savons que nous avons quelque chose à comprendre à leur contact.
Observons la première attitude.
Est-il possible de rencontrer quelque chose ou quelqu’un qui ne corresponde pas à nos codes intérieurs? Définissons la notion de codes intérieurs.
Les codes intérieurs sont constitués des fréquences génétiques, animiques, luminiques et stellaires que nous avons choisi et formés à notre naissance dans notre corps humanoïde. Ils constituent les éléments qui caractérisent notre expérience d’incarnation dans sa spécificité.
Si nous nous référons à la Loi de Résonance ou d’Attraction, vous comprenez aisément que rien ne peut se porter à notre rencontre sans que nous soyons, sur le plan codal, en résonance avec tout ou partie de ce qui le constitue. L’attitude qui consiste à dire que les choses ne nous correspondent pas et que nous ne sommes pas concernés est donc erronée.
Si notre attitude était juste, nous ne nous porterions pas à la rencontre de cette résonance, quelle qu’elle soit. Elle passerait sa route et nous ne la verrions pas, comme des milliards d’autres informations, personnes ou évènements qui nous échappent complètement à chaque instant, tout simplement parce qu’elles n’ont aucun rapport, direct ou indirect avec nous.
Nous ne pouvons donc jamais dire que quelque chose ne nous correspond pas.
Bien sur, nous pouvons le dire dans l’exercice de notre libre-arbitre. Mais, dans tous les cas, temps qu’elle n’est pas comprise, cette résonance se représente obligatoirement à nous, puisqu’elle est porteuse d’un sens que nous n’avons pas compris ou que nous n’avons pas voulu regarder.
La deuxième attitude correspond à un positionnement plus responsable et plus conscient face à la vie. Cette attitude nait de l’intégration de la Loi d’Attraction. Nous savons que rien ne se produit par hasard et que chaque chose nous renvoie à nous-mêmes, notamment celles qui nous dérangent.
C’est la mise en oeuvre de cet aspect sur laquelle je veux attirer votre attention, aujourd’hui.
Imaginez que vous soyez face à une situation qui vous dérange et qui choque profondément vos convictions et vos valeurs.
Prenons l’exemple d’un couple d’amis très proches dont le mari noue une relation avec une autre femme. Nous sommes dans un schéma de société archétypal qui nous renvoie à l’énergie du 3.
Face à cette situation, nous avons deux attitudes possibles:
1) Nous pouvons portez un jugement rédhibitoire sur cet homme en estimant qu’il ne respecte pas ses engagements. Nous ne nous préoccupons pas des motivations de chacun (les trois acteurs de cette situation). Nous ne cherchons pas à connaître l’histoire de chacun dans ces évènements, leurs positions respectives, ni comment chacun de ces acteurs peut vivre cette nouvelle structure de vie, ni ce qu’ils ont pu échanger entre eux.
Nous faisons une simple lecture de cette situation, à travers le focal sociétal du couple et de la maitresse. Nous restons bloqués dans nos visions personnelles et/ou croyances philosophiques, familiales, sociétales ou religieuses. Et si nous nous sentons particulièrement choqués, nous ne regardons pas à quoi cela nous renvoie en nous-même.
Il est probable que nous portons l’un de ces scénarii en nous :
– Nous avons pu souffrir dans notre trajectoire de vie, soit nous-même, soit au niveau de nos parents, d’une situation analogue basée sur le manque de clarté et le mensonge.
– Nous portons une frustration inavouée pour avoir désiré vivre une relation parallèle à notre couple et ne pas nous être autorisé à le faire.
– Nous sommes porteurs d’une croyance philosophique ou religieuse qui nous interdit de vivre une relation à trois.
– D’autres hypothèses peuvent s’émettre, mais mon propos n’est pas d’être exhaustif.
Ce qui est certain, et nous le ressentons dans notre corps et nos émotions, c’est que l’information nous percute. Nous sentons une tension en nous. Une colère, une angoisse ou une agressivité monte en nous. Nous ne cherchons pas à connaître les véritables tenants et aboutissements de cette situation. Nous jugeons et nous rejetons.
Ceci est l’énergie du jugement dans tout son déséquilibre.
2) Nous pouvons simplement recevoir l’information. Nous sentons qu’elle nous secoue. Nous sentons monter une colère en nous. Sachant qu’il s’agit d’un mécanisme-miroir, nous ne prenons pas de positions hâtives dictées par le plan émotionnel et mental. Nous nous plaçons dans l’observation de nous-même. Peut-être ne comprenons-nous pas ce que nous avons à regarder face à cette situation. Mais nous restons dans un statut-quo. Nous réservons nos conclusions et laissons l’énergie faire son chemin en nous jusqu’à ce qu’elle nous révèle ce que nous avons à comprendre.
Il va sans dire que seule la deuxième attitude est constructive et formatrice. Elle nous révèle quelque chose à nous-même. Nous permet de localiser des manques, des frustrations, des systèmes de croyance ou des chocs que nous n’avions pas identifié jusqu’à présent et nous permet de mieux comprendre l’Autre, ou des aspects de la vie dont nous n’avions même pas conscience.
Gardons nous donc bien de juger et si cela se produit,
utilisons ce déséquilibre comme moyen de cheminement de notre conscience.
Sarlat, le 26 Octobre 2011, 21h56
LA TRIADE OU LA TRINITE NOUVELLE/ANCIENNE STRUCTURE DE CONSCIENCE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE le 2 novembre 2011
Cet article fait partie intégrante d’une série de 6 articles parus ou à paraitre :
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1- Le couple
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2 – La triade
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3 – Le jugement
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4 – Le mariage
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5 – Le divorce
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6 – Les enfants du divorce
La lecture préalable de l’article « Le couple, organe de transfert et de mutation des énergies stellaires et terrestres » est impérative à la compréhension de l’article suivant. Il ne peut être compris que dans ce contexte.
Cet article est le n°2/6 de la série Codes identitaires, Energies et Matérialisation. Il doit être lu en préalable des articles sur le Mariage et le Divorce afin que le lecteur puisse avoir une vision générale et complète des énergies mises en oeuvre par les processus de matérialisation.
Dans l’article sur le Couple, nous avons observé comment l’homme porte en action la convection des énergies stellaires et terrestres pour alimenter en énergie ses actions.
Nous avons vu également que sans la femme, il ne peut réellement faire aboutir, d’une manière globale et complète, ses actions, s’il n’est pas inscrit dans une relation de couple; en d’autres termes, si la femme n’est pas présente à ses côtés pour catalyser ses énergies, les mettre en terre à travers sa propre capacité de matérialisation pour leur donner corps, il ne peut réellement donner corps à ses projets.
Je voudrais maintenant revenir sur les origines de l’Homme, et notamment la construction énergétique et biologique du corps physique. La biologie cellulaire a mis en évidence (et elle l’a photographié) que la partition cellulaire se produisait par la mise en mouvement d’une forme géométrique tétraèdrique, cette structure étant celle qu’utilisent les cellules-souche pour produire d’autres cellules.
En marge de cet article, un paradoxe qui mérite réflexion. La biologie a démontré que les cellules-souche sont immortelles. A tel point qu’on les utilisent depuis quelques années, en laboratoire pour produire d’autres cellules qui servent à fabriquer des vaccins et autres substances. Pourquoi alors les cellules qu’elles produisent pour notre corps ne sont pas immortelles? Bon sujet de réflexion sur lequel nous reviendrons ultérieurement…
La structure tétraèdrique de la partition cellulaire représente la résonance cellulaire sur laquelle nous sommes construits. Elle est l’énergie du 3.
A l’origine de la race humaine terrestre, l’être humain stellaire (humanoïde originel) est parvenu sur la Terre par le biais de son « Corps de Lumière » (référence biblique). Je préfère utiliser le terme hébraïque « Merkabah ». Dès son apparition sur Terre, la structure ternaire de l’humanoïde stellaire s’est révélée mal adaptée à la fréquence de la planète Terre. C’est ainsi qu’elle a été transformé en structure quaternaire (4), au moment de la fondation de la civilisation égyptienne (pyramides), afin de permettre à l’Homme de définitivement s’incarner sur cette planète et d’acquérir un mental individualisé. Cela lui a permis d’entrer dans une conscience individuelle de sa nature terrestre et de mieux remplir son rôle: poser la Conscience au sein de la Matière. Ce n’est qu’à ce prix qu’il a pu s’inscrire dans une conscience terrestre et individualisée.
Malheureusement, le prix à payer a été d’oublier son origine stellaire.
L’empreinte énergétique du 3 est néanmoins demeurée, ce d’autant plus que la structure de partition cellulaire est restée la même.
Cette réalité énergétique et biologique de la structure tétraèdrique pousse l’humain vers le 3, consciemment ou inconsciemment.
A mon sens, il ne faut pas chercher plus loin la raison pour laquelle toutes les grandes traditions religieuses sont basées sur le 3, sur la Trinité ou la Triade (Père/ Fils/Saint Esprit, Shiva/ Shakti/ Vishnou, etc.).
Toutes les traditions énoncent que nous ne pouvons atteindre l’Eveil (le Paradis, Le Nirvana, l’Illumination, etc.) sans la réintégration du 3, autrement dit la Trinité.
Temps que nous ne retrouvons pas la structure du 3 en mutant le 4, nous ne pouvons retrouver notre état d’être stellaire et restons incomplet.
C’est cette « urgence » du retour à l’Unité qui nous pousse vers le 3.
Je souhaite ainsi attirer l’attention du lecteur sur un phénomène de société qui pourrait paraître, en première lecture, complètement décalé ou polémiste. Elle est néanmoins essentielle et pose un autre focal sur un phénomène pour lequel la société possède encore de forts préjugés, et qui, pourtant a toujours été partie intégrante du rapport entre l’Homme et la Femme.
Je demande au lecteur de vraiment poser un temps de réflexion sur les lignes qui suivent sans entrer dans ses systèmes de croyance ou ses tabous sociétaux…
Cet article doit impérativement être lu après la lecture préalable de celui intitulé « Le Couple, organe de transfert et de mutation des énergies terrestres et stellaires. Il ne peut réellement être compris que dans ce contexte.
Il a toujours été dit que derrière tout homme important sur la planète, tout homme jouant un rôle transformateur sur les plans social, économique ou collectif, se tient une femme. J’ai tenté de démontrer dans mon article sur « Le Couple, … » que ce schéma énergétique était incontournable pour réaliser une matérialisation à partir du moment où elle nécessitait une puissante énergie et avait trait au collectif.
Pour aller jusqu’au bout de ce raisonnement, il faut parler de la structure conjugale à 3. Il est extrêmement fréquent dans notre société, et cela a pratiquement toujours été dans toutes les cultures, tous les temps et toutes les civilisations que l’homme installé en couple développe, à un moment donné de la trajectoire d’évolution du couple, une relation avec une deuxième femme. Il serait sain de véritablement s’interroger sur la raison profonde qui incite un homme installé avec une femme depuis de nombreuses années et souvent heureux, à chercher une autre partenaire, alors qu’il sait qu’il a toutes chances de générer un conflit majeur et d’aboutir à une rupture de sa structure de vie. Bien des hypothèses ont été émises : l’homme est volage (facile…), l’homme est versatile (non…), l’homme est un prédateur (surement pas dans ces circonstances qui sont celles de l’amour…), etc.
En fait aucune explication n’est réellement recevable et ne répond à l’universalité du phénomène.
J’ai une autre hypothèse à vous proposer.
Depuis des millénaires, la présence du 3 dans notre structure énergétique a été occultée. Les religions, connaissant la structure magique et la puissance de matérialisation et de conscience du 3 n’ont jamais eu aucun intérêt matériel (elle perdrait leur fonds de commerce) à ce que leurs croyants accèdent au 3, et par ce biais, à l’Illumination ou au Paradis sur Terre. On a toujours voulu faire croire que cet état de conscience et cet état énergétique ne pouvaient être accessibles dans une réalité incarnée.
Or, quand les besoins d’un homme deviennent trop puissants sur le plan de la réalisation matérielle et énergétique des choses, la femme qui l’accompagne ne peut plus, physiquement et énergétiquement parlant, muter la charge qui doit être mise en terre. Elle s’épuise et, à un moment donné, risque de rompre sur le plan physique (maladie, déséquilibre mental, dépression, épuisement). Cela a pour conséquence, d’une manière très naturelle mais le plus souvent totalement inconsciente, pour l’homme, de chercher l’appui d’une autre femme.
Deux solutions.
La première : la mise en place de l’archétype social couple/amant ou maitresse, avec tous les désordres sociaux et émotionnels que cela crée (colère, mensonge, trahison, frustration, déception, etc.). Il s’agit d’une relation de conscience de premier niveau par laquelle l’homme répond à ses pulsions inconscientes, sans être capable d’en analyser les mécanismes. Il s’ensuit chez lui une culpabilité profonde et un manque total de transparence. Il est néanmoins poussé dans cette direction pour une force intérieure et se voit obligé d’avancer dans cette direction. L’amour est exclu de ce niveau même si les arguments développés par l’homme inconscient tournent toujours autour de l’amour.
La seconde : la transparence générée par l’amour que l’homme se porte en tout premier lieu à lui-même, et par voie de résonance, à sa femme légitime. L’homme est conscient du besoin énergétique qu’il ressent et de ce que cela lui demande, et demande à la relation de couple. Ils savent, la plupart du temps, à l’avance, qu’une autre femme va entrer dans le champ énergétique de leur couple. Ils en parlent et explorent tous les mouvements émotionnels et mentaux que cela enclenche ou enclenchera au moment opportun.
Deux possibilités dans ce mouvement :
– Soit la puissance d’amour entre les deux est suffisante et ils dépassent les attachements émotionnels habituellement en place. Il faut noter que ce travail de détachement est rendu difficile par le poids de la charge collective générée par les archétypes du couple et de l’adultère, même si la notion d’adultère n’est absolument pas à mettre en lien avec ce schéma. Cette démarche permet de véritablement comprendre la nature de ce qu’est le détachement, constitué d’un amour profond entre les êtres, détaché des empreintes émotionnelles.
– Soit les empreintes sociétales ou émotionnelles sont trop importantes et le couple aboutira, à terme, à une rupture car la structure énergétique en place ne correspondra plus aux besoins d’évolution des deux êtres.
Dans la première possibilité, la relation à 3 peut s’établir. Elle peut être sexuelle, mais elle ne l’est pas obligatoirement. La dimension sexuelle amplifie considérablement l’apport énergétique mais elle doit se poser naturellement, sans interférence du mental, si elle s’avère nécessaire. C’est un mouvement naturel des corps qui s’appellent.
La relation sur laquelle repose ce mécanisme, est mentalement et émotionnellement profondément comprise par les 3 acteurs. Elle demande un profond amour circulant entre les trois acteurs de cette triade, un excellent niveau de communication, un profond respect de l’autre et un profond détachement émotionnel.
Mon sentiment est que c’est dans ce mécanisme qu’est né la polygamie présente dans la culture musulmane qui constitue une belle manifestation de sagesse. Cela nous donne également une autre compréhension de la présence des harems pour les Rois ou Pharaons, ou de la multiplicité des partenaires pour nos Rois et nos dirigeants. Cela explique l’attraction du 3 chez l’homme.
Si nous portons notre réflexion plus loin, nous perdons alors toutes les culpabilités et les non-dits que nous avons pu vivre dans notre vie d’adulte lié à cet appel, que nous soyons homme ou femme. La compréhension de ce schéma constructeur élimine la principale source de souffrance dans le Couple. Autant dire que dans cette perspective, la notion d’adultère est un non-sens.
Mais attention, la Triade demande un parfait alignement, un immense respect et amour de l’Autre et des Autres, un haut niveau de conscience, et une capacité de remise en question de soi-même permanente. Il est exigeante à mettre en place et à péréniser sur une longue durée.
Article commencé le le 27 octobre, 16h09 et terminé le 1er novembre 2011, 12h14 pendant Congrès d’Anglet sur Handicap et médecine quantique