Archives de la catégorie HUMEUR
4 minutes de grâce…
Publié par Daniel Briez BLOG dans ACCUEIL, Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 28 avril 2020
THÉRAPIE ALTERNATIVE OU CHARLATANISME : LA LITHOTHÉRAPIE
Publié par Daniel Briez BLOG dans CRISTAUX & SANTÉ, Daniel Briez, HUMEUR le 24 mars 2017
Depuis vingt-cinq ans, j’enseigne et donne des conférences sur la Lithothérapie. Cette science millénaire étudie l’usage des minéraux à des fins de soin ou de mieux-être. Très tôt, dans son histoire, l’homme a observé que certains minéraux avaient des vertus soignantes. Ces connaissances, à travers le travail des alchimistes au Moyen Age, ont été à l’origine de l’industrie chimique et ont été oubliées lors de son essor. Elles ont réémergé dans les années soixante-dix, aux Etats-Unis. Elle s’est ainsi teintée d’illusions et d’ésotérisme comme toutes les techniques issues du New Age. De grands efforts de recherche et de pédagogie ont été fait par mes confrères et moi-même pour sortir cette science de son environnement sulfureux. Aujourd’hui, ce travail a porté ses fruits. Il paraît bon nombre d’ouvrages sérieux, et le grand public admet qu’une pierre peut avoir des effets sur le corps humain. L’intérêt de ce mode thérapeutique s’accroit d’année en année, de plus en plus mentionné dans la presse jusqu’à en faire un « sujet de société ».
Les professionnels oeuvrent pour que cette science soit prise en compte, aussi bien près des professions de santé que du public. Les informations que nous donnons sur les bienfaits et vertus des pierres reposent sur des observations empiriques. Lorsque le même effet d’une pierre a été constaté sur des centaines, voire des milliers d’individus, nous pouvons affirmer qu’elle possède la vertu qui lui est attribuée (cela s’appelle une « revendication » dans la profession). C’est de cette façon que la médecine allopathique a été construite. C’est une méthode éprouvée et avérée qu’utilise pratiquement toute la recherche.
Il est clair que la Lithothérapie ne peut se substituer à la médecine conventionnelle. Son action peut se rapprocher de la façon dont fonctionne l’homéopathie ou la médecine énergétique chinoise. Lorsqu’une maladie se déclare, il est évident qu’il est déjà fort tard dans le processus de déséquilibre de la santé. A ce moment-là, seul l’usage de la médecine conventionnelle ou de la chirurgie sont en mesure d’apporter une solution de santé. Comme la médecine énergétique, chinoise ou autre, la lithothérapie ne peut être utilisée que bien un amont d’un symptôme en travaillant sur les plans émotionnels, mentaux et somatiques, dont les déséquilibres auront parfois des effets dominants dans le déclenchement de certains troubles physiologiques. Ils agissent au même titre que les compléments alimentaires ou les huiles essentielles. Mais en aucun cas, ils ne peuvent se substituer à un traitement médical.
Alors, lorsque je lis sur les sites internet de certaines personnes que je ne pourrais sûrement pas qualifier de « confrères » tant leurs assertions sont à des années-lumière du travail des gens sérieux de cette profession, des affirmations qui relient :
– le cholestérol à la Topaze impériale
– la constipation à la Tourmaline noire
– le coryza à l’Emeraude
– les troubles cardiaques à l’Aventurine
– ou les grincements de dent (!!!) à la Sugilite,
je crie au charlatanisme et me demande ce qu’attendent les institutions pour stigmatiser et empêcher de nuire de tels individus. Ces délires ne font pas du bien à notre noble profession. Leur manque de sérieux et les croyances qu’elles véhiculent, dégradent l’excellent travail que fait la majorité de mes confrères, donnant du grain à moudre à ses détracteurs. Aussi, je dis à mes lecteurs : s’il vous plait, lorsque vous lisez de telles bêtises, faites preuve de discernement et ne croyez pas que les minéraux, même s’ils sont de précieux « ouvreurs de conscience », peuvent soigner des maladies. Cela est faux. Il est scandaleux de jouer sur la crédulité des gens.
Faites-vous les ambassadeurs de vos propres expériences, et n’hésitez pas à partager avec vos amis les expériences que vous avez pu réaliser avec les minéraux. C’est en partageant des informations sérieuses, dans le plus grand nombre, que nous pourrons éradiquer ces charlatans de notre profession. Alors pourra se diffuser cette magnifique science qui répond au besoin de mieux-être de notre société. Merci de votre écoute.
Daniel
LA PERCEPTION DE L’EXISTENCE NE REPOSE PAS SUR DES CROYANCES
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, Daniel Briez, HUMEUR le 26 janvier 2017
L’ensemble des questions existentielles que vous pouvez vous poser ne peut trouver réponse sur un champ de réalité reposant sur des croyances erronées. Ainsi en est-il d’un être qui pense percevoir le sens de ce qu’il est et de ce qu’il doit faire, mais qui se trouve confronté à une impossibilité matérielle de réaliser ce qu’il porte, sans comprendre le sens de cette impossibilité.
Vous avez donc à abandonner la perception et la croyance que vous avez de l’âme. L’âme n’est pas cette version mentale et « éternelle » de votre ego sur laquelle vous avez basé votre croyance en l’éternité. Il n’existe pas dans l’univers de construction énergétique de cet ordre. En d’autres termes, l’âme telle que vous la concevez n’existe pas. Partant de là, l’ensemble des perceptions et des croyances reposant sur l’âme ne sont que constructions purement mentales. Il ne faut pas chercher plus loin la raison de votre impossibilité à appréhender votre atemporalité et votre éternité. Or, tant que vous ne sortez pas de votre temporalité, vous ne pouvez percevoir la tessiture de la Conscience, et donc ne pouvez ajuster votre parcours d’expérimentation aux besoins des perceptions de votre conscience.
Je sais qu’il est extrêmement difficile pour vous de comprendre ces phrases. Pourtant, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vous vous trouviez dans l’impossibilité de localiser physiquement votre âme ? Pourquoi également éprouviez-vous parfois la sensation d’être plusieurs corps à la fois, placés en différents temps ou différents lieux ? La réponse se situe dans ce mode de perception.
L’adjonction d’un « cinamum* » temporel permet à votre structure d’appréhender ce qu’elle est. L’abandon des croyances nécessite une grande fluidité. Vous pouvez partir du principe que vous ne comprenez rien à ce qui vous définit et vous entoure, et que toute tentative allant dans le sens d’une définition de votre environnement et des systèmes qui vous régissent, est, par définition, vouée à l’échec, car reposant sur l’émanation de sensations et de perceptions d’un système (vous) perçu à partir d’une base erronée. Quelle peut-être la solution ?
Simplement vous contenter de vivre votre réalité spatio-temporelle, sans tenter de la définir, mais en répondant positivement aux stimuli de toutes sortes que vous adresse l’univers. La création d’espace-temps qui en résultera vous permettra alors de retrouver un nouveau mode de perception établissant un lien entre votre réalité spatio-temporelle et la Conscience manifestant une expérience à travers vous.
* cinamum : structure temporelle reposant sur un fractionnement de l’espace-temps permettant d’établir un focal entre la perception atemporelle d’un système et sa matérialisation dans un espace-temps défini.
MON PERE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 1 février 2015
Mon père est mort cette nuit.
Difficile de parler de son père. Mon père était forcément un héros, un superman. Plus objectivement, parti de rien, il a construit durant 63 années avec ma mère, une famille. Fils unique, issu lui-même d’un fils unique, élevé par sa mère, il a donné naissance à trois enfants (ma soeur, mon frère et moi-même, l’ainé des trois), 7 petits enfants et 10 arrières-petits enfants. D’une lignée au bord de l’extinction, il a su donner au monde une famille de 20 personnes, toutes porteuses d’amour et d’attention pour les autres.
Pourtant, ce n’était pas gagné pour lui. Né avant-guerre, il n’eut la chance de faire des études que parce que son intelligence et sa précocité avaient été identifiées par le prêtre de sa paroisse de naissance (Epinac, petite ville de Saône et Loire) qui proposa à ma grand-mère (femme de ménage) de l’envoyer au Petit Séminaire d’Autun pour faire des études. Il quitta cette institution à 18 ans pour « monter » à la capitale, en en gardant une profonde animosité pour l’institution religieuse. Ce fut probablement ce qui fit naitre en lui la profonde tolérance qui était la sienne et sa conviction inéluctable pour l’athéisme. Il poursuivit, en cours du soir, l’école des Arts et Métiers. Autodidacte, il construisit ainsi sa carrière de chercheur et d’ingénieur en même temps qu’il se colletait au délicat métier d’être père.
Autant dire, compte tenu de ses origines, de sa génération, et de son parcours, qu’il ne parlait pas beaucoup. Nous, ses enfants, lui en avons longtemps voulu, étant encore dans le besoin de reconnaissance et d’absolu que l’on demande toujours à son père et à sa mère.
Cette « absence » de communication était néanmoins compensée par l’immense amour qu’il portait à ma mère, et surtout la bonté, l’amour des autres et la tolérance qu’il émettait dans sa vie de tous les jours.
Vous aurez compris, qu’en temps qu’enfant, je n’ai pas beaucoup vu mon père. Papa travaillait. Il se levait à 5h du matin tous les jours, travaillait pendant deux heures à ses cours ou à ses dossiers, puis partait au travail avant que nous nous levions. Il rentrait à 8h du soir, au moment où nous nous couchions. Maman lui faisait alors le rapport de nos activités quotidiennes et surtout lui transmettait toutes les « bêtises » que nous avions pu faire dans la journée.
Nous ne voyions Papa que le week-end. Le samedi, il faisait les courses avec Maman. Restait le dimanche, où il avait quelques heures de détente, qu’il passait soit à lire des revues techniques dans le domaine de l’automobile et de l’électronique, soit à créer des appareils électroniques, soit à bricoler, soit à faire des mathématiques pour se détendre (moi qui n’était pas doué pour les maths, je me demandais toujours comment il pouvait prendre plaisir à développer des équations à 4 ou 5 inconnues).
Nous partions un mois en vacances l’été. A ce moment-là, nous le voyions un peu plus, mais nous étions trop occupés à partager nos jeux avec les copains et à nous évader pour apprécier le temps que nous aurions pu passer avec lui. Puis la rentrée se faisait, et nous reprenions tous le rythme quotidien qui a été celui de mon enfance et de mon adolescence. En fait nous ne nous voyions pratiquement qu’au moment des repas dominicaux, ce jusqu’à mon départ dans la vie de jeune adulte.
Ce n’est que plus tard (à 25 ans) lorsque j’eut mon premier fils (Gaël) que j’ai commencé à découvrir mon père. Il était plus âgé (la cinquantaine), proche de l’âge d’une pré-retraite qu’il prit à 56 ans. Et surtout, il avait du temps… qu’il consacrait, avec ma mère à s’occuper de son petit-fils, Gaël, puis de ses autres petits-enfants lorsqu’ils furent nés.
Maman était vraiment heureuse lorsqu’elle pouvait tous nous réunir autour d’une table, ou quelques jours dans la modeste maison familiale, en Bourgogne. C’est ainsi que s’est construit une période de bonheur, emplie de séjours d’été en Bourgogne, de vacances à la montagne ou chez eux, avec leurs petits-enfants. Nous, ses enfants, totalement absorbés par nos activités personnelles qui tournaient toutes autour d’une « recherche de conscience », le voyions toujours « entre deux portes », et surtout en étant incapables alors d’avoir le recul nécessaire pour tenter de communiquer avec lui.
Nos préoccupations étaient tellement différentes des siennes, qu’il me dit même un jour : « Tu sais, je me demande vraiment comment, avec ce que je suis, j’ai pu faire des enfants comme vous. » Sous entendu : « Je me pose beaucoup moins de questions sur la vie que vous vous en posez ! »
Il se disait athée convaincu. Il n’a jamais, durant toute sa vie, changé de position. Il ne risquait d’ailleurs pas vraiment de le faire tant il ne parlait jamais de ce qu’il pensait. Donc pas de débats d’idées, sauf parfois en politique où il avait ses idées, mais où il était toujours ouvert à celles des autres. Et c’est sûrement la première qualité que j’ai découverte chez lui, dès l’adolescence. La façon dont il ne jugeait jamais personne a sûrement beaucoup fait en moi dans l’ouverture à de nouvelles idées et dans l’ouverture aux autres.
En bref, Papa était un père parfait (compte tenu de là d’où il venait et de l’intense difficulté de son parcours de vie sur le plan de la santé). Je sais qu’il a souffert de la faim, qu’il a souffert physiquement (il eut le douloureux privilège de subir la première opération rénale permettant l’extraction de calculs rénaux qu’il avait probablement depuis l’enfance – ce qui lui a permis de rester vivant jusqu’à l’âge de 87 ans). Il n’en a jamais parlé. J’ai su tout cela par ma grand-tante qui l’a élevé avec ma grand-mère.
Un père parfait car il a parfaitement rempli ce qu’il a considéré comme ses « obligations » de père : subvenir aux besoins de ses enfants, les nourrir, les loger et leur permettre de faire des études et leur apporter l’amour et la chaleur d’un foyer qu’il n’avait pas beaucoup connu lui-même. Il n’a jamais failli, et je sais que cela était essentiel pour lui. Maman a eu l’énorme charge de la gestion du quotidien de trois enfants en bas-âge alors qu’elle était une toute jeune femme. Nous avons ainsi pu, tous les trois, construire nos vies, dans de bien meilleures conditions que celles qui avaient été les leurs, et construire notre propre parcours familial (avec beaucoup moins de succès que mes parents sur le plan matrimonial, mais les générations n’étaient plus les mêmes – nous étions de l’après-68).
Un père, un grand-père et un arrière grand-père parfait parce qu’il a su témoigner et transmettre un profond amour de la famille à toutes les générations suivantes. Il a accompagné chacune d’elles par sa présence, sans jamais imposer quoique ce soit, ni même parler de ses opinions sur les choses, tant il était respectueux de la pensée de chacun.
Un père parfait car il a montré par la puissance du vécu, ce qu’est un véritable amour dans le couple, incarné dans son quotidien avec Maman, non pas pour démontrer quoique ce soit, mais simplement parce qu’il était cela. Quelques semaines avant sa mort, lorsqu’il regardait Maman, nous surprenions toujours le regard amoureux qu’il n’avait qu’avec elle, avec la même intensité que celle qu’il devait avoir lorsqu’il l’a rencontré à l’âge de 23 ans.
Un père parfait car il a su me transmettre des valeurs essentielles sans me les imposer et sans même en parler. Pour moi, il a été le vivant modèle de l’exemplarité. C’est en le regardant vivre que j’ai pu construire mon sens des valeurs. La plus importante a été la tolérance. La tolérance était une qualité qui m’était étrangère. Lorsque je me sens entrer dans le jugement vis-à-vis des autres, je pense à lui, et je me réajuste. La valeur d’exemple de la tolérance qu’il portait sur toutes choses, m’a permis de contacter en moi l’empathie, puis l’écoute. L’écoute m’a amené à l’observation réelle de ce qui m’entourait. L’observation à la perception des énergies et de leurs mécanismes. En fait, je lui dois tout ce que je suis.
Alors aujourd’hui, tu es parti. Cela faisait plusieurs mois, plusieurs semaines, plusieurs jours que nous savions que tu allais le faire. Ton corps ne pouvait plus assumer ses fonctions vitales. Les maintenir aurait été de l’acharnement. Et pour quoi faire… alors qu’il ne te permettait plus de vivre une vie normale. Alors tu es parti…
Il reste un vide, mais aussi une grande paix. La paix que tu as toujours porté, même si bien des choses te dépassaient. La paix que tu as toujours émis, car je n’ai du te voir qu’une seule fois en colère en 61 ans de vie, le jour où, adolescent, je t’avais manqué de respect.
Alors merci. Merci d’avoir été ce que tu as été. Merci d’avoir autant aimé Maman et de m’avoir montré ce qu’est l’amour. Merci de m’avoir donné la vie. J’espère vivre encore longtemps pour porter le témoignage de ce que tu m’as légué.
A bientôt
Je t’aime, Papa
Daniel
Pour vous tous :
Ce texte est venu spontanément, quelques heures après avoir appris, durant un voyage en Indonésie, que mon père était décédé la veille. Cela a été ma façon de vivre mon chagrin. Je me suis demandé si je devais publier ce texte sur mon blog. Puis je me suis rappelé que Papa lisait mon blog, sans jamais m’en parler. C’était, en quelque sorte, notre façon de communiquer ensemble.
Puis j’ai rapproché mon histoire avec Papa, de celles des personnes de ma génération que j’accompagne en formation, et qui témoigne un peu de la même histoire que la mienne dans leur rapport avec leurs parents. Rapports empreints d’amour, de colère, de non-dits. En fait, rapports de vie. C’est cela qui m’a décidé à partager cette intimité avec vous. Et surtout, je ne pouvais pas mieux rendre hommage à Papa pour ce qu’il a été dans sa vie qu’à travers de ce qu’il a fait de moi : un écrivain.
Merci à vous.
Post-scriptum à Papa
Quarante-huit heures se sont écoulées depuis ton départ. Aujourd’hui, je sais que tu es étonné. Tu pensais qu’après la mort, n’existait que l’inexistant et le néant. Je sais que tu en avais peur. Tu sais maintenant qu’il n’en est rien. Pour quelques temps encore, tu nous vois, tu partages notre présence et tu es étonné de cela. Tu vois : c’est un nouvel espace de bonheur et de vie. Tu nous entends. Tu nous sens. Tu vois ce que nous faisons. Ta vie ne s’arrête pas là…
Alors, tous ici rassemblés en ton honneur, nous te disons à bientôt, et te disons combien nous avons hâte de repartager ces moments de bonheur avec toi. Bon repos, Papa.
GLUTEN et LACTOSE – Témoignage
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 24 novembre 2014
Depuis plusieurs années, j’entendais parler des méfaits du gluten sur la santé, sans pour autant vraiment y porter l’attention. Mon accident vasculaire d’avril 2012 m’a obligé à être extrêmement vigilant aux besoins de mon corps et à être attentif à ses réactions. J’ai dû apprendre à gérer une douleur permanente liée à l’ablation de deux muscles redresseurs de ma jambe gauche. Pendant plus d’une année, je n’ai pu fonctionner qu’à l’aide de calmants morphiniques, sous contrôle médical,, à raison de 50 à 60 mg par jour. La douleur, comme je l’appris plus tard, provenait de la lente repousse des terminaisons nerveuses qui avaient été sectionnées, voire supprimées, lors des trois interventions chirurgicales qui avaient permis de sauver ma jambe.
Lors d’une consultation avec un ami ostéopathe, celui-ci me dit que je ne pourrais plus marcher d’ici quelques années si je ne supprimais pas tous les facteurs inflammatoires, me précisant que le gluten et le lactose constituaient dans l’alimentation les plus gros facteurs aggravants des états inflammatoires.
Je diminuais ma consommation de produits contenant du lactose depuis une vingtaine d’années, mais mon alimentation comportait une part importante de pain qui constituait une de mes bases alimentaires. Je supprimais donc radicalement et sans délais tous les produits contenant du gluten et du lactose. Parallèllement à cela, nous mîmes en place une cuisine à la vapeur. Je fus infiniment surpris du résultat. En quatre jours, je divisais ma dose de calmants par deux. En dix jours, je supprimais la totalité des calmants de jour, ne conservant que celui qui me permet de m’endormir le soir, lorsque ma journée de travail a eu pour conséquence de faire gonfler l’oedème de ma jambe gauche qui est toujours la signe d’une journée encore trop chargée.
Bilan
Cela fait maintenant cinq mois que j’ai changé mon alimentation. Mon transit intestinal n’est plus douloureux. Les douleurs des terminaisons nerveuses ont quasiment disparu.
En prime, j’ai pu constaté que dans le mois qui a suivi la suppression du gluten, j’ai retrouvé une sensation de « lumière », au niveau du cerveau, que je n’avais plus connu depuis la quarantaine. J’ai alors compris combien l’empoisonnement au gluten et au lactose place sous dépendance émotionnelle, combien cela empêche de penser clairement et surtout de réfléchir en se posant les vraies questions.
De là à s’interroger sur le sens de cet empoisonnement quotidien généralisé de la population. N’est-il pas construit délibérément pour maintenir les populations dans une passivité totale ? Nous sommes en droit de nous interroger et de poser les questions. Je confie cette réflexion au lecteur.
Pour le moins, il est clair pour moi que cette « dictature » du gluten et du lactose dans l’alimentation de notre société ne concoure pas à nous aider à clarifier nos esprits pour trouver les « bonnes » solutions aux mutations que nous connaissons.
En conclusion, je ne saurais trop conseiller à chacun d’opter pour une alimentation sans gluten et sans lactose et à la vapeur. Ma difficulté était le sevrage du pain qui est un aliment que j’adore. Nous avons donc fait du pain à la maison, avec des farines ne contenant pas de gluten. Après quelques essais malheureux, nous faisons maintenant tous les deux jours un pain délicieux qui répond à notre goût. Chacun peut y ajouter ses « variantes » qui en font un met de choix et de créativité culinaire. Le reste se gère très facilement, y compris en déplacement, puisque je « nomadise » sur le plan professionnel durant de longues périodes.
INSTERSTELLAR, de Christopher Nolan : une mise en image d’une singularité quantique, l’homme
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 19 novembre 2014
Depuis 1998, mon cheminement personnel m’a amené à explorer à travers des états de conscience modifié d’autres niveaux que celui dans lequel nous évoluons : l’espace-temps linéaire (celui de l’horloge), vision communément admise par la quasi totalité de l’Humanité.
Ces voyages m’ont permis d’accéder à différents niveaux d’information et « d’observer », ou plutôt je devrais dire de « ressentir » différents espace-temps, mais surtout de vivre corporellement la discontinuité des temps et des espaces telle qu’Einstein l’a démontré.
Je viens de voir le film « Interstellar » qui m’a vraiment interpellé. Le réalisateur, Christopher Nolan (Inception, The Dark Knight) a su, pour la première fois dans l’histoire du cinéma, mettre en image le concept de temps discontinus. Il a su intégrer visuellement dans son film la notion « d’espace intersticiel », qui, sur le plan Matière, est la seule notion qui permette de comprendre pourquoi l’homme constituant la focalisation d’une discontinuité d’espace-temps éprouve néanmoins la sensation d’être vivant dans une continuité de temps comprenant un passé, un présent et des futurs.
Le message de ce film est que le lien reliant ces discontinuités n’est qu’une seule énergie : l’Amour. Je pense avoir l’occasion de revenir de multiples fois sur cette notion. Mais, je ne possède pas de mots assez amples pour remercier ce réalisateur qui m’a permis de comprendre le lien qui existe entre le Quantique et l’Amour.
Je ne saurais trop conseiller à chacun de voir et revoir ce film et je serais heureux de partager vos points de vue.
Amour et Lumière
Daniel
à lire en complément dans Télérama :
Christopher Nolan raconte en BD un chapitre manquant d’“Interstellar”
La Déesse
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 4 décembre 2013
J’ai reçu ce texte sur mon mail aujourd’hui. Il me semble tellement juste que j’ai eu l’envie de le partager avec vous.
La Déesse
Une Déesse est une femme qui émerge de ses profondeurs. C’est une femme qui a exploré honnêtement son côté sombre et a appris à célébrer sa Lumière. C’est une femme qui peut tomber amoureuse des magnifiques possibilités qui l’habitent.

Gala de dos, regardant un miroir invisible, par Salvadore Dali, huile sur toile 1960, Musée Théâtre Dali de Figueres, photo Serge Briez®
C’est une femme qui connaît la Magie et les endroits Sacrés en elle, qui peuvent élever son âme.
C’est une femme qui émet de la Lumière, qui est magnétique, chacun peut sentir sa présence lorsqu’elle est dans une pièce.
Elle est forte et douce à la fois.
Elle a une énergie sexuelle puissante et a appris à maitriser son pouvoir de séduction.
Elle adore son corps, elle est aérienne.
Elle chérit la beauté, la lumière et l’amour. Elle est une mère pour tous les enfants. Elle coule avec la Vie dans la grâce facile.
Elle peut guérir avec un regard ou avec sa main.
Elle est sensuelle et intrépidement érotique, et s’engage dans le sexe de façon à partager avec une autre Âme, le contact du Divin.
Elle est la compassion et la sagesse. Elle est le chercheur de Vérité et s’intéresse profondément à quelque chose de plus grand qu’elle.
C’est une femme qui sait que son but dans la vie est de s’élever avec l’Amour. C’est une femme amoureuse de l’amour.
Elle sait que la Joie est son destin et qu’en l’embrassant et le partageant avec les autres, les blessures se guérissent.
C’est une femme qui est venue pour savoir que son partenaire est sensible, perdu et effrayé comme elle l’a été de temps à autres. Elle est venue pour comprendre les cicatrices qu’il a, et sait que l’Amour qu’ils partageront ensemble pourra être le soulagement, la guérison de leurs blessures.
C’est une femme qui peut s’accepter comme elle est, et accepter les autres comme ils sont. Elle est capable de se pardonner ses erreurs, et ne pas se sentir menacée même quand on l’attaque.
C’est une femme qui peut demander de l’aide quand elle en a besoin ou aider lorsqu’on lui en demande.
Elle respecte les frontières, le siennes et celles des autres. Elle peut voir Dieu dans les yeux des autres. Elle peut voir Dieu en Elle. Elle peut voir Dieu dans chaque situation de la Vie.
C’est une femme qui prend ses responsabilités pour tout ce qu’elle crée dans sa vie.
C’est une femme qui est dans le soutien et le don, totalement.
C’est une Déesse.
Auteur anonyme
DALI ET LES MINERAUX
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 27 novembre 2013
DALI ET LES MINERAUX
Il y a quelques temps, mon frère, en visite à la Fondation Dali à Figueras, m’a rapporté un livre-catalogue sur les Bijoux créés par Salvador Dali.
Interpellé depuis mon adolescence par cet artiste, l’observation de cette œuvre, que je ne connaissais pas, m’a laissé perplexe et j’ai eu envie de partager avec vous ces quelques réflexions.
Tout d’abord, le moins qu’on puisse dire est qu’il s’agit de bijoux non conventionnels. Mais peut-on encore parler de « bijoux » lorsque nous nous trouvons face à ces créations. En fait, je ne ressens aucune différence entre l’acte de création d’un de ses tableaux ou lithographies et ces « bijoux ». La barrière de la convention (un bijou doit être porté, il est défini par un usage précis, etc. 😉 explose littéralement. Toutes les conventions disparaissent. Il mêle minéraux bruts, éclats de pierres précieuses et magnifiques pierres taillées, dans un équilibre savamment étudié ou une discordance soigneusement pensée.
Salvador Dali casse littéralement les critères de l’esthétisme et du « bon goût » tellement affirmé chez les grands joailliers. Habituellement, en joaillerie, sont principalement utilisées des pierres précieuses taillées. Les éclats ou les minéraux communs ne sont pratiquement jamais considérés comme digne d’intérêt. Le fait de mélanger minéraux bruts, éclats de pierres précieuses, pierres précieuses casse les critères de la profession et nous entraine dans un univers dépourvu de codes. Le langage de la pierre se libère de ses conventions. Le minéral entre alors dans un espace de partage avec l’observateur qui transcende jusqu’au règne du minéral ou l’empreinte de la forme. Il en ressort une invitation à la réflexion.
De par son absence de codes identifiables, cette réflexion devient perplexité qui ouvre à la rêverie. Elle permet alors de capter les modes d’autocensure de notre regard (ce qui est beau et ce qui ne l’est pas), et les limites que nous posons inconsciemment dans notre perception des choses. Une invitation à la méditation.
2013 UN NOUVEAU COMMENCEMENT
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, CRISTAUX & SANTÉ, Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 7 janvier 2013
Je ne reviendrais pas sur l’énergie de 2012 qui a fait l’objet de plusieurs articles de ma part. Sur ce point, un simple témoignage personnel. Nous avons pu sentir, moi-même et les membres de mon entourage, une profonde mutation cellulaire qui s’est traduite par des coups de fièvre, des rhumes passagers et surtout une énorme fatigue, comme si nous avions eu des mois d’insomnies consécutives. Cette charge est en train de disparaître, surtout pour les personnes qui se sont préparées à cette mutation.
Tournons-nous maintenant vers les temps à venir.

Opale noire d’Australie, ®photo Serge Briez – Cristaux-sante
Les temps à venir seront marqués par une nécessité absolue de faire concorder nos fréquences énergétiques personnelles avec les situations, les structures et les événements que nous impulsons. La non-concordance énergétique se traduira sans délai par une « explosion » (structure et/ou événements).
Par ailleurs, nous allons bénéficier à partir du mois d’Avril 2013, d’une poussée énergétique comme nous n’en avons jamais connu. Elle favorisera grandement l’émergence de nouveaux champs de conscience, mais aussi la réalisation de nouveaux projets qui pouvaient être latents depuis plusieurs années.
L’heure est donc à la créativité. Nous vous laissez pas endormir par les « flons-flons » pessimistes véhiculés par les médias et les pouvoirs publics. Utilisez la période de janvier à mars pour terminer la conception de vos projets et allez de l’avant.
Tout est à inventer. Nous allons découvrir dans les dix prochaines années bien plus que nous avons découvert en deux mille ans.
Alors, une belle année à tous et merci pour votre fidélité.
Amour et Lumière
Daniel
L’ACCOMPAGNEMENT DU PASSAGE DE LA MORT
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 17 janvier 2012
Pour être bien compris, cet article doit être associé à la lecture des articles intitulés
– La Mort
– L’enterrement ou la crémation
Tout d’abord, observons le sens étymologique du mot défunt. Défunt provient du mot latin functus qui signifie fonction. Un dé-funt (defunctus) est donc quelqu’un qui est déchargé (dé) de sa fonction (functus). Defunctus signifie en latin celui qui est déchargé, et par extension celui qui a accompli. En d’autres termes, c’est celui qui a accompli sa vie. Il convient donc de l’accompagner pour que le défunt devienne un mort.
Le mot mort est issu de l’ancien égyptien MOUTH qui signifie mutation ou changement d’état. Il possède la même racine que le mot MAAT (Vérité). Chez les Hébreux, il est issu du mot MOTH, racine étymologique des mots mother, mère, mutation, matière.
Autant dire que le mot mort ne porte pas le sens d’une disparition ou d’un anéantissement mais bien celui d’une mutation.
La mort est la naissance à une autre vie, vie de conscience.
Dans l’article intitulé « La Mort », nous avons détaillé le fait que les fonctions cognitives de l’être ne s’interrompaient pas avec l’arrêt des fonctions organiques du corps physique, d’où l’absolue nécessité d’aménager un espace et un temps pour le repos du corps physique afin de lui permettre de réaliser sa séparation avec l’esprit.
Pour bien comprendre ce mécanisme, il est important de détailler les niveaux par lesquels la cellule (Matière) et l’esprit (Conscience) sont en relation symbiotique.
Il existe deux niveaux symbiotiques entre le corps cellulaire et l’esprit :
– Le niveau conscient
Le niveau conscient est le plus communément appréhender. Toutes les informations vécues dans le quotidien sont enregistrées par la cellule. Dans la perception ordinaire, nous appelons cela mémoires. Nous assimilons souvent la mémoire à une des fonctions du cerveau. Tel n’est pas le cas, en tout premier lieu, la mémoire est cellulaire, pour ensuite, si cela s’avère nécessaire, être mise en forme par le cerveau (que l’on confond souvent, par ailleurs, avec le mental).
Simultanément à la mémorisation cellulaire, l’enregistrement des données s’opère au niveau de l’esprit. Celui-ci, simultanément transfère ces données à une banque de données globale que nous nommerons, par facilité, l’âme. La fonction de l’âme est essentielle. Sans elle, la relation à l’univers de l’être et du corps serait limitée à la seule incarnation présente. Si tel était le cas, cette configuration aurait pour effet de nous amener à répéter pratiquement toujours les mêmes expériences dans chaque incarnation, sans possibilité de créativité et de renouvellement.
A partir du niveau conscient, nous évoluons vers des sphères d’un niveau vibratoire de plus en plus élevé (que nous qualifierons de spirituel), au fur et à mesure de la complémentation des phases de notre expérimentation de la vie quotidienne. Notre cheminement de conscience repose sur la qualité de cette expérimentation sensorielle, sur le niveau de perception que nous en avons et sur la satisfaction des besoins de nos premiers niveaux organiques.
– Le niveau inconscient
Le niveau inconscient est plus difficile à percevoir car il ne repose pas sur le cheminement de conscience que nous observons couramment. Il constitue le mécanisme automatique qui permet de stocker d’innombrables données en attente de traitement par notre conscience.
Ce niveau est essentiel car il permet au corps de réunir toutes les conditions de survie requises pour conserver son intégrité. Il lui permet de traiter la totalité des informations émises par son environnement et de déterminer les données qui peuvent mettre en danger sa survie. C’est à ce niveau que se situe ce que nous nommons l’instinct de conservation.
Dans ce niveau sont enregistrés la moindre de nos conversations, le moindre évènement, les plus infimes fréquences transmises par les étoiles, l’influence des égrégores collectifs, les mouvements de la planète, en fait tout ce qui a une influence , même infinitésimale sur notre survie. C’est ainsi que le corps peut rester vivant, y compris dans des situations extrêmes.
Lors du processus du passage de la mort, ce niveau est fondamental car c’est celui qui contient le plus de données à décrocher et surtout dans lequel se trouvent l’ensemble des liens inconscients avec les membres de notre entourage et tous les êtres que nous avons croisé dans notre vie.
Il est fondamental de comprendre la nature de ces liens. Chaque parole que nous prononçons, la totalité de celles que nous entendons, tous les gestes, tous les regards que nous échangeons subsistent sur le plan énergétique. Rien ne s’efface jamais. Même si ces données n’encombrent pas notre mémoire ou ne sont pas conscientisées, elles demeurent en nous et conserve un lien avec le corps cellulaire de la personne avec laquelle nous avons échangé, même s’il s’agit d’un simple regard fugitif échangé avec un passant trente années auparavant . Ce sont ainsi des milliards de fils énergétiques qui nous lient aux innombrables individus que nous avons croisé de notre vivant.
Lorsque l’esprit se désincruste du corps, ces attaches énergétiques se coupent et l’énergie se transfère en totalité sur celui qui reste vivant. Il s’agit d’un décrochage. Il ne faut pas chercher plus loin l’origine du mécanisme qui est fréquemment décrit au moment d’une NDE concernant la visualisation de toute la vie à rebours.
Que l’interlocuteur soit présent physiquement auprès du corps, qu’il se rappelle les faits ou les mots, que le défunt n’ait été croisé qu’un instant fugitif, cela est la même chose. Ce qui déclenche ces liens est la simple mémorisation inconsciente de ces éléments.
Ce mécanisme de décrochage est ressenti particulièrement puissamment dans le cas de l’énergie de filiation. Lorsque le père meurt, la totalité de la charge énergétique des ancêtres de la lignée se transfère sur son fils ainé. Si c’est la mère, le transfert s’opère sur la fille ainée. Il peut être extrêmement favorable pour chacun ce transfert se fasse en conscience entre le père et le fils ou la mère et la fille, quelques temps avant le décès, voire quelques années avant. Cela allègera considérablement la personne en fin de vie et permettra à celle qui reste de mieux gérer le transfert. Au moment du décès, le décrochage cellulaire sera d’autant plus fluide.
Nous comprenons donc que les conditions énergétiques dans lesquelles s’inscrit le défunt au moment de sa mort sont essentielles. Chaque perturbation énergétique dans les jours qui suivent le décès sont préjudiciables au décrochage et entraînent pour le défunt des souffrances et perturbent le mécanisme de passage, allant même parfois jusqu’à l’interrompre.
Quelles sont les circonstances qui interrompent le processus de séparation des entités corps et esprit ?
Le regret. Le défunt est dans l’obligation d’avoir réglé ses comptes. S’il estime qu’il avait encore quelque chose à faire ou à dire avant de partir, et qu’il n’a pas réunnit les conditions pour que cela se fasse, la sensation d’inacomplissement crée une attache à la forme physique et il est difficile pour le défunt de partir.
L’attachement. Si le défunt est attaché à des biens matériels, à un lieu ou à des êtres, il en est de même que précédemment. De même si l’un ou plusieurs de ses proches ne veulent pas le laisser partir et font preuve d’un attachement excessif (ex : une mère qui perd un de ses enfants ou une femme dont le mari décède).
L’ignorance. S’il est totalement dans l’ignorance des mécanismes de passage, il en est de même.
Le refus des champs spirituels. Un véritable athée, par conviction, attaché à une vision mécaniste et scientiste du monde, se trouve complètement désemparé dans le nouveau plan dans lequel il se retrouve, et le passage ne s’opère pas.
La colère. Si une colère subsiste chez le défunt au moment de son décès, le niveau vibratoire de la colère se situe dans une fréquence trop basse pour permettre le passage.
Les pratiques médiumniques ou spirites. Le processus de rappel des morts au travers de médiums maintient ceux-ci à proximité de la fréquence terrestre (comme une ancre) et ne permet pas leur dégagement
Ces facteurs génèrent des fréquences vibratoires denses qui retardent, voire empêchent la dissociation du corps et de l’esprit. La combinaison de plusieurs facteurs peut créer une véritable prison énergétique créant une impossibilité au défunt de réaliser son passage. Dans ce cas, l’esprit reste emprisonné dans le corps avec la relation sensorielle décrite précédemment.
L’usage de cérémonies religieuses réunissant un grand nombre de personnes crée un égrégore de haut niveau vibratoire autour de l’énergie du défunt. C’est ainsi que se construit un puissant effet de levier permettant aux énergies denses de s’élever au défunt de se libérer.
Il est par conséquent clair que la nature vibratoire de l’environnement créée autour du corps du défunt joue un rôle fondamental. Si de bonnes conditions de transfert ne sont pas en place, le mort n’a pas la possibilité d’intervenir directement sur l’état énergétique de son corps. Un mort livré à lui-même possède naturellement les ressources nécessaires pour accéder à ce dégagement. La qualité de son environnement devient par conséquent importante. Si elle est bonne, le passage s’opère dans de bonnes conditions et rapidement. Si elle s’avère perturbée, le passage se prolonge, peut parfois s’interrompre.
L’égrégore énergétique constitué par les personnes réunies autour de lui fait office de levier pour élever la fréquence cellulaire du corps physique et permettre le dégagement de l’esprit. L’atmosphère créée autour du mort doit être constituée de paix, de tendresse et de sérénité. Il est fondamental d’éviter, autant que faire ce peut, les grands débordements émotionnels, les pleurs et le transfert de ses propres peurs de de la mort vers le défunt. Trop souvent, nous voyons, jusque sur le lit de mort du défunt, se produire des règlements de compte familiaux. Il est clair que la mort agit comme un mécanisme de catharsis vis-à-vis de l’entourage et renvoie chacun à sa propre disparition. Cette catharsis libère des émotions qui sont parfois bloquées depuis des dizaines d’années. Néanmoins, l’espace du mort n’est ni le lieu, ni le moment, pour libérer nos propres peurs, eu égard au respect que nous devons porter au défunt, quelque soit le rapport que nous avons pu avoir avec lui.
Les plus gros dérapages proviennent fréquemment des désaccords qui naissent de la répartition des legs et héritages. Chacun attend de recevoir, consciemment ou inconsciemment, une reconnaissance directe ou indirecte du mort. Il est important de noter que dans la gestion des legs, la qualité du legs spirituel transmis par le défunt à chacun est essentielle. Ce n’est pas pour rien qu’a été institué la notion de dernières volontés ou de testament. Si le legs spirituel est imparfait, incomplet ou inexistant, il est probable que la part du legs matériel sera conflictuelle. S’il a été correctement géré par le défunt dans les années précédant son décès, il est probable que tout se déroulera dans l’harmonie requise.
Conseils pour créer un passage harmonieux.
– Désigner un groupe de maîtres de cérémonie. Il s’agit, de préférence, d’un collégial de trois personnes désignées par la famille ou les plus proches du défunt. Ils seront considérés par tous comme des sages et seront garants du bon déroulement des opérations. Eviter la collégialité de deux personnes qui porte le risque de voir naître des conflits de personnalités.
– S’en remettre aux décisions de ces sages pour l’ensemble de l’organisation des journées dédiées au défunt jusqu’à l’enterrement.
– Un des membres du collège des sages doit toujours être présent auprès du corps du défunt, vingt quatre heures sur vingt quatre. Ils sont les garants de la paix nécessaire autour du défunt. Ils gèrent les débordements inopportuns et temporisent les conflits s’il y a lieu.
TRES IMPORTANT : si un conflit se déclenche, il ne doit absolument pas se développer en présence du défunt. Si cela est inévitable, faire sortir les personnes en lice de la maison. Le maître de cérémonie est celui qui canalise les énergies en présence et leur permet de demeurer à un niveau de paix et d’harmonie.
– Laisser les maîtres de cérémonie évaluer le temps nécessaire au défunt pour se libérer de son esprit et fixer ainsi, si possible, la date de l’enterrement ou de l’incinération.
– Ne pas transformer le corps par les procédés thanatologiques en usage. Il est préférable, si les conditions de conservation du corps sont difficiles, de clore le cercueil plutôt que de faire subir au corps des transformations qui seront ressenties par le défunt comme des actes chirurgicaux sans anesthésie.
– Evidemment, suivre à la lettre les dernières volontés du défunt, si elles ont été formulées, quelles que soient les réactions qu’elles suscitent dans l’entourage.
Dernière observation.
De nombreuses personnes qui décèdent manquent de culture spirituelle. Le défunt se trouve alors dans une perception de conscience extérieure à lui-même. Pour cette raison, de nombreuses cultures ont pour coutume d’entourer le mort de pleureuses. Cela lui permet de comprendre qu’il est bien mort et qu’il doit se retourner vers lui-même.
Pour conclure, c’est le retrait de la fréquence conscience/esprit de la cellule qui entraine sa dégradation et permet au corps de se dissoudre. A un moment donné les personnes qui entoure le défunt sentent qu’il est parti. Il est temps alors de le mettre en terre ou de l’incinérer.
Sarlat, le 15 Janvier 2012, 19h25
LA MORT
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 16 janvier 2012
Une intense discussion avec des membres de ma famille m’a récemment montré que les phénomènes énergétiques liés à la mort étaient encore trop peu, voire pas, connus. Cela a motivé la rédaction des trois articles intitulés
– La Mort,
– L’accompagnement du passage de la mort
– L’enterrement ou la crémation.
S’il est un passage qui vient chercher chacun dans son intimité et ses convictions, c’est bien celui de la mort du corps physique. Ce mécanisme mal connu est l’objet de bien des spéculations. Il me semble important de définir simplement les principales étapes de ce processus de passage afin d’éviter des incohérences préjudiciables au défunt et lui permettre de se libérer de son corps physique dans les meilleures conditions possibles.
En premier lieu, n’oublions pas qu’on ne meurt qu’une fois et que ce que l’on « loupe » à ce moment-là est irrémédiablement passé. Il est donc recommandé d’aborder cet évènement majeur de notre parcours de vie avec conscience et d’éviter les plus gros dommages, que ce soit nous-même qui mourrions ou un membre de notre entourage.
L’être humain est composé de deux entités distinctes vivant sur une base symbiotique, l’une sur le plan de la conscience, l’autre sur celui du physique : l’esprit et le corps.
Le corps est constitué de l’ensemble de la masse corporelle et cellulaire. Elle sert de véhicule à l’esprit. Elle lui permet de réaliser, tout au long de l’incarnation, des expériences sensorielles de conscience extrêmement diversifiées et précises, lui donnant ainsi la possibilité de pratiquer consciemment les lois du fonctionnement de la Matière. La mise à disposition du corps physique, au moment de la conception puis de la naissance, est fondamental. Il s’agit, ni plus ni moins, du seul support tangible et opérationnel qui permet à l’esprit d’évoluer et d’acquérir de nouveaux champs d’investigation. Il n’en existe pas d’autre dans le champ de perception qui est le nôtre Ici et Maintenant.
Le corps dispose à la fois de fonctions conscientes (tout ce que touche à la sensorialité et à l’élaboration de la conscience), et des fonctions inconscientes (tout ce qui touche aux automatismes organiques permettant au corps de conserver son activité vivante et les systèmes inconscients de traitement de l’information qui lui permettent de s’ajuster aux milliards de données qu’il reçoit de son environnement, à chaque instant).
Cette masse cellulaire possède une autonomie qui conditionne grandement, selon les informations qu’elle a accumulée durant son expérimentation, la nature énergétique de la façon dont est vécue le passage de la vie à la mort et de la perception que nous en avons en tant qu’acteur ou spectateur.
L’esprit peut être défini comme la part éternelle de l’être. Partons du postulat suivant qui consiste à dire que les lecteurs de cet article croient en l’immortalité de l’âme. Il n’est bien évidemment pas question d’entrer Ici dans un débat sur la nature de l’âme mais d’utiliser ce mot comme étant la désignation du support de l’énergie qui est nous, qui était en nous avant l’incarnation et avait expérimenté d’autres corps ou d’autres formes de vie simultanément ou antérieurement à l’expérience présente, et qui en expérimente dans les temps parallèles ou à venir.
Nous ne sommes donc pas de Maintenant. Notre esprit a survécu à d’innombrables corps ou autres formes de matérialisation. L’esprit habite le plan cellulaire et est intimement lié à son fonctionnement organique, à tel point qu’il peut aller jusqu’à en modifier, voir interrompre, les processus organiques automatiques. Toutefois, il n’en est qu’un hôte.
Qu’est-ce que la mort ?
La mort représente l’arrêt des fonctions organiques du corps. Il serait une grave erreur de penser que les fonctions cognitives s’interrompent au moment de la mort. Ce n’est pas parce que le coeur s’arrête ou que l’encéphalogramme d’un individu est sans activité que ses fonctions sensorielles s’interrompent instantanément, qu’il ne sent plus rien, qu’il n’entend plus rien, qu’il n’éprouve plus d’émotions et qu’il ne réfléchit plus.
La croyance la plus couramment adoptée sur notre planète consiste à penser que les facultés cognitives sont exclusivement liée au fonctionnement de notre cerveau. Il n’en est rien. L’esprit et le cerveau se juxtaposent, le temps de l’incarnation pour optimiser l’expérimentation de vie, mais ils sont indépendants et se dissocient au moment de la mort. Cette configuration permet à l’âme de ne pas perdre les données collationnées durant une vie et de se les mémoriser (ou non) dans une incarnation ultérieure. Dans le cas contraire, les données seraient irrémédiablement perdues par la désagrégation du corps cellulaire. Ce serait fort dommage et terriblement improductif.
Autrefois, dans notre société, avant que la mort ne soit cachée dans le ghetto des hôpitaux et des maisons de retraite ( qu’il faudrait plutôt appeler parfois « maisons à mourir »), l’individu mourait chez lui. Il restait dans sa maison, entouré par les siens, le temps que l’inhumation s’organise. Cela laissait le temps à chacun de le rencontrer une dernière fois, puis il était mis en bière et conduit au cimetière, la plupart du temps accompagné d’une cérémonie religieuse.
Ce processus répondait à une nécessité profonde. Pourquoi ?
Tout simplement parce qu’il faut un délai de trois à quatre jours (sept jours dit la tradition hébraïque) pour que le corps se libère totalement de sa sensibilité sensorielle et de l’empreinte de l’esprit qui enregistre toutes ces informations. En d’autres termes, qu’est-ce que cela signifie ?
Cela signifie qu’au moment de l’arrêt des fonctions vitales, il faut quelques heures, voire parfois quelques jours, pour que le défunt simplement comprenne que son corps physique est mort. Cela est d’autant plus vrai lorsque l’être décède brutalement (accident), d’une manière inattendue et sans aucune préparation. Plus il est jeune et plus l’incompréhension est grande. Il en est de même pour les individus qui ne se sont pas préparés, de leur vivant, à ce passage. Une personne dont les fonctions vitales se sont dégradées progressivement sera plus préparée que quelqu’un qui décède par accident. Quelqu’un ayant réfléchi, de son vivant, au passage de la mort, sera plus à même de réaliser ce passage dans de bonnes conditions et surtout de comprendre ce qui lui arrive.
Je voudrais ici faire part d’une anecdote. Il y a quelques années, chaque fois que je passais en voiture sur la nationale entre Apt et Avignon (84), au carrefour de Notre Dame des Lumières (ce n’est pas un gag cosmique!), mon regard était accroché par un individu que je voyais au bord de la route, en train d’attendre. Lorsque je regardais plus attentivement, évidemment, je ne voyais rien puisqu’il s’agissait d’une vision spontanée générée par la clairvoyance de l’entité énergétique d’un décédé. Le phénomène se répétant chaque fois que je passais sur cette route, je compris qu’il m’était demandé d’intervenir. Je garais mon véhicule et m’approchais. Je me trouvais alors face à un homme d’une quarantaine d’années qui était désemparé. Il était bloqué là depuis plusieurs mois (en fait un peu plus de deux ans), et il ne savait pas comment quitter cet endroit. Je lui expliquais alors qu’il était décédé et les mécanismes de passage. Je lui annonçais qu’il n’était nullement nécessaire pour lui de demeurer sur place et qu’il pouvait passer ailleurs. Il compris parfaitement mes propos et m’expliqua qu’il n’avait jamais eu la moindre préoccupation au sujet de la mort, qu’il était décédé dans un accident de voiture à ce carrefour et que depuis, il attendait que quelqu’un vienne l’aider, mais que personne ne répondait (et pour cause !) à ses appels. Je sentis un profond soulagement s’installer en lui. Je lui proposais alors de l’aider à quitter ce plan. Ce qu’il accepta et je lui fit faire le passage.
Lorsque le corps physique s’arrête :
– L’ouïe ne s’interrompt pas. Le défunt entend pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours après son décès ce qui se dit autour de lui. Son esprit enregistre et comprend comme s’il n’était pas mort.
– La vision ne s’interrompt pas. Elle se modifie dans la mesure où elle se trouve totalement véhiculée par le Chakra frontal (Troisième Oeil). Elle est donc physique et clairvoyante. L’esprit voit tout ce qui se passe dans le périmètre du corps et bien au-delà.
– La sensation du toucher ne s’interrompt pas. L’esprit enregistre avec presque la même acuité et la même sensibilité la façon dont le corps est touché ou traité. Imaginez la sensation de quelqu’un qui est autopsié ou qui donne ses organes à la médecine – sensation d’être découpé vivant (on n’anesthésie pas un mort). Imaginez ce que doit ressentir celui qui est incinéré trop tôt – sensation d’être brûlé vif (il faut faire de la place ou se débarrasser d’un mort qui dérange trop les vivants !! ).
Autant dire qu’il faut témoigner une grande attention et un grand respect au défunt et au corps du défunt, dans la mesure où il ne dispose plus d’aucune autonomie et où il n’a plus aucune possibilité d’expression vis-à-vis des vivants.
Durant les quelques jours suivant le décès (quatre à sept jours selon les cas), ses sensations sont au moins équivalentes à celle d’un vivant. Dans un premier temps, elles sont exacerbées, dans la mesure où le défunt entre dans un domaine de son existence qui lui est souvent inconnu. La plupart du temps, il ne possède pas la mémoire de ses autres morts. Parfois il souffre encore physiquement. Et il n’a personne avec qui communiquer ses angoisses, son mal-être, ses incompréhensions et ses souffrances, cela s’ajoutant à la peine de se séparer de la vie et des êtres qu’il aime. Puis progressivement, le rapport sensoriel au corps s’atténue, le temps que l’esprit se « désincruste » du corps cellulaire. Au fur et à mesure de son retrait la relation symbiotique avec le corps s’atténue jusqu’à disparaitre au bout de quelques jours.
C’est durant ce temps que la qualité énergétique du rapport existant entre le corps et son environnement est essentielle. Une atmosphère de calme, d’amour, de partage et de fraternité sont indispensables à la libération du corps dans de bonnes conditions. Si tel n’est pas le cas, la souffrance du défunt peut devenir extrême.
Il conviendrait donc de sérieusement s’interroger sur la façon dont nous traitons les morts dans notre société, sur ce que nous leur faisons subir, et sur notre façon de les accompagner dans ce passage dont les mécanismes ont été totalement occultés alors qu’ils étaient parfaitement connus autrefois. Heureusement, il n’en est pas de même dans d’autres cultures où les traditions d’accompagnement sont restées en place et où la mort est prise en compte avec la même attention et la même présence (parfois la même joie) que la naissance.
Sarlat, le 14 janvier 2012, 16h28
« Droit de tendresse »
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 11 janvier 2012
Wydiane possède un talent d’écriture qui s’affine au fil des ans. Sa sensibilité et sa créativité donne à son regard une évidence telle qu’il me semble important de partager sa vision avec vous.
Daniel Briez
Droit pénal, droit des affaires, droit à la liberté d’expression, droit des obligations, droit de la concurrence, droit de la consommation, droit des marques, droit de grève, droit d’auteur, droit des collectivités territoriales, droit fiscal, droit… Que ce soit au niveau du droit privé, du droit public, ou du droit mixte, chaque énoncé a sa raison d’être et la particularité d’amener un terrain de réflexion public.
Partant de là, car nous n’y posons pas assez d’attention à mon sens, peut-être pourrions-nous imaginer, que s’il existait une quatrième catégorie nommée « droit d’essence », le droit de tendresse y figurerait en première ligne. En effet, nous les humains considérons la tendresse comme chose évidente, et donc, sans droit spécifique. Cela ne veut pas dire pour autant que l’on a pas le droit de tendresse envers nous-même comme avec autrui !
Ceux qui s’exprimaient avant la naissance publique du droit à la liberté d’expression risquaient lourd, mais heureusement et « n’ayons crainte », il n’en est pas de même pour l’expression libre de notre tendresse, malgré la non-officialité de son « droit »….
Alors, pourquoi ne la libérons-nous pas, cette chère tendresse qui imprègne nos corps sans même que l’on y prête attention? Quelles barrières nous créons-nous pour la brider ainsi? Nous faudrait-il une promulgation de loi pour que cela éveille nos actions et pensées? Arrivé là, l’heure serait grave, mais s’il le faut, alors, nous qui avons l’habitude d’agir car on nous y autorise, peut-être pouvons-nous nous pencher sur cette loi de principe fondateur que représenterait le droit à la tendresse… Non pas avec des bulletins de votes et une opinion publique mouvementée, mais avec des gestes, des mots, de l’empathie, des regards, de la maturité, et bien évidemment, du cœur.
Non ! Face à ce droit, nous n’avons de compte à rendre à personne.
Non ! Nous ne gagnons et ne perdons rien.
Non ! Nous ne serons pas reconnus publiquement pour en être un représentant.
Non ! On ne peut être attaqué.
Non ! Il n’y aura ni révolution, ni roi, ni jugements…
Oui ! Enfin serons-nous peut-être plus humains.
Ce soir, une profonde tristesse m’anime, alors même que mon être déborde d’incompréhension. Et, parce que j’aime à savoir la tendresse circuler, j’écris ce mot, et propose ce droit de cœur, au cas où il serait oublié… Et si ne serait-ce qu’un instant, l’énergie de tendresse retrouvait corps entre deux mots, il en naîtrait un « merci ».
Commençons donc par voir que la tendresse n’est ni « cul-cul », ni difficile, ni inutile, ni finie. La tendresse est là où on la regarde, là où on la dit, là où on l’émane. La tendresse fait partie de nous, si cela n’est pas-même l’énergie qui nous a permit de nous incorporer Ici et Maintenant, par amour pour notre Terre, par amour pour notre expérience, par amour pour nos intégrations et créations
Il est vrai que la tendresse n’a pas de valeur monétaire, qu’il n’y a pas de situations à tendresse potentielle, ni de tendresse intérieure brute.
En revanche, il y a des sourires dans le métro, des caresses aux êtres aimés, un échange avec un sans-abri, un sac pesant soulevé pour un papi, des annulations de paroles déjà lancées, des « on pose les armes? », des mots doux à un enfant, des « juste comme il aime », une oreille tendue, un « merci d’exister » lors d’un appel téléphonique difficile, des « je t’aime », des attentions pour ceux qui ne se souviendront peut-être jamais de nous, des « juste pour le plaisir », une main cherchant l’autre devant un film, des petits rien qui nous font rire, du coeur là où on ne le mettait pas ou plus, des clins d’oeil à observer, des « laissons tomber, non? », des regards aimants, et tout ce qu’on invente chaque jour.
La tendresse ne fait pas peur, elle nous fait juste du bon, et balaye ce qui ne la regarde pas. La magie de la tendresse, c’est que « plus y’en à, plus on aime ».
Fuir l’énergie de tendresse serait comme fuir de son corps, fuir de notre être.
N’en avons-nous pas marre de piquer ceux qu’on aime par peur d’être piqué, où parce que « c’est lui qui a commencé !!! »?
N’en avons-nous pas marre de souffrir de la non-tendresse des autres sans se demander si nous-même étions dans cette énergie?
N’en avons nous pas marre de regarder de travers la moindre personne qui ose encore aider quelqu’un ou nous demander un petit quelque chose avec le sourire (« qu’est ce qu’il me veut celui là…?)?
N’en avons nous pas marre de punir nos enfants alors qu’ils n’aspirent qu’à un minimum de tendresse de notre part?
N’en avons nous pas marre de penser « qu’en tant qu’adulte », la tendresse c’est plus pour nous…
N’en avons nous pas marre de mener la bagarre pour un oui ou pour un non, alors qu’avec une pincée de cœur, plus rien de l’histoire ne tient debout…
La non-tendresse bloque le moteur circulatoire des flux entre chacun, et cristallise les énergies en instance. Cette paralysie énergétique due à la crispation de notre essence de tendresse met nos corps, et donc tout ce qui en émane, dans l’impasse. Ensuite, on se demande « ce qu’on a bien pu faire pour que cela arrive »… Alors que l’on a simplement figé notre plus belle valeur d’échange, notre trame au partage.
La tendresse est une des manifestation de nos codes, qui aime à être mise en vie pour nous impulser vers nous-même, et donc vers autrui.
La tendresse est un essentiel, une impulsion de cœur qui trouve résonance dans chaque particules de matière.
Elle plurielle les liens, tout en respectant leurs mouvements.
Elle est l’émanation sensible de nos parcelles d’essence..
Ne pas laisser circuler l’énergie de tendresse représente, à mon sens, un des plus durs égoïsmes de l’humanité, ne serait-ce que vis à vis de nos corps ignorés.
Pour prendre la mesure de la force que porte la tendresse incarnée dans notre quotidien, nous pouvons peut-être imaginer que nous serions tels des kayakistes évoluants au fil de l’eau, et que la tendresse serait notre pagaie.
Tout kayakiste ne s’imaginerait pas se lancer dans une aventure aquatique en sachant qu’il va croiser des rapides et autres obstacles, sans prendre sa pagaie avec lui. Face à un parcours mouvementé, plus la pagaie s’inscrit profondément dans l’eau, plus elle fait avancer le tout. Si on la perd, on part inexorablement à la dérive… Et si par malheur, même avec elle, on se prend un roc ou l’on se coince, c’est en redoublant de force d’appui sur elle qu’on arrive à se sortir d’impasse, même si cela peut se révéler fatiguant.
Mais que préfère le kayakiste: redoubler d’intensité d’appui sur sa pagaie quitte à s’essouffler momentanément, ou bien laisser l’eau couler tout en restant bloqué une heure, puis deux, voire toute la nuit, car l’effort l’épuise? Je doute fort que la nuit passée seul sur l’eau lui soit plus agréable que la solution lui demandant de l’effort. En effet, on n’a pas encore vu de kayakiste jeter à l’eau sa pagaie, en jugeant le courant trop mouvementé pour gérer son parcours. Si c’était le cas, il risquerait de perdre littéralement son axe de trajectoire dans les rapides, voire, de perdre la vie.
La pagaie est à la fois outil de direction, de nuances, de vitesse, de secours, mais aussi de créativité, de jeu…de complicité avec les mouvements du canoë évoluant sur l’eau.
Nous sommes bien inscrit en matière, Ici et Maintenant, évoluant au fil de nos instants d’être. Partant de là, où comptons-nous donc aller sans l’outil essentiel que représente l’énergie de tendresse?
Demandons-nous alors où est ce que nous posons la tendresse dans notre corps, dans nos pensées, dans nos paroles, dans nos gestes… Et surtout, où est ce que nous ne le la voyons pas.
Si le droit à la tendresse n’existe pas, c’est que peut-être, nous ne sommes pas sensés nous poser la question. Cela pourrait être comme se demander « pourquoi le droit au poivre dans la cuisine n’existe pas? ». Simplement, l’expérience montre que la tendresse, contrairement au poivre pour la cuisine, n’a apparemment, malgré ses miracles, pas encore été reconnue comme releveuse de saveur… comme éleveuse de conscience.
À ce titre, chaque être est donc en mesure de choisir son sentier sur la richesse du terrain de la tendresse, mais avant cela, faudrait-il encore le déceler, à l’intérieur, comme l’extérieur.
Bien plus qu’un « droit », la tendresse est une des précieuses clefs dont nous disposons au sein de ce que nous sommes, et qui à mon sens, malgré notre fâcheuse tendance à l’égarer, n’a pas fini de nous démontrer sa lumière.
Wydiane – mercredi 28 décembre, Sarlat, 00h00
LISA GERRARD, UNE VOIX D’AUTRES MONDES
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 10 janvier 2012
Depuis de nombreuses années, Lisa Gérrard accompagne mon écriture. Les ambiances d’autres mondes que sa voix suggère soutiennent mon inspiration. Certains morceaux me placent dans d’autres temps, sur d’autres terres.
Totalement engagée dans la voie de la défense de la planète, elle a été connu à travers le groupe Dead Can Dance. Elle chante aujourd’hui en solo.
Discographie:
THE SILVER TREE
WHALERIDER
DUALITY Lisa Gérrard et Peter Bourko
SPIRITCHASER Dead Can Dance
Sarlat, le 9 janvier 2012, 13h30
MUTATIONS
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 4 janvier 2012
En cette année de puissantes mutations, il me semble urgent de comprendre les principes sur lesquels reposent la mutation des énergies de vie. Cet article est un premier pas dans la transformation de cette perception.
Fréquemment, la tendance, et il en est trop souvent fait mention dans certains ouvrages, lorsque nous nous trouvons face à une énergie à muter, est de « remettre » cette énergie au Ciel ou à la Terre pensant que nous pouvons nous dégager de cette charge énergétique par ce moyen. Il existe même des pratiques qui consistent à mettre les mains au sol ou à toucher un arbre pour cela. Imaginez ce que vous ressentiriez si votre voisin venait essuyer ses mains sales sur vos vêtements propres.
Il existe une grande perversité dans ce mécanisme. Il est important de comprendre qu’en tout premier lieu, cette « masse énergétique » (car il s’agit d’une véritable matière) vient se rajouter à celles de même fréquence et nourrir des égrégores, qui eux-mêmes alimentent des forme-pensées présentes au niveau de l’Humanité. Ces égrégores s’auto-alimentent et ont tendance à tourner en boucle. Comme nous conservons des scories de ces fréquences, même si nous pensons nous en être dégagées (nous en sommes bien les émetteurs), elles ont tendance à revenir se coller à nous et possèdent le pouvoir de nous ramener dans leurs énergies. Nous retombons alors dans le niveau antérieur à ce que nous pensons avoir été un dégagement.
Cette charge contribue à « plomber » la Terre et l’Humanité et n’est profitable pour personne, et surtout pas à nous, puisqu’elle est porteuse d’un effet boomerang surmultiplié par la puissance de tous les dégagements de même nature qui ont été fait par des milliers, voire des millions d’individus sur notre planète. Ceci est la première conséquence de ce positionnement.
Dans le même temps, les plans qui nous entourent deviennent de véritables poubelles. Imaginez une chape de crasse et d’énergies non intégrées présentes à quelques mètres au-dessus de nos têtes et juste sous nos pieds. Car, ne nous y trompons pas, compte tenu de la densité de ces charges, elles ne vont pas loin et restent à quelques mètres de notre corps physique. Rapidement, si nous renouvelons fréquemment ce type de pratique, notre environnement énergétique immédiat devient un véritable cloaque et il devient impossible de nous élever vers des plans vibratoires plus conscients, ni de bénéficier de l’énergie vivifiante que peut nous transmettre notre planète.
La deuxième conséquence (c’est probablement la plus dommageable pour notre évolution) est que nous déchargeons de la possibilité de muter nous-même cette énergie. Nous ne profitons pas de la conscience générée par cette expérience. En d’autres termes, nous n’apprenons rien, et cela nous amène à répéter sans cesse les mêmes situations inconfortables, les mêmes difficultés comportementales, les mêmes croyances. En résumé, nous tournons en boucle.
Nous sommes des organes de mutation. Notre corps est la plus vivante démonstration de notre capacité à muter.
Pensez aux milliards d’éléments que notre corps mute simplement pour assimiler notre alimentation et les centaines de pollution que nous recevons chaque jour.
Si nous souhaitons véritablement évoluer, il convient donc d’adopter un autre positionnement. Notre ventre, et notamment sur le plan énergétique ce que nous appelons Chakra Sacré, possède une faculté matricielle de transformation et de mutation des énergies. Nous pouvons donc tout ramener en nous, au niveau de notre ventre et laisser notre corps et surtout l’ensemble de notre système énergétique muter ce qui doit l’être. Ce positionnement présente de nombreux avantages :
1) Nous ne mutons que la fraction mutable de l’énergie que nous avons à dégager. Lorsqu’elle se transforme, cette fraction énergétique change de nature, devient assimilable et génère ce que nous appelons une « prise de conscience » (à lire dans le sens littéral du terme : prendre une fraction de conscience). Elle concourre à notre évolution et crée ainsi de nouveaux matériaux qui participent à notre développement.
2) La fraction non mutable demeure en nous et poursuit son processus de mise en conscience. Cette fraction ne se dégagera que lorsque le processus d’intégration aura abouti. Le grand intérêt de ce mécanisme réside dans le fait que nous ne nous défaussons pas de notre énergie tant qu’elle nous est utile. Nous ne sommes donc pas contraints de reproduire des énergies de tension à répétition, conséquence du fait que nous nous sommes dégagés sans intégrer ce que nous avions à intégrer.
3) Nous développons une véritable « écologie énergétique », agissant en conscience et en responsabilité de ce que nous émettons. Nous participons ainsi à l’équilibre planétaire.
Cet article me permet donc de lancer un appel à tous ceux qui demandent aux « Etres de Lumière », à leurs guides, aux Anges, à la Terre de prendre en charge leurs difficultés. S’il vous plait, arrêtez. Le temps est venu de se prendre en charge et d’intégrer les énergies que nous créons. Arrêtez de croire que vous pouvez ne pas muter ce que vous expérimentez. Arrêtez de croire que vous n’en avez pas les capacités. Prenez conscience de votre puissance. Prenez conscience de votre pouvoir de mutation et participez à l’élévation de notre humanité.
Merci à vous tous.
Sarlat, le 3 Janvier 2011, 11h54
LE COMMENCEMENT DE LA FIN ET DU DÉBUT
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 2 janvier 2012
Depuis des années, je consacre ma journée du 1er janvier de chaque année à moi-même et surtout à un retour sur ce que j’ai accompli dans l’année et ce que choisit de faire dans l’année qui débute. La seule année où j’ai dérogé à cela était le 1er Janvier 2004, où j’ai senti une impulsion irrésistible me demandant d’aller passer le réveillon à La Turbale (44). C’est ainsi qu’à minuit, le 31 décembre 2003, j’ai uni ma vie avec Guylène. Ce texte est le reflet de certaines réflexions d’aujourd’hui.
Il est un mot que nous utilisons universellement et que nous prononçons sans conscience : REVEILLON. Peut-être pourrons-nous le prendre dans le sens littéral du terme : Réveillons-nous ? ou Réveillons-nous !!
Pour moi, nous avons passé l’année 2011 à nous réveiller. Trop souvent on dit que rien ne va, oubliant de regarder tout ce qui va. Ce qui va en semblant aller mal est bien évidemment toutes les transformations sociétales :
– instauration des « démocraties » au Moyen Orient (même si les Frères Musulmans ne semblent pas vraiment être démocrates, ils ont été élus par la majorité des électeurs de leur pays donc le reflet de leur société),
– grippage du système bancaire et financier mondial (prémices démontrant que ce système injuste vit ses derniers années),
– incertitudes politiques en France (quand nous déciderons-nous à avoir des gens responsables pour nous gouverner?).
Autant de facteurs et d’évènements qui démontrent que notre société arrive au bout d’un système de pensée, au bout de sa logique économique, au bout de la vision que nous avions d’un parcours de vie aux normes (études, mariage, carrière professionnelle, enfants puis retraite…).
Dans le même temps, vous êtes de plus en plus nombreux (vos témoignages le montrent) à vivre le même processus dans votre vie quotidienne : remise en cause de votre position dans la famille, le travail ou la société, questionnements sur le sens des choses et de la vie, questionnements sur le but de vie, remise en cause des modes de raisonnement ou de pensée, désaffection pour les religions, les écoles de pensée, les écoles ésotériques ou initiatiques…
L’observation de ces mouvements peut sembler préfigurer une trajectoire nous menant vers le chaos, l’écroulement d’un monde. Et cela est vrai, quelque part.
Le chaos des habitudes, le chaos du non-respect de soi, le chaos du mode de pensée unique, le chaos des soit-disants acquis qui ne le sont que dans nos systèmes de croyance. En d’autres termes, la façon de vivre et de penser en vigueur pour nous-mêmes et nos parents depuis 50 ans est en train de disparaitre.
Que reste-t’il alors ?
Quel monde allons-nous créer ?
Et quel monde vont construire nos enfants ?
Car ne nous y trompons pas, ce n’est pas nous qui détenons les solutions. Notre mode de pensée est sclérosé et manque d’idées novatrices. Notre énergie s’est usée à tenter de développer des solutions qui ne nous correspondent pas car personne ne nous avait appris à nous écouter nous-mêmes et à aller chercher en nous les réponses. Alors même si nous le faisons maintenant par la force des choses, il est clair que nous n’avons plus le même « jus » qu’il y a quelques années. Ce sont les générations à venir qui trouveront les solutions aussi bien au niveau de la science, des industries que des modes de pensée.
Alors comment aborder cette mutation ?
L’ouverture à de nouveaux champs de perception est la seule solution dont nous disposons. Il est certain que nous ne regardons pas au bon endroit avec les bonnes lunettes. Notre vision rationnaliste, et je qualifierai de rationnaliste également notre façon d’appréhender et de regarder les systèmes énergétiques qui est bien trop conforme à certains modes de pensée, nous masque la réalité d’un monde que nous avons toujours eu sous les yeux mais que nous n’avons jamais réellement regarder.
Alors, il est fort probable que l’année 2012, dans l’énergie d’alignement qu’elle apportera le 21 Décembre, verra une remise en cause et en questions de toutes les certitudes sur lesquelles nous avions construit notre vie. Nous pouvons le faire dans la douceur si nous acceptons toutes les remises en cause qui se présenteront à nous, ou dans la douleur si nous résistons au fait de ne pas avoir raison (la périphrase « avoir raison » étant pris dans son sens littéral : être dans le socialement raisonnable).
Alors je tiens à profiter de cette première lettre à mes lecteurs pour remercier chacun du soutien que j’ai pu recevoir depuis que j’ai ouvert ce blog en janvier. Au départ, pour moi, la création de ce blog était plus la réponse à un besoin personnel de libération de la communication d’un auteur qui se sentait frustré de ne rien pouvoir communiquer de son travail que tous les deux ou trois ans, à la sortie d’un nouveau livre. Très rapidement la croissance du lectorat et les commentaires que vous avez manifesté, m’ont témoigné du fait d’une certaine résonance de mes réflexions. J’avoue m’être pris au jeu et trouver aujourd’hui beaucoup de plaisir à diffuser la vision, qui parfois vous surprend ou vous choque, que mon oeil d’observateur pose sur le monde, notre société et les énergies en mouvement. Je prends l’engagement de poursuivre cette voie avec la même sincérité et la même éthique que celle qui me porte aujourd’hui.
Un immense merci donc à chacun. Le temps que vous consacrez à lire ces textes leur permettent d’exister.
Et surtout, les plus belles réussites et transformations pour cette belle année de mutation 2012.
Sarlat, le 1er Janvier 2012, 19h55
N’ATTENDEZ PLUS ! AGISSEZ !
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 30 décembre 2011
Céline, qui suit mes stages depuis 18 mois m’a rendu visite hier à Sarlat. La conversation que nous avons eu ensemble m’a inspiré ce texte.
Lorsque nous travaillons sur nous-mêmes et que, progressivement nous mettons à jour les mille et une croyances qui nous empêche d’être ce que nous sommes, il arrive un temps où nous devenons capables de définir précisément ce que nous portons en nous et les axes que nous avons à développer. Ces informations nous amènent alors à la conviction que nous devons profondément modifier nos structures de vie et nos options.
Nous sommes alors au seuil à ce que je qualifierai de « l’orée du chemin ». Le « chemin » est celui que nous avons défini au moment de notre incarnation. Avant de nous incarner dans le corps qui est le nôtre, nous avons choisi les principaux paramètres de notre expérience de vie, à savoir, le sexe, le physique, la race, l’époque où nous nous incarnons, les grandes lignes de nos résistances physiques et psychologiques qui nous aideront à comprendre la nature particulière de l’expérience de conscience qui sera la nôtre, en d’autres termes, ce que l’on appelle la réalisation.
Trop souvent, nous avons totalement perdu de vue cet axe, embrouillés que nous sommes dans une expérience matérialiste alimentée puissamment par notre société, par l’éducation que nous avons reçu, et les multiples niveaux des systèmes de croyance que nous avons fait nôtres, ou que nous a inculqué notre société ou notre environnement familial. Finalement, à un moment donné, nous prenons conscience de l’ensemble de ces parasitages et nous rencontrons enfin ce que nous sommes, avec l’absolue conviction du « connaissant » qui sait enfin ce qu’il a à faire.
C’est alors, que pour une raison qui ne s’avère jamais réellement définie, mais qui est sûrement de l’ordre de la peur de l’inconnu, de la peur de son propre pouvoir, ou de la crainte de remettre en question un quotidien qui ne nous nourrit pas vraiment mais qui est finalement assez confortable, nous nous mettons dans une position d’attente, attendant un « signe » (!!!) de la vie ou une impulsion venant d’on ne sait où !
On peut attendre longtemps cette impulsion ou cette « bonne » raison de se mettre enfin en mouvement. En fait, on peut l’attendre tout le reste de sa vie.
Ne pensez-vous pas qu’il est temps de vous mettre en mouvement si vous ressentez cela. Ne pensez-vous que l’état de la planète nécessite, d’une certaine urgence, que chaque être humain de cette terre, chaque être humain accédant à la conscience, chaque être humain en mesure d’améliorer la nature de son environnement dans sa sphère personnelle, fasse ce qu’il a affaire.
Et surtout, comment ressentirez-vous le fait de ne pas avoir agit, si pour une raison ou une autre, vous quittez votre corps physique et passez de l’autre côté. Il sera temps à ce moment-là d’établir le bilan de ce que vous saviez devoir faire et que vous n’avez pas eu le temps de faire. Malheureusement, il sera trop tard !!!
Sarlat le 22 décembre 2011, 19h03
REGARDER L’AUTRE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 29 décembre 2011
Il est parfois des blessures que nous infligeons à l’Autre sans même nous en apercevoir. Trop souvent, nous sommes centrés sur notre vécu intérieur, sur les sensations que nous pouvons percevoir en nous, notamment lorsque nous sommes dans une phase de compréhension de nous-mêmes qui entraîne une profonde mutation en nous et la mobilisation de notre attention.
Ainsi existe-t’il en nous des évidences qui ne peuvent pas être perçues par l’Autre, voire même qui peuvent être perçues à l’opposé de ce que nous pensons et ressentons.
Vous aimez celui ou celle qui est à vos côtés. Cela est indéniable, car si tel n’était pas le cas, vous ne pourriez supporter son énergie et sa présence à longueur de mois ou d’années. L’amour que vous lui portez fait partie de votre évidence, mais en est-il de même pour l’Autre?
Cela n’est pas certain. Chacun porte en soi une part de blessures, de déceptions et son lot de trahisons vécues. Il n’est rien de plus facile pour ces cicatrices de se réouvrir par un mot, une attitude, un geste qui ne sont que le reflet d’un instant de réflexion de votre part, mais qui peuvent prendre un tout autre sens pour l’Autre, s’ils viennent réactiver de vieilles souffrances.
Ainsi, parfois, il arrive que vous soyez dans une souffrance inconsciente qui vous ne descellez même pas. Elle est partie intégrante de votre inconscient mais imprime néanmoins, jour après jour, votre quotidien. Il suffit d’un tout petit évènement, d’un simple mot pour que votre inconscient s’empare de cette énergie, et réactive cette souffrance qui avait été le plus souvent oubliée, mais qui n’en altère pas moins votre plénitude. Alors vous vous retrouvez sur la défensive. Vous vous retirez dans votre « tour d’ivoire ». Inconsciemment, vous amalgamez la fréquence de l’Autre à cette vieille blessure, comme s’il en était la cause, alors qu’il ne fait pas partie de cette histoire. Et surtout, et c’est ce qui est le plus dommageable, vous ne vous rendez pas compte que vous avez fait un amalgame. Vous commencez à vous éloignez de plus en plus, posant vos centres d’intérêt dans d’autres directions. L’Autre le sent, vous sollicite tout d’abord en douceur puis d’une manière de plus en plus pressante et vous vous retrouvez tous les deux en situation de crise relationnelle alors qu’aucun événement n’est venu provoquer cette tension. Il est même possible alors qu’un événement sans importance serve de focalisation à cette tension et prenne des proportions qu’il n’aurait jamais dû prendre.
L’Autre reçoit votre énergie de plein fouet et ne comprends pas. Il ne peut comprendre puisqu’il s’agit d’un autre temps, d’une autre histoire qu’il ne connait probablement pas et qui peut, parfois, ne pas appartenir à cette vie. Elle provient d’un plan parallèle ou d’une « vie antérieure », autant dire qu’elle vient d’un autre monde.
Selon son niveau de conscience, selon sa propre histoire, l’Autre se sent profondément blessé, rejeté. Parfois même, il culpabilise, pensant avoir dit ou fait quelque chose qui vous a blessé. En fait, il ne sait pas ce qui se passe. Cela est d’autant plus pernicieux que vous non plus, vous ne savez pas pourquoi vous vous sentez comme cela. Vous sentez néanmoins que vous vous éloignez de l’Autre, insensiblement, inexorablement. L’écart se creuse. Si vous n’y prêtez pas attention, et n’entamez pas un dialogue approfondi, cet écart peut devenir définitif.
C’est ainsi que la magie de la vie à deux disparait et entre dans une routine morbide dans laquelle les mots d’amour deviennent vides de sens. Elle ne porte plus l’énergie de la rencontre. Alors vous vous dites: « Ce n’est pas grave. C’est dans l’ordre des choses. La magie des premiers temps s’efface et la vie reprend ses droits » (sous-entendu: il est normal que les sentiments s’usent et que nous ne partagions plus les choses comme au commencement).
Je viens moi-même de faire cette expérience avec un des êtres que je chéris le plus au monde. Je pensais bien connaitre ma psyché, avoir fait le tour de mes fonctionnements, connaitre mes équilibres et mes déséquilibres, en d’autres termes, être conscient de ma géographie intérieure. Je me suis pourtant retrouvé à émettre une certaine forme d’indifférence, une distance vis-à-vis de mes proches, sans même m’en rendre compte. Parce qu’une toute petite chose, un élément insignifiant en regard de toutes les informations que je reçois et traite au quotidien est venu éveiller dans mon inconscient une vieille blessure que je ne savais même pas être encore présente en moi, je suis rentré dans ma « bulle ». Je me suis enfermé en moi sans même m’en rendre compte.
En faisant cela, je n’ai même pas vu la distance que je mettais avec l’Autre, distance que je reconnais maintenant, après réflexion, comme étant la cause et le ferment de la rupture avec d’autres compagnes que j’aimais profondément et que j’aime toujours. Je me trouvais à des années-lumière d’imaginer que je pouvais être la cause de cet éloignement. Lorsque je regardais ma vie, je pensais simplement que chacun avait pris de voies différentes. Heureusement que dans le cas présent, l’amour et le partage nous ont permis de mettre ce piège en lumière.
Alors, si ces quelques mots et ce témoignage peuvent servir à quelques uns d’entre vous, regardez l’Autre. Faites l’effort de vous sortir de votre regard quotidien, celui qui s’est usé aux aspérités d’un cheminement que vous ne comprenez pas forcément mais qui érode lentement l’élan qui nous pousse dans les bras de l’Autre.
Prenez conscience que trop souvent (et je me parle à moi-même dans ces lignes), vous êtes enfermé dans votre espace intérieur et que vous ne laissez pas l’Autre y pénétrer, souvent d’ailleurs (c’est ce que vous pensez) par amour pour l’Autre. Soit-disant, vous ne voulez pas le (ou la) charger de vos soucis ou de vos questionnements, alors qu’il ne s’agit, encore une fois, que d’une stratégie destinée à vous protéger.
Réfléchissez ! Dans tous les cas, ne cherchez-vous pas à préserver un territoire intérieur, un espace personnel que vous ne savez pas défendre autrement, tout simplement parce que vous n’avez pas encore fait la paix avec tous les fragments de votre histoire !
Regardez comment vous pouvez vous isoler par le jeu de vos pensées. Regardez comment l’inconscient peut vous faire sortir de votre corps et de vos sensations quotidiennes et vous concentrer dans votre tête, vous coupant de votre vécu quotidien. Vous devenez un véritable « zombi » sans même vous en rendre compte.
Alors regardez l’Autre comme au premier jour et découvrez-le (ou la) dans la Lumière du Temps et dans la magie de l’être retrouvé.
Je vous souhaite un beau Noël et merci de votre écoute.
Sarlat, le 25 décembre 2011, 11h27
PRESENT, PROJETS FUTURS ET PROJECTIONS
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMEUR le 17 décembre 2011
Cher lecteur, désolé du manque d’articles, ces dernières semaines. Une longue tournée de salons et de conférences à l’extérieur qui m’a par ailleurs permis de rencontrer nombre d’entre vous, m’a maintenu à l’écart de mon clavier. Voici de nouvelles réflexions, qui, je l’espère, contribueront à votre réflexion. Merci pour vos témoignages et votre soutien.
« L’incapacité à rester dans le présent altère les projets et détruit le présent. » Réflexion issue d’une conversation avec mon épouse Guylène à l’origine de cet article.
Il est souvent fait référence à l’instant présent dans l’ouverture à la nouvelle ère qui s’annonce. Une des questions qui se pose alors est la compatibilité entre le fait d’être présent dans l’instant, et le fait de faire des projets puis de les élaborer.
Lorsqu’un humain n’est pas totalement stabilisé dans l’instant présent, il vit ce que nous pouvons appeler un état de « conscience ordinaire ». Le mot « ordinaire » n’est pas pris dans un sens péjoratif. Il qualifie simplement le fait que l’immense majorité de la race humaine et particulièrement les peuples issus de tradition occidentale ne vivent pas l’instant présent, et sont continuellement dans des alternances de référencement aux expériences passées, ou en train de projeter leurs visions dans le futur, allers-retours incessants ne leur permettant pas de voir la réalité de l’instant présent.
Pour comprendre le mécanisme permettant de rendre compatible l’élaboration de projets futurs avec la vie dans l’instant, il convient de se rappeler certains points fondamentaux de la physique quantique nous permettant de comprendre le fonctionnement du temps et de l’espace. Einstein, et les physiciens quantiques après lui, ont démontré que la notion d’espace-temps, et notamment d’un temps linéaire s’écoulant comme l’indique un chronomètre, est une convention mentale et sociale qui permet à l’humain de se situer dans le temps et l’espace. Cette notion ne repose sur aucune réalité physique.
Le temps définit un espace de perception. Il est discontinu.
Il s’agit de séquences discontinues, séparées des précédentes et suivantes de quelques micro-secondes, qui constituent des temps intersticiels par lesquels transitent toutes les informations concernant la totalité de nos champs d’expériences simultanés (passés, présents ou futurs). Les temps intersticiels sont connectés à la totalité des possibles et des vies simultanées (qui sont d’ailleurs innombrables chez les humanoïdes que nous sommes).
Le seul espace de connexion et de prise de conscience de cette multitude d’informations est l’instant présent.
C’est le seul. Il n’en existe pas d’autres et nous n’avons aucune possibilité de nous connecter à nous-même autrement que par cette connexion de notre corps physique avec l’instant présent.
Lorsque nous sommes dans notre réalité présente, Ici et Maintenant, sans aucune incursion dans un passé qui n’existe que dans notre mental et un futur qui ne peut qu’être hypothétique puisqu’il n’existe que dans notre tête, nous sommes connectés à la totalité de nos plans d’existence. Cela signifie que, sur un plan inconscient, notre corps collationne toutes les informations nous concernant, dans tous nos champs de réalité simultanés, sans que notre mental puisse avoir conscience des transferts qui s’opèrent. Cela est parfaitement adapté à ce que nous sommes, car le mental limiterait au un milliardième la masse d’informations reçues en quelques secondes s’il devait les visualiser et en prendre acte.
Ces informations s’enregistrent dans le corps et leur masse constitue le terreau sur lequel nait nos projets.
De ce point de départ, nous pouvons projeter l’image mentale d’un projet. Nous visualisons un projet que nous portons en nous, qui s’avère la convergence des informations contenues dans le « terreau » que nous portons, lui-même issu de ce que nous sommes, des codes qui nous composent et de toutes les informations que nous recevons des temps et des espaces dans lesquels nous sommes simultanément.
Nous le projetons dans un futur plus au moins lointain et nous le laissons libre de vivre son évolution. N’oublions pas qu’il s’agit d’un temps qui existe déjà simultanément à notre propre perception de l’instant présent et qu’il possède une autonomie en lien avec tous nos plans simultanés. Il est à la fois « nous » et il n’est pas « nous » dans l’instant présent puisqu’il s’agit d’un autre temps.
Nous pouvons y retourner régulièrement pour observer son évolution. Nous avons peut-être le sentiment qu’il s’agit d’une évolution élaborée par notre mental. En fait, il n’en est rien. Ce plan est simplement en reliance avec nous comme tous nos autres plans simultanés et il vit son évolution comme nous vivons la nôtre dans l’instant présent.
A un moment donné, les deux plans peuvent se rejoindre, c’est ainsi que le projet aboutit et s’inscrit dans l’instant présent. Le projet est alors arrivé à matérialisation.
L’autre façon de se positionner est la conscience ordinaire. Nous sentons une envie naitre en nous. Notre mental saisit cette idée et en élabore une forme mentale issue de son analyse et surtout du référencement à ses expériences antérieures. Cela signifie que le mental ne cesse de faire des allers-retour entre un passé qui n’est que le fruit de sa propre élaboration mentale (car qui se souvient? C’est le mental qui retient certaines éléments du « passé » et en rejette d’autres qui ne lui conviennent pas) et le futur qui devient un amalgame de matériaux que le mental met en forme, à force de volonté et surtout en maintenant une perception constante sur le futur.
Dans ce cas de figure, il n’existe aucune présence posée dans l’instant présent. Cela signifie que l’être est à la fois coupé des matériaux générés par l’instant présent, et notamment de l’énergie vitale que l’instant génère, mais aussi de toutes les sources d’informations simultanées existant dans tous les plans, tous les temps et les espaces dans lesquels nous sommes simultanément. Cette projection mentale, par sa force de projection, court-circuite les espaces interstitiels dans lesquels circulent les données et créé une sorte de ligne de force uniquement nourrie par la force du mental et de la volonté.
Autant dire que le projet devient une sorte de coque vide, dépourvue d’énergie vitale, qui, si elle nait un jour, ne sera porteuse que d’illusions créées par notre mental, sans reliance avec la réalité de ce que nous sommes et dépourvues de nos propres énergies.
La fiabilité de cette construction sera donc extrêmement limitée et par définition, vouée à la destruction car ne comportant que peu, voire pas, de reliance avec ce que nous sommes.
Le mode opératoire est donc le suivant :
– laisser naitre une idée de notre être (sa naissance est émise par ce que nous appelons l’intuition)
– la laisser grandir sans que le mental s’empare d’elle (il suffit simplement de l’observer au fil des jours)
– au moment où cela nous semble être le temps, la projeter dans un futur plus ou moins lointain (peut-être en profiter pour la verbaliser, cela lui donnera plus de forces et d’énergie)
– la laisser vivre sa vie en poursuivant notre action dans l’instant présent, tout en observant l’évolution de ce projet en nous
– quand l’échéance de matérialisation est arrivée, mettre en oeuvre le projet qui sera alors bien différent de l’idée première et qui aura profité de tous les apports de l’instant et des informations que vous avez collationné durant tout le temps de son élaboration.
Lavay (Suisse), le 14 décembre 2011, 12h24
CHEMIN DE LA CONSCIENCE STELLAIRE ET UNITAIRE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 21 novembre 2011
19/11/2011 11h03
Ce texte canalisé par Guylène, mon épouse, est fondateur d’une nouvelle perception de l’énergétique et de la Matière. A sa lecture, me sont venus des compléments que vous lirez en italique dans le texte. Un conseil. Ne vous attachez pas uniquement au sens des mots. Laissez-vous porter par la fréquence et vivez l’expérience.
La descente en matière est, pour l’être stellaire, un choix qui lui permet d’insérer profondément la fréquence étherverselle.
A l’heure actuelle, bon nombre d’humanoïdes vivent un processus similaire. C’est la raison pour laquelle il est important de diffuser ces informations. La mutation terrestre et le changement de cycle initié par 2012 posent la nécessité d’introduire sur le plan terrestre certaines fréquences étherverselles dans la Matière. Cela s’active par la transformation cellulaire de certains acteurs-source. Il s’agit d’une mutation physique, induisant de profondes mutations sur les plans psychologiques, sensoriels et émotionnels.
Or, en intégrant le corps stellaire en matière, les champs de perception sont transmutés, et temps que l’intégration de la matière multidimensionnelle n’est pas insérée, la corporalité de l’être étherversel perçoit les résonances en disfraction, et il lui est difficile de l’ingérer sans l’équilibre de la synergie des ressources de fréquences matricielles.
Cette mutation induit une profonde transformation des champs perceptifs. Il y a alors lieu de quitter tous les modes opératoires que vous avez pu utiliser jusqu’à présent. Cela crée une profonde désorientation et une immense sensation d’isolement. Il vous est quasiment impossible de partager votre expérience avec votre entourage, dans la mesure où seuls des mutants de même fréquence que la vôtre sont en mesure de comprendre. L’utilité du moyen technique que vous utilisez présentement pour lire ce texte, constitue un des seuls vecteurs de communication. Attention néanmoins à la nature fréquentielle du réseau utilisé. Le canal par lequel je m’exprime a fait état de la nature fréquentielle des deux réseaux en vigueur sur votre planète. La mutation peut être vécue, dans un premier temps, comme un déséquilibre intérieur, notamment lorsque vous ne l’avez pas posée en conscience. Les conditions requises pour l’intégration et la fluidification de cette mutation sont :
– acceptation de l’existence de cette mutation
– abandon des systèmes de pensée et de systèmes de croyance sociétaux
– acceptation des nouvelles sensations vibratoires et corporelles créées par la mutation
– acceptation des dissonances qui ne sont que le reflet des mutations en cours de corporalité.
La corporalité devient alors un vecteur de convergence des énergies étherverselles et construit l’être stellaire.
C’est ainsi que lorsque l’absence de la source est trop importante, les êtres étherversels se retrouvent dans un champ d’énergie qui destructure leur corporalité.
Si la source de convergence est trop en décalage de la source d’émission, soit par rétention de mutation liée à des résistances de corporalité sur le plan émotionnel, soit par intrusion des facteurs environnementaux dans le champ vectoriel de l’être, la corporalité se déstructure brutalement. Il s’ensuit une surchauffe du champ aurique et cellulaire.
La maladie est un champ d’énergie qui infracture la corporalité et mène à la dissociation cellulaire et à une séparation des résonnances en matière.
Lorsque la charge en dissonance est trop importante, s’opère la fracturation de la matière. La cellule se dissocie du champ aurique et énergétique, entre en sur-chauffe et l’extrait de la matière. Il s’ensuit ce que vous appelez dans votre langage une « maladie ». La « maladie » est un processus naturel de dissociation de la matière opérant l’annihilation des champs d’extraction. Elle introduit à l’activation de nouvelles parcelles fréquentielles en instance d’activation.
La conscience est une fusion d’interception de la fréquence sourcielle.
La corporalité activée génère une fusion d’interception accédant à de nouveaux champs sourciels.
C’est une matière en résonnance continuelle
Il fallut bien des éons aux êtres étherversels pour insérer cette fréquence, et de cela, encore en ce jour, leurs présences explorent la matière et poursuivent l’instance.
Pourtant là, un mouvement de l’instance s’inscrit
Dans un nouveau plans de perception
Liaison atemporelle des cellules.
Le système instantiel de la matière
Permet la focalisation des circulations.
Les cellules se relient une à une à la connexion de la source étherverselle matricielle.
Reliance en captation multidimensionnelle.
Toutes les structurelles sont en différentiel.
Suspension.
14h40
Guylène