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Couleurs, énergies quantiques et Chromotem
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHROMOTEM, Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE, STAGE FORMATION VOYAGE le 10 décembre 2014
Stage couleurs
Cycle de 13 jours en 2 sessions à Sarlat (Dordogne) – tout public – Non résidentiel
La Couleur est directement liée aux codes de votre ADN. Elle permet de comprendre l’architecture énergétique sur laquelle se construit la Réalité. Le Chromotem (www.chromotem.com) est un outil qui permet d’évaluer les énergies que vous rencontrez au quotidien. Il représente une cartographie chromique précise de votre architecture personnelle, de votre identité profonde.
Les tensions que vous rencontrez constituent la stricte émanation des déséquilibres énergétiques existant entre votre véritable nature (codes identitaires – Chromotem), ce que vous en avez compris, et la vision que vous en avez dans votre quotidien. La réintégration globale de vos fréquences personnelles vous permet d’atteindre un état d’équilibre qui vous apporte compréhension, sérénité et accomplissement.
Le cycle « Couleurs, énergies quantiques et Chromotem » est destiné à :
- Comprendre et intégrer les 13 Fréquences-mère organisant l’énergie sur votre plan de réalité
- Permettre à chaque participant d’intégrer son propre Chromotem et de comprendre son architecture énergétique, ses caractéristiques et les intégrer par la régulation des anomalies qui ont déséquilibré son système personnel.
- Replacer l’ensemble de vos fréquences dans un continuum quantique vous permettant ainsi d’accéder à d’autres niveaux de conscience.
Ce cycle n’a pas pour but d’effectuer un travail de développement personnel. Il est destiné à permettre à chacun de prendre conscience de ses éléments constitutifs et de disposer des moyens pour réguler ce que bon lui semble.
Ce travail s’appuie simultanément, à raison d’une Couleur par jour, sur l’étude de votre Chromotem personnel à travers son interprétation par Daniel BRIEZ (créateur de l’outil) et sur l’intégration de chacune des énergies des treize Couleurs-mères.
La compréhension et l’intégration de la Couleur (inscrite dans sa perception quantique) vous permet d’accéder à la mise en place de votre énergie de manifestation dans le strict respect de ce que vous êtes et de vos besoins. A l’issue de ce cycle, toutes les fréquences sont intégrées.
1ère session – 7 jours
POURPRE – ROSE – ROUGE – ORANGE – OR – JAUNE
Cette première session porte sur la perception, la connaissance et la gestion des plans physique et émotionnel.
Quelques sujets traités :
- physique quantique,
- trajectoire d’évolution,
- rapport au corps et à la matière (argent, quotidien, travail…),
- centrage sur soi,
- intuition,
- sexualité,
- codes identitaires,
- rayonnement,
- valeur de soi…
2ème session – 6 jours
VERT – TURQUOISE – BLEU – INDIGO – VIOLET – BLANC
La deuxième session porte sur la construction des schémas mentaux et les stratégies par lesquelles ils impactent notre réalité quotidienne. La déformation apportée par les systèmes de croyance individuels ou collectifs est étudiée précisément. La compréhension des mécanismes de projection et d’illusion et la construction de l’ego sont au centre de cette session.
Quelques sujets traités :
- le fonctionnement de l’ego,
- alignement,
- pacification du mental,
- libération de plan émotionnel,
- lâcher-prise,
- élimination des systèmes de croyances et des projections relationnelles,
- espace personnel,
- trouver sa place,
- perception multidimensionnelle.
Cette session est également destinée à compléter la mise en fréquence du plan cellulaire et quantique et à définir et intégrer concrètement les codes identitaires qui vous définissent. L’identification et l’appréhension des mécanismes de construction de la trajectoire de vie est au centre de ce travail. Cette perception aboutit à la mise en phase des désirs essentiels avec les évènements du quotidien. Elle permet de mettre en oeuvre la puissance de créativité et d’aimanter à vous les moyens d’action pour la concrétiser.
Quelques sujets traités :
- perception des lois de création de la Matière,
- le rapport à la communication,
- les non-dits,
- développement des perceptions clairvoyantes et notion de vision globale,
- champs spirituels,
- perceptions des mondes subtils au quotidien,
- nature du cheminement de conscience et intégration globale de soi et de nos dimensions.
Dates (la participation aux 2 sessions est obligatoire) :
Session 1 – du 10 au 16 Mai 2017,
Session 2 – du 15 au 20 Septembre 2017
Lieu : Centre Culturel et de Congrès de Sarlat, Le Colombier – 24200 Sarlat la Canéda
Prix : Cycle complet 1870€ (1ère session – 995 €, 2ème session – 875 €)
Inscriptions : 06 42 82 26 02 ou par notre formulaire d’inscription à remplir et nous adresser en cliquant ici, par notre formulaire de contact en choisissant « stages et formations »
FORMATEUR :
Daniel BRIEZ, chercheur, auteur et conférencier, enseigne l’énergétique depuis une vingtaine d’années.
Il est considéré comme l’un des experts français de la Lithothérapie et de la Chromothérapie. Importateur de minéraux depuis les années 80, sa démarche personnelle lui a permis de comprendre les schémas directeurs de la construction des réalités ainsi que leur rapport avec la science quantique.
Il est le créateur du Chromotem, du Thème de Cristal.
Il est aussi le créateur-concepteur de la ligne Parfums de Couleur sous la marque portant son nom.
SES OUVRAGES
- La Science des Chakras, voie initiatique du quotidien , éd. De Mortagne
- La Guérison spirituelle par les pierres précieuses, éd. De Mortagne
- Les Anges, éd. De Mortagne
- Le Thème Angélique, éd. De Mortagne
- Shamballa, la réconciliation, éd. Monique Ethier
- Shamballa, le Chemin de l’Initiation, éd. Monique Ethier
- Manuel d’insertion galactique, éd. Monique Ethier
- Parfums de Couleur, se soigner par les parfums, éd. Inlay – Cristaux et Santé, éd. Trajectoire
LES UNIVERS DIMENSIONNELS ET QUANTIQUES
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, CONFERENCES, Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE, STAGE FORMATION VOYAGE le 14 novembre 2014
VENDREDI 12 DECEMBRE 2014 à 20:00
LES UNIVERS DIMENSIONNELS ET QUANTIQUES, comment les intégrer, sur le plan énergétique, dans sa réalité quotidienne.
Cette conférence et le stage qui suivra seront donnés en CANALISATION CONSCIENTE par Daniel Briez, auteur du « Manuel d’Insertion Galactique », Éditions Monique Ethier, et de « Cristaux et Quantique », Éditions Guy Trédaniel (ouvrages à retrouver sur http://daniel-briez.com/ ) et instructeur des stages « Merkabah »
Depuis janvier 2013, nous assistons à un phénomène énergétique unique dans l’histoire de l’Humanité : l’intégration dans notre champ de réalité terrestre des plans multidimensionnels et galactiques. Cette insertion, ayant pour conséquence le raccourcissement puis la suppression de la Loi de cause à effets. Cela n’est pas sans provoquer dans le meilleur des cas de fortes pressions énergétiques, dans les cas les plus difficiles des collisions de trajectoire nous amenant à profondément réviser notre structure de vie personnelle.
Cette conférence est destinée à vous introduire à la compréhension de ces énergies et surtout à localiser l’impact de ces flux dans votre vie quotidienne et la façon dont ils orientent votre trajectoire vers la mise en place d’un profil conforme à vos codes identitaires.
Le stage vous permettra de comprendre l’incidence et les conséquences de ces flux dans votre quotidien. Il vous donnera, au moyen d’exercices pratiques, la possibilité d’initier l’intégration de ces nouveaux champs énergétiques dans votre vie personnelle afin d’intégrer, en conscience, les différents mécanismes multidimensionnels.
CONTACT RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS
mail : harmonieetconscience888@orange.fr
Tel : 06 74 50 62 68
STAGE ACTIVATION DE LA MERKABAH
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHROMOTEM, Codes identitaires, Energies et Matérialisation, CRISTAUX & SANTÉ, Daniel Briez, PARFUMS DE COULEUR, SCIENCE DE SYNTHESE, STAGE FORMATION VOYAGE le 25 octobre 2014
Cycle de 10 jours en deux sessions, à Sarlat (Dordogne) – ouvert à tous
PRESENTATION :
N’empruntant rien aux théories circulant sur la Merkabah, l’espace-temps que constitue ce stage ouvre à la reconnexion avec la globalité multidimensionnelle de vos codes et vous permet d’accéder à une mutation instantanée de vos différents champs de conscience. Les « connaissances » sur ce sujet importent peu. Les fréquences vibratoires liées à la Merkabah sont inscrites sur le plan cellulaire dès la naissance, présentes et vivantes au sein de votre corps.
L’activation des champs merkabiques modifient fondamentalement les périmètres de conscience et les systèmes de croyance qu’ils émettent. Ceci permet une intégration de ces champs de perception personnels inégalée.
Par le jeu de la résonance, l’expérience du stage vous offre l’espace d’éveil à ce qui est déjà inscrit en vous. Chaque participant est « légitime ». L’envie et l’appel à la participation de ce type de stage est toujours juste et ne relève pas du hasard. Lorsqu’il s’agit d’un mécanisme aussi fondamental que la Merkabah, c’est l’expérience qui trame la « connaissance ».
Les supports énergétiques que sont les Cristaux et les Couleurs, à travers le Thème de Cristal et le Chromotem personnels, serviront de trame à cette intégration.
CONTACT, RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS :
Wydiane : 06 42 82 26 02 ou par notre formulaire d’inscription à remplir et nous adresser en cliquant ici, http://www.cristaux-sante.com/docs/bulletin-2014.pdf
LIEU :
Centre Culturel et de Congrès de Sarlat , Le Colombier, 24200 – Sarlat la Canéda
PRIX DU CYCLE :
1380€ (session 1: 690€, session 2 : 690€ (La participation aux 2 sessions est obligatoire)
FORMATEUR :
Daniel BRIEZ, chercheur, auteur et conférencier, enseigne l’énergétique depuis une vingtaine d’années.
Il est considéré comme l’un des experts français de la Lithothérapie et de la Chromothérapie. Importateur de minéraux depuis les années 80, sa démarche personnelle lui a permis de comprendre les schémas directeurs de la construction des réalités ainsi que leur rapport avec la science quantique.
Il est le créateur du Chromotem, du Thème de Cristal.
Il est aussi le créateur-concepteur de la ligne Parfums de Couleur sous la marque portant son nom.
SES OUVRAGES
- La Science des Chakras, voie initiatique du quotidien , éd. De Mortagne
- La Guérison spirituelle par les pierres précieuses, éd. De Mortagne
- Les Anges, éd. De Mortagne
- Le Thème Angélique, éd. De Mortagne
- Shamballa, la réconciliation, éd. Monique Ethier
- Shamballa, le Chemin de l’Initiation, éd. Monique Ethier
- Manuel d’insertion galactique, éd. Monique Ethier
- Parfums de Couleur, se soigner par les parfums, éd. Inlay – Cristaux et Santé, éd. Trajectoire
LES TECHNIQUES DE LA MERKABHA
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE, STAGE FORMATION VOYAGE le 13 mars 2012
Depuis une dizaine d’années, le mot « Merkabha » est devenu à la mode, au même titre que le mot « quantique ». Le problème est que bien de fausses idées sont véhiculées sur le sujet et qu’il est difficile de se faire une idée sur la réalité de ce concept. Cela est d’autant plus difficile que les exemples concrets d’activation de la Merkabha ne sont pas légions et procèdent plutôt du domaine de la croyance ou de la légende.
Mais qu’est-ce que la Merkabha ?
Le mot Merkabha est composé des racines égyptiennes suivantes : Mer (l’esprit), Ka (le double ou l’âme), et Bha (le corps). Il désigne dans la Tradition hébraïque le Char ou Corps de Lumière. Dans le nouveau Testament, il est le Corps d’Ascension.
Cette symbolisation correspond à une observation physique d’un corps humain qui accélère sa vitesse de rotation cellulaire jusqu’à des fréquences qui lui permettent de se dématérialiser pour se rematérialiser ensuite dans un autre lieu physique (on parle en science fiction de « téléportation »). Il est vrai que l’exemple le plus connu, même si les témoignages directs sont sujet à caution, est celui de l’Ascension du Christ, ou de la dématérialisation de certains Rimpotché tibétains.
Par cet article, je souhaiterais vous donner ma perception de ce processus. Comme pour chacun de mes textes, il n’engage que ma responsabilité et constitue une piste que je soumets à votre réflexion.
Dans mon expérience, le corps merkabhique est effectivement un corps d’élévation luminique créé par l’accélération de la vitesse de rotation du plan cellulaire. Le liquide cellulaire possède un sens de rotation qui est le même que celui du magma de notre planète. Sa rotation crée une force centrifuge qui est à la base du nettoyage cellulaire quotidien. C’est sur ce mécanisme que repose la détoxination du corps et l’apport d’éléments nutritifs dans la cellule. Ordinairement, cette rotation est lente mais elle peut être accélérée en utilisant certains états de conscience modifiée.
Les Techniques Merkabhiques sont un ensemble d’exercices et de techniques reposant sur l’utilisation de fréquences vibratoires (sons, couleurs, fragrances, cristaux) employées pour accélérer la vitesse de rotation cellulaire. A l’obtention du seuil critique, se produit une « réactivation » des codes merkabhiques internes. Chaque être humain possède ces codes qui lui permettent, lorsqu’il atteint le niveau de conscience requis, de retrouver sa capacité d’utilisation du Corps de Lumière. Ces codes sont uniques, individuels et non transmissibles. Ils sont aussi intimes que le génome. En d’autres termes, j’estime que lorsque l’on prône la possibilité d’utilisation d’une méthode globale d’activation applicable à tout le monde, on véhicule une vision partielle et incomplète du processus requis pour obtenir des résultats tangibles.
Quelles sont les facteurs qui oblitèrent les codes merkabhiques et les empêchent de s’activer ?
Les principaux facteurs oblitérant l’activation de la Merkabha sont constitués des multiples couches de croyance qui ont été imprimées dans le corps humain, au fil des millénaires, par l’éducation, les différents incidents de vie et les multiples chocs accumulés. Ces empreintes engramment la fréquence d’élévation et l’embourbe dans des fréquences densifiées qui n’ont plus de connexion avec notre fréquence d’origine.
Dans ma perception, il est clair que l’humain ne « descend » pas du singe. Nous cherchons depuis longtemps le « chaînon manquant », et nous ne sommes pas près de le découvrir, car il n’a jamais existé. L’Homme vient des étoiles. Il est arrivé sur la planète au moyen de son Corps de Lumière et possède toujours la mémoire de ses Codes d’Ascension.
Comment réactiver ces codes ?
Comme l’étymologie du mot Merkabha l’indique, le Corps de Lumière correspond à la catalysation des codes stellaires (Mer), des codes animiques (Ka) et des codes cellulaires et génétiques (Bha). La dissolution des systèmes de croyance constitue le point de départ de cette activation. Il est quasiment impossible de localiser toutes les croyances que nous portons sur le plan cellulaire. Aussi est-il nécessaire d’utiliser des moyens qui dissolvent les automatismes créés par les systèmes de croyance afin de restituer au corps sa dimension première et lui permettre ainsi de relancer la configuration énergétique qui permet d’entrer en conscience de l’alignement requis pour activer la Merkabha.
Depuis 1998, j’ai animé trois sessions de formation sur ce sujet. Il s’est écoulé cinq à six années entre chaque étape, me laissant un temps de maturation et permettant à de nouvelles fréquences et de nouveaux champs de conscience de s’incarner sur le plan terrestre. A mon sens, il n’est pas possible de faire de ce sujet un « fonds de commerce ». Il n’est qu’à répondre à cette impulsion « venue d’ailleurs » donnant l’impérieuse nécessité de matérialiser de nouveaux champs de conscience.
En cette année de mutation planétaire, le stage « Techniques de la Merkabha » s’inscrit dans cette perception, année où notre transition s’avère impérieuse. Les états de conscience modifiée constituent un des moyens privilégiés pour accéder à des niveaux informatifs dégagés des limites du mental. J’utiliserai ce moyen afin de condenser l’information par le Verbe et apporter à chacun des participants de nouvelles fréquences informatives.
Je ne pense pas que le groupe aboutira à une activation effective de la Merkabha au dernier jour du stage, mais il contribuera à « nettoyer » le terrain collectif et surtout à déblayer des champs parasitaires qui oblitèrent depuis trop longtemps la vision de chacun.
Je vous convie donc à ce magnifique voyage dans la Conscience Universelle que j’aurais le plaisir de vivre avec ceux d’entre vous qui choisiront de se joindre à ce travail.
Sarlat, le 13 Mars 2012
PS L’intégration de la Merkabha porte sur l’intégration du 12 qui introduit au 13.
LES TECHNIQUES DE LA MERKABHA
Stage de 4 jours à Sarlat (Dordogne) – tout public – non résidentiel
Ce stage constitue une introduction aux techniques de perception, de développement et de mise en place des Techniques de la Merkabha. Sans rapport avec les travaux de Drunvalo Melchisédech, ce stage constitue une approche novatrice et délibérément originale pour dissoudre les barrières à l’activation du « Véhicule de Lumière ». Il introduit à l’énergie des Maîtres Ascensionnés et permet de comprendre sur quelles bases les Maîtres ont construit leur Ascension.
Quelques uns des sujets abordés :
-
évaluation des systèmes de croyance
-
bases techniques des niveaux luminiques
-
introduction à la Science de Synthèse
-
perception et voyages dimensionnels
-
expérimentation des outils multidimensionnels
-
etc.
Prix : 490 € (Remise de 30% pour les personnes participant au cycle « La Science des Couleurs »)
Inscriptions : Wydiane 06 42 82 26 02 – formations@cristaux-sante.com
LA SCIENCE DES COULEURS
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHROMOTEM, Daniel Briez, PARFUMS DE COULEUR, SCIENCE DE SYNTHESE, STAGE FORMATION VOYAGE le 5 mars 2012
Les croyances construisent, sur le plan énergétique cellulaire, des automates inconscients qui altèrent gravement la dimension quantique de l’homme, aboutissant à une perte de connexion avec lui-même et son environnement. Les peurs, les souffrances psychologiques, morales ou physiques, l’insatisfaction chronique, la pénurie matérielle trouvent toutes leur origine dans ce mécanisme.
La Couleur constitue le seul moyen connu actuellement pour reconstituer l’être dans sa dimension originelle. Cette dimension est la seule qui puisse établir un équilibre entre les nécessités matérielles du quotidien et notre propre cheminement de conscience. Cet équilibre constitue le point de passage obligatoire à l’établissement d’une vie épanouie et satisfaisante. En réactivant les fréquences du corps sur l’ensemble des niveaux, la Couleur permet de restituer au plan cellulaire ses équilibres naturels et ainsi de le libérer des entraves que constituent les croyances.
Pourquoi la Couleur ?
La Couleur est une fréquence vibratoire et ondulatoire qui agit dans la résonance du corps corpusculaire. Elle entre ainsi en relation avec la cellule et lui restitue sa vibration originelle, fréquence naturelle installée antérieurement à la présence des altérations produites par les différents systèmes de croyance. A noter que les croyances sont présentes à de nombreux niveaux et proviennent de multiples sources: personnelles, familiales et générationelles, éducatives, sociétales, historiques ou collectives. Il est impossible d’en localiser d’une manière exhaustive la totalité. Une tentative d’identification au moyen du mental serait une démarche illusoire et improductive qui ne permettrait pas au corps de se libérer totalement de leurs empreintes.
Pour obtenir une totale libération, le processus ne peut que s’accomplir sur les plans vibratoires et fréquentiels, seuls exempts de l’emprise du mental.

L’emploi de la Couleur permet de dissoudre ces automates énergétiques sans entrer dans la nécessité de les identifier. La perception mentale entre en dernier ressort, au moment de la prise de conscience que génère la libération d’une croyance. C’est un peu comme une bulle d’air qui éclos à la surface de l’eau. Au moment du dégagement de l’automate énergétique parasitaire, nous vivons ce que nous appelons une « prise de conscience ». Cela est le signe du dégagement définitif de cet automate.
La « Science des Couleurs » est un processus vibratoire et énergétique cellulaire. L’utilisation d’outils exempts de croyances (cristaux, sons, parfums de couleur, etc.) permet à la cellule de se souvenir de son programme de base. La mise en contact vibratoire avec des fréquences ne laissant intervenir ni les croyances, ni le mental (elles vibrent simplement), lui permet de se relancer elle-même. A partir de cette relance, la cellule n’a de cesse que de dissoudre tout ce qui ne lui est pas naturel et bénéfique, en d’autres termes, tous les systèmes et toutes les croyances qui parasitent son équilibre naturel.
Le déroulement du cycle de formation « La Science des Couleur » a été construit afin d’intégrer une Couleur par jour, temps d’immersion minimum pour que le corps enregistre et se remémore chaque fréquence. Il nous permet de nous dégager définitivement d’un long, coûteux et douloureux travail de développement. Ainsi est-il possible de se consacrer simplement et sans entraves à l’accomplissement de notre vie, dans tous ses aspects.
Commentaire personnel :
Il est toujours difficile de parler d’une formation que l’on donne sans être taxé de complaisance avec soi-même ou avoir l’intention d’attirer le lecteur dans ses formations. Je conseille donc au lecteur de lire le paragraphe suivant en s’attachant à son ressenti et d’observer ce qui lui semble juste.
Au fil des années, j’ai mis au point un cycle de 13 jours (scindé en 3 sessions sur une période de six mois) sur « La Science des Couleur ». Il m’a toujours été difficile de définir cette formation, tant elle touche à tous les niveaux d’être et de conscience, aussi bien dans ses aspects physiques et émotionnels que dans l’activation des états de conscience et des états de conscience modifiée. Il n’en est pas moins vrai qu’année après année, j’ai pu observer que le dégagement de l’empreinte des croyances s’opérait de plus en plus rapidement. Probablement cela est-il due, en grande partie, à la formidable évolution de conscience à laquelle nous assistons depuis quatre ou cinq ans. Le vécu que j’ai eu depuis 20 ans dans cette formation me permet de dire que le stagiaire qui vit ce processus durant ces six mois, dégage définitivement l’ensemble de ses croyances conscientes ou inconscientes, ou s’il ne le fait pas totalement, dispose du « mode d’emploi » énergétique de son être pour terminer seul le processus. Cela s’opère en douceur, sans conflit d’ego, sans débordements émotionnels, dans la plus grande simplicité, car le cycle n’est pas un cycle de développement personnel (il ne vient donc pas en opposition avec le mental et l’ego), il se contente de placer l’attention de chacun à un autre niveau (au moyen de tous les outils que nous utilisons), niveau à partir duquel tout se construit et se déconstruit. Il appartient ensuite à chacun de décider du degré de sa mise en oeuvre. Je ne puis donc que convier chacun à participer à cette formation. Gain de temps, gain d’argent, confort de vie, compréhension de soi, insertion dans la réalité universelle et environnementale sont autant de points qui en découlent.
Arlon, Belgique, le 2 Mars 2012 à 10h42
STAGE LA SCIENCE DES COULEURS
Cycle de 13 jours à Sarlat (Dordogne) – tout public – Non résidentiel
La perception et les sensations que nous avons des couleurs constituent la « cartographie » de la résonance énergétique de notre être. Cette résonance « aimante » vers nous, les évènements qui construisent notre quotidien. Nous pouvons ainsi diagnostiquer et apprendre à réguler l’ensemble des mécanismes de tension que nous rencontrons. La compréhension et l’intégration de la Couleur nous permet d’accéder aux réponses que nous nous posons sur le sens de notre vie et le chemin que nous avons entrepris. Elle nous permet de comprendre nos comportements, les causes profondes qui prédominent notre quotidien et nous donne les moyens de réguler les aspects inconfortables de notre existence.
Par ailleurs, la Couleur est le seul vecteur connu permettant d’accéder à la multidimensionnalité et pouvant servir de support informationnel aux informations quantiques.
Ce cycle n’est pas un stage de développement personnel mais donne tous les moyens nécessaires pour construire sa démarche personnelle. La connaissance de la Couleur constitue un véritable mode d’emploi de la gestion de notre patrimoine de vie.
Basé sur l’intégration et la compréhension d’une fréquence chromatique par jour, cette formation est construite pour réinitialiser le fonctionnement de chaque couleur dans notre ensemble énergétique et vibratoire, nous permettre de comprendre les « ponts » dont nous disposons pour accéder aux champs de perception quantiques et accéder aux différentes dimensions dans lesquelles nous évoluons simultanément. L’approche est simple, ne demande aucune connaissance particulière, et donne à chacun, dans sa perception, les méthodes et les moyens d’entrer totalement dans la compréhension de lui-même.
A l’issue de cette formation, l’ensemble des fréquences sont intégrées, les systèmes de croyance et/ou mémoires du passé sont identifiées et/ou dissoutes, le chemin est libre pour accomplir son expérience de vie sans plus aucune « casserole » attachée à son parcours de vie
1ère session – 4 jours
LE CORPS PHYSIQUE ET EMOTIONNEL
POURPRE – ROUGE – ORANGE – OR
Cette première session pose les connaissances théoriques requises pour comprendre le fonctionnement de la Couleur sur les plans physiologiques, énergétiques et vibratoires. Elle apporte la connaissance et le mode de gestion des plans physique et émotionnel.
Quelques uns des sujets traités :
- principes de physique quantique, perception de l’espace et du temps
- comprendre et intégrer le rapport à sa trajectoire d’évolution par rapport au temps et à l’environnement
- intégrer le rapport à la famille, à l’argent, aux lignées ancestrales et à sa propre histoire
- acquérir la capacité à se connaitre soi-même
- se centrer sur soi-même, percevoir la nature de ses codes identitaires et ainsi mieux définir ses besoins
- gérer la relation que nous établissons avec le monde professionnel, la prospérité et les évènements qui y sont liés.
Dates : du 6 au 9 Avril 2012
Lieu : SARLAT (Dordogne), Inscriptions et informations : Wydiane 06 42 82 26 02
2ème session – 4 jours
LE CORPS MENTAL
JAUNE – VERT – ROSE –TURQUOISE
Cette session permet de comprendre et d’intégrer la façon dont notre plan mental commande notre quotidien. Elle apporte la compréhension des mécanismes de projection et d’illusion qui amènent souvent à définir des objectifs de vie ne correspondant pas à nos aspirations profondes. Elle permet de percevoir la notion d’espace individuel et donne les moyens de le gérer. Elle permet de se placer dans l’instant présent et permet de redéfinir et de mieux positionner notre rapport à l’ego et ainsi définir nos objectifs de vie.
Quelques uns des sujets traités :
- compréhension de la nature de l’ego et du mental et alignement sur ces énergies dans le rapport à la vie
- gestion et intégration du lâcher prise
- évaluation et élimination des systèmes projectifs, des états d’addiction émotionnelle ou physiologique
- rapport à l’amour et gestion de l’affectif, gestion de la place et de l’espace personnel
- accession à la perception multidimensionnelle
- organisation générale du système de vie, pacification du plan mental
- mise au service des besoins les plus essentiels et de la capacité de créativité et optimisation du plan mental.
Dates : du 3 au 6 mai 2012
Lieu : SARLAT (Dordogne), Inscriptions et informations : Wydiane 06 42 82 26 02
3ème session – 5 jours
LE CORPS SPIRITUEL ET CONCEPTUEL
BLEU –INDIGO – VIOLET –BLANC – ARGENT
Cette session permet de comprendre et d’intégrer concrètement les aspirations qui naissent en nous. Elle nous permet de les identifier, d’appréhender les mécanismes de construction de la trajectoire de vie et ainsi de mettre en phase les désirs essentiels et la création des évènements du quotidien. Elle nous permet d’appréhender les principales lois de la création de la matière et de les mettre concrètement en œuvre. Elle permet de prendre conscience de la puissance de créativité et de l’utiliser.
Quelques uns des sujets traités :
- perception des lois de création de la Matière
- gestion de la parole, du silence et des non-dits
- perception à long et moyen terme et développement de la vision personnelle et de la clairvoyance
- identification et gestion des mécanismes de médiumnité et de channeling
- perception des champs spirituels et des mondes invisibles
- connexion au multidimensionnel et intégration de ces données dans le quotidien
- identification de la nature du cheminement de conscience et définition de sa propre trajectoire.
Dates : du 29 Août au 2 septembre 2012
Lieu : Sarlat (Dordogne)
Prix : 1ère session – 390 €, 2ème session – 390 €, 3ème session – 490 €
Inscriptions et informations : Wydiane 06 42 82 26 02 – formations@cristaux-sante.com
ATTENTION LE CYCLE DOIT ÊTRE FAIT DANS SON INTÉGRALITÉ. LES 3 SESSIONS SONT INDISSOCIABLES
Les personnes ayant antérieurement fait ce cycle bénéficient d’une remise de 50%
Inscriptions et informations : Wydiane 06 42 82 26 02 formations@cristaux-sante.com
L’ACCOMPAGNEMENT DU PASSAGE DE LA MORT
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 17 janvier 2012
Pour être bien compris, cet article doit être associé à la lecture des articles intitulés
– La Mort
– L’enterrement ou la crémation
Tout d’abord, observons le sens étymologique du mot défunt. Défunt provient du mot latin functus qui signifie fonction. Un dé-funt (defunctus) est donc quelqu’un qui est déchargé (dé) de sa fonction (functus). Defunctus signifie en latin celui qui est déchargé, et par extension celui qui a accompli. En d’autres termes, c’est celui qui a accompli sa vie. Il convient donc de l’accompagner pour que le défunt devienne un mort.
Le mot mort est issu de l’ancien égyptien MOUTH qui signifie mutation ou changement d’état. Il possède la même racine que le mot MAAT (Vérité). Chez les Hébreux, il est issu du mot MOTH, racine étymologique des mots mother, mère, mutation, matière.
Autant dire que le mot mort ne porte pas le sens d’une disparition ou d’un anéantissement mais bien celui d’une mutation.
La mort est la naissance à une autre vie, vie de conscience.
Dans l’article intitulé « La Mort », nous avons détaillé le fait que les fonctions cognitives de l’être ne s’interrompaient pas avec l’arrêt des fonctions organiques du corps physique, d’où l’absolue nécessité d’aménager un espace et un temps pour le repos du corps physique afin de lui permettre de réaliser sa séparation avec l’esprit.
Pour bien comprendre ce mécanisme, il est important de détailler les niveaux par lesquels la cellule (Matière) et l’esprit (Conscience) sont en relation symbiotique.
Il existe deux niveaux symbiotiques entre le corps cellulaire et l’esprit :
– Le niveau conscient
Le niveau conscient est le plus communément appréhender. Toutes les informations vécues dans le quotidien sont enregistrées par la cellule. Dans la perception ordinaire, nous appelons cela mémoires. Nous assimilons souvent la mémoire à une des fonctions du cerveau. Tel n’est pas le cas, en tout premier lieu, la mémoire est cellulaire, pour ensuite, si cela s’avère nécessaire, être mise en forme par le cerveau (que l’on confond souvent, par ailleurs, avec le mental).
Simultanément à la mémorisation cellulaire, l’enregistrement des données s’opère au niveau de l’esprit. Celui-ci, simultanément transfère ces données à une banque de données globale que nous nommerons, par facilité, l’âme. La fonction de l’âme est essentielle. Sans elle, la relation à l’univers de l’être et du corps serait limitée à la seule incarnation présente. Si tel était le cas, cette configuration aurait pour effet de nous amener à répéter pratiquement toujours les mêmes expériences dans chaque incarnation, sans possibilité de créativité et de renouvellement.
A partir du niveau conscient, nous évoluons vers des sphères d’un niveau vibratoire de plus en plus élevé (que nous qualifierons de spirituel), au fur et à mesure de la complémentation des phases de notre expérimentation de la vie quotidienne. Notre cheminement de conscience repose sur la qualité de cette expérimentation sensorielle, sur le niveau de perception que nous en avons et sur la satisfaction des besoins de nos premiers niveaux organiques.
– Le niveau inconscient
Le niveau inconscient est plus difficile à percevoir car il ne repose pas sur le cheminement de conscience que nous observons couramment. Il constitue le mécanisme automatique qui permet de stocker d’innombrables données en attente de traitement par notre conscience.
Ce niveau est essentiel car il permet au corps de réunir toutes les conditions de survie requises pour conserver son intégrité. Il lui permet de traiter la totalité des informations émises par son environnement et de déterminer les données qui peuvent mettre en danger sa survie. C’est à ce niveau que se situe ce que nous nommons l’instinct de conservation.
Dans ce niveau sont enregistrés la moindre de nos conversations, le moindre évènement, les plus infimes fréquences transmises par les étoiles, l’influence des égrégores collectifs, les mouvements de la planète, en fait tout ce qui a une influence , même infinitésimale sur notre survie. C’est ainsi que le corps peut rester vivant, y compris dans des situations extrêmes.
Lors du processus du passage de la mort, ce niveau est fondamental car c’est celui qui contient le plus de données à décrocher et surtout dans lequel se trouvent l’ensemble des liens inconscients avec les membres de notre entourage et tous les êtres que nous avons croisé dans notre vie.
Il est fondamental de comprendre la nature de ces liens. Chaque parole que nous prononçons, la totalité de celles que nous entendons, tous les gestes, tous les regards que nous échangeons subsistent sur le plan énergétique. Rien ne s’efface jamais. Même si ces données n’encombrent pas notre mémoire ou ne sont pas conscientisées, elles demeurent en nous et conserve un lien avec le corps cellulaire de la personne avec laquelle nous avons échangé, même s’il s’agit d’un simple regard fugitif échangé avec un passant trente années auparavant . Ce sont ainsi des milliards de fils énergétiques qui nous lient aux innombrables individus que nous avons croisé de notre vivant.
Lorsque l’esprit se désincruste du corps, ces attaches énergétiques se coupent et l’énergie se transfère en totalité sur celui qui reste vivant. Il s’agit d’un décrochage. Il ne faut pas chercher plus loin l’origine du mécanisme qui est fréquemment décrit au moment d’une NDE concernant la visualisation de toute la vie à rebours.
Que l’interlocuteur soit présent physiquement auprès du corps, qu’il se rappelle les faits ou les mots, que le défunt n’ait été croisé qu’un instant fugitif, cela est la même chose. Ce qui déclenche ces liens est la simple mémorisation inconsciente de ces éléments.
Ce mécanisme de décrochage est ressenti particulièrement puissamment dans le cas de l’énergie de filiation. Lorsque le père meurt, la totalité de la charge énergétique des ancêtres de la lignée se transfère sur son fils ainé. Si c’est la mère, le transfert s’opère sur la fille ainée. Il peut être extrêmement favorable pour chacun ce transfert se fasse en conscience entre le père et le fils ou la mère et la fille, quelques temps avant le décès, voire quelques années avant. Cela allègera considérablement la personne en fin de vie et permettra à celle qui reste de mieux gérer le transfert. Au moment du décès, le décrochage cellulaire sera d’autant plus fluide.
Nous comprenons donc que les conditions énergétiques dans lesquelles s’inscrit le défunt au moment de sa mort sont essentielles. Chaque perturbation énergétique dans les jours qui suivent le décès sont préjudiciables au décrochage et entraînent pour le défunt des souffrances et perturbent le mécanisme de passage, allant même parfois jusqu’à l’interrompre.
Quelles sont les circonstances qui interrompent le processus de séparation des entités corps et esprit ?
Le regret. Le défunt est dans l’obligation d’avoir réglé ses comptes. S’il estime qu’il avait encore quelque chose à faire ou à dire avant de partir, et qu’il n’a pas réunnit les conditions pour que cela se fasse, la sensation d’inacomplissement crée une attache à la forme physique et il est difficile pour le défunt de partir.
L’attachement. Si le défunt est attaché à des biens matériels, à un lieu ou à des êtres, il en est de même que précédemment. De même si l’un ou plusieurs de ses proches ne veulent pas le laisser partir et font preuve d’un attachement excessif (ex : une mère qui perd un de ses enfants ou une femme dont le mari décède).
L’ignorance. S’il est totalement dans l’ignorance des mécanismes de passage, il en est de même.
Le refus des champs spirituels. Un véritable athée, par conviction, attaché à une vision mécaniste et scientiste du monde, se trouve complètement désemparé dans le nouveau plan dans lequel il se retrouve, et le passage ne s’opère pas.
La colère. Si une colère subsiste chez le défunt au moment de son décès, le niveau vibratoire de la colère se situe dans une fréquence trop basse pour permettre le passage.
Les pratiques médiumniques ou spirites. Le processus de rappel des morts au travers de médiums maintient ceux-ci à proximité de la fréquence terrestre (comme une ancre) et ne permet pas leur dégagement
Ces facteurs génèrent des fréquences vibratoires denses qui retardent, voire empêchent la dissociation du corps et de l’esprit. La combinaison de plusieurs facteurs peut créer une véritable prison énergétique créant une impossibilité au défunt de réaliser son passage. Dans ce cas, l’esprit reste emprisonné dans le corps avec la relation sensorielle décrite précédemment.
L’usage de cérémonies religieuses réunissant un grand nombre de personnes crée un égrégore de haut niveau vibratoire autour de l’énergie du défunt. C’est ainsi que se construit un puissant effet de levier permettant aux énergies denses de s’élever au défunt de se libérer.
Il est par conséquent clair que la nature vibratoire de l’environnement créée autour du corps du défunt joue un rôle fondamental. Si de bonnes conditions de transfert ne sont pas en place, le mort n’a pas la possibilité d’intervenir directement sur l’état énergétique de son corps. Un mort livré à lui-même possède naturellement les ressources nécessaires pour accéder à ce dégagement. La qualité de son environnement devient par conséquent importante. Si elle est bonne, le passage s’opère dans de bonnes conditions et rapidement. Si elle s’avère perturbée, le passage se prolonge, peut parfois s’interrompre.
L’égrégore énergétique constitué par les personnes réunies autour de lui fait office de levier pour élever la fréquence cellulaire du corps physique et permettre le dégagement de l’esprit. L’atmosphère créée autour du mort doit être constituée de paix, de tendresse et de sérénité. Il est fondamental d’éviter, autant que faire ce peut, les grands débordements émotionnels, les pleurs et le transfert de ses propres peurs de de la mort vers le défunt. Trop souvent, nous voyons, jusque sur le lit de mort du défunt, se produire des règlements de compte familiaux. Il est clair que la mort agit comme un mécanisme de catharsis vis-à-vis de l’entourage et renvoie chacun à sa propre disparition. Cette catharsis libère des émotions qui sont parfois bloquées depuis des dizaines d’années. Néanmoins, l’espace du mort n’est ni le lieu, ni le moment, pour libérer nos propres peurs, eu égard au respect que nous devons porter au défunt, quelque soit le rapport que nous avons pu avoir avec lui.
Les plus gros dérapages proviennent fréquemment des désaccords qui naissent de la répartition des legs et héritages. Chacun attend de recevoir, consciemment ou inconsciemment, une reconnaissance directe ou indirecte du mort. Il est important de noter que dans la gestion des legs, la qualité du legs spirituel transmis par le défunt à chacun est essentielle. Ce n’est pas pour rien qu’a été institué la notion de dernières volontés ou de testament. Si le legs spirituel est imparfait, incomplet ou inexistant, il est probable que la part du legs matériel sera conflictuelle. S’il a été correctement géré par le défunt dans les années précédant son décès, il est probable que tout se déroulera dans l’harmonie requise.
Conseils pour créer un passage harmonieux.
– Désigner un groupe de maîtres de cérémonie. Il s’agit, de préférence, d’un collégial de trois personnes désignées par la famille ou les plus proches du défunt. Ils seront considérés par tous comme des sages et seront garants du bon déroulement des opérations. Eviter la collégialité de deux personnes qui porte le risque de voir naître des conflits de personnalités.
– S’en remettre aux décisions de ces sages pour l’ensemble de l’organisation des journées dédiées au défunt jusqu’à l’enterrement.
– Un des membres du collège des sages doit toujours être présent auprès du corps du défunt, vingt quatre heures sur vingt quatre. Ils sont les garants de la paix nécessaire autour du défunt. Ils gèrent les débordements inopportuns et temporisent les conflits s’il y a lieu.
TRES IMPORTANT : si un conflit se déclenche, il ne doit absolument pas se développer en présence du défunt. Si cela est inévitable, faire sortir les personnes en lice de la maison. Le maître de cérémonie est celui qui canalise les énergies en présence et leur permet de demeurer à un niveau de paix et d’harmonie.
– Laisser les maîtres de cérémonie évaluer le temps nécessaire au défunt pour se libérer de son esprit et fixer ainsi, si possible, la date de l’enterrement ou de l’incinération.
– Ne pas transformer le corps par les procédés thanatologiques en usage. Il est préférable, si les conditions de conservation du corps sont difficiles, de clore le cercueil plutôt que de faire subir au corps des transformations qui seront ressenties par le défunt comme des actes chirurgicaux sans anesthésie.
– Evidemment, suivre à la lettre les dernières volontés du défunt, si elles ont été formulées, quelles que soient les réactions qu’elles suscitent dans l’entourage.
Dernière observation.
De nombreuses personnes qui décèdent manquent de culture spirituelle. Le défunt se trouve alors dans une perception de conscience extérieure à lui-même. Pour cette raison, de nombreuses cultures ont pour coutume d’entourer le mort de pleureuses. Cela lui permet de comprendre qu’il est bien mort et qu’il doit se retourner vers lui-même.
Pour conclure, c’est le retrait de la fréquence conscience/esprit de la cellule qui entraine sa dégradation et permet au corps de se dissoudre. A un moment donné les personnes qui entoure le défunt sentent qu’il est parti. Il est temps alors de le mettre en terre ou de l’incinérer.
Sarlat, le 15 Janvier 2012, 19h25
LA MORT
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 16 janvier 2012
Une intense discussion avec des membres de ma famille m’a récemment montré que les phénomènes énergétiques liés à la mort étaient encore trop peu, voire pas, connus. Cela a motivé la rédaction des trois articles intitulés
– La Mort,
– L’accompagnement du passage de la mort
– L’enterrement ou la crémation.
S’il est un passage qui vient chercher chacun dans son intimité et ses convictions, c’est bien celui de la mort du corps physique. Ce mécanisme mal connu est l’objet de bien des spéculations. Il me semble important de définir simplement les principales étapes de ce processus de passage afin d’éviter des incohérences préjudiciables au défunt et lui permettre de se libérer de son corps physique dans les meilleures conditions possibles.
En premier lieu, n’oublions pas qu’on ne meurt qu’une fois et que ce que l’on « loupe » à ce moment-là est irrémédiablement passé. Il est donc recommandé d’aborder cet évènement majeur de notre parcours de vie avec conscience et d’éviter les plus gros dommages, que ce soit nous-même qui mourrions ou un membre de notre entourage.
L’être humain est composé de deux entités distinctes vivant sur une base symbiotique, l’une sur le plan de la conscience, l’autre sur celui du physique : l’esprit et le corps.
Le corps est constitué de l’ensemble de la masse corporelle et cellulaire. Elle sert de véhicule à l’esprit. Elle lui permet de réaliser, tout au long de l’incarnation, des expériences sensorielles de conscience extrêmement diversifiées et précises, lui donnant ainsi la possibilité de pratiquer consciemment les lois du fonctionnement de la Matière. La mise à disposition du corps physique, au moment de la conception puis de la naissance, est fondamental. Il s’agit, ni plus ni moins, du seul support tangible et opérationnel qui permet à l’esprit d’évoluer et d’acquérir de nouveaux champs d’investigation. Il n’en existe pas d’autre dans le champ de perception qui est le nôtre Ici et Maintenant.
Le corps dispose à la fois de fonctions conscientes (tout ce que touche à la sensorialité et à l’élaboration de la conscience), et des fonctions inconscientes (tout ce qui touche aux automatismes organiques permettant au corps de conserver son activité vivante et les systèmes inconscients de traitement de l’information qui lui permettent de s’ajuster aux milliards de données qu’il reçoit de son environnement, à chaque instant).
Cette masse cellulaire possède une autonomie qui conditionne grandement, selon les informations qu’elle a accumulée durant son expérimentation, la nature énergétique de la façon dont est vécue le passage de la vie à la mort et de la perception que nous en avons en tant qu’acteur ou spectateur.
L’esprit peut être défini comme la part éternelle de l’être. Partons du postulat suivant qui consiste à dire que les lecteurs de cet article croient en l’immortalité de l’âme. Il n’est bien évidemment pas question d’entrer Ici dans un débat sur la nature de l’âme mais d’utiliser ce mot comme étant la désignation du support de l’énergie qui est nous, qui était en nous avant l’incarnation et avait expérimenté d’autres corps ou d’autres formes de vie simultanément ou antérieurement à l’expérience présente, et qui en expérimente dans les temps parallèles ou à venir.
Nous ne sommes donc pas de Maintenant. Notre esprit a survécu à d’innombrables corps ou autres formes de matérialisation. L’esprit habite le plan cellulaire et est intimement lié à son fonctionnement organique, à tel point qu’il peut aller jusqu’à en modifier, voir interrompre, les processus organiques automatiques. Toutefois, il n’en est qu’un hôte.
Qu’est-ce que la mort ?
La mort représente l’arrêt des fonctions organiques du corps. Il serait une grave erreur de penser que les fonctions cognitives s’interrompent au moment de la mort. Ce n’est pas parce que le coeur s’arrête ou que l’encéphalogramme d’un individu est sans activité que ses fonctions sensorielles s’interrompent instantanément, qu’il ne sent plus rien, qu’il n’entend plus rien, qu’il n’éprouve plus d’émotions et qu’il ne réfléchit plus.
La croyance la plus couramment adoptée sur notre planète consiste à penser que les facultés cognitives sont exclusivement liée au fonctionnement de notre cerveau. Il n’en est rien. L’esprit et le cerveau se juxtaposent, le temps de l’incarnation pour optimiser l’expérimentation de vie, mais ils sont indépendants et se dissocient au moment de la mort. Cette configuration permet à l’âme de ne pas perdre les données collationnées durant une vie et de se les mémoriser (ou non) dans une incarnation ultérieure. Dans le cas contraire, les données seraient irrémédiablement perdues par la désagrégation du corps cellulaire. Ce serait fort dommage et terriblement improductif.
Autrefois, dans notre société, avant que la mort ne soit cachée dans le ghetto des hôpitaux et des maisons de retraite ( qu’il faudrait plutôt appeler parfois « maisons à mourir »), l’individu mourait chez lui. Il restait dans sa maison, entouré par les siens, le temps que l’inhumation s’organise. Cela laissait le temps à chacun de le rencontrer une dernière fois, puis il était mis en bière et conduit au cimetière, la plupart du temps accompagné d’une cérémonie religieuse.
Ce processus répondait à une nécessité profonde. Pourquoi ?
Tout simplement parce qu’il faut un délai de trois à quatre jours (sept jours dit la tradition hébraïque) pour que le corps se libère totalement de sa sensibilité sensorielle et de l’empreinte de l’esprit qui enregistre toutes ces informations. En d’autres termes, qu’est-ce que cela signifie ?
Cela signifie qu’au moment de l’arrêt des fonctions vitales, il faut quelques heures, voire parfois quelques jours, pour que le défunt simplement comprenne que son corps physique est mort. Cela est d’autant plus vrai lorsque l’être décède brutalement (accident), d’une manière inattendue et sans aucune préparation. Plus il est jeune et plus l’incompréhension est grande. Il en est de même pour les individus qui ne se sont pas préparés, de leur vivant, à ce passage. Une personne dont les fonctions vitales se sont dégradées progressivement sera plus préparée que quelqu’un qui décède par accident. Quelqu’un ayant réfléchi, de son vivant, au passage de la mort, sera plus à même de réaliser ce passage dans de bonnes conditions et surtout de comprendre ce qui lui arrive.
Je voudrais ici faire part d’une anecdote. Il y a quelques années, chaque fois que je passais en voiture sur la nationale entre Apt et Avignon (84), au carrefour de Notre Dame des Lumières (ce n’est pas un gag cosmique!), mon regard était accroché par un individu que je voyais au bord de la route, en train d’attendre. Lorsque je regardais plus attentivement, évidemment, je ne voyais rien puisqu’il s’agissait d’une vision spontanée générée par la clairvoyance de l’entité énergétique d’un décédé. Le phénomène se répétant chaque fois que je passais sur cette route, je compris qu’il m’était demandé d’intervenir. Je garais mon véhicule et m’approchais. Je me trouvais alors face à un homme d’une quarantaine d’années qui était désemparé. Il était bloqué là depuis plusieurs mois (en fait un peu plus de deux ans), et il ne savait pas comment quitter cet endroit. Je lui expliquais alors qu’il était décédé et les mécanismes de passage. Je lui annonçais qu’il n’était nullement nécessaire pour lui de demeurer sur place et qu’il pouvait passer ailleurs. Il compris parfaitement mes propos et m’expliqua qu’il n’avait jamais eu la moindre préoccupation au sujet de la mort, qu’il était décédé dans un accident de voiture à ce carrefour et que depuis, il attendait que quelqu’un vienne l’aider, mais que personne ne répondait (et pour cause !) à ses appels. Je sentis un profond soulagement s’installer en lui. Je lui proposais alors de l’aider à quitter ce plan. Ce qu’il accepta et je lui fit faire le passage.
Lorsque le corps physique s’arrête :
– L’ouïe ne s’interrompt pas. Le défunt entend pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours après son décès ce qui se dit autour de lui. Son esprit enregistre et comprend comme s’il n’était pas mort.
– La vision ne s’interrompt pas. Elle se modifie dans la mesure où elle se trouve totalement véhiculée par le Chakra frontal (Troisième Oeil). Elle est donc physique et clairvoyante. L’esprit voit tout ce qui se passe dans le périmètre du corps et bien au-delà.
– La sensation du toucher ne s’interrompt pas. L’esprit enregistre avec presque la même acuité et la même sensibilité la façon dont le corps est touché ou traité. Imaginez la sensation de quelqu’un qui est autopsié ou qui donne ses organes à la médecine – sensation d’être découpé vivant (on n’anesthésie pas un mort). Imaginez ce que doit ressentir celui qui est incinéré trop tôt – sensation d’être brûlé vif (il faut faire de la place ou se débarrasser d’un mort qui dérange trop les vivants !! ).
Autant dire qu’il faut témoigner une grande attention et un grand respect au défunt et au corps du défunt, dans la mesure où il ne dispose plus d’aucune autonomie et où il n’a plus aucune possibilité d’expression vis-à-vis des vivants.
Durant les quelques jours suivant le décès (quatre à sept jours selon les cas), ses sensations sont au moins équivalentes à celle d’un vivant. Dans un premier temps, elles sont exacerbées, dans la mesure où le défunt entre dans un domaine de son existence qui lui est souvent inconnu. La plupart du temps, il ne possède pas la mémoire de ses autres morts. Parfois il souffre encore physiquement. Et il n’a personne avec qui communiquer ses angoisses, son mal-être, ses incompréhensions et ses souffrances, cela s’ajoutant à la peine de se séparer de la vie et des êtres qu’il aime. Puis progressivement, le rapport sensoriel au corps s’atténue, le temps que l’esprit se « désincruste » du corps cellulaire. Au fur et à mesure de son retrait la relation symbiotique avec le corps s’atténue jusqu’à disparaitre au bout de quelques jours.
C’est durant ce temps que la qualité énergétique du rapport existant entre le corps et son environnement est essentielle. Une atmosphère de calme, d’amour, de partage et de fraternité sont indispensables à la libération du corps dans de bonnes conditions. Si tel n’est pas le cas, la souffrance du défunt peut devenir extrême.
Il conviendrait donc de sérieusement s’interroger sur la façon dont nous traitons les morts dans notre société, sur ce que nous leur faisons subir, et sur notre façon de les accompagner dans ce passage dont les mécanismes ont été totalement occultés alors qu’ils étaient parfaitement connus autrefois. Heureusement, il n’en est pas de même dans d’autres cultures où les traditions d’accompagnement sont restées en place et où la mort est prise en compte avec la même attention et la même présence (parfois la même joie) que la naissance.
Sarlat, le 14 janvier 2012, 16h28
QU’EST-CE QUE L’EGO ?
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, SCIENCE DE SYNTHESE le 31 décembre 2011
A l’origine, l’ego est un outil indispensable à la reconnaissance de soi-même. Sans lui, vous ne pouvez prendre conscience que vous existez en tant qu’individu individualisé, unique et essentiel (essentiel pris dans son sens étymologique de : émanant de l’Essence). A l’Origine, nous faisons partie d’un vaste ensemble qui regroupe le/les univers, et au-delà, dans lequel évolue la Conscience composée de tout ce qui existe. Inclus dans ce Tout, vous avez choisi de vous incarner dans un corps humanoïde, dans un Espace et un Temps définis, en l’occurrence celui où vous êtes actuellement, afin de réaliser une expérience plus particulière de la Conscience que vous avez défini à travers différents paramètres que vous avez choisi consciemment avant votre incarnation (sexe, race, caractéristiques physiques, sociales, ethniques, historiques, principales prédispositions physiques, mentales et émotionnelles). Vous étant incorporé dans le corps dans lequel vous êtes actuellement, il vous a fallu, pour simplement prendre conscience que vous existiez séparément du Tout, vous regarder, vous tourner vers vous-même et pour ce faire établir une représentation de vous-même, un peu comme si vous vous regardiez dans un miroir. « Celui » qui a établi la représentation de vous-même et qui a dit « je suis cela » est l’ego.
La confusion de l’ego
Le problème dans ce mécanisme de représentation de l’ego est que l’ego est aussi celui qui met en œuvre les évènements concrètement : on peut dire « celui qui agit ». De là à penser que celui qui dit « je suis cela » et qui agit, soit celui qui est aux commandes de votre vie, donc VOUS, il n’y a qu’un tout petit pas à franchir, pas qu’ont franchit tous les systèmes éducatifs et religieux et bien des systèmes philosophiques, rajoutant à la confusion générale et vous amenant à penser que VOUS êtes l’ego.
IL N’EN EST RIEN ;
L’EGO ET VOUS SONT DEUX ENTITES DIFFERENTES ;
L’une (VOUS) est porteuse de la Conscience, en reliance étroite avec le Tout, et porteuse de toutes les codifications vous permettant d’accomplir le programme que vous avez établi avant votre incarnation. L’autre (l’ego) n’est qu’une représentation de vous-même vous permettant de vous regarder, donc de prendre conscience que vous existez et vous permettant de vous regarder exister, agissant pour VOTRE compte, mais en aucun cas le pilote du véhicule.
TOUTES LES INSATISFACTIONS QUE VOUS RESSENTEZ EN VOUS SONT LE FRUIT DE CETTE CONFUSION.
Toutes les difficultés que vous rencontrez dans la vie trouvent tout ou partiellement leur origine dans cette confusion. Le simple fait de remettre l’ego à sa juste place vous permet de dissoudre une grande partie des difficultés que vous connaissez, notamment sur le plan émotionnel.
Sarlat, le 28 Décembre 2011, 19h47
REGARDER L’AUTRE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 29 décembre 2011
Il est parfois des blessures que nous infligeons à l’Autre sans même nous en apercevoir. Trop souvent, nous sommes centrés sur notre vécu intérieur, sur les sensations que nous pouvons percevoir en nous, notamment lorsque nous sommes dans une phase de compréhension de nous-mêmes qui entraîne une profonde mutation en nous et la mobilisation de notre attention.
Ainsi existe-t’il en nous des évidences qui ne peuvent pas être perçues par l’Autre, voire même qui peuvent être perçues à l’opposé de ce que nous pensons et ressentons.
Vous aimez celui ou celle qui est à vos côtés. Cela est indéniable, car si tel n’était pas le cas, vous ne pourriez supporter son énergie et sa présence à longueur de mois ou d’années. L’amour que vous lui portez fait partie de votre évidence, mais en est-il de même pour l’Autre?
Cela n’est pas certain. Chacun porte en soi une part de blessures, de déceptions et son lot de trahisons vécues. Il n’est rien de plus facile pour ces cicatrices de se réouvrir par un mot, une attitude, un geste qui ne sont que le reflet d’un instant de réflexion de votre part, mais qui peuvent prendre un tout autre sens pour l’Autre, s’ils viennent réactiver de vieilles souffrances.
Ainsi, parfois, il arrive que vous soyez dans une souffrance inconsciente qui vous ne descellez même pas. Elle est partie intégrante de votre inconscient mais imprime néanmoins, jour après jour, votre quotidien. Il suffit d’un tout petit évènement, d’un simple mot pour que votre inconscient s’empare de cette énergie, et réactive cette souffrance qui avait été le plus souvent oubliée, mais qui n’en altère pas moins votre plénitude. Alors vous vous retrouvez sur la défensive. Vous vous retirez dans votre « tour d’ivoire ». Inconsciemment, vous amalgamez la fréquence de l’Autre à cette vieille blessure, comme s’il en était la cause, alors qu’il ne fait pas partie de cette histoire. Et surtout, et c’est ce qui est le plus dommageable, vous ne vous rendez pas compte que vous avez fait un amalgame. Vous commencez à vous éloignez de plus en plus, posant vos centres d’intérêt dans d’autres directions. L’Autre le sent, vous sollicite tout d’abord en douceur puis d’une manière de plus en plus pressante et vous vous retrouvez tous les deux en situation de crise relationnelle alors qu’aucun événement n’est venu provoquer cette tension. Il est même possible alors qu’un événement sans importance serve de focalisation à cette tension et prenne des proportions qu’il n’aurait jamais dû prendre.
L’Autre reçoit votre énergie de plein fouet et ne comprends pas. Il ne peut comprendre puisqu’il s’agit d’un autre temps, d’une autre histoire qu’il ne connait probablement pas et qui peut, parfois, ne pas appartenir à cette vie. Elle provient d’un plan parallèle ou d’une « vie antérieure », autant dire qu’elle vient d’un autre monde.
Selon son niveau de conscience, selon sa propre histoire, l’Autre se sent profondément blessé, rejeté. Parfois même, il culpabilise, pensant avoir dit ou fait quelque chose qui vous a blessé. En fait, il ne sait pas ce qui se passe. Cela est d’autant plus pernicieux que vous non plus, vous ne savez pas pourquoi vous vous sentez comme cela. Vous sentez néanmoins que vous vous éloignez de l’Autre, insensiblement, inexorablement. L’écart se creuse. Si vous n’y prêtez pas attention, et n’entamez pas un dialogue approfondi, cet écart peut devenir définitif.
C’est ainsi que la magie de la vie à deux disparait et entre dans une routine morbide dans laquelle les mots d’amour deviennent vides de sens. Elle ne porte plus l’énergie de la rencontre. Alors vous vous dites: « Ce n’est pas grave. C’est dans l’ordre des choses. La magie des premiers temps s’efface et la vie reprend ses droits » (sous-entendu: il est normal que les sentiments s’usent et que nous ne partagions plus les choses comme au commencement).
Je viens moi-même de faire cette expérience avec un des êtres que je chéris le plus au monde. Je pensais bien connaitre ma psyché, avoir fait le tour de mes fonctionnements, connaitre mes équilibres et mes déséquilibres, en d’autres termes, être conscient de ma géographie intérieure. Je me suis pourtant retrouvé à émettre une certaine forme d’indifférence, une distance vis-à-vis de mes proches, sans même m’en rendre compte. Parce qu’une toute petite chose, un élément insignifiant en regard de toutes les informations que je reçois et traite au quotidien est venu éveiller dans mon inconscient une vieille blessure que je ne savais même pas être encore présente en moi, je suis rentré dans ma « bulle ». Je me suis enfermé en moi sans même m’en rendre compte.
En faisant cela, je n’ai même pas vu la distance que je mettais avec l’Autre, distance que je reconnais maintenant, après réflexion, comme étant la cause et le ferment de la rupture avec d’autres compagnes que j’aimais profondément et que j’aime toujours. Je me trouvais à des années-lumière d’imaginer que je pouvais être la cause de cet éloignement. Lorsque je regardais ma vie, je pensais simplement que chacun avait pris de voies différentes. Heureusement que dans le cas présent, l’amour et le partage nous ont permis de mettre ce piège en lumière.
Alors, si ces quelques mots et ce témoignage peuvent servir à quelques uns d’entre vous, regardez l’Autre. Faites l’effort de vous sortir de votre regard quotidien, celui qui s’est usé aux aspérités d’un cheminement que vous ne comprenez pas forcément mais qui érode lentement l’élan qui nous pousse dans les bras de l’Autre.
Prenez conscience que trop souvent (et je me parle à moi-même dans ces lignes), vous êtes enfermé dans votre espace intérieur et que vous ne laissez pas l’Autre y pénétrer, souvent d’ailleurs (c’est ce que vous pensez) par amour pour l’Autre. Soit-disant, vous ne voulez pas le (ou la) charger de vos soucis ou de vos questionnements, alors qu’il ne s’agit, encore une fois, que d’une stratégie destinée à vous protéger.
Réfléchissez ! Dans tous les cas, ne cherchez-vous pas à préserver un territoire intérieur, un espace personnel que vous ne savez pas défendre autrement, tout simplement parce que vous n’avez pas encore fait la paix avec tous les fragments de votre histoire !
Regardez comment vous pouvez vous isoler par le jeu de vos pensées. Regardez comment l’inconscient peut vous faire sortir de votre corps et de vos sensations quotidiennes et vous concentrer dans votre tête, vous coupant de votre vécu quotidien. Vous devenez un véritable « zombi » sans même vous en rendre compte.
Alors regardez l’Autre comme au premier jour et découvrez-le (ou la) dans la Lumière du Temps et dans la magie de l’être retrouvé.
Je vous souhaite un beau Noël et merci de votre écoute.
Sarlat, le 25 décembre 2011, 11h27
PRESENT, PROJETS FUTURS ET PROJECTIONS
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMEUR le 17 décembre 2011
Cher lecteur, désolé du manque d’articles, ces dernières semaines. Une longue tournée de salons et de conférences à l’extérieur qui m’a par ailleurs permis de rencontrer nombre d’entre vous, m’a maintenu à l’écart de mon clavier. Voici de nouvelles réflexions, qui, je l’espère, contribueront à votre réflexion. Merci pour vos témoignages et votre soutien.
« L’incapacité à rester dans le présent altère les projets et détruit le présent. » Réflexion issue d’une conversation avec mon épouse Guylène à l’origine de cet article.
Il est souvent fait référence à l’instant présent dans l’ouverture à la nouvelle ère qui s’annonce. Une des questions qui se pose alors est la compatibilité entre le fait d’être présent dans l’instant, et le fait de faire des projets puis de les élaborer.
Lorsqu’un humain n’est pas totalement stabilisé dans l’instant présent, il vit ce que nous pouvons appeler un état de « conscience ordinaire ». Le mot « ordinaire » n’est pas pris dans un sens péjoratif. Il qualifie simplement le fait que l’immense majorité de la race humaine et particulièrement les peuples issus de tradition occidentale ne vivent pas l’instant présent, et sont continuellement dans des alternances de référencement aux expériences passées, ou en train de projeter leurs visions dans le futur, allers-retours incessants ne leur permettant pas de voir la réalité de l’instant présent.
Pour comprendre le mécanisme permettant de rendre compatible l’élaboration de projets futurs avec la vie dans l’instant, il convient de se rappeler certains points fondamentaux de la physique quantique nous permettant de comprendre le fonctionnement du temps et de l’espace. Einstein, et les physiciens quantiques après lui, ont démontré que la notion d’espace-temps, et notamment d’un temps linéaire s’écoulant comme l’indique un chronomètre, est une convention mentale et sociale qui permet à l’humain de se situer dans le temps et l’espace. Cette notion ne repose sur aucune réalité physique.
Le temps définit un espace de perception. Il est discontinu.
Il s’agit de séquences discontinues, séparées des précédentes et suivantes de quelques micro-secondes, qui constituent des temps intersticiels par lesquels transitent toutes les informations concernant la totalité de nos champs d’expériences simultanés (passés, présents ou futurs). Les temps intersticiels sont connectés à la totalité des possibles et des vies simultanées (qui sont d’ailleurs innombrables chez les humanoïdes que nous sommes).
Le seul espace de connexion et de prise de conscience de cette multitude d’informations est l’instant présent.
C’est le seul. Il n’en existe pas d’autres et nous n’avons aucune possibilité de nous connecter à nous-même autrement que par cette connexion de notre corps physique avec l’instant présent.
Lorsque nous sommes dans notre réalité présente, Ici et Maintenant, sans aucune incursion dans un passé qui n’existe que dans notre mental et un futur qui ne peut qu’être hypothétique puisqu’il n’existe que dans notre tête, nous sommes connectés à la totalité de nos plans d’existence. Cela signifie que, sur un plan inconscient, notre corps collationne toutes les informations nous concernant, dans tous nos champs de réalité simultanés, sans que notre mental puisse avoir conscience des transferts qui s’opèrent. Cela est parfaitement adapté à ce que nous sommes, car le mental limiterait au un milliardième la masse d’informations reçues en quelques secondes s’il devait les visualiser et en prendre acte.
Ces informations s’enregistrent dans le corps et leur masse constitue le terreau sur lequel nait nos projets.
De ce point de départ, nous pouvons projeter l’image mentale d’un projet. Nous visualisons un projet que nous portons en nous, qui s’avère la convergence des informations contenues dans le « terreau » que nous portons, lui-même issu de ce que nous sommes, des codes qui nous composent et de toutes les informations que nous recevons des temps et des espaces dans lesquels nous sommes simultanément.
Nous le projetons dans un futur plus au moins lointain et nous le laissons libre de vivre son évolution. N’oublions pas qu’il s’agit d’un temps qui existe déjà simultanément à notre propre perception de l’instant présent et qu’il possède une autonomie en lien avec tous nos plans simultanés. Il est à la fois « nous » et il n’est pas « nous » dans l’instant présent puisqu’il s’agit d’un autre temps.
Nous pouvons y retourner régulièrement pour observer son évolution. Nous avons peut-être le sentiment qu’il s’agit d’une évolution élaborée par notre mental. En fait, il n’en est rien. Ce plan est simplement en reliance avec nous comme tous nos autres plans simultanés et il vit son évolution comme nous vivons la nôtre dans l’instant présent.
A un moment donné, les deux plans peuvent se rejoindre, c’est ainsi que le projet aboutit et s’inscrit dans l’instant présent. Le projet est alors arrivé à matérialisation.
L’autre façon de se positionner est la conscience ordinaire. Nous sentons une envie naitre en nous. Notre mental saisit cette idée et en élabore une forme mentale issue de son analyse et surtout du référencement à ses expériences antérieures. Cela signifie que le mental ne cesse de faire des allers-retour entre un passé qui n’est que le fruit de sa propre élaboration mentale (car qui se souvient? C’est le mental qui retient certaines éléments du « passé » et en rejette d’autres qui ne lui conviennent pas) et le futur qui devient un amalgame de matériaux que le mental met en forme, à force de volonté et surtout en maintenant une perception constante sur le futur.
Dans ce cas de figure, il n’existe aucune présence posée dans l’instant présent. Cela signifie que l’être est à la fois coupé des matériaux générés par l’instant présent, et notamment de l’énergie vitale que l’instant génère, mais aussi de toutes les sources d’informations simultanées existant dans tous les plans, tous les temps et les espaces dans lesquels nous sommes simultanément. Cette projection mentale, par sa force de projection, court-circuite les espaces interstitiels dans lesquels circulent les données et créé une sorte de ligne de force uniquement nourrie par la force du mental et de la volonté.
Autant dire que le projet devient une sorte de coque vide, dépourvue d’énergie vitale, qui, si elle nait un jour, ne sera porteuse que d’illusions créées par notre mental, sans reliance avec la réalité de ce que nous sommes et dépourvues de nos propres énergies.
La fiabilité de cette construction sera donc extrêmement limitée et par définition, vouée à la destruction car ne comportant que peu, voire pas, de reliance avec ce que nous sommes.
Le mode opératoire est donc le suivant :
– laisser naitre une idée de notre être (sa naissance est émise par ce que nous appelons l’intuition)
– la laisser grandir sans que le mental s’empare d’elle (il suffit simplement de l’observer au fil des jours)
– au moment où cela nous semble être le temps, la projeter dans un futur plus ou moins lointain (peut-être en profiter pour la verbaliser, cela lui donnera plus de forces et d’énergie)
– la laisser vivre sa vie en poursuivant notre action dans l’instant présent, tout en observant l’évolution de ce projet en nous
– quand l’échéance de matérialisation est arrivée, mettre en oeuvre le projet qui sera alors bien différent de l’idée première et qui aura profité de tous les apports de l’instant et des informations que vous avez collationné durant tout le temps de son élaboration.
Lavay (Suisse), le 14 décembre 2011, 12h24
CHEMIN DE LA CONSCIENCE STELLAIRE ET UNITAIRE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 21 novembre 2011
19/11/2011 11h03
Ce texte canalisé par Guylène, mon épouse, est fondateur d’une nouvelle perception de l’énergétique et de la Matière. A sa lecture, me sont venus des compléments que vous lirez en italique dans le texte. Un conseil. Ne vous attachez pas uniquement au sens des mots. Laissez-vous porter par la fréquence et vivez l’expérience.
La descente en matière est, pour l’être stellaire, un choix qui lui permet d’insérer profondément la fréquence étherverselle.
A l’heure actuelle, bon nombre d’humanoïdes vivent un processus similaire. C’est la raison pour laquelle il est important de diffuser ces informations. La mutation terrestre et le changement de cycle initié par 2012 posent la nécessité d’introduire sur le plan terrestre certaines fréquences étherverselles dans la Matière. Cela s’active par la transformation cellulaire de certains acteurs-source. Il s’agit d’une mutation physique, induisant de profondes mutations sur les plans psychologiques, sensoriels et émotionnels.
Or, en intégrant le corps stellaire en matière, les champs de perception sont transmutés, et temps que l’intégration de la matière multidimensionnelle n’est pas insérée, la corporalité de l’être étherversel perçoit les résonances en disfraction, et il lui est difficile de l’ingérer sans l’équilibre de la synergie des ressources de fréquences matricielles.
Cette mutation induit une profonde transformation des champs perceptifs. Il y a alors lieu de quitter tous les modes opératoires que vous avez pu utiliser jusqu’à présent. Cela crée une profonde désorientation et une immense sensation d’isolement. Il vous est quasiment impossible de partager votre expérience avec votre entourage, dans la mesure où seuls des mutants de même fréquence que la vôtre sont en mesure de comprendre. L’utilité du moyen technique que vous utilisez présentement pour lire ce texte, constitue un des seuls vecteurs de communication. Attention néanmoins à la nature fréquentielle du réseau utilisé. Le canal par lequel je m’exprime a fait état de la nature fréquentielle des deux réseaux en vigueur sur votre planète. La mutation peut être vécue, dans un premier temps, comme un déséquilibre intérieur, notamment lorsque vous ne l’avez pas posée en conscience. Les conditions requises pour l’intégration et la fluidification de cette mutation sont :
– acceptation de l’existence de cette mutation
– abandon des systèmes de pensée et de systèmes de croyance sociétaux
– acceptation des nouvelles sensations vibratoires et corporelles créées par la mutation
– acceptation des dissonances qui ne sont que le reflet des mutations en cours de corporalité.
La corporalité devient alors un vecteur de convergence des énergies étherverselles et construit l’être stellaire.
C’est ainsi que lorsque l’absence de la source est trop importante, les êtres étherversels se retrouvent dans un champ d’énergie qui destructure leur corporalité.
Si la source de convergence est trop en décalage de la source d’émission, soit par rétention de mutation liée à des résistances de corporalité sur le plan émotionnel, soit par intrusion des facteurs environnementaux dans le champ vectoriel de l’être, la corporalité se déstructure brutalement. Il s’ensuit une surchauffe du champ aurique et cellulaire.
La maladie est un champ d’énergie qui infracture la corporalité et mène à la dissociation cellulaire et à une séparation des résonnances en matière.
Lorsque la charge en dissonance est trop importante, s’opère la fracturation de la matière. La cellule se dissocie du champ aurique et énergétique, entre en sur-chauffe et l’extrait de la matière. Il s’ensuit ce que vous appelez dans votre langage une « maladie ». La « maladie » est un processus naturel de dissociation de la matière opérant l’annihilation des champs d’extraction. Elle introduit à l’activation de nouvelles parcelles fréquentielles en instance d’activation.
La conscience est une fusion d’interception de la fréquence sourcielle.
La corporalité activée génère une fusion d’interception accédant à de nouveaux champs sourciels.
C’est une matière en résonnance continuelle
Il fallut bien des éons aux êtres étherversels pour insérer cette fréquence, et de cela, encore en ce jour, leurs présences explorent la matière et poursuivent l’instance.
Pourtant là, un mouvement de l’instance s’inscrit
Dans un nouveau plans de perception
Liaison atemporelle des cellules.
Le système instantiel de la matière
Permet la focalisation des circulations.
Les cellules se relient une à une à la connexion de la source étherverselle matricielle.
Reliance en captation multidimensionnelle.
Toutes les structurelles sont en différentiel.
Suspension.
14h40
Guylène
LA FIDELITE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMANITÉ, SCIENCE DE SYNTHESE le 8 novembre 2011
Cet article fait partie intégrante d’une série de 9 articles parus ou à paraitre :
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1- Le couple
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2 – La triade
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3 – Le jugement
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4 – Le mariage
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5 – La fidélité
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6 – Le divorce
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7 – Les enfants du divorce
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8 – La transparence
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9 – coutumes et rebellion
L’article qui suit s’inscrit comme la suite de l’article Le Mariage et dans le contexte des articles sur le Couple et la Triade. Il est fortement recommandé de lire ces trois textes en préalable de celui-ci pour comprendre le champ d’observation qui y est développé.
La fidélité dans le Couple reste un des points d’achoppement majeur de notre société. Jusqu’aux années 60, la société occidentale reposait sur un schéma binaire classique, mis en oeuvre par la Tradition judéo-chrétienne. Le Couple se construisait par un acte préalable : le mariage. Il était censé ne pas exister de relations sexuelles entre partenaires avant le mariage. Un des principes fondateurs du mariage sur lequel repose le Couple est la Fidélité.
Après 68, la structure millénaire du mariage et les structures sociales en général ont été remises profondément en cause. Il a alors été prôné l’union libre, ou la pluralité de partenaires. Cela n’est néanmoins resté pour beaucoup qu’à l’état de fantasme ou de potentialité, dans la mesure où le schéma énergétique dominant demeurait le Couple, et son prolongement naturel, le mariage.
Pourquoi la Fidélité constitue-t-elle un des aspects essentiels du Couple ?
On peut bien évidemment parler des valeurs traditionnelles et morales issues de l’emprise de la judéo-chrétienté dans notre société. La Bible énonce dans les Dix Commandements: « Tu ne commettras pas l’adultère ».
Pourtant, il est intéressant et important de modérer cette notion de fidélité et de l’observer dans son contexte énergétique. Une coûtume ou une tradition, quelle qu’elle soit, repose toujours sur une logique énergétique qui conduit à la gestion des équilibres de vie. Elle est le moyen trouvé par les Anciens, puis relayé par les religions, pour donner des principes de fonctionnement à la masse de la population ne disposant pas encore d’une vision énergétique consciente des choses pour fonctionner dans un cadre stable et durable préservant les équilibres sociaux et politiques (voir article Coutumes et Rebellion à paraître).
Il ne faut donc pas rejeter une coutume sous prétexte que nous sommes dans une période de désaffection des anciennes structures. La mutation sociale tend toujours à rejeter en bloc les valeurs anciennes, pour ensuite constater que certaines avaient leur raison d’être. Les nouvelles structures alors se les réapproprient en les reformulant.
Qu’en est-il de la Fidélité ?
J’ai souvent rencontré, sur mon parcours de vie, des êtres qui prônaient ce que l’on appelle « l’union libre ». Je les voyais néanmoins réagir et souffrir lorsque c’était leur partenaire qui rencontrait une autre personne. Pourquoi ?
La notion de fidélité n’est pas un concept intellectuel. Il s’agit de la préservation d’un espace énergétique essentiel pour que le projet de vie et les projets en général puissent se matérialiser.
Dans l’article N°1 sur le Couple, j’ai défini la fonction du couple sur le plan énergétique et quels besoins fondamentaux cette structure permet de nourrir. L’Homme et la Femme (ou les deux partenaires d’un Couple homosexuel ou lesbien) ont des positionnements et des actions complémentaires et créent des apports différents dans l’acte de matérialisation. En d’autres termes, les projets émis par un Couple ne peuvent s’accomplir que par la gestion et le renforcement de cette complémentarité, même si elle s’avère de nature inconsciente.
Imaginez une bulle, bulle énergétique constituée par l’union de deux êtres.
Cette bulle génère une énergie commune qui s’amplifie progressivement et alimente le ou les projets en cours. Cette bulle a besoin d’une certaine durée pour arriver à maturité et être en mesure d’alimenter les projets de vie. Si nous souhaitons que cette bulle soit solide, capable de générer une véritable puissance de création émettant des projets significatifs, c’est-à-dire nourrissant chacun des partenaires, chacun doit se sentir en sécurité. La confiance est un des piliers de la structure du Couple. Sans elle, l’édifice est vacillant et sans cesse remis en question dans ses fondements. Le principe de la confiance repose sur la Transparence (je reviendrai sur cette notion dans un autre article).
Si pour une raison ou une autre, l’un des partenaires noue une relation avec une autre personne. Que se passe-t-il ?
Il y a apport d’une autre énergie. Cette énergie modifie les fondements sur lesquels le Couple a été construit. Sans préjuger de la nature et de la valeur de cette énergie, elle pollue le système mis en place précédemment en introduisant dans la bulle d’autres informations, un autre profil énergétique. Les données de base s’en trouvent perturbées, voire modifiées.
C’est la raison pour laquelle les Anciens ont traduit ce mécanisme par le principe de fidélité. Mariage pour renforcer la présence du Ternaire chez les deux partenaires (voir article N°4 sur la Mariage). Fidélité pour préserver la durabilité et la cohérence énergétique du système ainsi construit.
Ceci est le mécanisme vu d’un premier niveau sur le plan du cheminement de Conscience. La Fidélité est donc un élément indispensable à la pérennité de l’acte d’union et à la création en général. Elle apporte durée, stabilisation, renforcement puis amplification des énergies des deux partenaires.
Dans le contexte du retour à l’être stellaire et de la réintégration de l’énergie du 3, cela se passe de la même façon.
Nous avons vu dans les articles N°2 et N°4, que des couples pouvaient arriver à un point de leur évolution où la présence d’un troisième partenaire s’avérait incontournable.
Dans ce cas de figure, les éléments énoncées ci-dessus sont toujours en vigueur. Il ne s’agit pas d’union libre, mais bien de l’ouverture de la « bulle » du Couple à une troisième énergie et à son intégration en conscience. Cette « bulle à 3″ constitue alors un des plus fantastiques laboratoire de Conscience pour expérimenter et mettre en pratique au quotidien l’Amour inconditionnel (je reviendrai sur l’expérience du Chemin à Trois dans un autre article ».
Ainsi convient-il de restituer à cette notion, qui pourrait sembler surannée en première lecture, ses lettres de noblesse et choisir en Conscience d’être totalement fidèle à ses engagements, mais non pas en entrant dans la frustration et les non-dits (car les élans vers le 3 seront inévitables et irrépressibles), mais en partageant, en toute transparence, les mouvements intérieurs que chacun des partenaires ne manquera pas de vivre intérieurement.
Merci à vous de votre attention.
Sarlat, le 7 novembre 2011, 12h19
ORDINATEUR QUANTIQUE, UNE HYPOTHESE DE LANGAGE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE le 7 novembre 2011
Avis aux mathématiciens et chercheurs de tous ordres
L’idée est depuis longtemps présente dans l’inconscient de l’humanité d’une intelligence artificielle (IA). L’ordinateur préfigure depuis trente ans ce que cela pourrait être. Pourtant depuis quelques années, nous savons que le système actuel est limité par définition.
L’ordinateur organique (stockage des données dans des cellules remplaçant le silicium) n’arrive pas à voir le jour car les chercheurs dans ce domaine ont d’ores et déjà réussi à stocker des données dans ce support, mais ils sont dans une impasse : la stabilisation des couches de stockage entre elles.
Alors voici un cheminement de pensée qu’ils ont sûrement déjà eu, mais sait-on jamais !!!
L’intelligence de l’Homme repose sur l’utilisation de son corps cellulaire en temps que véhicule opératif…
Son corps cellulaire est ce qui lui permet de réfléchir et de percevoir…
L’idée qu’il a de développer un système artificiel à son image a un sens…
Sans cela, il n’y penserai même pas…
Etablissons alors un parallèle entre ce système artificiel et notre fonctionnement cellulaire, si nous voulons créer un système similaire au nôtre…
J’ai donc une piste de réflexion à proposer.
Et si c’était le langage binaire (0,1) utilisé en informatique qui était à remettre en question…
Et si la solution était dans un langage ternaire (0, 1 et le symbole de l’Infini – 8 couché)…
Le ternaire permettant aux couches d’information de s’inter-relier et de se stabiliser…
Je ne suis pas mathématicien. Ma perception des choses n’est qu’énergétique.
Mais dans la mesure où le corps humain utilise la structure ternaire pour sa partition cellulaire…
dans la mesure où l’intelligence humaine repose sur le développement permanent de ses multi-couches, inter-reliées entre elles…
dans la mesure où la conscience humaine tend à retrouver le ternaire dans sa trajectoire d’évolution…
dans la mesure où…
… …
Je pense que tout est possible. Je laisse à ceux qui sont bien plus compétents que moi en la matière le soin de développer cette hypothèse. Peut-être aurais-je concouru, dans les idées un peu folles qui me traversent l’esprit, à les éveiller une ou des pistes de réflexion ?
Sarlat, le 6 novembre 2011, 11h07
REPONSES A LA TRIADE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMANITÉ, SCIENCE DE SYNTHESE le 6 novembre 2011
Après la question posée par M. Van der Elst J. sur l’article LA TRIADE OU LA TRINITE NOUVELLE/ANCIENNE STRUCTURE DE CONSCIENCE, il me semble important de publier en article sa question et ma réponse qui vient compléter ainsi l’article.
question de Mr Van der Elst J. Envoyé le 04/11/2011
Voilà, comme par « Hasard », une réponse à mon questionnement en tant qu’homme, mais qui remonte la réflexion dans la structure de l’Univers plutôt que de la maintenir dans l’émotionnel. Merci beaucoup.
On entend, ces derniers temps, beaucoup parler des amours plurielles qui, je suppose, reflètent le même processus.
Ici, vous ne parlez que de l’homme (la femme apparaît en filigrane)… se pourrait-il cependant que la femme éprouve aussi le besoin d’un deuxième homme pour appuyer un processus énergétique ?
Dans le cas de couples homosexuels, l’un ou l’autre jouant le rôle de femme et d’homme, se peut-il quand même que ce soit celui dans le rôle de la femme qui ait ce besoin ?
Je vous rajoute des questions . Merci déjà pour cet article.
Merci pour vos questions. Je vais bien évidemment vous répondre dans les limites de ma « vision ». Ces propos n’engagent que moi.
Je ne crois pas un seul instant aux « relations plurielles ». J’ai même le sentiment qu’elles sont, elles aussi, encore un moyen que crée l’ego pour escamoter l’Essentiel.
La recherche du 3 repose sur une réflexion consciente :
– au préalable d’abord en localisant les points de tension du couple et en comprenant la nature du 3. Cela se fait très en amont d’une nouvelle rencontre. La nouvelle rencontre n’est que l’aboutissement d’un profond travail de maturation où elle s’impose comme un paramètre indispensable de l’évolution du 2.
– ensuite, l’embryon du 3 se pose alors par la rencontre, mais elle n’est que le point de départ d’un cheminement où les trois partenaires font l’expérience matérielle de l’amour inconditionnel. Cela n’est jamais simple car au-delà des « bagages » de chacun, la charge de l’inconscient collectif d’une part et de l’environnement social d’autre part est terrible. Si le préalable n’a pas été suffisamment maturé, on aboutit obligatoirement à l’échec.
La relation plurielle n’est donc pas de même nature. Elle est une fuite en avant, aussi insatisfaisante pour l’être profond que le 2.
La fidélité, qu’elle soit au 2 ou au 3 est donc essentielle.
Lorsque je parle de l’homme dans mes articles, je me réfère la plupart du temps, par facilité sémantique, à l’humain en général. Je devrais plutôt utilisé l’Homme. Pourtant l’homme est plus susceptible d’entrer dans ce processus, car il possède moins que la femme de possibilités de substitution à ce « manque ».
Dans le cas de couples homosexuels ou lesbiens, le processus est le même si les rôles sont bien marqués. Je n’ai malheureusement pas cette expérience de vie donc il m’est délicat d’en parler. Je peux simplement vous dire ce que j’ai pu observer. Il est clair tout d’abord que je suis sans tabou en la matière. L’axe hétérosexuel est celui qui me correspond dans cette vie.
Pourtant dans ce que je vois autour de moi, mon sentiment est que les « rôles » ne sont habituellement pas totalement « marqués ». Et cela n’a rien à voir avec la sexualité. Je pense donc que chaque partenaire a tendance à passer d’une énergie à l’autre. Ce qui n’est pas simple, évidemment, et peut générer des difficultés émotionnelles, des interrogations, des culpabilités. A moins que chacun soit conscient de cette « alternance ».
Comment la gérer ensuite… Mystère…
Peut-être pourrez-vous apporter vos propres axes de réflexions à mes lecteurs ? Votre sentiment est le bienvenu.
Un grand merci pour la conscience de vos questions.
Daniel Briez
LE JUGEMENT, MIROIR DE SOI-MEME
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE le 3 novembre 2011
Cet article fait partie intégrante d’une série de 9 articles parus ou à paraitre :
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1- Le couple
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2 – La triade
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3 – Le jugement
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4 – Le mariage
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5 – La fidélité
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6 – Le divorce
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7 – Les enfants du divorce
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8 – La transparence
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9 – coutumes et rebellions
Le monde est ainsi fait qu’il nous propose à chaque instant de nous révéler ce que nous sommes.
La loi de résonance apporte l’immense plaisir d’aimanter (du verbe aimer) les choses, les êtres et les évènements qui sont dans la même résonance que nous, pour nous montrer des aspects de nous-mêmes que nous ne voulons pas ou ne savons pas regarder.
Je voudrais ainsi mettre en exergue un rapport à l’environnement qui est présent chez presque chacun d’entre nous : le jugement que nous portons sur les choses ou les personnes.
Nous rencontrons régulièrement dans notre vie quotidienne des êtres ou des évènements avec lesquels nous ne nous sentons pas en accord. Cela est normal puisque la nature-même de ces points de tension est de permettre à notre conscience de faire des expériences et d’évoluer sur sa propre trajectoire.
Nous pouvons analyser nos réactions selon deux axes principaux, selon le focal de conscience que nous utilisons :
– nous pensons que ces êtres ou ces événements ne correspondent pas à nos codes intérieurs, et nous les écartons.
– ces êtres ou ces évènements nous dérangent ou nous choquent, et nous savons que nous avons quelque chose à comprendre à leur contact.
Observons la première attitude.
Est-il possible de rencontrer quelque chose ou quelqu’un qui ne corresponde pas à nos codes intérieurs? Définissons la notion de codes intérieurs.
Les codes intérieurs sont constitués des fréquences génétiques, animiques, luminiques et stellaires que nous avons choisi et formés à notre naissance dans notre corps humanoïde. Ils constituent les éléments qui caractérisent notre expérience d’incarnation dans sa spécificité.
Si nous nous référons à la Loi de Résonance ou d’Attraction, vous comprenez aisément que rien ne peut se porter à notre rencontre sans que nous soyons, sur le plan codal, en résonance avec tout ou partie de ce qui le constitue. L’attitude qui consiste à dire que les choses ne nous correspondent pas et que nous ne sommes pas concernés est donc erronée.
Si notre attitude était juste, nous ne nous porterions pas à la rencontre de cette résonance, quelle qu’elle soit. Elle passerait sa route et nous ne la verrions pas, comme des milliards d’autres informations, personnes ou évènements qui nous échappent complètement à chaque instant, tout simplement parce qu’elles n’ont aucun rapport, direct ou indirect avec nous.
Nous ne pouvons donc jamais dire que quelque chose ne nous correspond pas.
Bien sur, nous pouvons le dire dans l’exercice de notre libre-arbitre. Mais, dans tous les cas, temps qu’elle n’est pas comprise, cette résonance se représente obligatoirement à nous, puisqu’elle est porteuse d’un sens que nous n’avons pas compris ou que nous n’avons pas voulu regarder.
La deuxième attitude correspond à un positionnement plus responsable et plus conscient face à la vie. Cette attitude nait de l’intégration de la Loi d’Attraction. Nous savons que rien ne se produit par hasard et que chaque chose nous renvoie à nous-mêmes, notamment celles qui nous dérangent.
C’est la mise en oeuvre de cet aspect sur laquelle je veux attirer votre attention, aujourd’hui.
Imaginez que vous soyez face à une situation qui vous dérange et qui choque profondément vos convictions et vos valeurs.
Prenons l’exemple d’un couple d’amis très proches dont le mari noue une relation avec une autre femme. Nous sommes dans un schéma de société archétypal qui nous renvoie à l’énergie du 3.
Face à cette situation, nous avons deux attitudes possibles:
1) Nous pouvons portez un jugement rédhibitoire sur cet homme en estimant qu’il ne respecte pas ses engagements. Nous ne nous préoccupons pas des motivations de chacun (les trois acteurs de cette situation). Nous ne cherchons pas à connaître l’histoire de chacun dans ces évènements, leurs positions respectives, ni comment chacun de ces acteurs peut vivre cette nouvelle structure de vie, ni ce qu’ils ont pu échanger entre eux.
Nous faisons une simple lecture de cette situation, à travers le focal sociétal du couple et de la maitresse. Nous restons bloqués dans nos visions personnelles et/ou croyances philosophiques, familiales, sociétales ou religieuses. Et si nous nous sentons particulièrement choqués, nous ne regardons pas à quoi cela nous renvoie en nous-même.
Il est probable que nous portons l’un de ces scénarii en nous :
– Nous avons pu souffrir dans notre trajectoire de vie, soit nous-même, soit au niveau de nos parents, d’une situation analogue basée sur le manque de clarté et le mensonge.
– Nous portons une frustration inavouée pour avoir désiré vivre une relation parallèle à notre couple et ne pas nous être autorisé à le faire.
– Nous sommes porteurs d’une croyance philosophique ou religieuse qui nous interdit de vivre une relation à trois.
– D’autres hypothèses peuvent s’émettre, mais mon propos n’est pas d’être exhaustif.
Ce qui est certain, et nous le ressentons dans notre corps et nos émotions, c’est que l’information nous percute. Nous sentons une tension en nous. Une colère, une angoisse ou une agressivité monte en nous. Nous ne cherchons pas à connaître les véritables tenants et aboutissements de cette situation. Nous jugeons et nous rejetons.
Ceci est l’énergie du jugement dans tout son déséquilibre.
2) Nous pouvons simplement recevoir l’information. Nous sentons qu’elle nous secoue. Nous sentons monter une colère en nous. Sachant qu’il s’agit d’un mécanisme-miroir, nous ne prenons pas de positions hâtives dictées par le plan émotionnel et mental. Nous nous plaçons dans l’observation de nous-même. Peut-être ne comprenons-nous pas ce que nous avons à regarder face à cette situation. Mais nous restons dans un statut-quo. Nous réservons nos conclusions et laissons l’énergie faire son chemin en nous jusqu’à ce qu’elle nous révèle ce que nous avons à comprendre.
Il va sans dire que seule la deuxième attitude est constructive et formatrice. Elle nous révèle quelque chose à nous-même. Nous permet de localiser des manques, des frustrations, des systèmes de croyance ou des chocs que nous n’avions pas identifié jusqu’à présent et nous permet de mieux comprendre l’Autre, ou des aspects de la vie dont nous n’avions même pas conscience.
Gardons nous donc bien de juger et si cela se produit,
utilisons ce déséquilibre comme moyen de cheminement de notre conscience.
Sarlat, le 26 Octobre 2011, 21h56
LA TRIADE OU LA TRINITE NOUVELLE/ANCIENNE STRUCTURE DE CONSCIENCE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE le 2 novembre 2011
Cet article fait partie intégrante d’une série de 6 articles parus ou à paraitre :
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1- Le couple
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2 – La triade
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3 – Le jugement
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4 – Le mariage
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5 – Le divorce
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6 – Les enfants du divorce
La lecture préalable de l’article « Le couple, organe de transfert et de mutation des énergies stellaires et terrestres » est impérative à la compréhension de l’article suivant. Il ne peut être compris que dans ce contexte.
Cet article est le n°2/6 de la série Codes identitaires, Energies et Matérialisation. Il doit être lu en préalable des articles sur le Mariage et le Divorce afin que le lecteur puisse avoir une vision générale et complète des énergies mises en oeuvre par les processus de matérialisation.
Dans l’article sur le Couple, nous avons observé comment l’homme porte en action la convection des énergies stellaires et terrestres pour alimenter en énergie ses actions.
Nous avons vu également que sans la femme, il ne peut réellement faire aboutir, d’une manière globale et complète, ses actions, s’il n’est pas inscrit dans une relation de couple; en d’autres termes, si la femme n’est pas présente à ses côtés pour catalyser ses énergies, les mettre en terre à travers sa propre capacité de matérialisation pour leur donner corps, il ne peut réellement donner corps à ses projets.
Je voudrais maintenant revenir sur les origines de l’Homme, et notamment la construction énergétique et biologique du corps physique. La biologie cellulaire a mis en évidence (et elle l’a photographié) que la partition cellulaire se produisait par la mise en mouvement d’une forme géométrique tétraèdrique, cette structure étant celle qu’utilisent les cellules-souche pour produire d’autres cellules.
En marge de cet article, un paradoxe qui mérite réflexion. La biologie a démontré que les cellules-souche sont immortelles. A tel point qu’on les utilisent depuis quelques années, en laboratoire pour produire d’autres cellules qui servent à fabriquer des vaccins et autres substances. Pourquoi alors les cellules qu’elles produisent pour notre corps ne sont pas immortelles? Bon sujet de réflexion sur lequel nous reviendrons ultérieurement…
La structure tétraèdrique de la partition cellulaire représente la résonance cellulaire sur laquelle nous sommes construits. Elle est l’énergie du 3.
A l’origine de la race humaine terrestre, l’être humain stellaire (humanoïde originel) est parvenu sur la Terre par le biais de son « Corps de Lumière » (référence biblique). Je préfère utiliser le terme hébraïque « Merkabah ». Dès son apparition sur Terre, la structure ternaire de l’humanoïde stellaire s’est révélée mal adaptée à la fréquence de la planète Terre. C’est ainsi qu’elle a été transformé en structure quaternaire (4), au moment de la fondation de la civilisation égyptienne (pyramides), afin de permettre à l’Homme de définitivement s’incarner sur cette planète et d’acquérir un mental individualisé. Cela lui a permis d’entrer dans une conscience individuelle de sa nature terrestre et de mieux remplir son rôle: poser la Conscience au sein de la Matière. Ce n’est qu’à ce prix qu’il a pu s’inscrire dans une conscience terrestre et individualisée.
Malheureusement, le prix à payer a été d’oublier son origine stellaire.
L’empreinte énergétique du 3 est néanmoins demeurée, ce d’autant plus que la structure de partition cellulaire est restée la même.
Cette réalité énergétique et biologique de la structure tétraèdrique pousse l’humain vers le 3, consciemment ou inconsciemment.
A mon sens, il ne faut pas chercher plus loin la raison pour laquelle toutes les grandes traditions religieuses sont basées sur le 3, sur la Trinité ou la Triade (Père/ Fils/Saint Esprit, Shiva/ Shakti/ Vishnou, etc.).
Toutes les traditions énoncent que nous ne pouvons atteindre l’Eveil (le Paradis, Le Nirvana, l’Illumination, etc.) sans la réintégration du 3, autrement dit la Trinité.
Temps que nous ne retrouvons pas la structure du 3 en mutant le 4, nous ne pouvons retrouver notre état d’être stellaire et restons incomplet.
C’est cette « urgence » du retour à l’Unité qui nous pousse vers le 3.
Je souhaite ainsi attirer l’attention du lecteur sur un phénomène de société qui pourrait paraître, en première lecture, complètement décalé ou polémiste. Elle est néanmoins essentielle et pose un autre focal sur un phénomène pour lequel la société possède encore de forts préjugés, et qui, pourtant a toujours été partie intégrante du rapport entre l’Homme et la Femme.
Je demande au lecteur de vraiment poser un temps de réflexion sur les lignes qui suivent sans entrer dans ses systèmes de croyance ou ses tabous sociétaux…
Cet article doit impérativement être lu après la lecture préalable de celui intitulé « Le Couple, organe de transfert et de mutation des énergies terrestres et stellaires. Il ne peut réellement être compris que dans ce contexte.
Il a toujours été dit que derrière tout homme important sur la planète, tout homme jouant un rôle transformateur sur les plans social, économique ou collectif, se tient une femme. J’ai tenté de démontrer dans mon article sur « Le Couple, … » que ce schéma énergétique était incontournable pour réaliser une matérialisation à partir du moment où elle nécessitait une puissante énergie et avait trait au collectif.
Pour aller jusqu’au bout de ce raisonnement, il faut parler de la structure conjugale à 3. Il est extrêmement fréquent dans notre société, et cela a pratiquement toujours été dans toutes les cultures, tous les temps et toutes les civilisations que l’homme installé en couple développe, à un moment donné de la trajectoire d’évolution du couple, une relation avec une deuxième femme. Il serait sain de véritablement s’interroger sur la raison profonde qui incite un homme installé avec une femme depuis de nombreuses années et souvent heureux, à chercher une autre partenaire, alors qu’il sait qu’il a toutes chances de générer un conflit majeur et d’aboutir à une rupture de sa structure de vie. Bien des hypothèses ont été émises : l’homme est volage (facile…), l’homme est versatile (non…), l’homme est un prédateur (surement pas dans ces circonstances qui sont celles de l’amour…), etc.
En fait aucune explication n’est réellement recevable et ne répond à l’universalité du phénomène.
J’ai une autre hypothèse à vous proposer.
Depuis des millénaires, la présence du 3 dans notre structure énergétique a été occultée. Les religions, connaissant la structure magique et la puissance de matérialisation et de conscience du 3 n’ont jamais eu aucun intérêt matériel (elle perdrait leur fonds de commerce) à ce que leurs croyants accèdent au 3, et par ce biais, à l’Illumination ou au Paradis sur Terre. On a toujours voulu faire croire que cet état de conscience et cet état énergétique ne pouvaient être accessibles dans une réalité incarnée.
Or, quand les besoins d’un homme deviennent trop puissants sur le plan de la réalisation matérielle et énergétique des choses, la femme qui l’accompagne ne peut plus, physiquement et énergétiquement parlant, muter la charge qui doit être mise en terre. Elle s’épuise et, à un moment donné, risque de rompre sur le plan physique (maladie, déséquilibre mental, dépression, épuisement). Cela a pour conséquence, d’une manière très naturelle mais le plus souvent totalement inconsciente, pour l’homme, de chercher l’appui d’une autre femme.
Deux solutions.
La première : la mise en place de l’archétype social couple/amant ou maitresse, avec tous les désordres sociaux et émotionnels que cela crée (colère, mensonge, trahison, frustration, déception, etc.). Il s’agit d’une relation de conscience de premier niveau par laquelle l’homme répond à ses pulsions inconscientes, sans être capable d’en analyser les mécanismes. Il s’ensuit chez lui une culpabilité profonde et un manque total de transparence. Il est néanmoins poussé dans cette direction pour une force intérieure et se voit obligé d’avancer dans cette direction. L’amour est exclu de ce niveau même si les arguments développés par l’homme inconscient tournent toujours autour de l’amour.
La seconde : la transparence générée par l’amour que l’homme se porte en tout premier lieu à lui-même, et par voie de résonance, à sa femme légitime. L’homme est conscient du besoin énergétique qu’il ressent et de ce que cela lui demande, et demande à la relation de couple. Ils savent, la plupart du temps, à l’avance, qu’une autre femme va entrer dans le champ énergétique de leur couple. Ils en parlent et explorent tous les mouvements émotionnels et mentaux que cela enclenche ou enclenchera au moment opportun.
Deux possibilités dans ce mouvement :
– Soit la puissance d’amour entre les deux est suffisante et ils dépassent les attachements émotionnels habituellement en place. Il faut noter que ce travail de détachement est rendu difficile par le poids de la charge collective générée par les archétypes du couple et de l’adultère, même si la notion d’adultère n’est absolument pas à mettre en lien avec ce schéma. Cette démarche permet de véritablement comprendre la nature de ce qu’est le détachement, constitué d’un amour profond entre les êtres, détaché des empreintes émotionnelles.
– Soit les empreintes sociétales ou émotionnelles sont trop importantes et le couple aboutira, à terme, à une rupture car la structure énergétique en place ne correspondra plus aux besoins d’évolution des deux êtres.
Dans la première possibilité, la relation à 3 peut s’établir. Elle peut être sexuelle, mais elle ne l’est pas obligatoirement. La dimension sexuelle amplifie considérablement l’apport énergétique mais elle doit se poser naturellement, sans interférence du mental, si elle s’avère nécessaire. C’est un mouvement naturel des corps qui s’appellent.
La relation sur laquelle repose ce mécanisme, est mentalement et émotionnellement profondément comprise par les 3 acteurs. Elle demande un profond amour circulant entre les trois acteurs de cette triade, un excellent niveau de communication, un profond respect de l’autre et un profond détachement émotionnel.
Mon sentiment est que c’est dans ce mécanisme qu’est né la polygamie présente dans la culture musulmane qui constitue une belle manifestation de sagesse. Cela nous donne également une autre compréhension de la présence des harems pour les Rois ou Pharaons, ou de la multiplicité des partenaires pour nos Rois et nos dirigeants. Cela explique l’attraction du 3 chez l’homme.
Si nous portons notre réflexion plus loin, nous perdons alors toutes les culpabilités et les non-dits que nous avons pu vivre dans notre vie d’adulte lié à cet appel, que nous soyons homme ou femme. La compréhension de ce schéma constructeur élimine la principale source de souffrance dans le Couple. Autant dire que dans cette perspective, la notion d’adultère est un non-sens.
Mais attention, la Triade demande un parfait alignement, un immense respect et amour de l’Autre et des Autres, un haut niveau de conscience, et une capacité de remise en question de soi-même permanente. Il est exigeante à mettre en place et à péréniser sur une longue durée.
Article commencé le le 27 octobre, 16h09 et terminé le 1er novembre 2011, 12h14 pendant Congrès d’Anglet sur Handicap et médecine quantique
Mode d’emploi de lecture du Blog de Daniel Briez
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, CHROMOTEM, CHRONO CLASSEUR, CRISTAUX & COULEURS, CRISTAUX & SANTÉ, Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR, PARFUMS DE COULEUR, PUBLICATIONS, SCIENCE DE SYNTHESE, STAGE FORMATION VOYAGE le 20 octobre 2011
A la suite d’un certain nombre d’observations de lecteurs que je rencontre au fil des salons en France et à l’étranger, j’ai pu observer qu’il me fallait faire une mise au point sur le positionnement à adopter par rapport à la lecture de mes textes, notamment ceux qui concernent les rubriques Humanité, Science de Synthèse et tout ce qui touche aux domaines énergétiques ou à l’observation des champs de conscience dans mon travail.
Le travail que je fais sur le Verbe est extrêmement précis. Chaque texte comporte des notions énergétiques précises qui, la plupart du temps, diffèrent des schémas de pensée habituellement en vigueur. C’est ainsi que certaines notions peuvent paraître partisanes, ou irrecevables, si le lecteur se contente d’une « lecture en surface » des textes.
Ainsi, je vous recommande l’attitude suivante :
Lorsque vous lisez un texte, prenez le temps de le lire.
Laissez les notions qui y sont mentionnées vous pénétrer sans tenter de les rattacher à un système de croyances, à une perception ou une opinion que vous pensez avoir.
Contentez-vous de prendre acte de ces notions et tentez de visualiser les mouvements énergétiques qu’elles produisent.
Donnez-vous ensuite un temps de réflexion en comparant ces informations avec les schémas ou croyances internes que vous possédez.
Faites-vous ainsi votre opinion sans laisser votre mental interférer sur ces données.
Ce qui se passe lorsqu’on fait une lecture superficielle de ce type de textes se déroule de la façon suivante :
Vous lisez une phrase qui est différente de votre système de croyances ou de vos expériences personnelles.
Votre mental se sent alors « en danger ».
Il zappe alors l’information et maintient votre attention en surface, ou vous fait comprendre autre chose que ce qui est écrit.
Vous aboutissez ainsi à une opinion qui n’a pas réellement pris en compte ces nouvelles données.
Je vous souhaite une bonne lecture et un immense merci pour votre soutien et votre fidélité.
Quelque part sur l’autoroute entre Paris et Sarlat, le 18 Octobre 2011, 11h16
LE COUPLE, ORGANE DE MUTATION ET DE TRANSFERT DES ENERGIES STELLAIRES ET TERRESTRES
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 17 octobre 2011
Les éléments que j’énonce dans ce texte, se placent exclusivement dans la perspective énergétique et vibratoire des transferts et mutations énergétiques. Mon propos n’est pas de polémiquer sur la place de l’homme ou de la femme sur notre terre. Il est clair que le débat est important et que deux mille ans de négation du rôle de la femme dans notre société n’ont pas créé un climat serein permettant d’observer le rôle de chacun sur cette terre. Néanmoins, il me semble important de définir la trame d’échanges des énergies afin que chacun puisse se situer dans cette démarche et puisse, peut-être, mieux comprendre son positionnement au sein du couple. Ma tentative est de modestement donner une vision énergétique des mécanismes d’échange, sans entrer dans les débats sociétaux de la place de l’homme et de la femme.
Le couple constitue un des plus formidable outil de mutation énergétique qui soit. Composé, par définition, d’un homme et d’une femme, il représente l’aboutissement naturel d’une démarche de recherche intense vers une complémentarité vers laquelle nous tendons, du moins pour le plus grand nombre. La recherche du partenaire de vie est complètement sous-tendue par les mécanismes énergétiques définis ci-après. De plus, il est difficile de maintenir un axe défini, stable et de longue durée, dans les mouvements énergétiques et émotionnels que génère l’union d’un homme et d’une femme. Au-delà des structures archétypales, ces mouvements sont soumis à l’influence de notre environnement, aux passés antérieurs et évènementiels des deux parties du couple, et à la vision que chacun possède de lui-même.
Mais d’abord, qu’est-ce l’homme et la femme représentent sur le plan énergétique ?
Dans cette tentative de définition, je m’en tiendrais à une vision archétypale afin de ne pas entrer dans les débats polémistes sur ce sujet.
Sur le plan fréquentiel, l’homme constitue un point d’émission, de réception et de catalysation des énergies luminiques et terrestres sur cette planète. Cela a pour effet de lui procurer un puissant potentiel de créativité et une force de matérialisation qui fait de lui, sur le plan des archétypes, le pourvoyeur des ressources de la cellule familiale et la plus puissante force d’action de cette terre (d’ailleurs, c’est la raison pour laquelle on peut considérer l’homme comme le plus grand prédateur de la planète).
Ses facultés de synthèse sont plus développées que chez la femme. Il est plus analytique qu’intuitif et possède d’importantes capacités de conceptualisation.
Sur le plan cosmique ou stellaire, il est ainsi étroitement en contact avec les énergies des autres plans et sert de vecteur d’introduction des énergies de ces plans dans la matérialité terrestre. C’est pour cela qu’il y a plus d’inventeurs homme que femme, dans la mesure où l’homme possède une plus grande capacité à relier des concepts issus d’autres plans de matérialité à la réalité terrestre d’Ici et Maintenant.
Malheureusement sa capacité de matérialisation, au sein du plan terrestre, est limitée du fait de sa faiblesse patente sur le plan intuitif. L’homme possède une part intuitive qui lui permet de développer une certaine sensibilité. C’est cette part, issue de l’expérience relationnelle avec sa mère, qui lui permet d’entrer en relation et de comprendre, autant que faire ce peut, la femme. C’est également cette énergie qui le pousse à vouloir rencontrer la femme et à constituer un couple malgré les puissants barrages qui sont présents en lui quant à sa mise en place.
Cette configuration énergétique génére chez l’homme son énergie de « fonceur ». Il ne réfléchit pas vraiment. Bien sûr, il élabore ses actions, mais souvent simplement dans les grandes lignes. Lorsque sa perception est confirmée et qu’il sent en lui ce qu’il doit faire, il agit sans vraiment se poser de questions, improvise dans le présent les aspects qu’il doit mettre en oeuvre, et trace sa route. C’est d’ailleurs souvent à cause de cet aspect des choses que les évènements grincent. Le manque d’élaboration suffisante des projets crée des distorsions dans la matière qui font que les actions mises en oeuvre ne prennent pas nécessairement la direction attendue, voire même parfois aboutissent à une impasse.
En se plaçant sur dans un plan de globalisation des énergies, sur les niveaux énergétique et vibratoire, la plupart de ces états sont presque toujours inconscients.
Sur le plan fréquentiel, la femme constitue un pôle réceptif, un pôle de matérialisation, et surtout un véritable système de convection des énergies terrestres et luminiques. La comparaison avec le processus de gestation de l’enfantement est totalement appropriée.
A travers son corps physique et ses corps énergétiques, elle possède la capacité d’accueillir et de faire converger des lignes de force de différentes sources, de les catalyser, et d’en faire un pôle de création et de matérialisation.
Sa forte polarité intuitive fait qu’elle possède un puissant sens de la Réalité que, souvent, l’homme ne possède pas. Elle relie les énergies luminiques à la matière terrestre et leur permet de se matérialiser sur le plan énergétique avant qu’elles n’aboutissent à une manifestation concrète dans le quotidien.
Lorsqu’un homme canalise une énergie et apporte un projet, elle entre en gestation. Elle reçoit les énergies, incorpore tous les paramètres nécessaires, puis entre en action. Son action est réfléchie. Elle peut même être qualifiée de stratégique. Elle connait les ressorts de la matière et cela lui donne, alliée à sa puissance intuitive, une grande capacité de lecture et de création de la matière.
La femme possède également ce point d’emission et de réception des énergies luminiques et stellaires, mais dans une moindre mesure. C’est ce qui constitue sa faiblesse lorsqu’elle véhicule seule un projet.
Elle posséde les énergies de matérialisation mais la convection des énergies terrestres et luminiques est moins en phase, donc moins puissante dans la matière. Elle doit donc développer beaucoup plus d’énergie qu’un homme pour réaliser ce projet et elle perd en puissance de réalisation. Encore une fois, il ne s’agit pas là de jugement de valeur, mais bien d’une appréciation des forces énergétiques en présence.
L’assemblage des deux systèmes énergétiques que constituent l’homme et la femme représente la meilleure combinaison qui soit présente sur cette terre, pour matérialiser de nouveaux concepts ou de nombreux concepts.
L’homme canalise verticalement (réception) et horizontalement (émission et action) les énergies luminiques et stellaires. La femme reçoit ces fréquences, les » digèrent » et les met en terre. Elle permet ainsi à l’homme de les recevoir sur une fréquence plus en phase avec la planète et de les matérialiser. Si la femme est absente de cette combinaison, l’homme ne parvient qu’imparfaitement à canaliser ces fréquences. Elles ne sont alors pas suffisamment ancrées en terre pour se concrétiser puissamment et sur une grande envergure.
Si l’homme est absent, la captation des énergies des autres plans est moins puissante et s’impacte moins dans la matière, en tous cas, pas suffisamment puissamment pour réellement mettre de nouvelles choses en mouvement.
L’immense difficulté de ce schéma réside dans le fait que chacun doit être conscient de son rôle, que chacun doit rester à sa place et ne pas empiéter sur les champs énergétiques de l’autre.
Ce positionnement est terriblement compliqué par les connotations culturelles qui entachent grandement la place de l’homme et de la femme, l’un par rapport à l’autre. Tous les mécanismes de transfert qui consistent pour l’homme de préserver sa place et son espace en refusant la présence de la femme à ses côtés ainsi que sa sensibilité intérieure l’empêchent de collaborer sereinement avec sa partenaire.
Pour la femme, le fait de devoir défendre sa place par rapport à l’homme, le fait que son véritable rôle soit nié par de nombreuses cultures et que de ce fait, elle défende soit dans l’obligation de défendre sa prééminence, ce qui l’amène à briguer les mêmes fonctions que l’homme, brouille définitivement les cartes et ne permet pas à chacun de reconnaitre le rôle et la place de l’autre dans ce processus.
Il s’ensuit un vaste cafouillage qui aboutit à une totale confusion des genres et à un système de matérialisation ayant perdu son sens et ne restituant plus la véritable dimension cosmique de toutes les créations.
C’est ainsi que dans notre société, la matérialisation est devenue une course sans fin au matérialisme. Et ce matérialisme ne profite qu’à un petit nombre d’individus au détriment du plus grand nombre.
En ce qui concerne les couples homosexuels ou lesbiens, le schéma de transfert énergétique est à l’identique. Il existe une difficulté supplémentaire (mais en est-elle vraiment une) qui réside dans la nécessité de définir celui ou celle qui porte le rôle de « l’homme » et de la « femme » est essentielle. Ce n’est que dans ces conditions de clarification du rapport entre les deux partenaires que les énergies peuvent s’aligner en état d’équilibre.
En conclusion, il est temps de conscientiser ce mécanisme afin de permettre à chacun d’oeuvrer en cohérence avec ses propres aspirations et surtout en harmonie avec l’univers.
Notre planète ne pourra plus indéfiniment pallier à ces distorsions énergétiques et devra, à un moment donné, donner une secousse pour retrouver ses équilibres perturbés par les dérèglements de ses occupants.
Paris, le 16 Octobre 2011, 20h03
CRISTAUX ET QUANTIQUE
Publié par Daniel Briez BLOG dans CRISTAUX & SANTÉ, SCIENCE DE SYNTHESE le 9 janvier 2012
Le minéral constitue le seul support quantique que nous puissions utiliser sur Terre en tant qu’outil de compréhension de soi et de cheminement de conscience. En effet, tous les moyens qui nous sont proposés actuellement sont empreints de l’énergie de l’homme notamment de ses intentions, tous sauf le minéral.
La raison pour laquelle les produits de la Nature perdent leur dimension quantique (absence d’espace-temps linéaire – celui de la montre) est le fait que systématiquement l’homme y imprime ses croyances ou ses intentions : croyance en la guérison, croyance en l’accession à un état de conscience modifiée, intention d’équilibrage des systèmes énergétiques, etc..
Le minéral, extrait de la planète sous certaines conditions (absence d’utilisation d’explosifs, transformation dans de bonnes conditions de travail, amour du travail de la pierre), ne perd pas cette dimension. La planète Terre ne possède aucune croyance réductrice. Elle est inscrite dans l’Univers, poursuit sa route et son évolution dans les étoiles et porteuse d’une énergie hors-temps.
Dans l’infinie conscience qui est la sienne (trop peu d’entre nous prennent réellement en compte cette conscience), la planète met à notre disposition, au fur et à mesure de l’émergence de nos nouveaux champs de conscience , de nouveaux minéraux ou de nouveaux gisements qui servent de support aux fréquences de mutation que nous vivons.
Mon propos n’est pas dans cet article d’en faire la liste exhaustive, mais de faire découvrir au lecteur quelques minéraux peu connus dans leur mode d’action quantique.
L’Hématite brute
(l’hématite polie, roulée ou sous forme de bijoux ne possède aucun des effets énoncés ci-dessous, elle doit impérativement être brute) – poids minimum 180/250 gr
Issue, grâce à sa montée au travers des cheminées volcaniques, du noyau terrestre totalement ferrique, l’Hématite brute possède la particularité de replacer le corps physique et énergétique en phase avec sa configuration d’origine à la naissance. En d’autres termes, cela signifie que le simple fait de la tenir en main induit un réalignement de toutes les structures énergétiques du corps et lui permet de retrouver son fonctionnement originel dégagée des empreintes qu’il a pu accumuler durant son parcours de vie.
Hematite brute, photo Serge Briez ©
La Barytine – poids minimum 200/300 gr
Pierre peu connue de la famille des Célestites, elle génère une fréquence qui connecte à la canalisation des plans de conscience supérieurs, et permet ainsi de recevoir des informations permettant de se mettre en phase avec une trajectoire de vie en conformité avec les codes identitaires. Elle possède une action quasiment miraculeuse dans sa faculté à générer des évènements en phase avec nous-même.
Oursin fossile – poids minimum 100/150 gr
Le dessin de ce fossile en forme d’étoile permet d’entrer en contact avec son étoile d’origine et de se séparer ainsi de l’énergie nostalgique d’un lieu perdu que l’on sent souvent en soi sans pouvoir en formuler l’origine. Elle connecte en prise directe avec les codes stellaires identitaires et génère des niveaux d’information difficilement accessibles par d’autres moyens.
Pierre de Lune Noire – poids minimum 150/200 gr (très conseillée sous forme de boule)
La Pierre de Lune Noire connecte à l’origine et à l’élaboration des structures de l’intuition. Son emploi permet de comprendre intuitivement le positionnement nécessaire à la véritable connexion à l’intuition et permet d’éviter les parasitages émotionnels polluant fréquemment ce mécanisme. Précieuse pour développer ses facultés de clairvoyance. Une remarque : plus la boule est de gros diamètre, plus elle est puissante.
Le Quartz multidimensionnel – poids minimum 100 gr
Ce Quartz Fenêtre possède la particularité de « choisir » son propriétaire. Ses multiples plans de cristallisation sont autant de portes d’entrée aux différentes dimensions de l’être. Ces plans entre en résonance avec le propriétaire du Cristal et permettent la libre accession aux multiples dimensions.
Le Sirius – poids minimum 200 gr
Onde de forme taillée dans dans un Cristal de Quartz ou d’Améthyste, le Sirius (grâce à sa structure construite sur le 12) permet la réintégration et la construction vibratoire de l’ADN en douze brins. Cette configuration énergétique sert de socle structurel pour la passage au corps de Lumière et l’accession à l’énergie de l’Ascension.
Le grand intérêt du minéral est qu’il met à notre disposition une fréquence constante qui se l’altère pas à l’usage s’il est correctement entretenu et qu’il réinitialise dans le corps cellulaire les dispositifs de connexion quantique et vibratoire qui y sont depuis l’origine.
ATTENTION NEANMOINS A L’ORIGINE DE VOS APPROVISIONNEMENTS.
Les conditions requises pour obtenir les résultats énoncés ci-dessus (comme définies dans le troisième paragraphe) sont rédhibitoires.
Daniel BRIEZ
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