Céline, qui suit mes stages depuis 18 mois m’a rendu visite hier à Sarlat. La conversation que nous avons eu ensemble m’a inspiré ce texte.
Lorsque nous travaillons sur nous-mêmes et que, progressivement nous mettons à jour les mille et une croyances qui nous empêche d’être ce que nous sommes, il arrive un temps où nous devenons capables de définir précisément ce que nous portons en nous et les axes que nous avons à développer. Ces informations nous amènent alors à la conviction que nous devons profondément modifier nos structures de vie et nos options.
Nous sommes alors au seuil à ce que je qualifierai de « l’orée du chemin ». Le « chemin » est celui que nous avons défini au moment de notre incarnation. Avant de nous incarner dans le corps qui est le nôtre, nous avons choisi les principaux paramètres de notre expérience de vie, à savoir, le sexe, le physique, la race, l’époque où nous nous incarnons, les grandes lignes de nos résistances physiques et psychologiques qui nous aideront à comprendre la nature particulière de l’expérience de conscience qui sera la nôtre, en d’autres termes, ce que l’on appelle la réalisation.
Trop souvent, nous avons totalement perdu de vue cet axe, embrouillés que nous sommes dans une expérience matérialiste alimentée puissamment par notre société, par l’éducation que nous avons reçu, et les multiples niveaux des systèmes de croyance que nous avons fait nôtres, ou que nous a inculqué notre société ou notre environnement familial. Finalement, à un moment donné, nous prenons conscience de l’ensemble de ces parasitages et nous rencontrons enfin ce que nous sommes, avec l’absolue conviction du « connaissant » qui sait enfin ce qu’il a à faire.
C’est alors, que pour une raison qui ne s’avère jamais réellement définie, mais qui est sûrement de l’ordre de la peur de l’inconnu, de la peur de son propre pouvoir, ou de la crainte de remettre en question un quotidien qui ne nous nourrit pas vraiment mais qui est finalement assez confortable, nous nous mettons dans une position d’attente, attendant un « signe » (!!!) de la vie ou une impulsion venant d’on ne sait où !
On peut attendre longtemps cette impulsion ou cette « bonne » raison de se mettre enfin en mouvement. En fait, on peut l’attendre tout le reste de sa vie.
Ne pensez-vous pas qu’il est temps de vous mettre en mouvement si vous ressentez cela. Ne pensez-vous que l’état de la planète nécessite, d’une certaine urgence, que chaque être humain de cette terre, chaque être humain accédant à la conscience, chaque être humain en mesure d’améliorer la nature de son environnement dans sa sphère personnelle, fasse ce qu’il a affaire.
Et surtout, comment ressentirez-vous le fait de ne pas avoir agit, si pour une raison ou une autre, vous quittez votre corps physique et passez de l’autre côté. Il sera temps à ce moment-là d’établir le bilan de ce que vous saviez devoir faire et que vous n’avez pas eu le temps de faire. Malheureusement, il sera trop tard !!!
Sarlat le 22 décembre 2011, 19h03
#1 par Catherine Barré le 5 janvier 2012 - 10 h 08 min
Je n’attends plus, j’agis : j’ai fais hier les démarches administratives pour ce projet qui me tient à coeur depuis plusieurs mois. J’en étais toute chamboulée à l’intérieur mais au fil de la journée cela s’est posé et une certaine quiétude s’est installée. Je voulais vous remercier car vous y êtes un peu pour quelque chose, j’ai suivi la formation couleur cette année ainsi que le stage de décembre dernier et à chaque fois cela vient taper là où cela doit… Donc voilà je n’attends plus, j’agis, je vais être moi et je vais laisser mon être intérieur s’exprimer et agir … enfin!
Bien amicalement,et tous mes voeux à vous et à votre équipe.
#2 par Daniel Briez BLOG le 5 janvier 2012 - 11 h 41 min
Bravo. Je souhaite à la planète que des millions de personnes fassent comme vous, notamment dans notre pays où tout est fait pour annihiler la réflexion et l’esprit d’entreprise, ce qui amène nos concitoyens à penser que leurs entreprises ne peuvent pas marcher car le contexte économique est en crise. Cela est faux. Ce sont les esprits qui sont en crise et non l’économie. N’oublions pas que l’énergie suit la pensée !!!
#3 par Bryanna Laurenceau le 31 décembre 2011 - 18 h 17 min
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#4 par Kittie Geitz le 31 décembre 2011 - 14 h 07 min
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#5 par Nguyen cao Annie le 30 décembre 2011 - 13 h 40 min
Se décider à être vraiment soi-même et agir, c’est comme balayer devant sa porte. C’est ainsi, qu’en faisant le ménage dans ma vie, j’avance. Les idées deviennent plus claires et surtout j’accepte de prendre en compte mes véritables motivations, mes désirs, à la recherche de ma vraie personnalité souvent étouffée par le diktat d’une société très structurée. Etre soi-moi-même, c’est aussi accepter ce qui ne va pas, sans chercher forcément à tout changer, tout de suite. Le temps fait son oeuvre.
Bonnes fêtes de fin d’année Daniel
Amicalement
#6 par Daniel Briez BLOG le 30 décembre 2011 - 19 h 06 min
Merci pour vos commentaires
Cordialement
Daniel