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GÉOBIOLOGIE, MINÉRAUX ET SANTÉ


Le corps humain est composé principalement d’eau (environ 70% de sa masse corporelle) et de minéraux.

LES MINERAUX

La première molécule que construit la cellule humaine lorsqu’elle se duplique est une molécule de dioxyde de silicium (travaux du Professeur Monod, Prix Nobel de Chimie en 1965). Elle sert de moyen de transmission à l’ADN pour transmettre ses codes au corps cellulaire. Le corps humain se compose d’environ 75000 milliards de cellules, donc d’autant de molécules de dioxyde de silicium qui est également la composition du Quartz ou Cristal de Roche.

QUARTZ ROSE MADAGASCAR, photo Serge Briez©www.cristaux-sante.com

QUARTZ ROSE MADAGASCAR, photo Serge Briez©www.cristaux-sante.com

Le Quartz constitue 12% de la Lithosphère (croûte terrestre) et sert de mémoire et de conducteur à tous les micro-processeurs qui permettent aux moindres machines présentes autour de nous de fonctionner. Sur le plan énergétique et au niveau de la transmission des fréquences, il est donc évident qu’il existe un lien profond entre notre corps, la planète Terre, et les machines qui peuplent le moindre espace de nos lieux de vie.

QUARTZ LEMURIEN DRUZE, MADAGASCAR, photo Serge Briez©www.cristaux-sante.com

QUARTZ LEMURIEN DRUZE, MADAGASCAR, photo Serge Briez©www.cristaux-sante.com

Le corps humain est donc un gigantesque émetteur-récepteur, capable de capter des éléments et des fréquences qui vont bien au-delà de ce que nous pensons ordinairement. Il est par conséquent particulièrement sensible aux fréquences de tous ordres émises autour de nous, à commencer notamment par toutes les fréquences électro-magnétiques. De ce fait, la pollution électro-magnétique de notre environnement s’avère l’une des principales causes du vieillissement prématuré de la cellule et de l’altération de notre santé.

L’énorme concentration de minéraux dans notre corps et son ultra-sensibilité nous amène à réagir profondément à ce type de pollutions. Elle nous donne parallèlement le potentiel de réguler ces perturbations par la simple utilisation de certains minéraux qui entrent directement en résonance avec ceux que contient notre corps.

L’EAU

Depuis de nombreuses années, ont été mis en évidence les mécanismes de la « mémoire de l’eau ». Les travaux du chercheur français, Jacques Benvéniste, et la diffusion des photos sur la cristallisation de l’eau du japonais Masaru Emoto ont largement concouru à vulgariser cette connaissance. La molécule d’eau « mémorise » tout ce avec quoi elle est en contact vibratoire. En tout premier lieu, nous devons donc nous interroger sur la qualité de l’eau que nous buvons et sur la quantité que nous en absorbons quotidiennement qui est, la plupart du temps, insuffisante. 

photo Serge Briez©

photo Serge Briez©

Par ailleurs, si une molécule d’eau pure se trouve placée au contact énergétique d’une eau de mauvaise qualité (eaux stagnantes ou eaux usées), et ce notamment sur de longues durées, elle aura tendance à se mettre à l’unisson de cette fréquence et à abaisser sa fréquence vibratoire au niveau de celle qu’elle rencontre majoritairement. En d’autres termes, si votre habitation se trouve construite au-dessus d’une eau ne renouvelant pas naturellement son oxygénation (eaux mortes immobilisées dans des couches de marnes ou des terrains argileux), l’eau stagnante émettra une « fréquence d’eau morte » à sa verticale. Elle « tirera » vers le bas votre propre fréquence vibratoire, et polluera toutes les molécules d’eau présentes sur son trajet. Cela signifie qu’une eau stagnante présente sous votre habitat, altèrera progressivement (nous parlons ici à l’échelle de quelques mois ou quelques années puisque nous ne déménageons pas tous les mois – nous séjournons 8 à 12 heures par jour dans notre habitat) la fréquence de votre eau cellulaire. Celle-ci perdra progressivement sa tonicité, ses capacités de nettoyage et la qualité de sa fréquence. Ce mécanisme aura pour conséquence une détérioration rapide de votre capacité de ressourcement et se traduira par les symptômes que nous détaillons précisément dans la rubrique « Biologie de l’habitat »

LES MINERAUX EN TANT QUE VECTEURS DE SANTE

Le minéral, par la grande résonance qu’il possède avec le corps humain, constitue le moyen de régulation le plus adapté des dysfonctionnements des plans organique et vibratoire. En effet, le minéral constitue une « fréquence-type » que le corps ‘reconnaît ». Il se met alors en résonance avec cette fréquence et relance ainsi ses propres systèmes énergétiques. Nous assistons parfois ainsi à de véritables petits « miracles » grâce auxquels, au simple contact de la pierre, le corps retrouve des fonctions premières et fonctionne à nouveau en état d’équilibre.

LE MINERAL CONSTITUE UN DES MEILLEURS MOYENS D’EQUILIBRAGE DE L’HABITAT

C’est la raison pour laquelle il est particulièrement recommandé d’utiliser les minéraux pour réguler les principales pollutions de votre habitat plutôt que tout système conçu par l’homme. Outre leur efficacité (certaines pierres neutralisent en totalité et définitivement certaines pollutions), la « relance » qu’ils opèrent, sur le plan énergétique, permet de résoudre bien des difficultés.

La première question que chacun doit se poser lorsqu’il se sent fatigué, en tension, ou lorsque les évènements de vie sont tendus, c’est : « Quelle est la qualité énergétique de mon habitat ? »

Un diagnostic à distance, simple et peu coûteux, vous permettra de répondre à cette question essentielle. Il vous évitera de vous égarer dans des procédures coûteuses, voire même hasardeuses sur vos états émotionnels, la qualité de votre alimentation ou votre histoire de vie, pour ne citer que ses aspects-là.

La mise en place de minéraux dans votre habitat vous aidera à retrouver vitalité et optimiste et vous servira de support énergétique pour développer votre démarche d’équilibre.

Sarlat, le 24 Avril 2012, 18h41

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LA PIERRE DU MOIS DE MAI : LA CITRINE


Le mois de Mai est le mois de l’extériorisation

CITRINE GALET POLI

CITRINE GALET POLI

Le mois de Mai est le mois de l’expansion. La période qui vient de s’écouler avec la fin de l’hiver et le dépoiement des énergies du Printemps trouve sa pleine manifestation ce mois-ci. La puissance de la vitalité s’installe sur Terre, et nous ressentons la poussée de la Vie dans la moindre de nos cellules.

Mai est le temps venu pour manifester ce que vous êtes. La période de Janvier à Avril vous a permis d’observer ce que vous êtes, de déterminer vos choix, de comprendre de quelle façon vous alliez pouvoir pleinement manifester ce que vous êtes. La Cornaline du mois d’Avril vous a permis de vous centrer sur vous et de concentrer vos énergies dans le but de l’accomplissement de vos actions. Le mois de Mai est le temps de porter à l’extérieur ce que vous portez en vous. C’est le mois de l’extériorisation.

Mais pour ce faire, vous devez à la fois vous autorisez à manifester votre puissance de créativité, mais aussi le faire d’une façon juste. Vous constatez que si votre positionnement n’est pas en équilibre et que vous êtes trop dans la volonté ou trop dans l’auto-censure, les choses grincent autour de vous et ne se réalisent pas comme vous le souhaiteriez.

La Citrine est la solution à cette difficulté de placement.

LA CITRINE : PIERRE DU MOIS DE MAI

Dans un premier temps, la Citrine renforce votre capital luminique. Elle vous permet d’entrer dans votre rayonnement. Vous avez sûrement déjà rencontrer quelqu’un dont vous avez dit qu’il était rayonnant. C’est cela que vous apporte la Citrine: rayonner votre Lumière sans vous poser de questions, dans le simple bonheur d’être.

La Citrine amplifie votre potentiel lumineux et vous pousse à poser à l’extérieur ce que vous avez mûri à l’intérieur. La charge luminique de cette pierre est magnifique. Elle vous permet de retrouver votre spontanéité d’enfant et de manifester vos émotions comme vous le faisiez lorsque vous l’étiez. Il est vrai que les systèmes éducatifs et la vie d’adulte ont bien castré cette faculté naturelle. Notre société ne voit pas de bon ton la manifestation de la joie, du rire et de la joie de vivre. Pourtant la spontanéité est le seul moyen dont vous disposez pour ne pas faire passer vos désirs par le prisme déformant du mental raisonnant. Vous avez sûrement déjà fait cette expérience. Votre intuition vous pousse à faire quelque chose spontanément. Cela n’est pas particulièrement raisonnable et va peut-être à l’encontre de vos habitudes. Alors le mental raisonnant s’empare de cette idée, la passe au prisme de la raison et vous en faites, soit autre chose, soit vous lui ôtez sa vitalité. Elle devient alors moins excitante, moins dynamique, plus « socialement » acceptable. Vous manifestez alors cette énergie, mais elle ne vous nourrit plus et ne vous donne plus les mêmes satisfactions que si vous vous étiez exprimé spontanément.

La Citrine est la pierre qui vous redonne cette « pêche », sans passer par le prisme du mental castrateur. Vous retrouvez votre spontanéité d’action et faites ce que vous avez envie de faire.

Pour ce faire, il vous faut être parfaitement aligné sur vos propres énergies. Cela signifie ne pas vous juger en quoique ce soit, vous autoriser à être ce que vous êtes et le faire en toute dynamique. La Citrine vous redonne cette spontanéité.

Cette pierre est, par excellence, la pierre du positionnement de l’ego. Vous êtes à la bonne distance des choses et des évènements. Cela signifie que vous ne cherchez pas à convaincre les autres que vous avez absolument raison, mais qu’également, que vous n’êtes pas dans l’auto-limitation, l’auto-censure et/ou l’auto-jugement. La bonne distance dans les choses est ce que vous donne la Citrine.

Attention, la plupart des Citrines vendues sous ce nom ordinairement sont très jaunes et s’avèrent être des Améthystes chauffées. Une Améthyste chauffée n’a aucunement les vertus d’une Citrine véritable. Les Citrines proposées sur le site http://www.cristaux-sante.com sont d’une très haute qualité. La Citrine étant considérée maintenant comme une pierre semi-précieuse, il est extrêmement difficile de trouver des Citrines de cette qualité dans les poids nécessaires à la Lithothérapie (80/150 gr). L’emploi d’une Citrine fumée approfondit considérablement l’action de la pierre, lui permettant de pénétrer profondément dans la matière.

Prenez un temps chaque jour pour installer la joie en vous. Prenez votre Citrine en main et visualisez un moment particulièrement joyeux et heureux de votre existence. Sentez ce que cette émotion vous procure et goûtez pleinement le bien-être que cela procure à votre corps. Renouvelez l’expérience aussi souvent que vous le souhaitez. Dans la journée, reliez-vous à cette énergie et installez la joie, le plus souvent possible, dans votre vie quotidienne.

Retrouvez la pierre du mois de MAI sur www.cristaux-sante.com

Conseils :

Rien ne s’oppose, même si le mois est révolu de travailler avec la pierre mentionnée dans ce texte. Vous pouvez travailler avec plusieurs pierres en même temps sur la même période.

TRES IMPORTANT : je préconise dans chaque article un poids moyen. Mais plus le poids de votre pierre est conséquent, et plus son action est efficace. N’hésitez pas à travailler avec des pierres de plusieurs centaines de grammes.

 RAPPEL : n‘oubliez jamais de mettre votre pierre à tremper dans un grand bol d’eau claire pendant plusieurs heures, après chaque usage.

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LES TECHNIQUES DE LA MERKABHA


Depuis une dizaine d’années, le mot « Merkabha » est devenu à la mode, au même titre que le mot « quantique ». Le problème est que bien de fausses idées sont véhiculées sur le sujet et qu’il est difficile de se faire une idée sur la réalité de ce concept. Cela est d’autant plus difficile que les exemples concrets d’activation de la Merkabha ne sont pas légions et procèdent plutôt du domaine de la croyance ou de la légende.

Mais qu’est-ce que la Merkabha ?

Le mot Merkabha est composé des racines égyptiennes suivantes : Mer (l’esprit), Ka (le double ou l’âme), et Bha (le corps). Il désigne dans la Tradition hébraïque le Char ou Corps de Lumière. Dans le nouveau Testament, il est le Corps d’Ascension.

lever de soleil au Mont Moïse, Massif du Sinaï, ©Photo Guylène Briez

lever de soleil au Mont Moïse, Massif du Sinaï, ©Photo Guylène Briez

Cette symbolisation correspond à une observation physique d’un corps humain qui accélère sa vitesse de rotation cellulaire jusqu’à des fréquences qui lui permettent de se dématérialiser pour se rematérialiser ensuite dans un autre lieu physique (on parle en science fiction de « téléportation »). Il est vrai que l’exemple le plus connu, même si les témoignages directs sont sujet à caution, est celui de l’Ascension du Christ, ou de la dématérialisation de certains Rimpotché tibétains.

Par cet article, je souhaiterais vous donner ma perception de ce processus. Comme pour chacun de mes textes, il n’engage que ma responsabilité et constitue une piste que je soumets à votre réflexion.

Dans mon expérience, le corps merkabhique est effectivement un corps d’élévation luminique créé par l’accélération de la vitesse de rotation du plan cellulaire. Le liquide cellulaire possède un sens de rotation qui est le même que celui du magma de notre planète. Sa rotation crée une force centrifuge qui est à la base du nettoyage cellulaire quotidien. C’est sur ce mécanisme que repose la détoxination du corps et l’apport d’éléments nutritifs dans la cellule. Ordinairement, cette rotation est lente mais elle peut être accélérée en utilisant certains états de conscience modifiée.

Les Techniques Merkabhiques sont un ensemble d’exercices et de techniques reposant sur l’utilisation de fréquences vibratoires (sons, couleurs, fragrances, cristaux) employées pour accélérer la vitesse de rotation cellulaire. A l’obtention du seuil critique, se produit une « réactivation » des codes merkabhiques internes. Chaque être humain possède ces codes qui lui permettent, lorsqu’il atteint le niveau de conscience requis, de retrouver sa capacité d’utilisation du Corps de Lumière. Ces codes sont uniques, individuels et non transmissibles. Ils sont aussi intimes que le génome. En d’autres termes, j’estime que lorsque l’on prône la possibilité d’utilisation d’une méthode globale d’activation applicable à tout le monde, on véhicule une vision partielle et incomplète du processus requis pour obtenir des résultats tangibles.

Quelles sont les facteurs qui oblitèrent les codes merkabhiques et les empêchent de s’activer ?

 Les principaux facteurs oblitérant l’activation de la Merkabha sont constitués des multiples couches de croyance qui ont été imprimées dans le corps humain, au fil des millénaires, par l’éducation, les différents incidents de vie et les multiples chocs accumulés. Ces empreintes engramment la fréquence d’élévation et l’embourbe dans des fréquences densifiées qui n’ont plus de connexion avec notre fréquence d’origine.

 Dans ma perception, il est clair que l’humain ne « descend » pas du singe. Nous cherchons depuis longtemps le « chaînon manquant », et nous ne sommes pas près de le découvrir, car il n’a jamais existé. L’Homme vient des étoiles. Il est arrivé sur la planète au moyen de son Corps de Lumière et possède toujours la mémoire de ses Codes d’Ascension.

Comment réactiver ces codes ?

Comme l’étymologie du mot Merkabha l’indique, le Corps de Lumière correspond à la catalysation des codes stellaires (Mer), des codes animiques (Ka) et des codes cellulaires et génétiques (Bha). La dissolution des systèmes de croyance constitue le point de départ de cette activation. Il est quasiment impossible de localiser toutes les croyances que nous portons sur le plan cellulaire. Aussi est-il nécessaire d’utiliser des moyens qui dissolvent les automatismes créés par les systèmes de croyance afin de restituer au corps sa dimension première et lui permettre ainsi de relancer la configuration énergétique qui permet d’entrer en conscience de l’alignement requis pour activer la Merkabha.

Depuis 1998, j’ai animé trois sessions de formation sur ce sujet. Il s’est écoulé cinq à six années entre chaque étape, me laissant un temps de maturation et permettant à de nouvelles fréquences et de nouveaux champs de conscience de s’incarner sur le plan terrestre. A mon sens, il n’est pas possible de faire de ce sujet un « fonds de commerce ». Il n’est qu’à répondre à cette impulsion « venue d’ailleurs » donnant l’impérieuse nécessité de matérialiser de nouveaux champs de conscience.

En cette année de mutation planétaire, le stage « Techniques de la Merkabha » s’inscrit dans cette perception, année où notre transition s’avère impérieuse. Les états de conscience modifiée constituent un des moyens privilégiés pour accéder à des niveaux informatifs dégagés des limites du mental. J’utiliserai ce moyen afin de condenser l’information par le Verbe et apporter à chacun des participants de nouvelles fréquences informatives.

Je ne pense pas que le groupe aboutira à une activation effective de la Merkabha au dernier jour du stage, mais il contribuera à « nettoyer » le terrain collectif et surtout à déblayer des champs parasitaires qui oblitèrent depuis trop longtemps la vision de chacun.

Je vous convie donc à ce magnifique voyage dans la Conscience Universelle que j’aurais le plaisir de vivre avec ceux d’entre vous qui choisiront de se joindre à ce travail.

Sarlat, le 13 Mars 2012

 PS L’intégration de la Merkabha porte sur l’intégration du 12 qui introduit au 13.     

LES TECHNIQUES DE LA MERKABHA

Stage de 4 jours à Sarlat (Dordogne) – tout public – non résidentiel

Ce stage constitue une introduction aux techniques de perception, de développement et de mise en place des Techniques de la Merkabha. Sans rapport avec les travaux de Drunvalo Melchisédech, ce stage constitue une approche novatrice et délibérément originale pour dissoudre les barrières à l’activation du « Véhicule de Lumière ». Il introduit à l’énergie des Maîtres Ascensionnés et permet de comprendre sur quelles bases les Maîtres ont construit leur Ascension.

Quelques uns des sujets abordés :

  • évaluation des systèmes de croyance

  • bases techniques des niveaux luminiques

  • introduction à la Science de Synthèse

  • perception et voyages dimensionnels

  • expérimentation des outils multidimensionnels

  • etc.

Prix : 490 €  (Remise de 30% pour les personnes participant au cycle « La Science des Couleurs »)

Inscriptions : Wydiane 06 42 82 26 02  – formations@cristaux-sante.com

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ENTERREMENT OU INCINERATION


Cet article doit être associé à la lecture des articles intitulés « La Mort » et « L’accompagnement du passage de la mort ».

Les deux précédents articles ont permis de définir les conditions énergétiques et vibratoires requises pour aider un défunt à accomplir le passage de la mort dans les meilleures conditions.

Les moments de l’enterrement ou de la crémation sont sensés clôturer le mécanisme du passage à la mort. « Sensés », car si les conditions requises pour que le désengagement de la conscience par rapport au corps cellulaire ne sont pas totalement accomplies à ce moment-là, le processus peut nécessiter un temps beaucoup plus long que celui que l’on consacre ordinairement sur le plan matériel au traitement du corps.

La mise en terre et les instants précédant la crémation du corps sont les derniers moments mis à la disposition de l’entourage pour aider le mort à quitter définitivement son corps.

Pour cette raison, il est absolument indispensable qu’un climat de paix et de sérénité soit présent autour de celui-ci. Le « Maître de cérémonie » (voir article sur « L’accompagnement du passage de la mort ») doit veiller avec beaucoup d’attention à ce que le climat de sérénité requis demeure tout le temps de l’exposition du corps du défunt à son entourage. Il peut être extrêmement important pour le défunt d’être accompagné par un grand nombre de personnes. L’équilibre énergétique de paix est plus difficile à maintenir, mais la puissance dégagée par la force d’amour du groupe vis-à-vis du défunt s’en trouve considérablement renforcé, et constitue un puissant levier pour faciliter son dégagement. Il est clair qu’il est recommandé que l’ambiance de ce temps soit recueillie, ou joyeuse comme c’est le cas dans certaines cultures. 

Il est important de réfléchir au contenu de ces derniers instants. La narration de poèmes, un hommage au défunt, une musique favorisant le recueillement et l’élévation, ou d’autres éléments élevant le niveau vibratoire de l’environnement du défunt seront autant d’éléments favorisant le passage.

enterrement ou incinération, photo Serge Briez®2012

enterrement ou incinération, photo Serge Briez®2012

Il y a lieu de s’interroger sur le bien-fondé de certaines pratiques. Si le collégial des « Maîtres de cérémonie » (voir article précédent) estime, en son âme et conscience, que certaines dispositions des dernières volontés du défunt altère le climat de sérénité requis, les choix doivent être faits en conscience, en portant attentivement l’attention sur l’impact que les actes posés auront sur l’énergie du corps du défunt.

Deux options s’offrent alors à l’entourage:

– la mise en terre

– ou l’incinération. 

La mise en terre présente l’avantage de permettre au mort de disposer d’un délai pratiquement hors limites (temps de désagrégation du corps en terre) pour dégager sa conscience du corps physique. L’inconvénient de la mise en terre réside dans le fait qu’en cas de libération partielle de la conscience, le mort éprouve le sensation d’être enterré vivant. Cette sensation peut s’avérer extrêmement pénible. Elle s’atténuera progressivement au fur et à mesure que le mort prendra conscience du processus de dégagement de son esprit du corps. N’oublions pas que toute pénibilité rallonge le temps nécessaire au processus de libération finale. L’idéal, bien évidemment, est que les différentes opérations d’accompagnement du défunt aboutissent au dégagement de sa conscience avant la mise en terre. Le corps physique devient alors une enveloppe vide et il n’existe plus alors aucune sensation d’inconfort.

La crémation peut paraître préférable à l’inhumation. En effet, s’il subsiste quelques scories d’attachement entre la conscience et la cellule, l’intérêt de la crémation est de totalement supprimer le support matériel du corps en quelques minutes et de libérer la totalité des énergies vibratoires. Néanmoins, Attention! La quote-part des attachements résiduels doit être réduite à sa plus simple expression. Si tel n’est pas le cas, l’impact sensoriel sur le corps, au moment de la crémation, sera profondément douloureux. Le défunt éprouvera la sensation d’être brulé vif. Il est impératif de respecter un délai de trois à quatre jours dans le cas de la crémation afin de permettre au corps de totalement se libérer. Ou pour le moins, il est nécessaire de vérifier que la libération de la conscience est accomplie. Le délai communément posé de deux jours (en fonction d’enjeux purement matériels) est tout à fait inapproprié. La crémation supprime le support matériel cellulaire et contraint la conscience à se dégager. C’est la raison pour laquelle elle est couramment usitée dans les coutumes de population hautement évoluées sur le plan spirituel.

Je pense que le lecteur aura compris qu’il n’existe pas une solution meilleure que l’autre. Son efficacité est essentiellement fonction de la qualité d’un environnement serein et harmonieux créé autour du défunt. Le propre degré d’avancement spirituel du défunt aura également un impact majeur dans la fluidité de cette libération.

Cet article sera suivi de deux autres intitulés « Le Deuil », et « Transfert énergétique des lignées ancestrales au moment de la mort.

Luxembourg, le 4 mars 2012, 16h40

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L’ACCOMPAGNEMENT DU PASSAGE DE LA MORT


Pour être bien compris, cet article doit être associé à la lecture des articles intitulés

– La Mort

– L’enterrement ou la crémation

Tout d’abord, observons le sens étymologique du mot défunt. Défunt provient du mot latin functus qui signifie fonction. Un dé-funt (defunctus) est donc quelqu’un qui est déchargé (dé) de sa fonction (functus). Defunctus signifie en latin celui qui est déchargé, et par extension celui qui a accompli. En d’autres termes, c’est celui qui a accompli sa vie. Il convient donc de l’accompagner pour que le défunt devienne un mort.

Le mot mort est issu de l’ancien égyptien MOUTH qui signifie mutation ou changement d’état. Il possède la même racine que le mot MAAT (Vérité). Chez les Hébreux, il est issu du mot MOTH, racine étymologique des mots mother, mère, mutation, matière.

Autant dire que le mot mort ne porte pas le sens d’une disparition ou d’un anéantissement mais bien celui d’une mutation.

La mort est la naissance à une autre vie, vie de conscience.

Dans l’article intitulé « La Mort », nous avons détaillé le fait que les fonctions cognitives de l’être ne s’interrompaient pas avec l’arrêt des fonctions organiques du corps physique, d’où l’absolue nécessité d’aménager un espace et un temps pour le repos du corps physique afin de lui permettre de réaliser sa séparation avec l’esprit.

Rien ne s'efface jamais, photo Serge Briez©

Rien ne s'efface jamais, photo Serge Briez©

Pour bien comprendre ce mécanisme, il est important de détailler les niveaux par lesquels la cellule (Matière) et l’esprit (Conscience) sont en relation symbiotique.

Il existe deux niveaux symbiotiques entre le corps cellulaire et l’esprit :

– Le niveau conscient

Le niveau conscient est le plus communément appréhender. Toutes les informations vécues dans le quotidien sont enregistrées par la cellule. Dans la perception ordinaire, nous appelons cela mémoires. Nous assimilons souvent la mémoire à une des fonctions du cerveau. Tel n’est pas le cas, en tout premier lieu, la mémoire est cellulaire, pour ensuite, si cela s’avère nécessaire, être mise en forme par le cerveau (que l’on confond souvent, par ailleurs, avec le mental).

Simultanément à la mémorisation cellulaire, l’enregistrement des données s’opère au niveau de l’esprit. Celui-ci, simultanément transfère ces données à une banque de données globale que nous nommerons, par facilité, l’âme. La fonction de l’âme est essentielle. Sans elle, la relation à l’univers de l’être et du corps serait limitée à la seule incarnation présente. Si tel était le cas, cette configuration aurait pour effet de nous amener à répéter pratiquement toujours les mêmes expériences dans chaque incarnation, sans possibilité de créativité et de renouvellement.

A partir du niveau conscient, nous évoluons vers des sphères d’un niveau vibratoire de plus en plus élevé (que nous qualifierons de spirituel), au fur et à mesure de la complémentation des phases de notre expérimentation de la vie quotidienne. Notre cheminement de conscience repose sur la qualité de cette expérimentation sensorielle, sur le niveau de perception que nous en avons et sur la satisfaction des besoins de nos premiers niveaux organiques.

– Le niveau inconscient

Le niveau inconscient est plus difficile à percevoir car il ne repose pas sur le cheminement de conscience que nous observons couramment. Il constitue le mécanisme automatique qui permet de stocker d’innombrables données en attente de traitement par notre conscience.

Ce niveau est essentiel car il permet au corps de réunir toutes les conditions de survie requises pour conserver son intégrité. Il lui permet de traiter la totalité des informations émises par son environnement et de déterminer les données qui peuvent mettre en danger sa survie. C’est à ce niveau que se situe ce que nous nommons l’instinct de conservation.

Dans ce niveau sont enregistrés la moindre de nos conversations, le moindre évènement, les plus infimes fréquences transmises par les étoiles, l’influence des égrégores collectifs, les mouvements de la planète, en fait tout ce qui a une influence , même infinitésimale sur notre survie. C’est ainsi que le corps peut rester vivant, y compris dans des situations extrêmes.

Lors du processus du passage de la mort, ce niveau est fondamental car c’est celui qui contient le plus de données à décrocher et surtout dans lequel se trouvent l’ensemble des liens inconscients avec les membres de notre entourage et tous les êtres que nous avons croisé dans notre vie.

Il est fondamental de comprendre la nature de ces liens. Chaque parole que nous prononçons, la totalité de celles que nous entendons, tous les gestes, tous les regards que nous échangeons subsistent sur le plan énergétique. Rien ne s’efface jamais. Même si ces données n’encombrent pas notre mémoire ou ne sont pas conscientisées, elles demeurent en nous et conserve un lien avec le corps cellulaire de la personne avec laquelle nous avons échangé, même s’il s’agit d’un simple regard fugitif échangé avec un passant trente années auparavant . Ce sont ainsi des milliards de fils énergétiques qui nous lient aux innombrables individus que nous avons croisé de notre vivant.

Lorsque l’esprit se désincruste du corps, ces attaches énergétiques se coupent et l’énergie se transfère en totalité sur celui qui reste vivant. Il s’agit d’un décrochage. Il ne faut pas chercher plus loin l’origine du mécanisme qui est fréquemment décrit au moment d’une NDE concernant la visualisation de toute la vie à rebours.

Que l’interlocuteur soit présent physiquement auprès du corps, qu’il se rappelle les faits ou les mots, que le défunt n’ait été croisé qu’un instant fugitif, cela est la même chose. Ce qui déclenche ces liens est la simple mémorisation inconsciente de ces éléments. 

Ce mécanisme de décrochage est ressenti particulièrement puissamment dans le cas de l’énergie de filiation. Lorsque le père meurt, la totalité de la charge énergétique des ancêtres de la lignée se transfère sur son fils ainé. Si c’est la mère, le transfert s’opère sur la fille ainée. Il peut être extrêmement favorable pour chacun ce transfert se fasse en conscience entre le père et le fils ou la mère et la fille, quelques temps avant le décès, voire quelques années avant. Cela allègera considérablement la personne en fin de vie et permettra à celle qui reste de mieux gérer le transfert. Au moment du décès, le décrochage cellulaire sera d’autant plus fluide.

Nous comprenons donc que les conditions énergétiques dans lesquelles s’inscrit le défunt au moment de sa mort sont essentielles. Chaque perturbation énergétique dans les jours qui suivent le décès sont préjudiciables au décrochage et entraînent pour le défunt des souffrances et perturbent le mécanisme de passage, allant même parfois jusqu’à l’interrompre.

Quelles sont les circonstances qui interrompent le processus de séparation des entités corps et esprit ?

Le regret. Le défunt est dans l’obligation d’avoir réglé ses comptes. S’il estime qu’il avait encore quelque chose à faire ou à dire avant de partir, et qu’il n’a pas réunnit les conditions pour que cela se fasse, la sensation d’inacomplissement crée une attache à la forme physique et il est difficile pour le défunt de partir.

L’attachement. Si le défunt est attaché à des biens matériels, à un lieu ou à des êtres, il en est de même que précédemment. De même si l’un ou plusieurs de ses proches ne veulent pas le laisser partir et font preuve d’un attachement excessif (ex : une mère qui perd un de ses enfants ou une femme dont le mari décède).

L’ignorance. S’il est totalement dans l’ignorance des mécanismes de passage, il en est de même.

Le refus des champs spirituels. Un véritable athée, par conviction, attaché à une vision mécaniste et scientiste du monde, se trouve complètement désemparé dans le nouveau plan dans lequel il se retrouve, et le passage ne s’opère pas.

La colère. Si une colère subsiste chez le défunt au moment de son décès, le niveau vibratoire de la colère se situe dans une fréquence trop basse pour permettre le passage.

Les pratiques médiumniques ou spirites. Le processus de rappel des morts au travers de médiums maintient ceux-ci à proximité de la fréquence terrestre (comme une ancre) et ne permet pas leur dégagement

Ces facteurs génèrent des fréquences vibratoires denses qui retardent, voire empêchent la dissociation du corps et de l’esprit. La combinaison de plusieurs facteurs peut créer une véritable prison énergétique créant une impossibilité au défunt de réaliser son passage. Dans ce cas, l’esprit reste emprisonné dans le corps avec la relation sensorielle décrite précédemment.

L’usage de cérémonies religieuses réunissant un grand nombre de personnes crée un égrégore de haut niveau vibratoire autour de l’énergie du défunt. C’est ainsi que se construit un puissant effet de levier permettant aux énergies denses de s’élever au défunt de se libérer.

Il est par conséquent clair que la nature vibratoire de l’environnement créée autour du corps du défunt joue un rôle fondamental. Si de bonnes conditions de transfert ne sont pas en place, le mort n’a pas la possibilité d’intervenir directement sur l’état énergétique de son corps. Un mort livré à lui-même possède naturellement les ressources nécessaires pour accéder à ce dégagement. La qualité de son environnement devient par conséquent importante. Si elle est bonne, le passage s’opère dans de bonnes conditions et rapidement. Si elle s’avère perturbée, le passage se prolonge, peut parfois s’interrompre.

L’égrégore énergétique constitué par les personnes réunies autour de lui fait office de levier pour élever la fréquence cellulaire du corps physique et permettre le dégagement de l’esprit. L’atmosphère créée autour du mort doit être constituée de paix, de tendresse et de sérénité. Il est fondamental d’éviter, autant que faire ce peut, les grands débordements émotionnels, les pleurs et le transfert de ses propres peurs de de la mort vers le défunt. Trop souvent, nous voyons, jusque sur le lit de mort du défunt, se produire des règlements de compte familiaux. Il est clair que la mort agit comme un mécanisme de catharsis vis-à-vis de l’entourage et renvoie chacun à sa propre disparition. Cette catharsis libère des émotions qui sont parfois bloquées depuis des dizaines d’années. Néanmoins, l’espace du mort n’est ni le lieu, ni le moment, pour libérer nos propres peurs, eu égard au respect que nous devons porter au défunt, quelque soit le rapport que nous avons pu avoir avec lui.

Les plus gros dérapages proviennent fréquemment des désaccords qui naissent de la répartition des legs et héritages. Chacun attend de recevoir, consciemment ou inconsciemment, une reconnaissance directe ou indirecte du mort. Il est important de noter que dans la gestion des legs, la qualité du legs spirituel transmis par le défunt à chacun est essentielle. Ce n’est pas pour rien qu’a été institué la notion de dernières volontés ou de testament. Si le legs spirituel est imparfait, incomplet ou inexistant, il est probable que la part du legs matériel sera conflictuelle. S’il a été correctement géré par le défunt dans les années précédant son décès, il est probable que tout se déroulera dans l’harmonie requise.

Conseils pour créer un passage harmonieux.

– Désigner un groupe de maîtres de cérémonie. Il s’agit, de préférence, d’un collégial de trois personnes désignées par la famille ou les plus proches du défunt. Ils seront considérés par tous comme des sages et seront garants du bon déroulement des opérations. Eviter la collégialité de deux personnes qui porte le risque de voir naître des conflits de personnalités.

– S’en remettre aux décisions de ces sages pour l’ensemble de l’organisation des journées dédiées au défunt jusqu’à l’enterrement.

– Un des membres du collège des sages doit toujours être présent auprès du corps du défunt, vingt quatre heures sur vingt quatre. Ils sont les garants de la paix nécessaire autour du défunt. Ils gèrent les débordements inopportuns et temporisent les conflits s’il y a lieu.

TRES IMPORTANT : si un conflit se déclenche, il ne doit absolument pas se développer en présence du défunt. Si cela est inévitable, faire sortir les personnes en lice de la maison. Le maître de cérémonie est celui qui canalise les énergies en présence et leur permet de demeurer à un niveau de paix et d’harmonie.

– Laisser les maîtres de cérémonie évaluer le temps nécessaire au défunt pour se libérer de son esprit et fixer ainsi, si possible, la date de l’enterrement ou de l’incinération.

Ne pas transformer le corps par les procédés thanatologiques en usage. Il est préférable, si les conditions de conservation du corps sont difficiles, de clore le cercueil plutôt que de faire subir au corps des transformations qui seront ressenties par le défunt comme des actes chirurgicaux sans anesthésie.

– Evidemment, suivre à la lettre les dernières volontés du défunt, si elles ont été formulées, quelles que soient les réactions qu’elles suscitent dans l’entourage.

Dernière observation.

De nombreuses personnes qui décèdent manquent de culture spirituelle. Le défunt se trouve alors dans une perception de conscience extérieure à lui-même. Pour cette raison, de nombreuses cultures ont pour coutume d’entourer le mort de pleureuses. Cela lui permet de comprendre qu’il est bien mort et qu’il doit se retourner vers lui-même.

Pour conclure, c’est le retrait de la fréquence conscience/esprit de la cellule qui entraine sa dégradation et permet au corps de se dissoudre. A un moment donné les personnes qui entoure le défunt sentent qu’il est parti. Il est temps alors de le mettre en terre ou de l’incinérer.

Sarlat, le 15 Janvier 2012, 19h25


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LA MORT


Une intense discussion avec des membres de ma famille m’a récemment montré que les phénomènes énergétiques liés à la mort étaient encore trop peu, voire pas, connus. Cela a motivé la rédaction des trois articles intitulés

– La Mort,
– L’accompagnement du passage de la mort
– L’enterrement ou la crémation.

S’il est un passage qui vient chercher chacun dans son intimité et ses convictions, c’est bien celui de la mort du corps physique. Ce mécanisme mal connu est l’objet de bien des spéculations. Il me semble important de définir simplement les principales étapes de ce processus de passage afin d’éviter des incohérences préjudiciables au défunt et lui permettre de se libérer de son corps physique dans les meilleures conditions possibles.

En premier lieu, n’oublions pas qu’on ne meurt qu’une fois et que ce que l’on « loupe » à ce moment-là est irrémédiablement passé. Il est donc recommandé d’aborder cet évènement majeur de notre parcours de vie avec conscience et d’éviter les plus gros dommages, que ce soit nous-même qui mourrions ou un membre de notre entourage.

L’être humain est composé de deux entités distinctes vivant sur une base symbiotique, l’une sur le plan de la conscience, l’autre sur celui du physique : l’esprit et le corps.

Le corps est constitué de l’ensemble de la masse corporelle et cellulaire. Elle sert de véhicule à l’esprit. Elle lui permet de réaliser, tout au long de l’incarnation, des expériences sensorielles de conscience extrêmement diversifiées et précises, lui donnant ainsi la possibilité de pratiquer consciemment les lois du fonctionnement de la Matière. La mise à disposition du corps physique, au moment de la conception puis de la naissance, est fondamental. Il s’agit, ni plus ni moins, du seul support tangible et opérationnel qui permet à l’esprit d’évoluer et d’acquérir de nouveaux champs d’investigation. Il n’en existe pas d’autre dans le champ de perception qui est le nôtre Ici et Maintenant.

Pyramide de Dahchour, Egypte photo Serge Briez©

Pyramide de Dahchour, Egypte photo Serge Briez©

Le corps dispose à la fois de fonctions conscientes (tout ce que touche à la sensorialité et à l’élaboration de la conscience), et des fonctions inconscientes (tout ce qui touche aux automatismes organiques permettant au corps de conserver son activité vivante et les systèmes inconscients de traitement de l’information qui lui permettent de s’ajuster aux milliards de données qu’il reçoit de son environnement, à chaque instant).

Cette masse cellulaire possède une autonomie qui conditionne grandement, selon les informations qu’elle a accumulée durant son expérimentation, la nature énergétique de la façon dont est vécue le passage de la vie à la mort et de la perception que nous en avons en tant qu’acteur ou spectateur.

L’esprit peut être défini comme la part éternelle de l’être. Partons du postulat suivant qui consiste à dire que les lecteurs de cet article croient en l’immortalité de l’âme. Il n’est bien évidemment pas question d’entrer Ici dans un débat sur la nature de l’âme mais d’utiliser ce mot comme étant la désignation du support de l’énergie qui est nous, qui était en nous avant l’incarnation et avait expérimenté d’autres corps ou d’autres formes de vie simultanément ou antérieurement à l’expérience présente, et qui en expérimente dans les temps parallèles ou à venir.

Nous ne sommes donc pas de Maintenant. Notre esprit a survécu à d’innombrables corps ou autres formes de matérialisation. L’esprit habite le plan cellulaire et est intimement lié à son fonctionnement organique, à tel point qu’il peut aller jusqu’à en modifier, voir interrompre, les processus organiques automatiques. Toutefois, il n’en est qu’un hôte.

Qu’est-ce que la mort ?

La mort représente l’arrêt des fonctions organiques du corps. Il serait une grave erreur de penser que les fonctions cognitives s’interrompent au moment de la mort. Ce n’est pas parce que le coeur s’arrête ou que l’encéphalogramme d’un individu est sans activité que ses fonctions sensorielles s’interrompent instantanément, qu’il ne sent plus rien, qu’il n’entend plus rien, qu’il n’éprouve plus d’émotions et qu’il ne réfléchit plus.

La croyance la plus couramment adoptée sur notre planète consiste à penser que les facultés cognitives sont exclusivement liée au fonctionnement de notre cerveau. Il n’en est rien. L’esprit et le cerveau se juxtaposent, le temps de l’incarnation pour optimiser l’expérimentation de vie, mais ils sont indépendants et se dissocient au moment de la mort. Cette configuration permet à l’âme de ne pas perdre les données collationnées durant une vie et de se les mémoriser (ou non) dans une incarnation ultérieure. Dans le cas contraire, les données seraient irrémédiablement perdues par la désagrégation du corps cellulaire. Ce serait fort dommage et terriblement improductif.

Autrefois, dans notre société, avant que la mort ne soit cachée dans le ghetto des hôpitaux et des maisons de retraite ( qu’il faudrait plutôt appeler parfois « maisons à mourir »), l’individu mourait chez lui. Il restait dans sa maison, entouré par les siens, le temps que l’inhumation s’organise. Cela laissait le temps à chacun de le rencontrer une dernière fois, puis il était mis en bière et conduit au cimetière, la plupart du temps accompagné d’une cérémonie religieuse.

Ce processus répondait à une nécessité profonde. Pourquoi ? 

Tout simplement parce qu’il faut un délai de trois à quatre jours (sept jours dit la tradition hébraïque) pour que le corps se libère totalement de sa sensibilité sensorielle et de l’empreinte de l’esprit qui enregistre toutes ces informations. En d’autres termes, qu’est-ce que cela signifie ?

Cela signifie qu’au moment de l’arrêt des fonctions vitales, il faut quelques heures, voire parfois quelques jours, pour que le défunt simplement comprenne que son corps physique est mort. Cela est d’autant plus vrai lorsque l’être décède brutalement (accident), d’une manière inattendue et sans aucune préparation. Plus il est jeune et plus l’incompréhension est grande. Il en est de même pour les individus qui ne se sont pas préparés, de leur vivant, à ce passage. Une personne dont les fonctions vitales se sont dégradées progressivement sera plus préparée que quelqu’un qui décède par accident. Quelqu’un ayant réfléchi, de son vivant, au passage de la mort, sera plus à même de réaliser ce passage dans de bonnes conditions et surtout de comprendre ce qui lui arrive.

Je voudrais ici faire part d’une anecdote. Il y a quelques années, chaque fois que je passais en voiture sur la nationale entre Apt et Avignon (84), au carrefour de Notre Dame des Lumières (ce n’est pas un gag cosmique!), mon regard était accroché par un individu que je voyais au bord de la route, en train d’attendre. Lorsque je regardais plus attentivement, évidemment, je ne voyais rien puisqu’il s’agissait d’une vision spontanée générée par la clairvoyance de l’entité énergétique d’un décédé. Le phénomène se répétant chaque fois que je passais sur cette route, je compris qu’il m’était demandé d’intervenir. Je garais mon véhicule et m’approchais. Je me trouvais alors face à un homme d’une quarantaine d’années qui était désemparé. Il était bloqué là depuis plusieurs mois (en fait un peu plus de deux ans), et il ne savait pas comment quitter cet endroit. Je lui expliquais alors qu’il était décédé et les mécanismes de passage. Je lui annonçais qu’il n’était nullement nécessaire pour lui de demeurer sur place et qu’il pouvait passer ailleurs. Il compris parfaitement mes propos et m’expliqua qu’il n’avait jamais eu la moindre préoccupation au sujet de la mort, qu’il était décédé dans un accident de voiture à ce carrefour et que depuis, il attendait que quelqu’un vienne l’aider, mais que personne ne répondait (et pour cause !) à ses appels. Je sentis un profond soulagement s’installer en lui. Je lui proposais alors de l’aider à quitter ce plan. Ce qu’il accepta et je lui fit faire le passage.

Lorsque le corps physique s’arrête :

– L’ouïe ne s’interrompt pas. Le défunt entend pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours après son décès ce qui se dit autour de lui. Son esprit enregistre et comprend comme s’il n’était pas mort.

– La vision ne s’interrompt pas. Elle se modifie dans la mesure où elle se trouve totalement véhiculée par le Chakra frontal (Troisième Oeil). Elle est donc physique et clairvoyante. L’esprit voit tout ce qui se passe dans le périmètre du corps et bien au-delà.

– La sensation du toucher ne s’interrompt pas. L’esprit enregistre avec presque la même acuité et la même sensibilité la façon dont le corps est touché ou traité. Imaginez la sensation de quelqu’un qui est autopsié ou qui donne ses organes à la médecine – sensation d’être découpé vivant (on n’anesthésie pas un mort). Imaginez ce que doit ressentir celui qui est incinéré trop tôt – sensation d’être brûlé vif (il faut faire de la place ou se débarrasser d’un mort qui dérange trop les vivants !! ).

Autant dire qu’il faut témoigner une grande attention et un grand respect au défunt et au corps du défunt, dans la mesure où il ne dispose plus d’aucune autonomie et où il n’a plus aucune possibilité d’expression vis-à-vis des vivants.

Durant les quelques jours suivant le décès (quatre à sept jours selon les cas), ses sensations sont au moins équivalentes à celle d’un vivant. Dans un premier temps, elles sont exacerbées, dans la mesure où le défunt entre dans un domaine de son existence qui lui est souvent inconnu. La plupart du temps, il ne possède pas la mémoire de ses autres morts. Parfois il souffre encore physiquement. Et il n’a personne avec qui communiquer ses angoisses, son mal-être, ses incompréhensions et ses souffrances, cela s’ajoutant à la peine de se séparer de la vie et des êtres qu’il aime. Puis progressivement, le rapport sensoriel au corps s’atténue, le temps que l’esprit se « désincruste » du corps cellulaire. Au fur et à mesure de son retrait la relation symbiotique avec le corps s’atténue jusqu’à disparaitre au bout de quelques jours.

C’est durant ce temps que la qualité énergétique du rapport existant entre le corps et son environnement est essentielle. Une atmosphère de calme, d’amour, de partage et de fraternité sont indispensables à la libération du corps dans de bonnes conditions. Si tel n’est pas le cas, la souffrance du défunt peut devenir extrême.

Il conviendrait donc de sérieusement s’interroger sur la façon dont nous traitons les morts dans notre société, sur ce que nous leur faisons subir, et sur notre façon de les accompagner dans ce passage dont les mécanismes ont été totalement occultés alors qu’ils étaient parfaitement connus autrefois. Heureusement, il n’en est pas de même dans d’autres cultures où les traditions d’accompagnement sont restées en place et où la mort est prise en compte avec la même attention et la même présence (parfois la même joie) que la naissance.

Sarlat, le 14 janvier 2012, 16h28      

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« Droit de tendresse »


Wydiane possède un talent d’écriture qui s’affine au fil des ans. Sa sensibilité et sa créativité donne à son regard une évidence telle qu’il me semble important de partager sa vision avec vous.

Daniel Briez

Droit pénal, droit des affaires, droit à la liberté d’expression, droit des obligations, droit de la concurrence, droit de la consommation, droit des marques, droit de grève, droit d’auteur, droit des collectivités territoriales, droit fiscal, droit… Que ce soit au niveau du droit privé, du droit public, ou du droit mixte, chaque énoncé a sa raison d’être et la particularité d’amener un terrain de réflexion public.

Partant de là, car nous n’y posons pas assez d’attention à mon sens, peut-être pourrions-nous imaginer, que s’il existait une quatrième catégorie nommée « droit d’essence », le droit de tendresse y figurerait en première ligne. En effet, nous les humains considérons la tendresse comme chose évidente, et donc, sans droit spécifique. Cela ne veut pas dire pour autant que l’on a pas le droit de tendresse envers nous-même comme avec autrui !

DROIT DE TENDRESSE

DROIT DE TENDRESSE

Ceux qui s’exprimaient avant la naissance publique du droit à la liberté d’expression risquaient lourd, mais heureusement et « n’ayons crainte », il n’en est pas de même pour l’expression libre de notre tendresse, malgré la non-officialité de son « droit »….

Alors, pourquoi ne la libérons-nous pas, cette chère tendresse qui imprègne nos corps sans même que l’on y prête attention? Quelles barrières nous créons-nous pour la brider ainsi? Nous faudrait-il une promulgation de loi pour que cela éveille nos actions et pensées? Arrivé là, l’heure serait grave, mais s’il le faut, alors, nous qui avons l’habitude d’agir car on nous y autorise, peut-être pouvons-nous nous pencher sur cette loi de principe fondateur que représenterait le droit à la tendresse… Non pas avec des bulletins de votes et une opinion publique mouvementée, mais avec des gestes, des mots, de l’empathie, des regards, de la maturité, et bien évidemment, du cœur.

Non ! Face à ce droit, nous n’avons de compte à rendre à personne.

Non ! Nous ne gagnons et ne perdons rien.

Non ! Nous ne serons pas reconnus publiquement pour en être un représentant.

Non ! On ne peut être attaqué.

Non ! Il n’y aura ni révolution, ni roi, ni jugements…

Oui ! Enfin serons-nous peut-être plus humains.

Ce soir, une profonde tristesse m’anime, alors même que mon être déborde d’incompréhension. Et, parce que j’aime à savoir la tendresse circuler, j’écris ce mot, et propose ce droit de cœur, au cas où il serait oublié… Et si ne serait-ce qu’un instant, l’énergie de tendresse retrouvait corps entre deux mots, il en naîtrait un « merci ».

Commençons donc par voir que la tendresse n’est ni « cul-cul », ni difficile, ni inutile, ni finie. La tendresse est là où on la regarde, là où on la dit, là où on l’émane. La tendresse fait partie de nous, si cela n’est pas-même l’énergie qui nous a permit de nous incorporer Ici et Maintenant, par amour pour notre Terre, par amour pour notre expérience, par amour pour nos intégrations et créations 

Il est vrai que la tendresse n’a pas de valeur monétaire, qu’il n’y a pas de situations à tendresse potentielle, ni de tendresse intérieure brute.

En revanche, il y a des sourires dans le métro, des caresses aux êtres aimés, un échange avec un sans-abri, un sac pesant soulevé pour un papi, des annulations de paroles déjà lancées, des « on pose les armes? », des mots doux à un enfant, des « juste comme il aime », une oreille tendue, un « merci d’exister » lors d’un appel téléphonique difficile, des « je t’aime », des attentions pour ceux qui ne se souviendront peut-être jamais de nous, des « juste pour le plaisir », une main cherchant l’autre devant un film, des petits rien qui nous font rire, du coeur là où on ne le mettait pas ou plus, des clins d’oeil à observer, des « laissons tomber, non? », des regards aimants, et tout ce qu’on invente chaque jour.

La tendresse ne fait pas peur, elle nous fait juste du bon, et balaye ce qui ne la regarde pas. La magie de la tendresse, c’est que « plus y’en à, plus on aime ».

Fuir l’énergie de tendresse serait comme fuir de son corps, fuir de notre être.

N’en avons-nous pas marre de piquer ceux qu’on aime par peur d’être piqué, où parce que « c’est lui qui a commencé !!! »?

N’en avons-nous pas marre de souffrir de la non-tendresse des autres sans se demander si nous-même étions dans cette énergie?

N’en avons nous pas marre de regarder de travers la moindre personne qui ose encore aider quelqu’un ou nous demander un petit quelque chose avec le sourire (« qu’est ce qu’il me veut celui là…?)?

N’en avons nous pas marre de punir nos enfants alors qu’ils n’aspirent qu’à un minimum de tendresse de notre part?

N’en avons nous pas marre de penser « qu’en tant qu’adulte », la tendresse c’est plus pour nous…

N’en avons nous pas marre de mener la bagarre pour un oui ou pour un non, alors qu’avec une pincée de cœur, plus rien de l’histoire ne tient debout…

La non-tendresse bloque le moteur circulatoire des flux entre chacun, et cristallise les énergies en instance. Cette paralysie énergétique due à la crispation de notre essence de tendresse met nos corps, et donc tout ce qui en émane, dans l’impasse. Ensuite, on se demande « ce qu’on a bien pu faire pour que cela arrive »… Alors que l’on a simplement figé notre plus belle valeur d’échange, notre trame au partage. 

La tendresse est une des manifestation de nos codes, qui aime à être mise en vie pour nous impulser vers nous-même, et donc vers autrui.

La tendresse est un essentiel, une impulsion de cœur qui trouve résonance dans chaque particules de matière.

Elle plurielle les liens, tout en respectant leurs mouvements.

Elle est l’émanation sensible de nos parcelles d’essence.. 

Ne pas laisser circuler l’énergie de tendresse représente, à mon sens, un des plus durs égoïsmes de l’humanité, ne serait-ce que vis à vis de nos corps ignorés.

Pour prendre la mesure de la force que porte la tendresse incarnée dans notre quotidien, nous pouvons peut-être imaginer que nous serions tels des kayakistes évoluants au fil de l’eau, et que la tendresse serait notre pagaie.

Tout kayakiste ne s’imaginerait pas se lancer dans une aventure aquatique en sachant qu’il va croiser des rapides et autres obstacles, sans prendre sa pagaie avec lui. Face à un parcours mouvementé, plus la pagaie s’inscrit profondément dans l’eau, plus elle fait avancer le tout. Si on la perd, on part inexorablement à la dérive… Et si par malheur, même avec elle, on se prend un roc ou l’on se coince, c’est en redoublant de force d’appui sur elle qu’on arrive à se sortir d’impasse, même si cela peut se révéler fatiguant.

Mais que préfère le kayakiste: redoubler d’intensité d’appui sur sa pagaie quitte à s’essouffler momentanément, ou bien laisser l’eau couler tout en restant bloqué une heure, puis deux, voire toute la nuit, car l’effort l’épuise? Je doute fort que la nuit passée seul sur l’eau lui soit plus agréable que la solution lui demandant de l’effort. En effet, on n’a pas encore vu de kayakiste jeter à l’eau sa pagaie, en jugeant le courant trop mouvementé pour gérer son parcours. Si c’était le cas, il risquerait de perdre littéralement son axe de trajectoire dans les rapides, voire, de perdre la vie. 

La pagaie est à la fois outil de direction, de nuances, de vitesse, de secours, mais aussi de créativité, de jeu…de complicité avec les mouvements du canoë évoluant sur l’eau.

Nous sommes bien inscrit en matière, Ici et Maintenant, évoluant au fil de nos instants d’être. Partant de là, où comptons-nous donc aller sans l’outil essentiel que représente l’énergie de tendresse? 

Demandons-nous alors où est ce que nous posons la tendresse dans notre corps, dans nos pensées, dans nos paroles, dans nos gestes… Et surtout, où est ce que nous ne le la voyons pas.

Si le droit à la tendresse n’existe pas, c’est que peut-être, nous ne sommes pas sensés nous poser la question. Cela pourrait être comme se demander « pourquoi le droit au poivre dans la cuisine n’existe pas? ». Simplement, l’expérience montre que la tendresse, contrairement au poivre pour la cuisine, n’a apparemment, malgré ses miracles, pas encore été reconnue comme releveuse de saveur… comme éleveuse de conscience. 

À ce titre, chaque être est donc en mesure de choisir son sentier sur la richesse du terrain de la tendresse, mais avant cela, faudrait-il encore le déceler, à l’intérieur, comme l’extérieur. 

Bien plus qu’un « droit », la tendresse est une des précieuses clefs dont nous disposons au sein de ce que nous sommes, et qui à mon sens, malgré notre fâcheuse tendance à l’égarer, n’a pas fini de nous démontrer sa lumière.

Wydiane – mercredi 28 décembre, Sarlat, 00h00


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LISA GERRARD, UNE VOIX D’AUTRES MONDES


Depuis de nombreuses années, Lisa Gérrard accompagne mon écriture. Les ambiances d’autres mondes que sa voix suggère soutiennent mon inspiration. Certains morceaux me placent dans d’autres temps, sur d’autres terres.

LISA GERRARD

LISA GERRARD

Totalement engagée dans la voie de la défense de la planète, elle a été connu à travers le groupe Dead Can Dance. Elle chante aujourd’hui en solo.

Discographie:

THE SILVER TREE

WHALERIDER

DUALITY Lisa Gérrard et Peter Bourko

SPIRITCHASER Dead Can Dance

Whale Rider

Sarlat, le 9 janvier 2012, 13h30

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2012 – ANNÉE DE L’EMERAUDE


Chaque année civile est reliée à un minéral qui caractérise l’énergie dominante de l’année. Cette fréquence constitue un effet d’amplification et un point focal sur tous les évènements que vous connaitrez dans votre vie quotidienne, au niveau de votre sphère d’influence, mais aussi sur les évènements planétaires qui ne manqueront pas d’émailler le cours de cette année.

 L’Emeraude est porteuse de sa légende

Un jour, dans la Nuit des Temps, Lucifer et l’Archange Michael se défièrent dans un combat à mort. Des jours durant, aucun d’entre eux ne prit le dessus sur l’autre. Cela aurait pu longtemps durer. Mais par un coup de lance inspiré, l’Archange Michael fit sauter la magnifique Emeraude que Lucifer portait incrusté au niveau du Troisième Oeil. C’est ce qui permit à l’Archange de terrasser le Dragon.

L’Emeraude tomba dans la mer et fut oubliée.

Emeraude polie du Brésil, photo Serge Briez©

Emeraude polie du Brésil, photo Serge Briez©

Des éons plus tard, un humble pêcheur ramena l’Emeraude dans ses filets. C’est dans cette Emeraude que fut taillée la Coupe du Graal. Elle acquit sa rédemption lorsqu’elle recueillit le Sang du Christ, sur la Croix.

L’Emeraude est depuis symbole de nos ambivalences, alternance de l’Ombre et de la Lumière, de la Matière et de l’Anti-Matière, de l’agir et du lâcher prise, du blanc et du noir, mutuelles influences que nous ne savons trop souvent gérer, séduits par l’une ou par l’autre au grès de nos expériences et des situations dans lesquelles nous évoluons.

L’Emeraude est la pierre de Magie par excellence. La Magie est « l’âme-qui agit ». C’est-à-dire que la puissance de matérialisation des magiciens que nous sommes repose sur notre connexion avec notre âme, autrement dit, la mise en action de nos codes identitaires.

L’année 2012 sera donc une année d’ambivalences par lesquelles nous expérimenterons puissamment nos capacités de matérialisation avec toutes les conséquences qu’elles comporteront. Quelque soit le côté que nous choisirons (Ombre ou Lumière, ou les deux simultanément), nous vivrons des expériences intenses nous permettant de prendre conscience de ce que nous sommes. Quelques soient nos choix, ils seront porteurs de profondes implications sur notre parcours de vie. Leur puissance nous permettra de mesurer le pouvoir que nous détenons sur la Matière et surtout la responsabilité que nous détenons sur notre trajectoire de vie. Rien ne peut survenir par hasard.

Sur un plan planétaire, il en sera de même. En temps que spectateur de notre humanité, nous prendrons de plus en plus conscience de ce qui va dans le sens de l’humanité ou de ce qui la dirige vers sa destruction. Les choix institutionnels révèleront sans ambiguité de quelle façon l’humanité est respectée par les décisions de ses édiles ou non. Nous mesurerons le poids des intérêts privés face aux besoins du plus grand nombre et nous ne pourrons plus dire que nous ne savons pas.

Le Nombre 5 qui symbolise l’Emeraude est aussi en numérologie le Nombre de l’Homme, le Nombre de la Liberté et des voyages.

Nous verrons ainsi si nous sommes des hommes et des femmes libres. Nous prendrons conscience des entraves à notre liberté, liberté de penser, liberté de choisir, liberté de parole, liberté de croyance. Et nous verrons clairement ce qui nous entrave, que ce soit nos croyances personnelles, les engagements que nous pensons avoir par rapport à une société qui ne respecte pas l’Homme et entrainant notre auto-censure, ou les limites institutionnelles que nous avons accepté de cautionner durant des dizaines d’années.

Pour vous aider dans cette année, l’utilisation d’une Emeraude est fortement requise. Elle facilitera vos prises de conscience, vous permettra d’appréhender les positionnements qui sont les vôtres par rapport à tous les sujets qui vous toucheront de près ou de loin, clarifiera votre analyse et votre pensée et vous permettra de ne pas sombrer dans la dualité ambiante qui ne manquera pas de se développer dans toutes les strates de votre vie quotidienne. L’apport d’Hématite brute (réalignement des systèmes énergétiques) et de Calcite Topaze (connexion aux codes identitaires) seront d’excellents compléments.

Autant dire que l’année 2012 sera l’année des bilans et des prises de conscience. Quoi de plus normal dans un année de fin de cycle cosmique.

www.cristaux-sante.com

Sarlat, le 9 Janvier 2012, 12h23

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CRISTAUX ET QUANTIQUE


Le minéral constitue le seul support quantique que nous puissions utiliser sur Terre en tant qu’outil de compréhension de soi et de cheminement de conscience. En effet, tous les moyens qui nous sont proposés actuellement sont empreints de l’énergie de l’homme notamment de ses intentions, tous sauf le minéral.

La raison pour laquelle les produits de la Nature perdent leur dimension quantique (absence d’espace-temps linéaire – celui de la montre) est le fait que systématiquement l’homme y imprime ses croyances ou ses intentions : croyance en la guérison, croyance en l’accession à un état de conscience modifiée, intention d’équilibrage des systèmes énergétiques, etc..

Le minéral, extrait de la planète sous certaines conditions (absence d’utilisation d’explosifs, transformation dans de bonnes conditions de travail, amour du travail de la pierre), ne perd pas cette dimension. La planète Terre ne possède aucune croyance réductrice. Elle est inscrite dans l’Univers, poursuit sa route et son évolution dans les étoiles et porteuse d’une énergie hors-temps.

Dans l’infinie conscience qui est la sienne (trop peu d’entre nous prennent réellement en compte cette conscience), la planète met à notre disposition, au fur et à mesure de l’émergence de nos nouveaux champs de conscience , de nouveaux minéraux ou de nouveaux gisements qui servent de support aux fréquences de mutation que nous vivons.

 Mon propos n’est pas dans cet article d’en faire la liste exhaustive, mais de faire découvrir au lecteur quelques minéraux peu connus dans leur mode d’action quantique.

L’Hématite brute

(l’hématite polie, roulée ou sous forme de bijoux ne possède aucun des effets énoncés ci-dessous, elle doit impérativement être brute) – poids minimum 180/250 gr

Issue, grâce à sa montée au travers des cheminées volcaniques, du noyau terrestre totalement ferrique, l’Hématite brute possède la particularité de replacer le corps physique et énergétique en phase avec sa configuration d’origine à la naissance. En d’autres termes, cela signifie que le simple fait de la tenir en main induit un réalignement de toutes les structures énergétiques du corps et lui permet de retrouver son fonctionnement originel dégagée des empreintes qu’il a pu accumuler durant son parcours de vie.

Hematite brute, photo Serge Briez ©

Hematite brute, photo Serge Briez ©

La Barytine – poids minimum 200/300 gr

Pierre peu connue de la famille des Célestites, elle génère une fréquence qui connecte à la canalisation des plans de conscience supérieurs, et permet ainsi de recevoir des informations permettant de se mettre en phase avec une trajectoire de vie en conformité avec les codes identitaires. Elle possède une action quasiment miraculeuse dans sa faculté à générer des évènements en phase avec nous-même.

Oursin fossile – poids minimum 100/150 gr

Le dessin de ce fossile en forme d’étoile permet d’entrer en contact avec son étoile d’origine et de se séparer ainsi de l’énergie nostalgique d’un lieu perdu que l’on sent souvent en soi sans pouvoir en formuler l’origine. Elle connecte en prise directe avec les codes stellaires identitaires et génère des niveaux d’information difficilement accessibles par d’autres moyens.

Pierre de Lune Noire – poids minimum 150/200 gr (très conseillée sous forme de boule)

La Pierre de Lune Noire connecte à l’origine et à l’élaboration des structures de l’intuition. Son emploi permet de comprendre intuitivement le positionnement nécessaire à la véritable connexion à l’intuition et permet d’éviter les parasitages émotionnels polluant fréquemment ce mécanisme. Précieuse pour développer ses facultés de clairvoyance. Une remarque : plus la boule est de gros diamètre, plus elle est puissante.

Le Quartz multidimensionnel – poids minimum 100 gr

Ce Quartz Fenêtre possède la particularité de « choisir » son propriétaire. Ses multiples plans de cristallisation sont autant de portes d’entrée aux différentes dimensions de l’être. Ces plans entre en résonance avec le propriétaire du Cristal et permettent la libre accession aux multiples dimensions.

Le Sirius – poids minimum 200 gr

Onde de forme taillée dans dans un Cristal de Quartz ou d’Améthyste, le Sirius (grâce à sa structure construite sur le 12) permet la réintégration et la construction vibratoire de l’ADN en douze brins. Cette configuration énergétique sert de socle structurel pour la passage au corps de Lumière et l’accession à l’énergie de l’Ascension.

Le grand intérêt du minéral est qu’il met à notre disposition une fréquence constante qui se l’altère pas à l’usage s’il est correctement entretenu et qu’il réinitialise dans le corps cellulaire les dispositifs de connexion quantique et vibratoire qui y sont depuis l’origine.

ATTENTION NEANMOINS A L’ORIGINE DE VOS APPROVISIONNEMENTS.

Les conditions requises pour obtenir les résultats énoncés ci-dessus (comme définies dans le troisième paragraphe) sont rédhibitoires.

Daniel BRIEZ

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MUTATIONS


En cette année de puissantes mutations, il me semble urgent de comprendre les principes sur lesquels reposent la mutation des énergies de vie. Cet article est un premier pas dans la transformation de cette perception.

Fréquemment, la tendance, et il en est trop souvent fait mention dans certains ouvrages, lorsque nous nous trouvons face à une énergie à muter, est de « remettre » cette énergie au Ciel ou à la Terre pensant que nous pouvons nous dégager de cette charge énergétique par ce moyen. Il existe même des pratiques qui consistent à mettre les mains au sol ou à toucher un arbre pour cela. Imaginez ce que vous ressentiriez si votre voisin venait essuyer ses mains sales sur vos vêtements propres.

Il existe une grande perversité dans ce mécanisme. Il est important de comprendre qu’en tout premier lieu, cette « masse énergétique » (car il s’agit d’une véritable matière) vient se rajouter à celles de même fréquence et nourrir des égrégores, qui eux-mêmes alimentent des forme-pensées présentes au niveau de l’Humanité. Ces égrégores s’auto-alimentent et ont tendance à tourner en boucle. Comme nous conservons des scories de ces fréquences, même si nous pensons nous en être dégagées (nous en sommes bien les émetteurs), elles ont tendance à revenir se coller à nous et possèdent le pouvoir de nous ramener dans leurs énergies. Nous retombons alors dans le niveau antérieur à ce que nous pensons avoir été un dégagement.

Cette charge contribue à « plomber » la Terre et l’Humanité et n’est profitable pour personne, et surtout pas à nous, puisqu’elle est porteuse d’un effet boomerang surmultiplié par la puissance de tous les dégagements de même nature qui ont été fait par des milliers, voire des millions d’individus sur notre planète. Ceci est la première conséquence de ce positionnement.

Dans le même temps, les plans qui nous entourent deviennent de véritables poubelles. Imaginez une chape de crasse et d’énergies non intégrées présentes à quelques mètres au-dessus de nos têtes et juste sous nos pieds. Car, ne nous y trompons pas, compte tenu de la densité de ces charges, elles ne vont pas loin et restent à quelques mètres de notre corps physique. Rapidement, si nous renouvelons fréquemment ce type de pratique, notre environnement énergétique immédiat devient un véritable cloaque et il devient impossible de nous élever vers des plans vibratoires plus conscients, ni de bénéficier de l’énergie vivifiante que peut nous transmettre notre planète.

La deuxième conséquence (c’est probablement la plus dommageable pour notre évolution) est que nous déchargeons de la possibilité de muter nous-même cette énergie. Nous ne profitons pas de la conscience générée par cette expérience. En d’autres termes, nous n’apprenons rien, et cela nous amène à répéter sans cesse les mêmes situations inconfortables, les mêmes difficultés comportementales, les mêmes croyances. En résumé, nous tournons en boucle.

Nous sommes des organes de mutation. Notre corps est la plus vivante démonstration de notre capacité à muter.

Pensez aux milliards d’éléments que notre corps mute simplement pour assimiler notre alimentation et les centaines de pollution que nous recevons chaque jour.

la mutation des énergies de vie, photo Serge Briez ©

la mutation des énergies de vie, photo Serge Briez ©

Si nous souhaitons véritablement évoluer, il convient donc d’adopter un autre positionnement. Notre ventre, et notamment sur le plan énergétique ce que nous appelons Chakra Sacré, possède une faculté matricielle de transformation et de mutation des énergies. Nous pouvons donc tout ramener en nous, au niveau de notre ventre et laisser notre corps et surtout l’ensemble de notre système énergétique muter ce qui doit l’être. Ce positionnement présente de nombreux avantages :

1) Nous ne mutons que la fraction mutable de l’énergie que nous avons à dégager. Lorsqu’elle se transforme, cette fraction énergétique change de nature, devient assimilable et génère ce que nous appelons une « prise de conscience » (à lire dans le sens littéral du terme : prendre une fraction de conscience). Elle concourre à notre évolution et crée ainsi de nouveaux matériaux qui participent à notre développement.

2) La fraction non mutable demeure en nous et poursuit son processus de mise en conscience. Cette fraction ne se dégagera que lorsque le processus d’intégration aura abouti. Le grand intérêt de ce mécanisme réside dans le fait que nous ne nous défaussons pas de notre énergie tant qu’elle nous est utile. Nous ne sommes donc pas contraints de reproduire des énergies de tension à répétition, conséquence du fait que nous nous sommes dégagés sans intégrer ce que nous avions à intégrer.

3) Nous développons une véritable « écologie énergétique », agissant en conscience et en responsabilité de ce que nous émettons. Nous participons ainsi à l’équilibre planétaire.

Cet article me permet donc de lancer un appel à tous ceux qui demandent aux « Etres de Lumière », à leurs guides, aux Anges, à la Terre de prendre en charge leurs difficultés. S’il vous plait, arrêtez. Le temps est venu de se prendre en charge et d’intégrer les énergies que nous créons. Arrêtez de croire que vous pouvez ne pas muter ce que vous expérimentez. Arrêtez de croire que vous n’en avez pas les capacités. Prenez conscience de votre puissance. Prenez conscience de votre pouvoir de mutation et participez à l’élévation de notre humanité.

Merci à vous tous.

Sarlat, le 3 Janvier 2011, 11h54 

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GEO-BIOLOGIE, EQUILIBRAGE DE L’HABITAT ET MINERAUX


Le travail d’équilibrage de l’habitat par le minéral est une activité qui s’est révélé le prolongement naturel du travail de conseil que nous pouvions donner sur les salons de bien-être où nous présentions les pierres de Lithothérapie. Sur ces salons, nous nous sommes rapidement trouvés face à certaines questions, sur le plan de la santé, touchant à des pathologies lourdes.

Ayant développé une grande sensibilité au fil de ces années, il est devenu évident pour moi que certaines pathologies ne trouvaient pas leur source dans le parcours de vie des personnes, mais résidaient dans une pollution majeure de leur habitat sur le plan énergétique.

C’est à Angers, en 2007, que je rencontrais le premier cas que j’eus à traiter dans ce domaine. Une femme d’une quarantaine d’années me rencontra sur un salon et me fit la demande suivante : « On vient de me diagnostiquer une polyarthrite rumathoïde. Le médecin m’a prescrit des injections quotidiennes en me disant que ma maladie est incurable. Je ne suis pas d’accord. Avez-vous une pierre qui soigne cela? »

Mes clients et lecteurs connaissent ma prudence pour tout ce qui touche au domaine de la santé. Les pierres-miracle n’existent pas. Je lui répondis alors : « Il est clair qu’il n’y a aucune pierre qui peut soigner une affection aussi sérieuse. Il faut être très prudent dans ce domaine. Néanmoins, je sens que votre problème dépasse largement le cadre pathologique. Je suis encore là quelques jours. Voulez-vous m’apporter des plans de votre maison. Je pense que la cause de vos difficultés se trouve à ce niveau. »

Je sentais sa fréquence cellulaire polluée gravement par la fréquence d’eaux stagnantes, mais avant de lui confirmer mon hypothèse, je voulais vérifier ces informations.

Le lendemain, elle revint sur le salon avec son époux et m’apporta les plans de sa maison ainsi qu’un relevé cadastral qui permettait de tester les terrains alentours. Sur plan, à ma grande surprise, je ne trouvais pas de pollution par les eaux stagnantes, mais seulement un petit cours d’eau passant dans la chambre et le salon. Rien qui ne permettait de comprendre une si importante dégradation de sa santé. Je fis état de ce résultat à ce couple. Dans la conversation, quelques instants plus tard, le monsieur m’informa qu’avant de faire construire la maison dans laquelle le couple habitait (depuis vingt ans), ils avaient logé dans une vieille maison qui comportait un puits comblé dans la cave (comme c’est souvent le cas dans les maisons de plus de 100 ans) et que leur lit était juste à l’aplomb du lit.

J’avais mon explication. Un puits comblé constitue une des plus graves pollution par eaux stagnantes qui soit. Le plan cellulaire de cette dame avait mémorisé une pollution majeure 22 ans auparavant. Son terrain de santé avait été affaibli durant les vingt années suivantes par la fréquence des eaux courantes qui passait sous son lit. Il n’en fallait pas plus pour qu’elle ait développée cette pathologie.

Je recommandais donc une neutralisation de la pollution par le cours d’eau présent sous la maison au moyen d’Apatites vertes brutes. Je lui proposais de dormir avec un bloc poli d’Apatite verte d’un peu plus d’un kg. Quelques mois plus tard, elle m’informait qu’elle allait mieux et qu’elle avait interrompu ses injections.

Apatite Verte brute, www.cristaux-sante.com

Apatite Verte brute, http://www.cristaux-sante.com

Ce fut le point de départ d’une intense réflexion sur la qualité de l’habitat et des moyens à mettre en oeuvre pour neutraliser ces pollutions majeures.

Dans les années qui suivirent, je constatais (en vrac):

– que près de 90% de l’habitat construit après-guerre portait des pollutions majeures, et notamment des pollutions par eaux stagnantes,

– que des géo-biologues ayant équilibré certaines maisons étaient, bien trop souvent, complètement passés à côté de ce type de pollution par l’eau (à croire qu’ils n’avaient pas été formés pour identifier ce type de pollution). Il n’existe pas de pollutions plus dommageables pour la santé que les eaux courantes et les eaux stagnantes,

– que les systèmes de neutralisation proposés sur le marché à base de céramiques informées étaient beaucoup trop souvent inefficaces, voire posées aux mauvais endroits,

– que la pollution par les eaux stagnantes masquaient souvent (comme un brouillard) d’autres pollutions majeures,

– que les minéraux constituaient d’excellents supports de neutralisation donnant d’excellents résultats, stables et d’une grande longévité,

– qu’il était essentiel qu’il y ait le moins d’influences humaines possibles dans l’équilibrage d’une maison (le minéral réponds à ce besoin)

– que les pathologies développées par les pollutions de l’habitat étaient extrêmement invalidantes et causaient d’immenses souffrances à de multiples niveaux.

Je ne puis donc que recommander à mes lecteurs de se préoccuper de la qualité énergétique de leur habitat. Nous allons mettre en place, par le biais de mon site cristaux-sante.com onglet géo-biologie , une formule de « diagnostic géobilogique » par correspondance à un coût modique (50€) permettant à chacun d’avoir un diagnostic précis sur l’état énergétique de son habitat. Bien évidemment, nous sommes à votre disposition sur tous les stands « Cristaux et Santé » sur les salons de bien-être pour vous informer.

Au moment où bon nombre d’entre nous se préoccupent d’élever leur niveau de conscience et d’accéder à de nouveaux champs de perception, l’altération du niveau vibratoire et énergétique de l’habitat constitue une des principales causes de stagnation du processus évolutoire. On ne peut à la fois s’élever par un chemin de conscience et se faire « plomber » par sa maison chaque fois que l’on rentre chez soi. Il est essentiel de poser une certaine cohérence dans nos démarches.

Merci du temps que vous avez consacré à cette lecture.

Sarlat, le 2 janvier 2012, 10h30   

 

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LE COMMENCEMENT DE LA FIN ET DU DÉBUT


Depuis des années, je consacre ma journée du 1er janvier de chaque année à moi-même et surtout à un retour sur ce que j’ai accompli dans l’année et ce que choisit de faire dans l’année qui débute. La seule année où j’ai dérogé à cela était le 1er Janvier 2004, où j’ai senti une impulsion irrésistible me demandant d’aller passer le réveillon à La Turbale (44). C’est ainsi qu’à minuit, le 31 décembre 2003, j’ai uni ma vie avec Guylène. Ce texte est le reflet de certaines réflexions d’aujourd’hui.

Il est un mot que nous utilisons universellement et que nous prononçons sans conscience : REVEILLON. Peut-être pourrons-nous le prendre dans le sens littéral du terme : Réveillons-nous ? ou Réveillons-nous !!

Pour moi, nous avons passé l’année 2011 à nous réveiller. Trop souvent on dit que rien ne va, oubliant de regarder tout ce qui va. Ce qui va en semblant aller mal est bien évidemment toutes les transformations sociétales :

– instauration des « démocraties » au Moyen Orient (même si les Frères Musulmans ne semblent pas vraiment être démocrates, ils ont été élus par la majorité des électeurs de leur pays donc le reflet de leur société),

– grippage du système bancaire et financier mondial (prémices démontrant que ce système injuste vit ses derniers années),

– incertitudes politiques en France (quand nous déciderons-nous à avoir des gens responsables pour nous gouverner?).

Autant de facteurs et d’évènements qui démontrent que notre société arrive au bout d’un système de pensée, au bout de sa logique économique, au bout de la vision que nous avions d’un parcours de vie aux normes (études, mariage, carrière professionnelle, enfants puis retraite…).

Dans le même temps, vous êtes de plus en plus nombreux (vos témoignages le montrent) à vivre le même processus dans votre vie quotidienne : remise en cause de votre position dans la famille, le travail ou la société, questionnements sur le sens des choses et de la vie, questionnements sur le but de vie, remise en cause des modes de raisonnement ou de pensée, désaffection pour les religions, les écoles de pensée, les écoles ésotériques ou initiatiques…

L’observation de ces mouvements peut sembler préfigurer une trajectoire nous menant vers le chaos, l’écroulement d’un monde. Et cela est vrai, quelque part.

Le chaos des habitudes, le chaos du non-respect de soi, le chaos du mode de pensée unique, le chaos des soit-disants acquis qui ne le sont que dans nos systèmes de croyance. En d’autres termes, la façon de vivre et de penser en vigueur pour nous-mêmes et nos parents depuis 50 ans est en train de disparaitre.

Que reste-t’il alors ?

Quel monde allons-nous créer ?

Et quel monde vont construire nos enfants ?

Car ne nous y trompons pas, ce n’est pas nous qui détenons les solutions. Notre mode de pensée est sclérosé et manque d’idées novatrices. Notre énergie s’est usée à tenter de développer des solutions qui ne nous correspondent pas car personne ne nous avait appris à nous écouter nous-mêmes et à aller chercher en nous les réponses. Alors même si nous le faisons maintenant par la force des choses, il est clair que nous n’avons plus le même « jus » qu’il y a quelques années. Ce sont les générations à venir qui trouveront les solutions aussi bien au niveau de la science, des industries que des modes de pensée.

Alors comment aborder cette mutation ?

L’ouverture à de nouveaux champs de perception est la seule solution dont nous disposons. Il est certain que nous ne regardons pas au bon endroit avec les bonnes lunettes. Notre vision rationnaliste, et je qualifierai de rationnaliste également notre façon d’appréhender et de regarder les systèmes énergétiques qui est bien trop conforme à certains modes de pensée, nous masque la réalité d’un monde que nous avons toujours eu sous les yeux mais que nous n’avons jamais réellement regarder.

Alors, il est fort probable que l’année 2012, dans l’énergie d’alignement qu’elle apportera le 21 Décembre, verra une remise en cause et en questions de toutes les certitudes sur lesquelles nous avions construit notre vie. Nous pouvons le faire dans la douceur si nous acceptons toutes les remises en cause qui se présenteront à nous, ou dans la douleur si nous résistons au fait de ne pas avoir raison (la périphrase « avoir raison » étant pris dans son sens littéral : être dans le socialement raisonnable).

Alors je tiens à profiter de cette première lettre à mes lecteurs pour remercier chacun du soutien que j’ai pu recevoir depuis que j’ai ouvert ce blog en janvier. Au départ, pour moi, la création de ce blog était plus la réponse à un besoin personnel de libération de la communication d’un auteur qui se sentait frustré de ne rien pouvoir communiquer de son travail que tous les deux ou trois ans, à la sortie d’un nouveau livre. Très rapidement la croissance du lectorat et les commentaires que vous avez manifesté, m’ont témoigné du fait d’une certaine résonance de mes réflexions. J’avoue m’être pris au jeu et trouver aujourd’hui beaucoup de plaisir à diffuser la vision, qui parfois vous surprend ou vous choque, que mon oeil d’observateur pose sur le monde, notre société et les énergies en mouvement. Je prends l’engagement de poursuivre cette voie avec la même sincérité et la même éthique que celle qui me porte aujourd’hui.

Un immense merci donc à chacun. Le temps que vous consacrez à lire ces textes leur permettent d’exister.

Et surtout, les plus belles réussites et transformations pour cette belle année de mutation 2012.

Sarlat, le 1er Janvier 2012, 19h55   

le Sinaï juin 2011, photo SergeBriez©

le Sinaï juin 2011, photo SergeBriez©

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QU’EST-CE QUE L’EGO ?


A l’origine, l’ego est un outil indispensable à la reconnaissance de soi-même. Sans lui, vous ne pouvez prendre conscience que vous existez en tant qu’individu individualisé, unique et essentiel (essentiel pris dans son sens étymologique de : émanant de l’Essence). A l’Origine, nous faisons partie d’un vaste ensemble qui regroupe le/les univers, et au-delà, dans lequel évolue la Conscience composée de tout ce qui existe. Inclus dans ce Tout, vous avez choisi de vous incarner dans un corps humanoïde, dans un Espace et un Temps définis, en l’occurrence celui où vous êtes actuellement, afin de réaliser une expérience plus particulière de la Conscience que vous avez défini à travers différents paramètres que vous avez choisi consciemment avant votre incarnation (sexe, race, caractéristiques physiques, sociales, ethniques, historiques, principales prédispositions physiques, mentales et émotionnelles). Vous étant incorporé dans le corps dans lequel vous êtes actuellement, il vous a fallu, pour simplement prendre conscience que vous existiez séparément du Tout, vous regarder, vous tourner vers vous-même et pour ce faire établir une représentation de vous-même, un peu comme si vous vous regardiez dans un miroir. « Celui » qui a établi la représentation de vous-même et qui a dit « je suis cela » est l’ego.

La confusion de l’ego

Le problème dans ce mécanisme de représentation de l’ego est que l’ego est aussi celui qui met en œuvre les évènements concrètement : on peut dire « celui qui agit ». De là à penser que celui qui dit « je suis cela » et qui agit, soit celui qui est aux commandes de votre vie, donc VOUS, il n’y a qu’un tout petit pas à franchir, pas qu’ont franchit tous les systèmes éducatifs et religieux et bien des systèmes philosophiques, rajoutant à la confusion générale et vous amenant à penser que VOUS êtes l’ego.

IL N’EN EST RIEN ;

L’EGO ET VOUS SONT DEUX ENTITES DIFFERENTES ;

L’une (VOUS) est porteuse de la Conscience, en reliance étroite avec le Tout, et porteuse de toutes les codifications vous permettant d’accomplir le programme que vous avez établi avant votre incarnation. L’autre (l’ego) n’est qu’une représentation de vous-même vous permettant de vous regarder, donc de prendre conscience que vous existez et vous permettant de vous regarder exister, agissant pour VOTRE compte, mais en aucun cas le pilote du véhicule.

TOUTES LES INSATISFACTIONS QUE VOUS RESSENTEZ EN VOUS SONT LE FRUIT DE CETTE CONFUSION.

Toutes les difficultés que vous rencontrez dans la vie trouvent tout ou partiellement leur origine dans cette confusion. Le simple fait de remettre l’ego à sa juste place vous permet de dissoudre une grande partie des difficultés que vous connaissez, notamment sur le plan émotionnel.

EGO, photo Serge Briez ©

EGO, photo Serge Briez ©

Sarlat, le 28 Décembre 2011, 19h47 

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N’ATTENDEZ PLUS ! AGISSEZ !


Céline, qui suit mes stages depuis 18 mois m’a rendu visite hier à Sarlat. La conversation que nous avons eu ensemble m’a inspiré ce texte.

Lorsque nous travaillons sur nous-mêmes et que, progressivement nous mettons à jour les mille et une croyances qui nous empêche d’être ce que nous sommes, il arrive un temps où nous devenons capables de définir précisément ce que nous portons en nous et les axes que nous avons à développer. Ces informations nous amènent alors à la conviction que nous devons profondément modifier nos structures de vie et nos options.

Nous sommes alors au seuil à ce que je qualifierai de « l’orée du chemin ». Le « chemin » est celui que nous avons défini au moment de notre incarnation. Avant de nous incarner dans le corps qui est le nôtre, nous avons choisi les principaux paramètres de notre expérience de vie, à savoir, le sexe, le physique, la race, l’époque où nous nous incarnons, les grandes lignes de nos résistances physiques et psychologiques qui nous aideront à comprendre la nature particulière de l’expérience de conscience qui sera la nôtre, en d’autres termes, ce que l’on appelle la réalisation.

Trop souvent, nous avons totalement perdu de vue cet axe, embrouillés que nous sommes dans une expérience matérialiste alimentée puissamment par notre société, par l’éducation que nous avons reçu, et les multiples niveaux des systèmes de croyance que nous avons fait nôtres, ou que nous a inculqué notre société ou notre environnement familial. Finalement, à un moment donné, nous prenons conscience de l’ensemble de ces parasitages et nous rencontrons enfin ce que nous sommes, avec l’absolue conviction du « connaissant » qui sait enfin ce qu’il a à faire.

C’est alors, que pour une raison qui ne s’avère jamais réellement définie, mais qui est sûrement de l’ordre de la peur de l’inconnu, de la peur de son propre pouvoir, ou de la crainte de remettre en question un quotidien qui ne nous nourrit pas vraiment mais qui est finalement assez confortable, nous nous mettons dans une position d’attente, attendant un « signe » (!!!) de la vie ou une impulsion venant d’on ne sait où !

On peut attendre longtemps cette impulsion ou cette « bonne » raison de se mettre enfin en mouvement. En fait, on peut l’attendre tout le reste de sa vie.

Ne pensez-vous pas qu’il est temps de vous mettre en mouvement si vous ressentez cela. Ne pensez-vous que l’état de la planète nécessite, d’une certaine urgence, que chaque être humain de cette terre, chaque être humain accédant à la conscience, chaque être humain en mesure d’améliorer la nature de son environnement dans sa sphère personnelle, fasse ce qu’il a affaire.

Et surtout, comment ressentirez-vous le fait de ne pas avoir agit, si pour une raison ou une autre, vous quittez votre corps physique et passez de l’autre côté. Il sera temps à ce moment-là d’établir le bilan de ce que vous saviez devoir faire et que vous n’avez pas eu le temps de faire. Malheureusement, il sera trop tard !!!

roseaux, photo Serge Briez ©

photo Serge Briez ©

Sarlat le 22 décembre 2011, 19h03

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REGARDER L’AUTRE


Il est parfois des blessures que nous infligeons à l’Autre sans même nous en apercevoir. Trop souvent, nous sommes centrés sur notre vécu intérieur, sur les sensations que nous pouvons percevoir en nous, notamment lorsque nous sommes dans une phase de compréhension de nous-mêmes qui entraîne une profonde mutation en nous et la mobilisation de notre attention.

Ainsi existe-t’il en nous des évidences qui ne peuvent pas être perçues par l’Autre, voire même qui peuvent être perçues à l’opposé de ce que nous pensons et ressentons.

Vous aimez celui ou celle qui est à vos côtés. Cela est indéniable, car si tel n’était pas le cas, vous ne pourriez supporter son énergie et sa présence à longueur de mois ou d’années. L’amour que vous lui portez fait partie de votre évidence, mais en est-il de même pour l’Autre?

Cela n’est pas certain. Chacun porte en soi une part de blessures, de déceptions et son lot de trahisons vécues. Il n’est rien de plus facile pour ces cicatrices de se réouvrir par un mot, une attitude, un geste qui ne sont que le reflet d’un instant de réflexion de votre part, mais qui peuvent prendre un tout autre sens pour l’Autre, s’ils viennent réactiver de vieilles souffrances.

Ainsi, parfois, il arrive que vous soyez dans une souffrance inconsciente qui vous ne descellez même pas. Elle est partie intégrante de votre inconscient mais imprime néanmoins, jour après jour, votre quotidien. Il suffit d’un tout petit évènement, d’un simple mot pour que votre inconscient s’empare de cette énergie, et réactive cette souffrance qui avait été le plus souvent oubliée, mais qui n’en altère pas moins votre plénitude. Alors vous vous retrouvez sur la défensive. Vous vous retirez dans votre « tour d’ivoire ». Inconsciemment, vous amalgamez la fréquence de l’Autre à cette vieille blessure, comme s’il en était la cause, alors qu’il ne fait pas partie de cette histoire. Et surtout, et c’est ce qui est le plus dommageable, vous ne vous rendez pas compte que vous avez fait un amalgame. Vous commencez à vous éloignez de plus en plus, posant vos centres d’intérêt dans d’autres directions. L’Autre le sent, vous sollicite tout d’abord en douceur puis d’une manière de plus en plus pressante et vous vous retrouvez tous les deux en situation de crise relationnelle alors qu’aucun événement n’est venu provoquer cette tension. Il est même possible alors qu’un événement sans importance serve de focalisation à cette tension et prenne des proportions qu’il n’aurait jamais dû prendre.

L’Autre reçoit votre énergie de plein fouet et ne comprends pas. Il ne peut comprendre puisqu’il s’agit d’un autre temps, d’une autre histoire qu’il ne connait probablement pas et qui peut, parfois, ne pas appartenir à cette vie. Elle provient d’un plan parallèle ou d’une « vie antérieure », autant dire qu’elle vient d’un autre monde.

Selon son niveau de conscience, selon sa propre histoire, l’Autre se sent profondément blessé, rejeté. Parfois même, il culpabilise, pensant avoir dit ou fait quelque chose qui vous a blessé. En fait, il ne sait pas ce qui se passe. Cela est d’autant plus pernicieux que vous non plus, vous ne savez pas pourquoi vous vous sentez comme cela. Vous sentez néanmoins que vous vous éloignez de l’Autre, insensiblement, inexorablement. L’écart se creuse. Si vous n’y prêtez pas attention, et n’entamez pas un dialogue approfondi, cet écart peut devenir définitif.

C’est ainsi que la magie de la vie à deux disparait et entre dans une routine morbide dans laquelle les mots d’amour deviennent vides de sens. Elle ne porte plus l’énergie de la rencontre. Alors vous vous dites: « Ce n’est pas grave. C’est dans l’ordre des choses. La magie des premiers temps s’efface et la vie reprend ses droits » (sous-entendu: il est normal que les sentiments s’usent et que nous ne partagions plus les choses comme au commencement).

Je viens moi-même de faire cette expérience avec un des êtres que je chéris le plus au monde. Je pensais bien connaitre ma psyché, avoir fait le tour de mes fonctionnements, connaitre mes équilibres et mes déséquilibres, en d’autres termes, être conscient de ma géographie intérieure. Je me suis pourtant retrouvé à émettre une certaine forme d’indifférence, une distance vis-à-vis de mes proches, sans même m’en rendre compte. Parce qu’une toute petite chose, un élément insignifiant en regard de toutes les informations que je reçois et traite au quotidien est venu éveiller dans mon inconscient une vieille blessure que je ne savais même pas être encore présente en moi, je suis rentré dans ma « bulle ». Je me suis enfermé en moi sans même m’en rendre compte.

En faisant cela, je n’ai même pas vu la distance que je mettais avec l’Autre, distance que je reconnais maintenant, après réflexion, comme étant la cause et le ferment de la rupture avec d’autres compagnes que j’aimais profondément et que j’aime toujours. Je me trouvais à des années-lumière d’imaginer que je pouvais être la cause de cet éloignement. Lorsque je regardais ma vie, je pensais simplement que chacun avait pris de voies différentes. Heureusement que dans le cas présent, l’amour et le partage nous ont permis de mettre ce piège en lumière.

Alors, si ces quelques mots et ce témoignage peuvent servir à quelques uns d’entre vous, regardez l’Autre. Faites l’effort de vous sortir de votre regard quotidien, celui qui s’est usé aux aspérités d’un cheminement que vous ne comprenez pas forcément mais qui érode lentement l’élan qui nous pousse dans les bras de l’Autre.

Prenez conscience que trop souvent (et je me parle à moi-même dans ces lignes), vous êtes enfermé dans votre espace intérieur et que vous ne laissez pas l’Autre y pénétrer, souvent d’ailleurs (c’est ce que vous pensez) par amour pour l’Autre. Soit-disant, vous ne voulez pas le (ou la) charger de vos soucis ou de vos questionnements, alors qu’il ne s’agit, encore une fois, que d’une stratégie destinée à vous protéger.

Réfléchissez ! Dans tous les cas, ne cherchez-vous pas à préserver un territoire intérieur, un espace personnel que vous ne savez pas défendre autrement, tout simplement parce que vous n’avez pas encore fait la paix avec tous les fragments de votre histoire !

Photo Serge Briez©

Photo Serge Briez©

Regardez comment vous pouvez vous isoler par le jeu de vos pensées. Regardez comment l’inconscient peut vous faire sortir de votre corps et de vos sensations quotidiennes et vous concentrer dans votre tête, vous coupant de votre vécu quotidien. Vous devenez un véritable « zombi » sans même vous en rendre compte.

Alors regardez l’Autre comme au premier jour et découvrez-le (ou la) dans la Lumière du Temps et dans la magie de l’être retrouvé.

 Je vous souhaite un beau Noël et merci de votre écoute.

Sarlat, le 25 décembre 2011, 11h27

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PRESENT, PROJETS FUTURS ET PROJECTIONS


Cher lecteur, désolé du manque d’articles, ces dernières semaines. Une longue tournée de salons et de conférences à l’extérieur qui m’a par ailleurs permis de rencontrer nombre d’entre vous, m’a maintenu à l’écart de mon clavier. Voici de nouvelles réflexions, qui, je l’espère, contribueront à votre réflexion. Merci pour vos témoignages et votre soutien.

« L’incapacité à rester dans le présent altère les projets et détruit le présent. » Réflexion issue d’une conversation avec mon épouse Guylène à l’origine de cet article.

 Il est souvent fait référence à l’instant présent dans l’ouverture à la nouvelle ère qui s’annonce. Une des questions qui se pose alors est la compatibilité entre le fait d’être présent dans l’instant, et le fait de faire des projets puis de les élaborer.

Lorsqu’un humain n’est pas totalement stabilisé dans l’instant présent, il vit ce que nous pouvons appeler un état de « conscience ordinaire ». Le mot « ordinaire » n’est pas pris dans un sens péjoratif. Il qualifie simplement le fait que l’immense majorité de la race humaine et particulièrement les peuples issus de tradition occidentale ne vivent pas l’instant présent, et sont continuellement dans des alternances de référencement aux expériences passées, ou en train de projeter leurs visions dans le futur, allers-retours incessants ne leur permettant pas de voir la réalité de l’instant présent.

Pour comprendre le mécanisme permettant de rendre compatible l’élaboration de projets futurs avec la vie dans l’instant, il convient de se rappeler certains points fondamentaux de la physique quantique nous permettant de comprendre le fonctionnement du temps et de l’espace. Einstein, et les physiciens quantiques après lui, ont démontré que la notion d’espace-temps, et notamment d’un temps linéaire s’écoulant comme l’indique un chronomètre, est une convention mentale et sociale qui permet à l’humain de se situer dans le temps et l’espace. Cette notion ne repose sur aucune réalité physique.

Le temps définit un espace de perception. Il est discontinu.

 Il s’agit de séquences discontinues, séparées des précédentes et suivantes de quelques micro-secondes, qui constituent des temps intersticiels par lesquels transitent toutes les informations concernant la totalité de nos champs d’expériences simultanés (passés, présents ou futurs). Les temps intersticiels sont connectés à la totalité des possibles et des vies simultanées (qui sont d’ailleurs innombrables chez les humanoïdes que nous sommes).

Le seul espace de connexion et de prise de conscience de cette multitude d’informations est l’instant présent.

 C’est le seul. Il n’en existe pas d’autres et nous n’avons aucune possibilité de nous connecter à nous-même autrement que par cette connexion de notre corps physique avec l’instant présent.

Lorsque nous sommes dans notre réalité présente, Ici et Maintenant, sans aucune incursion dans un passé qui n’existe que dans notre mental et un futur qui ne peut qu’être hypothétique puisqu’il n’existe que dans notre tête, nous sommes connectés à la totalité de nos plans d’existence. Cela signifie que, sur un plan inconscient, notre corps collationne toutes les informations nous concernant, dans tous nos champs de réalité simultanés, sans que notre mental puisse avoir conscience des transferts qui s’opèrent. Cela est parfaitement adapté à ce que nous sommes, car le mental limiterait au un milliardième la masse d’informations reçues en quelques secondes s’il devait les visualiser et en prendre acte. 

Ces informations s’enregistrent dans le corps et leur masse constitue le terreau sur lequel nait nos projets. 

De ce point de départ, nous pouvons projeter l’image mentale d’un projet. Nous visualisons un projet que nous portons en nous, qui s’avère la convergence des informations contenues dans le « terreau » que nous portons, lui-même issu de ce que nous sommes, des codes qui nous composent et de toutes les informations que nous recevons des temps et des espaces dans lesquels nous sommes simultanément.

Nous le projetons dans un futur plus au moins lointain et nous le laissons libre de vivre son évolution. N’oublions pas qu’il s’agit d’un temps qui existe déjà simultanément à notre propre perception de l’instant présent et qu’il possède une autonomie en lien avec tous nos plans simultanés. Il est à la fois « nous » et il n’est pas « nous » dans l’instant présent puisqu’il s’agit d’un autre temps.

Nous pouvons y retourner régulièrement pour observer son évolution. Nous avons peut-être le sentiment qu’il s’agit d’une évolution élaborée par notre mental. En fait, il n’en est rien. Ce plan est simplement en reliance avec nous comme tous nos autres plans simultanés et il vit son évolution comme nous vivons la nôtre dans l’instant présent.

A un moment donné, les deux plans peuvent se rejoindre, c’est ainsi que le projet aboutit et s’inscrit dans l’instant présent. Le projet est alors arrivé à matérialisation.

L’autre façon de se positionner est la conscience ordinaire. Nous sentons une envie naitre en nous. Notre mental saisit cette idée et en élabore une forme mentale issue de son analyse et surtout du référencement à ses expériences antérieures. Cela signifie que le mental ne cesse de faire des allers-retour entre un passé qui n’est que le fruit de sa propre élaboration mentale (car qui se souvient? C’est le mental qui retient certaines éléments du « passé » et en rejette d’autres qui ne lui conviennent pas) et le futur qui devient un amalgame de matériaux que le mental met en forme, à force de volonté et surtout en maintenant une perception constante sur le futur.

Dans ce cas de figure, il n’existe aucune présence posée dans l’instant présent. Cela signifie que l’être est à la fois coupé des matériaux générés par l’instant présent, et notamment de l’énergie vitale que l’instant génère, mais aussi de toutes les sources d’informations simultanées existant dans tous les plans, tous les temps et les espaces dans lesquels nous sommes simultanément. Cette projection mentale, par sa force de projection, court-circuite les espaces interstitiels dans lesquels circulent les données et créé une sorte de ligne de force uniquement nourrie par la force du mental et de la volonté.

Autant dire que le projet devient une sorte de coque vide, dépourvue d’énergie vitale, qui, si elle nait un jour, ne sera porteuse que d’illusions créées par notre mental, sans reliance avec la réalité de ce que nous sommes et dépourvues de nos propres énergies.

La fiabilité de cette construction sera donc extrêmement limitée et par définition, vouée à la destruction car ne comportant que peu, voire pas, de reliance avec ce que nous sommes.

Le mode opératoire est donc le suivant :

– laisser naitre une idée de notre être (sa naissance est émise par ce que nous appelons l’intuition)

– la laisser grandir sans que le mental s’empare d’elle (il suffit simplement de l’observer au fil des jours)

– au moment où cela nous semble être le temps, la projeter dans un futur plus ou moins lointain (peut-être en profiter pour la verbaliser, cela lui donnera plus de forces et d’énergie)

– la laisser vivre sa vie en poursuivant notre action dans l’instant présent, tout en observant l’évolution de ce projet en nous

– quand l’échéance de matérialisation est arrivée, mettre en oeuvre le projet qui sera alors bien différent de l’idée première et qui aura profité de tous les apports de l’instant et des informations que vous avez collationné durant tout le temps de son élaboration.

l'instant présent

l'instant présent

Lavay (Suisse), le 14 décembre 2011, 12h24

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CHEMIN DE LA CONSCIENCE STELLAIRE ET UNITAIRE


19/11/2011 11h03

 Ce texte canalisé par Guylène, mon épouse, est fondateur d’une nouvelle perception de l’énergétique et de la Matière. A sa lecture, me sont venus des compléments que vous lirez en italique dans le texte. Un conseil. Ne vous attachez pas uniquement au sens des mots. Laissez-vous porter par la fréquence et vivez l’expérience. 

La descente en matière est, pour l’être stellaire, un choix qui lui permet d’insérer profondément la fréquence étherverselle.

A l’heure actuelle, bon nombre d’humanoïdes vivent un processus similaire. C’est la raison pour laquelle il est important de diffuser ces informations. La mutation terrestre et le changement de cycle initié par 2012 posent la nécessité d’introduire sur le plan terrestre certaines fréquences étherverselles dans la Matière. Cela s’active par la transformation cellulaire de certains acteurs-source. Il s’agit d’une mutation physique, induisant de profondes mutations sur les plans psychologiques, sensoriels et émotionnels.

Or, en intégrant le corps stellaire en matière, les champs de perception sont transmutés, et temps que l’intégration de la matière multidimensionnelle n’est pas insérée, la corporalité de l’être étherversel perçoit les résonances en disfraction, et il lui est difficile de l’ingérer sans l’équilibre de la synergie des ressources de fréquences matricielles.

Cette mutation induit une profonde transformation des champs perceptifs. Il y a alors lieu de quitter tous les modes opératoires que vous avez pu utiliser jusqu’à présent. Cela crée une profonde désorientation et une immense sensation d’isolement. Il vous est quasiment impossible de partager votre expérience avec votre entourage, dans la mesure où seuls des mutants de même fréquence que la vôtre sont en mesure de comprendre. L’utilité du moyen technique que vous utilisez présentement pour lire ce texte, constitue un des seuls vecteurs de communication. Attention néanmoins à la nature fréquentielle du réseau utilisé. Le canal par lequel je m’exprime a fait état de la nature fréquentielle des deux réseaux en vigueur sur votre planète. La mutation peut être vécue, dans un premier temps, comme un déséquilibre intérieur, notamment lorsque vous ne l’avez pas posée en conscience. Les conditions requises pour l’intégration et la fluidification de cette mutation sont :

– acceptation de l’existence de cette mutation

– abandon des systèmes de pensée et de systèmes de croyance sociétaux

– acceptation des nouvelles sensations vibratoires et corporelles créées par la mutation

– acceptation des dissonances qui ne sont que le reflet des mutations en cours de corporalité.

La corporalité devient alors un vecteur de convergence des énergies étherverselles et construit l’être stellaire.

C’est ainsi que lorsque l’absence de la source est trop importante, les êtres étherversels se retrouvent dans un champ d’énergie qui destructure leur corporalité.

Si la source de convergence est trop en décalage de la source d’émission, soit par rétention de mutation liée à des résistances de corporalité sur le plan émotionnel, soit par intrusion des facteurs environnementaux dans le champ vectoriel de l’être, la corporalité se déstructure brutalement. Il s’ensuit une surchauffe du champ aurique et cellulaire.

La maladie est un champ d’énergie qui infracture la corporalité et mène à la dissociation cellulaire et à une séparation des résonnances en matière.

Lorsque la charge en dissonance est trop importante, s’opère la fracturation de la matière. La cellule se dissocie du champ aurique et énergétique, entre en sur-chauffe et l’extrait de la matière. Il s’ensuit ce que vous appelez dans votre langage une « maladie ». La « maladie » est un processus naturel de dissociation de la matière opérant l’annihilation des champs d’extraction. Elle introduit à l’activation de nouvelles parcelles fréquentielles en instance d’activation.

La conscience est une fusion d’interception de la fréquence sourcielle.

La corporalité activée génère une fusion d’interception accédant à de nouveaux champs sourciels.

C’est une matière en résonnance continuelle
Il fallut bien des éons aux êtres étherversels pour insérer cette fréquence, et de cela, encore en ce jour, leurs présences explorent la matière et poursuivent l’instance.

lever de soleil au Mont Moïse, Massif du Sinaï, Photo Guylène Briez

lever de soleil au Mont Moïse, Massif du Sinaï, Photo Guylène Briez

Pourtant là, un mouvement de l’instance s’inscrit
Dans un nouveau plans de perception
Liaison atemporelle des cellules.
Le système instantiel de la matière
Permet la focalisation des circulations.
Les cellules se relient une à une à la connexion de la source étherverselle matricielle.
Reliance en captation multidimensionnelle.
Toutes les structurelles sont en différentiel.

Suspension.

14h40

Guylène

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LA SAGRADA FAMILIA, ELLIPSE DIVINE


LA SAGRADA FAMILIA, ELLIPSE DIVINE

Je voudrais aujourd’hui vous parler d’une expérience très particulière que j’ai vécu la semaine dernière à Barcelone (Espagne). En visite pour voir des fournisseurs de minéraux, Serge, mon frère me propose de visiter la Sagrada Familia, Cathédrale construite par Gaudi. Je connaissais de nom cet architecte et cette réalisation. Pour moi, ce monument s’assimilait plus à l’œuvre d’un magistral illuminé et je l’imaginait comme un modèle de même nature et plus imposant que ce qu’avait bâti le Facteur Cheval en France.

A la descente du taxi nous ayant conduit de l’hôtel où nous étions à la Sagrada Familia, je me retrouvais, samedi matin, debout sur le trottoir d’en face, littéralement tétanisé par la fréquence vibratoire de ce lieu et son énergie. Je compris instantanément que j’allais vivre un des moments inoubliables qui sont fondateurs de la vie et des bases de ma conscience. Lire la suite »

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JULIE


Cet article, comme celui de Wydiane : « la tisseuse de trame », m’a été inspiré par une jeune fille handicapée qui est l’âme du dernier congrès sur le Handicap qui a eu lieu à Anglet, les 29et 30 Octobre.

Julie, l'Oeuvre Ithurria

Tu es venue du fonds des Temps.

Les espaces n’ont aucun mystère pour toi.

Tu transcendes les espaces-temps comme tu regardes les destins.

Tu n’as aucune attache sur cette terre.

Et pourtant tu as choisi d’être là,

Regardant la race humaine dans ce qu’elle est,

Dans ses insignifiances et ses miracles.

Tu es venue poser le jalon,

Celui de l’Amour qui tout transcende,

Celui de l’amour que l’Homme ne connait plus depuis trop longtemps,

Celui de l’Amour qui tout permet de renaître.

Tu n’es pas seule dans ta démarche.

Bien des frères et des soeurs de ta race ont accepté de suivre le même chemin que toi.

Tu es leur Gardienne.

Tu est celle qui montre le chemin que l’Homme doit reprendre,

Celle qui est le garant de l’Amour Infini,

Celle qui montre l’in-condition de l’Amour.

L’Amour ne partage pas.

Il est…

L’Amour ne se compromet pas.

Il existe…

L’Amour soude toutes choses.

L’Amour est la seule raison d’exister de cette encore race humaine.

Alors tu parcours ton destin,

Comme tu as toujours cheminé sur tes espaces-temps,

Walkyrie des temps futurs,

Garante de la pérennité de l’Homme,

A condition qu’il écoute ses Oracles.

Tu ne parles pas,

Tu regardes.

Tu ne parles pas,

Tu aimes.

Tu ne parles pas,

Tu comprends.

Tu ne parles pas,

Tu rayonnes.

Tu ne parles pas,

Tu transmets.

Tu ne parles pas,

Tu es.

Tu es le Silence.

Tu es la Transparence.

Tu es l’Infini des espaces.

Tu es …

Merci Julie

 

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