Archives de la catégorie Daniel Briez

CHANGEZ VOTRE MONDE, CHANGEZ VOTRE VIE


La notion de changement n’a jamais été aussi présente qu’aujourd’hui, à l’approche de 2012. Pourtant, il n’y a pas de réelle nouveauté dans le processus de transformation de la Consciençe. Seulement un temps où nous portons plus précisément attention et de manière plus présente à cet aspect de nous-mêmes.

Nous sommes créateurs de notre réalité. Cet aphorisme n’est pas une idée symbolique. Elle est l’exact reflet de notre capacité de création des évènements de notre quotidien par le simple jeu de la résonance. A ce titre, nous construisons chaque jour, par le moyen de nos innombrables pensées et décisions, notre monde personnel.

Le cycle d’évolution actuel nous propose deux alternatives que sépare une période transitoire si nous faisons un chemin de conscience.

Comme le fait la majorité de la race humaine, nous pouvons poursuivre la course en avant du consumérisme et orienter notre vie autour de l’acquisition de biens matériels. Cela peut paraître légitime sur le plan individuel. Les autres ont accès à ces richesses, pourquoi pas nous ? Mais est-ce que ce sont véritablement des richesses ? Est-ce qu’elles ne sont pas un écran illusoire créé pour nous empêcher de réfléchir à ce que nous sommes et ce que nous faisons ? Ne nous dirigeons-nous pas vers une dramatique impasse ? Ces questions ne sont pas réellement le propos d’aujourd’hui. Nous y reviendrons ultérieurement.

Ce positionnement a pour conséquence de créer, sur le plan collectif, un monde d’injustice, de peur dans lequel la richesse planétaire est placé entre les mains d’un nombre extrêmement limités d’individus (quelques centaines pour toute la planète). Ce monde génère famines, dépendances économiques et affectives, frustrations et insatisfactions. Ce monde génère des guerres : guerres économiques, guerres philosophiques, guerres entre les nations. Ce monde crée une tension latente porteuse d’une puissante forme-pensée, qui entraine même ceux qui ne sont pas réellement dans cette perspective dans une direction qui n’est pas forcement la leur. Ce paradigme est celui de la quasi totalité de l’humanité. Et il peut sembler légitime, notamment pour ceux qui ne possède pas le standard de confort occidental.

Vient ensuite le temps où nous prenons conscience de notre profonde insatisfaction . Nous regardons alors en nous pour découvrir les véritables raisons de cette insatisfaction et nous découvrons, ébahis que nous ne savons pas qui nous sommes et ce que nous désirons réellement lorsque nous supprimons les faux besoins créés par notre société de consommation. Nous ressentons l’impérieuse nécessité de nous arrêter et de regarder autour de nous. Si nous avons été totalement pris par la vague de consumérisme, nous prenons conscience que le monde que nous vivons est un désert. Désert affectif, l’amour n’existe pas autour de nous ou ne se matérialise pas. Désert relationnel, la relation a l’Autre ne repose que sur l’intérêt matériel de ce que l’Autre nous permet d’obtenir de lui. Désert spirituel, la vie ne semble avoir aucun sens et nous ne comprenons pas ce que nous faisons sur cette planète.

Nous nous trouvons alors extrêmement désemparés ou totalement désabusés et déprimés. Dans la perspective de ce paradigme, et à juste titre, nous ne croyons plus à rien.

changez votre monde

changez votre monde

Vient alors le temps pour nous de changer de perspective. Nous sommes les créateurs de notre réalité. Nous devons alors nous poser la question : quelle réalité décidons-nous de construire jour après jour ? Est-ce une réalité reposant sur des réponses que nous allons chercher à l’extérieur ? Nous allons alors nous lancer en quête des gourous de toutes sortes, des systèmes tous plus « miraculeux » ou exotiques en tous genres, les « reikis tartampions », les « livres miracle », les nouvelles/anciennes religions, les thérapeutes extraordinaires. Si nous prenons cette nouvelle voie qui s’avèrera aussi, à terme complètement illusoire, nous aboutirons également à la solitude, la frustration et l’isolement spirituel.

Ou alors, choisissons-nous une réalité reposant sur l’épanouissement de l’être ? Les esprits chagrins me diront mais comment faire ? Il est facile de le dire ou de l’écrire. Il est quasiment impossible de le faire ! Sauf peut-être au bout d’une vie de recherches !

Cela est faux.

Tout dépend de ce que nous mettons dans notre pensée. Si nous créons dans notre tête la pensée de l’échec ou de l’inaccessibilité de l’état de bonheur et d’équilibre, il est certain que nous créerons un pallier impossible à atteindre. Si nous posons en nous l’idée indestructible, qu’à partir de maintenant, nous créons un monde qui nous correspond sur tous les points : l’amour, la prospérité, la paix, la conscience et l’harmonieuse relations aux autres, nous créerons, dans notre réalité quotidienne, l’ensemble de ces éléments.

Changez votre monde

Changez votre monde

Car, chaque fois que nous dirigerons notre pensée dans cette direction d’équilibre et d’harmonie, nous poserons dans notre corps cellulaire une fréquence qui éliminera tous les programmes de conditionnement qui ont été posés en nous depuis notre naissance. Progressivement, la force de notre pensée transformera notre fréquence cellulaire et lui permettra de créer, par aimantation vibratoire, les éléments nécessaire à l’aboutissement définitif de cet état. Cela n’a évidemment rien à voir avec la pensée créatrice qui est encore un autre moyen pour renforcer l’ego et nous maintenir dans les dépendances multiples par le jeu de notre volonté et de notre mental.

CE PROCESSUS EST UNIQUEMENT VIBRATOIRE ET TRANSFORME L’EMISSION ENERGETIQUE DE NOTRE CORPS.

 Alors, que choisissons-nous ? Continuons-nous à être des moutons corvéables à merci ou choisissons-nous de prendre notre vie, notre monde et notre futur en main ?

 Je pense que la réponse est manifeste. Alors décidons aujourd’hui de changer notre monde et de changer notre vie.

 Sarlat, le 25 septembre 2011 14h57

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Les Eaux de Couleur, Daniel Briez


LES EAUX DE COULEUR, Daniel Briez

 Bien ou pas bien, votre état se résume à une fréquence chromatique émise par votre corps. La Fréquence de la Couleur conditionne tous vos états d’être au quotidien

Les Eaux de Couleur sont des parfums apportant la Couleur dans votre corps.

Le parfum est le support idéal pour répartir la Couleur dans l’ensemble des enveloppes cellulaires et énergétiques du corps humain. Sa volatilité lui permet de se répartir instantanément dans toutes les directions. L’information quantique qu’il contient lui permet de franchir les barrières de l’espace-temps terrestre et de diffuser son information chromatique sur tous les plans, dans toutes les dimensions, sur tous les temps (parallèles, antérieurs ou futurs).

Au-delà du confort que procure chaque Eau de Couleur, nous pouvons accompagner tous les évènements de notre vie quotidienne par une Couleur .

Le meilleur rapport à la Couleur est déterminé par notre choix intuitif.

Aimer ou pas aimer une Couleur signifient quelque chose pour chacun d’entre nous.

Une Eau de Couleur nourrit notre corps à plusieurs niveaux simultanément :

– le corps physique, par la composition d’huiles essentielles de la fragrance du Parfum de Couleur

– le corps énergétique, par la fréquence chromatique que véhicule l’Eau de Couleur.

– le corps vibratoire, par la correspondance qui existe entre l’Eau de Couleur et le champ quantique qui le supporte.

Cette triple action rend le Parfum de Couleur totalement efficient.

Il est recommandé d’utiliser l’Eau de Couleur à quatre ou cinq reprises dans la journée afin d’obtenir une action profonde. Il n’y a aucune contre-indication ou effets secondaires . L’Eau de Couleur est 100% d’origine biologique. Cela en fait un produit totalement assimilable par le corps

(ATTENTION : EVITEZ LES CONTRE-FACONS QUI NE SERAIENT PAS 100% BIO. ELLES SERAIENT DOMMAGEABLES A VOTRE SANTE)

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L’HANDICAP, UNE AUTRE VISION DU MONDE


 Je voudrais aujourd’hui réfléchir avec vous sur un sujet que nous n’abordons pas souvent dans nos réflexions, pris comme nous le sommes dans notre trajectoire quotidienne.

Nous sommes parfois profondément interpelés quand la vie nous place face à un de ces êtres hors normes qu’on nomme dans notre société un handicapé.

Il existe bien des formes de handicaps. Ceux qui touchent au physique, à une fonction motrice, et ceux qui touchent aux fonctionnements du cerveau, du mental et de l’intellect.

Il faut en tout premier lieu bien se garder de ce mot. Notre société progressivement grâce à l’éclatement de la structure familiale traditionnelle a créé l’exclusion de tous ceux qui ne sont pas conformes à la norme. L’éparpillement de la famille ne permet plus, comme au début du vingtième siècle ou en Asie aujourd’hui, de s’occuper de l’éducation des enfants, des vieillards et à fortiori de ceux qui sont hors des fonctionnements habituels que génère maintenant notre société. Je trouve que nous devrions appeler les handicapiés, les exclus.

Ne sachant comment gérer ces différences, cet écart à la norme sociétale, notre société étant dans l’incapacité d’aider les familles de ces exclus, nous avons créé des institutions pour les extraire de notre vision.

De la même façon, ne sachant plus gérer la mort et la vieillesse, nous avons créé des maisons de retraite qui ne sont en fait que des lieux de relégation dans l’attente de la mort de nos anciens, des mouroirs. Notre société n’est aujourd’hui construite que pour des acteurs économiques actifs, pourvoyeurs des circuits de consommation, apportant sa quote-part au mouvement général de fuite en avant.

Parfois, dans cette course en avant, un point fixe, ou plus lent, se pose en travers de notre chemin et nous oblige à marquer une pause, voire même à nous arrêter, car nous ne pouvons évacuer d’un revers de main alors les questions fondamentales qu’ils nous posent : celles de savoir qui nous sommes. Je veux bien sûr parler des handicapés.

Mais d’abord, qui est handicapé, ces exclus de la course en avant, ou nous-mêmes qui sommes souvent incapables de les regarder ou même de regarder notre voisin.

Cela me ramène à ce SDF qui vit dans la rue à côté de mon bureau, que personne ne regarde de peur qu’il leur parle, qui est ivre du matin au soir, sale parce qu’il a choisi de vivre dans la rue (je dis choisi, car pour lui il n’y a pas de problèmes de ressources dans la mesure où il retire de l’argent au distributeur tous les jours pour ses bières quotidiennes), et qui apprécie que je lui dise bonjour tous les jours lorsque je le croise.

Pour revenir au handicap, je dirais quelques mots de ce que l’on considère comme l’handicap mental. Il m’ a été donné de réfléchir de nombreuses fois a cette question.

A 30 ans, j’ai eu le privilège de fréquenter une jeune fille, soeur d’un de mes associés, qui était trysomique. Je dis était car elle est décédée aujourd’hui. Cette jeune fille (elle avait une vingtaine d’années lorsque je l’ai connue) a été la première a m’interpeler sur la notion d’amour inconditionnel. Elle était remarquablement intelligente, l’intelligence aiguë de ceux qu’on ne peut pas tromper par des faux-semblants. Elle savait très bien qui lui faisait des sourires de convenance, lui parlant avec la condescendance de ceux qui sont normaux, et ceux qui la regardait avec le coeur et reconnaissait la magnifique source d’amour qu’elle était et a été toute sa vie. A cette époque (1980), j’étais bien loin d’avoir le regard d’aujourd’hui. Je ne savais même pas ce qu’était une énergie, ce qu’était le coeur.

Cette jeune fille m’a profondément marqué. Au début, je ne savais comment la regarder, puis à force de la côtoyer (mon associé en avait la charge, sa mère ayant décédé quelques mois plus tôt) je n’ai plus jamais regardé ce que notre société nomme le handicap avec le sourire gêné de celui qui ne sait pas quelle position prendre.

Face à cette première expérience, dans mon regard, l’handicapé était devenu non seulement un être comme les autres, mais bien plus, un être qui portait l’amour bien plus que tous les normaux de cette société.

Mon cheminement dans le rapport à l’handicap s’est poursuivi durant toutes les années durant lesquelles j’ai oeuvré en tant que thérapeute. Durant cette période d’activité, je voyais évidemment se présenter des personnes ayant épuisé toutes les solutions proposées par la médecine ne sachant plus dans quelle direction se tourner. Elles avaient entendu parler de moi, de la Couleur et des Cristaux et cela leur paraissait une voie possible (aujourd’hui, je ne reçoit plus en individuel. J’ai pris la décision en 1996 de ne me consacrer qu’à l’enseignement de groupe et à la formation de thérapeutes). Dans ces personnes, certaines se présentaient avec leur famille, porteuses d’handicaps lourds ou de maladies en phase terminale.

Progressivement, au fil de ces rencontres toujours très fortes sur le plan relationnel, j’ai constaté que mon regard se transformait profondément au fil des années. J’ai rapidement vu que ce que je considérais au départ comme un handicap, avec toute la condescendance contenue dans ce mot de bien-portant, était plutôt un décalage entre cet être et la norme sociétale. Je constatait qu’elles portaient d’immenses qualités de perception que nous étions bien loin, nous les normaux, d’égaler. En effet l’exclusion (je préfère l’appeler exclusion qu’handicape), pour pallier à certaines inaptitudes normatives (les facultés d’acuité auditive et de sensibilité de l’espace environnant sont bien connues chez les mal-voyants), ou simplement parce qu’il avait choisi d’expérimenter une autre façon de percevoir le monde et de le vivre présentait bien des qualités de coeur, d’être et d’âme qui je n’avais pas perçu dans ma première vision empreinte de jugement.

Je pense que nous avons beaucoup à apprendre de l’observation de ces êtres, non pas dans une position de voyeurisme, mais dans un partage des différences qui nous démontre que personne ne détient la moindre vérité et qu’il est possible d’apprendre de tout être, et surtout de celui qui est différent de nous.

Le regard de l’exclu, et ce qui passe d’intelligence, d’acuité, de perspicacité et de sensibilité dans son regard est la plus belle récompense qu’il puisse vous donner lorsqu’il vous accueille dans son espace. Je souhaite à chacun d’avoir le privilège de recevoir ce cadeau de la vie.

Merci du temps que vous avez consacré à ce texte et à cette réflexion.

Sarlat, le 22 septembre 2011, 8h21  

Vous pouvez voir cette vidéo documentaire réalisée par mon Frère Serge : « les voiles de l’Agly » qui illustre combien les différences peuvent être surmontées et permettre de vivre des aventures humaines lorsque les femmes et les hommes laissent faire leur coeur.

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LES EXTRAITS DE COULEUR, Daniel Briez


Notre corps possède la particularité de concentrer ses principales tensions dans des zones bien précises qui peuvent se révéler particulièrement inconfortables. Les zones douloureuses de notre corps constituent le moyen privilégié que celui-ci possède pour nous transmettre une information essentielle: la dichotomie profonde qui existe entre ce que nous sommes réellement sur le plan codal et ce que nous faisons de notre vie.

Plus nous faisons le « grand écart » entre ces deux points et plus notre corps souffre. C’est ainsi que se créent les maladies: la différence entre ce que je suis et ce que je fais.

Les Extraits de Couleur constituent une alternative à ce type de situation. En apportant leur fréquence chromatique dans les zones en souffrance ou en rupture de code, ils permettent de reconstituer le lien quantique qui existe entre notre esprit et notre corps. Leur action met alors en marche un processus qui éliminera progressivement tous les programmes parasitaires qui empêchent notre corps de véritablement manifester ce qu’il est. C’est ainsi que nous allégerons considérablement nos points de tension.

L’Extrait de Couleur est utilisé lors d’un état de crise, ou lorsque nous souhaitons déclencher une action puissante dans une direction donnée.

 Les Extraits de Couleur sont composés de 50% d’huiles essentielles d’origine biologique et de 50% d’huile de chanvre bio. Cette forte concentration en huiles essentielles les rend puissamment actifs. L’huile de chanvre (la seule huile naturellement sèche, sans aucun traitement) permet une excellente pénétration des huiles essentielles par la voie cutanée et équilibre le côté « graisseux » des huiles essentielles à forte concentration.

 L’emploi des Extraits de Couleurest particulièrement recommandé en cas de choc ou de crise pour dégager une tension rapidement.

Retrouvez les Parfums de Couleur Daniel Briez  sur www.parfums-de-couleur.com

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COULEURS, CORPS CELLULAIRE ET VIE QUOTIDIENNE


PRINCIPE FONDATEUR DES PARFUMS DE COULEUR

 Le corps humain est composé de 70 milliards de cellules. Chaque cellule est constituée d’une membrane externe contenant le liquide cellulaire qui tourne dans le sens des aiguilles d’une montre (le même sens que le magma terrestre qui tourne sous l’écorce terrestre) et d’un noyau cellulaire contenant les 23 paires de chromosomes et les codes individuels comprenant les codes génétiques (lignée ancestrale), les codes luminiques (plate-forme vectorielle) et les codes stellaires. L’ensemble de ces codes se traduit dans l’ADN sous forme de fréquences chromatiques, autrement dit la Couleur.

les 13 Couleurs

les 13 Couleurs

 Chaque cellule émet une fréquence vibratoire distincte. La somme des fréquences de toutes les cellules produit la fréquence énergétique globale du corps humain. C’est ce que l’on appelle la résonance.

Lors de la naissance, le corps humain est inscrit dans un ensemble planétaire, lui-même inscrit dans un corps plus global, dit corps universel. Le corps humain, à sa naissance, peut être qualifié de corps quantique puisqu’aucune croyance ou aucun système de pensée ne vient induire une direction quelconque à la trajectoire de ce qu’il émet. S’il demeurait ainsi, il suivrait la trajectoire induite par ses propres codes et manifesterait simplement ce pourquoi il s’est incarné sur Terre.

 Le problème est qu’il en est rarement ainsi. Dès la naissance, l’enfant est pollué par les croyances induites par ses parents et très rapidement comprend qu’il est plus agréable pour lui de se conformer aux désirs de ses parents plutôt que de les contrarier. Papa et Maman sont contents, ils sourient et me font des caresses. Ils ne sont pas contents, je sens une tension en eux et ils me le font savoir de mille et une façons.

 Il en est de même ensuite. L’éducation scolaire prend le relais des parents, impose une norme sociale de pensée. Puis vient se greffer dessus la croyance en l’espace-temps linéaire qui finit de couper l’être de ses propres codes.

 Le parcours de vie se construit ainsi avec son lot de chocs et de déconvenues et plus nous engrangeons de déceptions, et plus le fossé s’agrandit entre nous et ce que nous sommes sur le plan codal, de par notre conformation de naissance.

 Toutes ces empreintes, ces chocs, ces systèmes éducatifs, ces systèmes de croyance altèrent le programme originel de notre corps. Il émet alors un fréquence distordue par rapport à notre fréquence originelle et attire à lui des fréquences de même nature (loi de résonance). Nous créons ainsi des situations conformes à nos dissonances. Les événements qui se trouvent ainsi générés sont insatisfaisants et décevants et nous ne savons pas comment mettre notre vie en adéquation avec des aspirations profondes que nous ne sommes même plus capables d’identifier ou de formuler.

La Couleur est le reflet de notre codification d’origine. Certaines couleurs sont en équilibre dans notre corps cellulaire à la naissance (ce sont nos talents, nos prédispositions à faire certaines choses, nos envies profondes et irrationnelles). D’autres sont en tension à la naissance. Elles constituent l’ossature de notre expérience de vie. C’est par la tension qu’elles créent que nous cheminons dans notre conscience et que nous évoluons. Elles sont nos inconforts, nos insatisfactions, notre désir de comprendre, notre refus des solutions toutes prêtes.

 Toutes les Couleurs sont présentes dans notre corps.

 Pour nous rééquilibrer nous allons ainsi chercher des couleurs dans notre environnement, couleurs qui nous aident à nous rétablir dans nos codes originels.

 Lorsque nous apportons la fréquence de la Couleur dans notre corps, nous permettons à celui-ci de retrouver son fonctionnement d’origine, par simple résonance. Cette mise en résonance du champ de fréquence, progressivement dissout tous les éléments qui vont à l’encontre de son fonctionnement naturel. C’est ainsi que nous prenons conscience des systèmes de croyance qui ne sont pas nous et qui nous parasitent. C’est ainsi que nous nous rappelons de chocs qui ont induit en nous des comportements qui constituent des réflexes de défense. C’est ainsi que nous faisons des prises de conscience sur ce qui nous fait du bien ou non. Chaque réaction est le reflet d’un dégagement d’un système parasitant notre fonctionnement originel.

Travailler avec la Couleur nous permet de retrouver une symbiose avec nos codes d’origine, de ramener notre corps à l’état de corps quantique et ainsi de restaurer sa naturelle santé mentale, physiologique, émotionnelle et spirituelle.

 C’est en partant de ces constatations que j’ai créé, il y a plus de vingt ans les Parfums de Couleur.

 Sarlat, le 19 septembre 2011, 21h24

Parfums de Couleur Daniel Briez

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Changez votre monde, Changez votre corps


PARFUMS DE COULEUR

 La Couleur est générée par les codes ADN de votre corps. Parfaitement équilibrées à la naissance, ces fréquences chromatiques se trouvent rapidement altérées par les chocs émotionnels que nous vivons dans notre vie, les systèmes de croyance inculques par l’éducation et la famille et la vision que nous avons de nous-même.

 La fréquence chromatique globale emise par notre corps « construit » les évènements de notre quotidien. Si notre fréquence chromatique générale est en équilibre, ces évènements sont harmonieux. Si elle ne l’est pas, ils ne le sont pas.

 C’est en rapprochant, dans un premier temps, le ressenti que j’avais au niveau de mon corps et des Chakras, en utilisant des huiles essentielles, que l’idée m’est venue d’en associé plusieurs pour avoir un meilleur impact.

Puis s’est posé à moi le fait de l’utilisation de ces combinés, car il était difficile pour moi d’utiliser ces produits purs. Mon épiderme ne les supportait pas. L’idée m’est alors venue de les « monter » sur des huiles végétales, puis sur de l’alcool, ce qui permettait une plus rapide et bien meilleure pénétration du combiné au niveau de l’épiderme et son accession au niveau du système endocrinien.

Vingt années de recherche et de cheminement personnel m’ont permis de mettre au point les Parfums de Couleur. Cette gamme de treize fréquences énergétiques peut aujourd’hui répondre à pratiquement toutes les questions qui se posent dans notre quotidien, aussi bien sur les plans familiaux, professionnels, thérapeutiques ou spirituels.

 Agissant comme de véritables « ouvreurs de conscience », les Parfums de Couleur permettent de remettre à niveau les différents systèmes énergétiques et donnent au corps la possibilité de restaurer ses équilibres de naissance. Ils n’imposent ou n’induisent rien sur le plan bio-chimique. Ils se contentent de transmettre une fréquence vibratoire (couleur) et relancent les systèmes énergétiques du corps.

 L’information quantique qui est donnée aux excipients permet aux produits de dépasser l’espace-temps linéaire terrestre et de porter l’information dans tous les plans et dimensions parallèlles de l’être. Ainsi peuvent se dénouer des blocages qui se produisent dans des plans parallèlles, d’autres vies, voire d’autres corps qui sont présents dans notre Ici et Maintenant simultanément, puisque la physique quantique nous démontre depuis longtemps que le temps et l’espace n’existent pas. Ils ne sont que des conventions mentales destinées à nous situer, en tant qu’être humain dans le Cosmos.

 Outils indispensables d’un cheminement de compréhension de soi, les Parfums de Couleur permettent d’accélérer les mécanismes d’évolution et de pallier à certaines situations difficiles ou transitoires. N’étant pas un système en soi, ils peuvent être utilisés par les thérapeutes ou praticiens de santé comme accompagnement de leur pratique, tant dans les domaines du massage, que des thérapies énergétiques ou de développement personnel. Ils constituent un précieux outil d’assistance. Aucune connaissance particulière n’est requise pour leur utilisation de ces produits.

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Les Huiles de Couleur Daniel Briez


les HUILES DE COULEUR Daniel Briez

 Le corps est le reflet des fréquences chromatiques qu’il contient. Les désordres physiologiques créent des distorsions chromatiques qui se traduisent par des évènements discordants dans votre quotidien. Harmoniser les fréquences de notre corps vous permet d’harmoniser les evenements de votre quotidien.

 Les Eaux de Couleur constituent le moyen le plus pratique pour apporter la Couleur dans le champ énergétique du corps. Néanmoins, il est parfois nécessaire d’avoir une réponse plus en profondeur. Les Huiles de Couleur répondent à ce besoin. Lorsqu’il s’avère nécessaire de traiter une difficulté d’être sur le fond, dans le cas d’empreintes anciennes ou d’une véritable difficulté d’être, l’Huile de Couleur sera à même d’apporter la fréquence chromatique d’une façon plus durable et plus en profondeur que l’Eau de Couleur. Nous travaillerons alors avec les deux supports afin d’obtenir un résultat plus profond et plus rapide.

Lorsque vous posez une Huile de Couleur sur votre corps, vous apportez a vos cellules une énergie d’harmonisation qui lui permet de retrouver son équilibre. Ainsi votre vie s’harmonise-t’elle.

Les Huiles de Couleur sont composées d’huile de sésame, de macadamia, et de noyau d’abricot et de 10% d’huiles essentielles, tous produits issus de l’agriculture biologique. La haute teneur en acides gras insaturés en fait une véritable huile de corps, hydratante, permettant une régénération de la peau. Le fort pourcentage d’huiles essentielles permet une action durable et en profondeur. La mise en action de lHuile de Couleur est plus lente que celle de l’Eau de Couleur, mais plus durable. L’Huile de Couleur est particulièrement recommandée en traitement de fond.

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Découvrir son identité


Une des principales questions qui se pose à nous dans cette période de mutation est de savoir qui nous sommes. Cette interrogation constitue un des principaux enjeux du futur, car c’est en sachant qui nous sommes que nous pourrons déterminer ce que nous avons à faire, et ainsi définir les trajectoires que nous prendrons.

Il est clair que, du point de vue de l’humanité et du collectif, les années qui viennent représentent une mutation qu’il ne va pas être simple de négocier. La crise identitaire dans laquelle se trouve l’humanité ne facilite pas une lecture objective et saine de notre avenir, et la présence des groupes de pression économiques mondiaux n’a aucun intérêt financier à ce que ces questions soient clairement évoquées.

Nous avons donc à aborder une lecture claire, sans concession, mais aussi sans a priori, de nos codes identitaires, et définir ainsi quelles seront nos options dans les années à venir.

Et c’est là que le problème devient complexe.

En effet, la vision que nous avons de nous-mêmes est une vision que nous avons construite à travers le regard des autres, à travers nos systèmes éducatifs et surtout à travers les systèmes de croyance que nous avons établi, consciemment ou inconsciemment, sur nous-mêmes.

Autant dire qu’il y a peu de chance, compte tenu de l’importance des filtres déformants, que nous puissions répondre objectivement à la question : « Qui suis-je ? »

DECOUVRIR SON IDENTITE

découvrir son identité - graphisme Serge Briez

De plus, si nous ne sommes pas capables de répondre à cette question, nous allons opter pour des trajectoires de vie qui n’auront que peu de rapport avec nos besoins réels et déclencher de vrais catastrophes structurelles quant à notre vie, ou pour le moins, une insatisfaction profonde et une désorientation totale.

Alors comment faire?

Tout d’abord, il nous faut poser le principe que nous ne savons pas qui nous sommes. Et méfions-nous grandement de nous-mêmes lorsque nous sommes dans nos « certitudes ». Il est d’ailleurs amusant d’observer de quelle façon nous absorbons les messages de notre ego bardé de ses convictions sur ce que nous sommes, alors que nous rejetterions probablement avec véhémence la moindre de ces incohérences si elle nous était énoncée par un tiers.

Poser ce postulat nous met dans une écoute et une observation approfondie de nous- mêmes, et va commencer à nous permettre de déceler des pistes qui, à terme, nous amèneront à nous-mêmes.

Cette première étape franchie, nous devons choisir un protocole régulier de retour sur soi et d’introspection journalière (ce que nous ne prenons jamais le temps de faire) afin de laisser notre psyché se reposer et progressivement descendre au contact de ce que nous sommes. La pratique d’un état méditatif sans objet et sans protocole, répété à heure fixe quotidiennement, est un bon point de départ.

Il faut ensuite prendre son temps. Les réponses ne nous parviendront pas en deux jours, ni même en trente. Nous avons mis toute la durée de notre existence pour construire cette vision egotique de nous-mêmes. Nous n’allons pas la transformer en cinq minutes.

Progressivement nous constaterons que certaines sensations émergent. Elles ont toujours été là, mais nous n’y prêtions pas attention. Ces sensations impacteront sur notre corps. Seul le corps est réellement en mesure de nous restituer des informations car il est le seul à détenir nos codes identitaires. Néanmoins, nous ne pouvons pas lui faire immédiatement confiance, car il est aussi porteur de toutes les croyances que nous y avons inscrites et à ce titre, le décodeur qu’il constitue est faussé partiellement, et nous donne des indications déformées par celles-ci.

Voilà en quelques mots un début d’approche d’introspection pour acquérir notre indépendance et notre réelle liberté face à un mode de pensée et un mode de vie qui ne nous a, en aucun cas, appris à le faire.

Merci de votre écoute.

La Teste de Buch, le 9 septembre 2011, 9h44

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SHIVA LINGAM, OUTILS COSMIQUES


A l’origine, les Shiva Lingam sont des pierres de forme plus ou moins ovoïdes roulées par les grosses rivières himalayennes. Elles sont récupérées par des communautés de méditants, dédiant leur ascèse à Shiva. Shiva est l’énergie Feu, principe masculin.

Les Shiva Lingam sont polis à la main jusqu’à obtenir un ovoïde parfait. Ils font de 500 gr (Lingam pour des autels domestiques) à plusieurs tonnes. Elles sont considérées par les indiens comme des pierres sacrées. Aucun acte de commerce ne doit être réalisé sur ces objets de culte. Elles sont fabriqués par des communautés de méditants vivant en famille au sein de villages dédiés à Shiva. Seuls les hommes sont habilités à « toucher » les pierres et à les polir. Elles sont polies uniquement à la main. Ces communautés reçoivent des dons de différentes sources.

SHIVA LINGAM : arrivée en France, photo Serge Briez

SHIVA LINGAM : arrivée en France, photo Serge Briez

Les Lingam sont érigés sur des conques symbolisant le principe féminin (Shakti), l’union de Shakti et de Shiva créant Vishnou (le Saint Esprit chez les chrétiens).

Les photos qui accompagnent ce texte représentent de vrais Lingam. La plupart des Lingam que l’on trouve sur le marché européen sont des pierres ovoïdes polies à la machine, n’ayant aucune portée vibratoire.

SHIVA LINGAM : arrivée en France, photo Serge Briez

SHIVA LINGAM : arrivée en France, photo Serge Briez

Un Shiva Lingam ne s’active que lorsqu’on pose la conscience sur lui. A cet instant, il établit un lien de verticalité entre le Ciel et la Terre. Lorsque l’axe vertical est stabilisé, il projette son énergie à l’horizontal et ouvre toutes les dimensions. Un Lingam de 150/200 kg comme ceux figurant sur la photo impulse une énergie sur plusieurs dizaines de kilomètres. Ils sont destinés à des lieux de rencontre, des centres de stage ou des particuliers faisant un travail de conscience planétaire. Un Lingam d’une tonne possède une portée de plusieurs centaines de kilomètres.

Il est intéressant de noter que ces Lingam, sur le plan de la connexion énergétique et vibratoire dépassent amplement le plan de Shiva. Je pense que ces méditants sont tellement inscrits dans leur pratique depuis longtemps, leur travail est tellement puissant, qu’ils connectent les Lingam à des champs de conscience beaucoup plus larges que ce qu’ils pensent. Ces lingam sont les pierres les plus puissantes que j’ai jamais rencontré, d’une puissance bien au-delà des menhirs que nous avons en Europe.

 Sarlat, le 4 septembre 2011, 20h50

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Une réflexion, au sortir d’une méditation, sur la nature de l’Homme


Difficile de mettre des mots sur ce que je sens tant cela est multiple.

Je suis multiple. Je suis les mondes. Je sais les ordres et les désordres. Je capte les futurs désirés par la Terre. Je sais ce vers quoi elle tend. Je connais les chaos prédictibles. Je me sais et me sens depuis toute Eternité partie prenante dans cette inénarrable architecture.

Pourtant, quelque chose de nouveau émerge.

Pas vraiment nouveau en fait. Plutôt émergeant d’une éonière mémoire, celle d’un âge oublié, sans âge.

J’ai/nous avons déjà connu cela. Mais il y a tellement longtemps…

Tellement que je n’ose fixer ma vision dessus de peur d’y croire. Peur que nous passions encore une fois à côté. Peur encore de manquer ma création.

 Je suis multiple.

Je me sens un enfant, conscient mais enfant quand même, conscient de sa Conscience, Mais conscient aussi de l’émerveillement qu’il y a à laisser « Cela » se créer.

Je ne sais pas encore ce qu’est « Cela ».

Ou plutôt, je ne veux pas le formuler, de peur que le poids de ma pensée le fasse s’échapper. 

« Cela » est grandiose. Géant. Doux. Merveilleux. Tendre. Immense.

« Cela » impacte les Univers et transforme les mondes, au sens matière du terme.

« Cela » redonne à l’être la dimension qu’il a perdu depuis qu’il a oublié sa Mémoire.

 C’est immense.

La sensation que j’en ai est intime. Comme une minuscule vibration au cœur de la plus infime parcelle de mon coeur. Fragile. Délicate. Comme un duvet porté par le vent.

Et pourtant porteuse de la plus ultime puissance. Celle qui crée et détruit les Univers. 

Je me sens aussi, multiple et porteur d’étoiles, comme je l’ai toujours été.

Je ressens la puissance de convection et de transformation de cette délicate et incommensurable puissance émergeante.

Alors je me garde bien de fixer quoique ce soit.

Je sais que cela est en lien avec mon parcours d’homme, celui qui rencontre aussi celle qu’il n’attendait pas (ou plus?).

Alors je me contente de vivre ma matière. Je suis là, dans ma nouvelle maison, attendant que les électriciens pose un branchement provisoire (??). Quelle image !

Je suis serein, tranquille, comme si je savais que j’avais attendu cet instant longtemps, tout en sachant que, forcément, il se poserait dans cette vie.

 Je suis tranquille. Mon corps n’attends plus.

Je prends conscience maintenant que depuis ma naissance sur cette Terre, il a attendu.

Je me sens revenir à mes sources. C’est indescriptible mais tranquille.

Portant toutes les lignes de force que je perçois sont violemment en mouvement, comme des fouets qui claquent.

Les mondes basculent.

D’autres surgissent du néant, se matérialisant en provenance d’espaces-temps inaccessibles jusqu’à présent.

Un chaos harmonieux, créant au sens propre du terme un nouvel univers.

Et je sens simultanément cette filiation profonde avec la terre égyptienne, avec toutes mes vies, avec tous les êtres qui font partie intégrante de ce périple et qui œuvrent dans leurs sphères.

Athors, Egypte - Photo Serge BRIEZ
Athors, Egypte – Photo Serge BRIEZ

 Je sais que cela pose une profonde réalisation énergétique sur la terre de France et sur Sarlat.

 Voilà.

Quelques mots. Quelques ressentis. Dans une immensité en mouvement. Dans la mouvance des créateurs de mondes. Dans la Paix en marche.

 A vous tous.

Sarlat, le 4 septembre 2011, 5h54

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LA PAIX N’EST PAS L’ANTINOMIE DE LA GUERRE


Il me semble important d’attirer votre attention sur un point qui s’avère un grave barrage au développement personnel et à l’intégration de soi.

 Un des points les plus importants dans l’intégration de l’être est de s’appuyer sur sa propre capacité de pacification pour découvrir de nouveaux champs d’expérience et atteindre l’équilibre.

 Dans l’inconscient de l’individu, la croyance est puissante qui consiste à penser que pour trouver un équilibre de vie, il faut éliminer en soi tous les points de tension intérieure, c’est-à-dire tous les états de guerre ou de conflits, conscients ou inconscients, présents en nous.

 Nous cherchons donc tous les moyens et méthodes pour aboutir à ce résultat, sans grand succès. Nous y arrivons pendant quelques temps, puis un évènement ou une personne viennent rompre cet équilibre et tout est à recommencer. Nous ressentons souvent cela comme un échec, une incapacité de notre part à nous stabiliser et à poser la paix en nous.

 Cette frustration repose sur la recherche d’un état qui ne peut exister en nous et qui toujours s’avèrera impossible à atteindre. Pourquoi ?paix et guerre

 Tout simplement parce que l’évolution de la Conscience dans un corps humanoïde repose sur l’alternance entre des périodes de calme (intégration) et de points de grandes tensions (acquisition de nouvelles données). Les points de tension sont les seuls à véritablement pouvoir nous donner de nouvelles informations dans la mesure où ils nous obligent à regarder les choses différemment (par l’opposition par exemple), ou à expérimenter de nouvelles solutions (suite à un échec). Si nous ne disposions pas de ce mécanisme, il est clair que nous nous endormirions au bout de quelques temps et que, très rapidement, notre conscience et notre intellect s’étioleraient et ne nourriraient plus du tout notre cheminement.

Nous devons donc admettre que l’état de tension (guerre) et l’état de paix sont deux états complémentaires, présents en permanence en nous, et qu’il n’est nul besoin de quitter l’un pour atteindre l’autre et réciproquement. En fait la paix et la guerre sont les deux facettes d’une même réalité qui se nomme : l’être.

 Sarlat, le 30 août 2011, 22h18

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Appel aux Hommes et aux Femmes de cette Terre


Cet appel est un appel au secours. Un appel au secours pour la souffrance que je ressens lorsque je vous regarde.

Depuis longtemps je vous observe. Depuis longtemps je constate vos souffrances en me disant que la Conscience progresse, qu’il s’agit du chemin d’évolution normal de l’Homme, qu’il faut lui laisser le temps de comprendre ce qu’il est.

 Depuis longtemps, je me dis que, au-delà de toutes les souffrances que vous vous donnez et que vous donnez aux autres, il existe une conscience qui comprend ce qu’elle fait et que l’amour sous-tend tout cela.

 Depuis longtemps je patiente et attends de voir l’étincelle de lumière qui forcément jaillira de cette boue.

 Et aujourd’hui, je me dis que cela suffit.

 Peut-être suis-je plus fatigué que les autres jours. Peut-être que votre souffrance résonne plus fortement en moi aujourd’hui. Peut-être que tout simplement j’en ai marre de voir vos vies inutilement brulées à courir après des chimères.

 Alors, je m’adresse à vous Hommes de cette Terre.

 Je vois des vieux, souffrant dans leur corps parce que toute leur vie, ils n’ont été que mental, toute leur vie, ils ont vécu le contrôle de leur être, le contrôle de leurs émotions car on leur avait dit que c’était cela la vie, et qu’il fallait savoir contrôler ses désirs et ses émotions pour « réussir » dans la vie.

 Je vois ces vieux qui souffrent dans leur être, qui souffrent dans leur corps et qui, à la fin de leur vie, sont déposés dans des mouroirs, car on ne sait pas quoi faire pour gérer leur souffrance. Elles dérangent car elles font résonance aux vôtres, celles que vous ne voulez pas encore regarder. Plus personne ne peut et ne sait gérer les souffrances dans lesquels ils sont. Souffrance d’être, souffrance mentale, folie qui peu à peu les envahit de ne jamais avoir pu dire ce qu’ils étaient, de n’avoir pu jamais être ce qu’ils étaient, de n’avoir jamais pu aimer, de n’avoir jamais pu s’aimer.

Je vois des adultes. On dit qu’être adulte est être responsable. Ces adultes courent toujours après quelque chose. Ils courent après le compagnon ou la compagne et ils s’arrêtent quand ils pensent l’avoir trouvé. Ils courent après l’argent, après la réussite sociale, la belle maison, la belle voiture, la belle situation, les beaux voyages, la belle illusion en quelque sorte. Ils ne voient pas, car on ne leur a jamais dit que leur course est illusoire et qu’elle les dirige à pas de géant vers l’état de « vieux » où ils constateront qu’ils ont perdu leur être, qu’ils ont perdu leur temps et qu’ils ne savent plus qui ils sont.Appel aux hommes et aux femmes de cette terre

Je vois les enfants, déjà pollués par leurs parents. Car leurs parents, on leur a dit qu’il fallait élever leurs enfants comme on les avait élevé. On n’élève pas un enfant. On élève des poules, on élève des oies ou des vaches. Un enfant on devrait l’élever, c’est-à-dire le rendre plus grand que ce qu’il est.

 Et pourtant ces enfants, on les casse. On leur apprend ce qu’est la « vie ». Ils perdent leur vision. Ils perdent leurs connexions. Ils perdent rapidement, oh combien trop rapidement, leur joie de vivre, leur spontanéité, celle qui leur fait raconter des histoires, connecter à des mondes car on leur dit: « Ce n’est que des histoires ! Ce n’est pas la vraie vie! Regardes ce qu’est la vraie vie. C’est ce que les adultes vivent. C’est ce que les vieux ont vécu. C’est cela qu’il vous faut comprendre pour vivre ! »

 Et je vous vois, Femmes de cette Terre. Et je souffre avec vous.

 N’en avez-vous pas assez d’être martyrisées au nom de cette sacro-sainte société de consommation.

 N’en avez-vous pas assez de voir vos enfants abêtis, standardisés au nom des soit-disantes « valeurs morales » de cette société qui n’en possède qu’une (de valeur) celle de l’argent. N’en avez-vous pas assez de ne pas comprendre pourquoi ces enfants que vous avez porté dans votre chair s’éloignent aussi rapidement de vous, vous laissant un jour devenir « vieilles », jetées comme un rebut au fond de ces mouroirs que vous redoutez tant car rapidement vous demeurez les seules à visiter vos mères perdues dans ces mouroirs. Les hommes n’y vont plus. Cela leur fait trop peur.

 Pourtant vous savez combien vos enfants sont beaux, combien ils sont lumineux. Ils sont le « fruit de vos entrailles ». Vous savez combien sont riches leurs consciences que vous avez vu découvrir le monde lorsqu’ils étaient petits.

 Vous n’avez pas compris pourquoi ils devenaient si vite « sérieux », pourquoi ils s’éloignaient si vite de vous. Vous n’avez pas su quoi faire lorsque cela s’est inexorablement produit. Car on ne vous a pas expliqué qu’un être qui se trouve en mal d’amour, tout simplement parce que l’on ne lui a pas expliqué que l’amour était présent en lui et qu’il était normal qu’il le ressente, parce qu’on ne lui a pas expliqué qu’il était normal d’aimer et d’exprimer ses émotions, qu’un être comme cela se rétracte en lui et perd le chemin de l’amour. Et qu’en perdant ce chemin d’amour de lui-même, il se perd et perd les autres.

 Alors, vous aussi, vous avez pensé qu’il était normal que l’enfant s’éloigne, qu’il devait grandir et qu’en grandissant, il devenait sérieux, il devenait ingrat et que cela était « normal », dans l’ordre des choses, dans l’ordre de la vie. Et vous ne lui avez plus dit ; « Je t’aime », ne sachant pas que ces 7 lettres sont le « sésame » de la reconnaissance de soi et de l’ouverture de la Conscience.

 Alors j’ai envie de vous dire: ARRETEZ-VOUS !!!!

 Arrêtez-vous tous. Regardez ce que vous êtes devenus!

 Arrêtez de perdre votre vie. Arrêtez de mettre votre corps dans un tel stress de non-existence qui ne sait plus ce qu’il vit et qu’il ne peut plus que manifester Parkinson ou Alzheimer.

 Arrêtez de ne pas regarder ce que vous êtes, de ne pas aimer ce que vous êtes. Vous ne pouvez pas aimer ce que vous êtes, car ce que vous êtes n’est pas vous. Jamais vous n’avez pris le temps de regarder ce que vous êtes. Jamais vous ne vous êtes interrogés sur le sens de ce que viviez. Ou si vous l’avez fait, vous vous êtes vite retournés vers le superbe écran 3D nouvelle génération parce que vous aviez peur de ce que vous pressentiez, peur d’être obligés de remettre en question tout ce que vous vivez.

 Mais la Terre peut-elle encore longtemps supporter l’absence d’amour que vous vous donnez ?

 Peut-elle encore longtemps vous accompagner dans l’extraordinaire prétention et outrecuidance que vous déposez sur elle à chaque instant ?

 Peut-elle admettre encore longtemps que chacun de ses enfants est perdu dans un matérialisme sans sens ?

 Alors je vous regarde et je souffre.

 Je me dis qu’il n’est plus possible que l’Homme porte encore longtemps cette souffrance d’être, qu’il ne reconnaisse pas encore longtemps cette indicible insatisfaction qui le fait courir toute sa vie, pour voir au déclin de celle-ci que tout ce qu’il a cru, tout ce qu’il a cherché, tout ce qu’il a vécu a été vain. Enfin! Peut-être pas vain, mais tellement en deçà de ce qu’il aurait pu faire s’il avait simplement ouvert un peu les yeux, et se rappeler l’enfant qu’il était avant que l’adulte ne le casse.

 Hommes et Femmes de cette Terre, arrêtez de vous faire du mal…

 Reconnaissez-vous dans ce que vous êtes! Hommes et Femmes d’amour, hommes et femmes de cette Terre…

 Reconnaissez-vous et aimez-vous…

 Je vous aime.

 Sarlat, le 30 août 2011, 6h24

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ARRISTICE , un nouveau concept, point de passage vers l’Eterversel


La science connait depuis longtemps l’existence des interstices et du tissu interstitiel dans le corps humain. Le professeur Gauthier, père de la découverte du système endocrinien, découvreur de l’interstice, a mis en évidence l’absolu nécessité de l’interstice dans les échanges du corps et la santé.

 La notion d’interstice est moins connue dans la médecine énergétique. Elle est pourtant le lien d’échange exclusif des espaces quantiques, permettant aux temps et aux espaces de se relier entre eux. Nous parlerons alors de tissu « intersticiel ». Sans l’existence de ce tissu quantique, aucun espace-temps ne pourrait prendre naissance et la matière ne pourrait entrer en matérialisation, faute d’espace-temps disponible pour se déployer.

Il est important de comprendre qu’il existe des ponts, des points de liaison et de transfert dans les espaces et les temps et que faute de cela, rien n’existerait dans les univers.

 L’arristice met en évidence l’arrêt d’une conscience créatrice dans son voyage dans ce maillage. Par définition, la Conscience n’est pas un point fixe, ni un monolithe. Elle n’est que le mouvement d’un flux, d’une puissance, d’une énergie, que nous appelons « amour » dans notre champ de conscience mais qu’il serait plus juste de nommer « force étherverselle ». Elle anime ainsi l’ensemble de la trame spatio-temporelle et sert de vecteur énergétique et d’alimentation au réseau. Sans cette énergie, les branches de développement de nos mondes se scléroseraient et se dessécheraient pour mourir, comme un arbre qui manquerait d’eau, comme on peut le voir en voyageant dans certains mondes. Je me souviens de la vision d’une terre aride, emplie de poussière, desséchée, porteuse d’une indicible souffrance que j’ai contacté lors de mon réveil de l’opération du coeur que j’ai eu en 2008. Cette terre et l’indicible tristesse qui s’en dégageait était une terre ayant perdue sa connexion avec la trame étherverselle. Une terre morte et pourtant toujours matière. J’en retire une profonde tristesse qui est toujours inscrite en moi et je souhaite que notre planète ne connaisse jamais ce sort. Mais cela est une autre histoire et ce que nous ferons de notre planète nous appartient.

L’arristice est donc le point de convection constitué par l’arrêt de la Conscience sur un point de son développement déterminé, un point qu’elle décide d’explorer, créant ainsi une arborescence infinie porteuse de ses lois, de ses créations, de ses êtres et pouvant devenir une terre comme la nôtre, si telle est sa décision.

On pourrait penser que la Conscience est régie par une force supérieure qui « décide » de poser son attention et oeuvre. Il n’en est rien. Il n’existe pas de force supérieure. La force supérieure, c’est nous. Nous possédons la capacité de créer sans cesse ces allers-retours entre notre temporalité d’homme ou de femme et notre éternité. Cette éternité est porteuse de la Conscience. Elle est même LA Conscience. Il est vrai que nous ne nous regardons pas sous ce focal, pensant que nous sommes ridiculement insignifiants. Et c’est bien là qu’est notre piège : croire que nous ne sommes pas créateurs d’éternité. Nous rabaissant à l’état de simples humanoïdes impuissants, nous nous ôtons la puissance créatrice que nous possédons et rendons notre démarche d’une navrante densité. Peut-être ces quelques lignes donneront-elles à certains l’ouverture à un autre focal et la possibilité d’entre dans le paradigme étherversel ?

 Pour revenir à l’arristice, il est important de comprendre que notre monde prend naissance dans ce point de convection, que c’est de là qu’émanent nos lois, mais aussi la force qui est transférée dans notre paradigme pour obtenir l’énergie nécessaire à la création de toutes les formes de vie sur notre terre. C’est de là que s’architecture nos structures de vie, quelles qu’elles soient, que sont émises les lois de création de la matière jusqu’à nos propres structures corporelles ou matérielles. Il n’existe aucune séparation entre toutes ces structures puisqu’elles sont toutes évanescence du même point et toutes sources de conscience.

 Mais le point le plus important à mettre en conscience aujourd’hui dans les corps d’humanoïdes que nous sommes, est que ce point n’est qu’un point de transfert. Il agit en quelque sorte comme un goulot d’étranglement et de condensation de la force, de la conscience et de la matière, mais il constitue surtout le point de passage qui est à notre disposition pour entrer dans l’étherverselle et expérimenter et appréhender notre expérience d’éternité.

Nous ne « réparerons » pas la planète tant que nous ne serons pas conscients de notre nature étherverselle et éternelle. Et prenons garde de ne pas confondre éternité et immortalité. L’immortalité est le pendant de notre nature de mortel, c’est-à-dire d’humanoïde. Elle n’est en aucun cas le point de passage de notre nature d’éternité qui elle, comporte bien d’autres expériences de formes que l’état d’humanoïde. 

Ainsi le simple fait de se relier, par le biais de ce texte au point d’arristice qui nous émet, nous permet d’entrer dans un autre champ expérienciel et ainsi de commencer le redéploiement de ce que nous sommes réellement.

 Je vous remercie du temps que vous avez consacré à la lecture de ces lignes.

Sarlat, le 7 Août 2011 10h20 

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LA SCIENCE DE SYNTHESE


 La Science de Synthèse est constitué de toutes les techniques et moyens permettant d’accéder à la perception de la Conscience de Synthèse. Elle amène à la perception mentale, physique, spirituelle et philosophique de nos origines terrestres et stellaires.

Elle permet de localiser les systèmes de croyance qui oblitèrent nos champs de perception, de comprendre la nature de notre trajectoire de vie et de la replacer dans une vision élargie (que nous pourrions qualifier de cosmogonique).

 Pour ce faire, elle utilise des outils vibratoires (couleurs, cristaux, sons, etc;) qui constituent eux-mêmes des « Sous-sciences de Synthèse ». L’intégration de ces fréquences énergétiques et vibratoires permet d’éliminer les barrages à la compréhension de se que nous sommes et constituent autant de paliers nécessaires à la dissolution de nos systèmes de croyance personnels et collectifs. Seul le maintien de ces systèmes de croyances inculqués par notre éducation, notre famille ou l’inconscient de notre société nous bloque dans une perception et des facultés personnelles limitées. L’abolition de ces croyances et la compréhension des mécanismes de la Science de Synthèse donne à l’être humain le plein pouvoir de ses potentialités et lui permet de développer une vision globale de ce qu’il est et des différents moyens qu’il lui est possible de mettre en oeuvre pour réaliser l’étalonnage coda l qu’il porte en lui.

 La Science de Synthèse ne comporte pas un enseignement structuré comme pourrait le donner à penser le mot « science ». Il s’agit d’un ensemble de textes et d’observations empiriques sur les plans physiques, mentaux, psychologiques, philosophiques et spirituels créant un faisceau de convergences en direction d’une perception « nouvelle » de notre environnement. Le propre de la Science de Synthèse est d’activer des « champs de connaissance » présents au sein du corps humain, oubliés, mais pourtant inscrits dans une réalité tangible et exploitable. Par ce fait, la Science de Synthèse est une « non-science ».

Sarlat, le 4 septembre 2011, 5h34


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Prière du SAROS


Tu verras un jour, mon enfant.

Cette femme. Celle dont je t’ai parlé.

Cette femme dont mon père m’a parlé.

Et avant lui, le père de mon père.

Et son père avant ça.

Celle que nous espérons.

Du plus loin que nous puissions regarder tous ensemble.

Elle se présentera à toi. Je l’espère.

Fassent les eaux du monde que cela se passe de ton temps.

Et tu la reconnaitras.

Tu ne sauras pas comment mais, sans l’avoir jamais vue,

tu te rappelleras d’elle.

Et elle de toi.

Alors, tu l’accueilleras comme la mère des hommes.

Ce jour béni, tu seras enfin en paix.

Et les tiens aussi avec toi.

Car sera revenu le temps de la connaissance et de l’harmonie.

Et avec elles rejaillira l’esprit de l’Aratta.

Ainsi chanteront les hérauts de notre reine.

Jusqu’à ce que son retour emporte leurs prières dans le sable et le vent.

Texte sumérien

début du troisième millénaire av. J.-C.

Extrait du livre 2 « Malhorne » de Jérome Camut Editions Braguelonne

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CHOISIR SA DIRECTION


Le monde dans lequel nous vivons présente la fâcheuse tendance à standardiser nos choix. Les raisons en sont multiples. Très tôt, nos parents, porteurs de leurs systèmes de croyance et des aspirations qu’ils ont pour les chers bambins que nous sommes, nous chargent de leurs rêves et nous dirigent, consciemment ou inconsciemment, vers une direction donnée.

 Le système culturel et éducatif ne nous, et ne leur a pas appris, à prendre en considération l’écoute de l’enfant, et même si l’écoute est présente, la charge des stéréotypes est telle (réussir sa vie, accéder à la prospérité, être beau, être heureux, etc…) qu’elle déforme totalement l’observation des aspirations de ce cher bambin qui n’aura de cesse, d’ailleurs, car il sent que cela fait plaisir à ses parents, de répondre à ces stimuli conscients et inconscients et à suivre la « voie royale » dictée par ses parents. Par la suite, le mécanisme se répète.

 Le système éducatif prône la compétition. Il n’est question que d’être le meilleur, le plus fort, le plus performant, et là aussi, fi de ce que nous sommes, il nous faut tracer notre route vers la réussite sociale puisque tel est le mirage dicté par nos édiles. Là aussi, aucune prise en compte de ce que nous sommes réellement. C’est à travers la batterie d’examens et d’évaluation en tous genres que nous sommes dirigés, selon le bon vouloir du système, dans une direction que ne tient que rarement compte de ce que nous sommes.

choisir sa direction

choisir sa direction

 Formatés comme nous l’avons été depuis notre naissance, nous prenons ensuite le relais de ces systèmes, puisque nous devenons nous-mêmes les chantres d’une aspiration sociale à la réussite. A grand renfort de médias, de « people » et d’images toutes faites, nous nous construisons une image illusoire du bonheur, et nous nous mettons en quête de « l’âme soeur », comme ils disent, afin de trouver le bonheur et l’accomplissement.

 Nous trouvons alors un être qui porte les mêmes aspirations pré-fabriquées que nous. Nous unissons notre vie à lui ou elle, et nous traçons notre route ensemble comme de bons petits soldats ne se posant pas trop de questions dans la dure quête du bonheur à tout prix. Si nous ne le trouvons pas rapidement, qu’à cela ne tienne, nous allons poursuivre notre quête du compagnon ou de la compagne « idéale ». Au moins, pendant ce temps-là, nous serons occupés et nous ne nous poserons pas de questions qui remettraient en cause le système de formatage qui nous broie.

Seulement voilà, parfois un grain de sable vient enrayer cette belle mécanique par laquelle nos édiles manipulent les masses et les amènent à ne pas se poser de questions. Souvent, vers la quarantaine, parfois plus tôt pour certains, voire jamais pour d’autres, nous réalisons que nous sommes totalement frustrés, sans à aucun moment être capables de mettre des mots sur cette frustration. Nous entamons alors une remise en cause de tout ce qui fait notre vie, sans réellement savoir dans quelle direction aller, et surtout sans avoir de mode d’emploi pour la déterminer, ce qui ne va pas sans casse, car nous ne savons réellement pas dans quelle direction chercher.

La question première que nous devons nous poser est la suivante: « qui suis-je? »

Il est clair que sans une réponse parfaitement claire à cette question, nous n’allons pas pouvoir répondre à leurs corollaires: « De quoi est-ce que j’ai réellement envie? » et « Quels décisions et quels moyens je vais mettre en oeuvre pour réaliser mes aspirations? »

Comment répondre à cette fondamentale question existentielle, dans l’imboglio éducatif, culturel et émotionnel dont nous sommes chargés

Simplement en apprenant en tout premier lieu à regarder ce que nous ressentons, sans nullement nous préoccuper d’un futur ou d’un passé que nous ne sommes, par définition, pas capables d’appréhender puisque nous ne savons pas qui nous sommes.

Alors commence notre quête, celle qui nous permettra, à terme, de répondre à ces fondamentales questions et à déterminer le sens de ce que nous sommes et ce que nous décidons de faire de nos vies.

 Cette démarche nous permet, assez rapidement, de prendre la mesure du poids des croyances dans lesquelles nous sommes empêtrées. Certaines sont relativement faciles à localiser, d’autres moins. Le seul point qu’il est important de ne pas perdre de vue, au risque de se perdre soi-même, est que le socle sur lequel nous avons construit notre perception du monde est déformé, et que temps que nous ne remettons pas en question toutes les croyances dont nous sommes affublés, nous ne pouvons pas déterminer la direction à prendre pour construire notre réalisation personnelle.

Le seul étalonnage possible dans cette démarche où tous les paramètres sont faussés dès la naissance est constitué par le corps physique et ses ressentis. Lui seul sait quel est le point d’équilibre en toutes choses. Lui seul peut nous dire ce qui nous va ou ne nous va pas dans les innombrables questions auxquelles nous avons à répondre à chaque instant. Nous devons écouter ce corps à chaque instant en nous posant la question : « Qu’est-ce que je décides par rapport au choix que me propose la vie en cet instant ? Est-ce que mon corps me dit Oui ? Ou me dit-il Non ? »

Ce n’est qu’après un réapprentissage de notre faculté décisionnelle que nous pourrons nous dire: « Ca y est ! J’ai fait le bon choix. »

Sarlat, le 1er Août 2011 3h49   

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SYNCHRONICITE ET CONVERGENCE


Les dernières quarante huit heures m’ont apporté deux rencontres improbables qui ont mis en évidence pour moi l’extraordinaire puissance de résonance qui s’opérait aujourd’hui. Elles m’ont inspiré cet article et c’est un plaisir pour moi de partager cela avec vous.

 Ma vie d’enseignant s’est en quelque sorte découpée en quatre périodes :

– une première qui m’a permis d’explorer les grands enseignements de la Tradition (Kabbale, Théosophie, Hermétisme Chrétien, Traditions indiennes) et d’enseigner dans ces domaines (1991/1998) . Cette période a vu la naissance des ouvrages pour lesquels je suis le plus connu du grand public, bien qu’ils ne représentent plus que les fondations de ce que je fais maintenant.

– une période de transition qui a participé à la naissance de la première ligne de « Parfums de Couleur » puis mon éviction de ce travail (1999/2007). J’ai vécu ce temps dans une intense créativité et une profonde connexion avec d’autres champs de conscience. Cela m’a permis de publier le Manuel d’Insertion Galactique.

– a suivi une période de repli (2007/2009) Quadruple pontage coronarien en 2008. Intense réflexion sur la nature des évènements des 16 années écoulées. Travail de deuil sur des êtres, sur mon travail dont s’était approprié jusqu’aux membres de ma propre famille. Puis surtout, lâcher-prise sur tout et tout le monde et installation à Sarlat (Dordogne).

– aujourd’hui, mon travail se redéploie. Les choses se font toutes seules. Elles demandent un minimum d’effort et se réalisent très bien dans la Matière. Je suis donc dans cette phase, et je vois se représenter à moi des êtres que j’avais totalement perdu de vue dans les mouvements de toutes ces années, mais qui représentaient pour moi des énergies fondatrices m’ayant aidés dans mon cheminement, notamment dans la gestion de mon corps et de mon capital corporel.

Aussi, j’en viens à ces deux rencontres qui concernent toutes les deux un rapport très étroit avec ma santé. 

La première est de loin la plus spectaculaire. Je passais vendredi, revenant d ‘une réunion de chantier de la maison que nous rénovons à Sarlat. Je venais de garer la voiture dans le garage qui se trouve à 100 mètres du magasin. Je marchais sur le trottoir et soudain, je vois une voiture s’arrêter devant moi. Croyant que quelqu’un voulait me demander son chemin, je m’approche et à ma grande surprise, je vois le médecin de La Rochelle qui m’avait sauvé la vie en janvier 2008 en diagnostiquant mon problème cardiaque et en faisant en sorte de me faire rencontrer un cardiologue dans les deux heures qui suivaient. Il passait par hasard, rejoignant des amis qui les attendaient à trente kilomètres de là. Nous primes le temps d ‘échanger des nouvelles pendant quelques instants et nous nous promîmes de nous revoir ( je n’avais pas eu de ses nouvelles depuis début 2010, date de notre déménagement pour Sarlat).

synchronicité et convergence

synchronicité et convergence

 La deuxième a eu lieu ce soir. Il faisait extrêmement chaud et nous décidâmes d’aller nous baigner dans la Dordogne, à un endroit situé près de chez nous. Il était 18h. Il y avait peu de monde dans la rivière. Un couple et deux jeunes filles se baignaient à une centaines de mètres de l’endroit ou nous nous trouvions. Mon regard était attire vers ces personnes. Ils étaient beaux. Leur énergie était belle. Mais j’étais à contre-jour le regard face au soleil couchant. Je ne pouvais donc pas vraiment les détailler. Je sors de l’eau. La femme sort de l’eau également. Son énergie me faisait penser a quelqu’un mais comme souvent je n’y ait pas vraiment porté attention.

Je vois alors cette personne s’approcher de nous. Je la reconnais. Il s’agissait de ostéopathe qui m’avait accompagné durant des années et que j’avais complètement perdu de vue depuis six ans. Il s’agissait d’une des rares personnes qui m’avait touché car il est extrêmement délicat pour moi de faire toucher ma structure corporelle et énergétique par qui que ce soit.

 Elle était en vacances pour quelques jours et logeait dans le camping à côté de la rivière où nous étions. Nous échangeâmes quelques informations sur nos itinéraires réciproques et nous promîmes de nous revoir.

 Pourquoi vous raconter cela ? Je sais et vous savez que la synchronicité est une des composantes majeures de notre trajectoire, mettant à notre portée les évènements, les éléments et les rencontres nécessaires à notre évolution.

 Vous avez sûrement déjà constaté l’extraordinaire agencement des énergies qui met entre nos mains exactement ce qui nous est nécessaire pour évoluer. Pourtant, aujourd’hui, au- delà de cette synchronicité, je constate ce que nous pourrions appeler une convergence. Cette convergence est la rencontre de personnes s’étant déjà rencontrées dans cette vie ou d’autres et qui se retrouvent pour accomplir une oeuvre commune. Cela peut paraitre insignifiant. Néanmoins, il ne faut pas sous-estimer la puissance de ces convergences et du mouvement général qu’elles entrainent. Aussi portons l’attention sur ces points de convergence. Ne nous arrêtons pas au caractère anecdotique de cette magie de la synchronicité. Et regardons ce que nous avons à accomplir avec ces êtres qui se retrouvent à nouveau sur notre chemin.

Sarlat, le 21 aout 2011, 22h57  

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LETTRE D’AMOUR D’UN PERE A SON FILS


Je me suis souvent demandé ce que tu pensais de la vie et de moi, ton père. Très tôt, nous avons été séparés par la vie. Incompréhensions entre une femme (ta mère) et un homme (moi), visions de la vie différentes et toi.

 Toi au milieu de nos conflits, au milieu de notre amour, toi avec tes grands yeux sombres semblant me dire : »Qu’est-ce que vous faites ? » Malheureusement, à ton âge, les enfants n’ont pas droit à la parole, et notre vie s’est défaite, toi partant loin, moi en souffrance de toi, ne pouvant plus te regarder dormir, ne pouvant plus te regarder grandir.

 Alors, je me suis doucement éloigné. Eloigné parce qu’il n’y a pas d’école du divorce, comme il n’y a pas d’école des papas. Eloigné par ce que je ne savais pas comment gérer la souffrance de ton absence, je ne savais pas comment te dire « Tu me manques ! », « Que fais-tu ? », « Que penses-tu ? « , « Qu’aimes-tu ? »

La vie me permettait de te voir pendant « les vacances », comme si une « vacance » pouvait combler le vide de mon coeur.

 Alors, je me suis encore plus éloigné. La souffrance de ta mère a fait qu’elle a cru bon de rendre les choses encore plus compliquées pour te voir. La maladie a ensuite créé une distance supplémentaire. Je ne t’ai plus vu qu’aux « grandes vacances » comme ils disent, et moi, je me sentais encore plus « vacant ».

 Pourtant, le lien qui nous unit ne se dissolvait pas. Je sentais en toi le bonheur de me retrouver, moi, ton père fantôme. Je sentais, par un regard, par une expression de ta bouche, par la forme de ton corps, combien tu me ressembles.

 Et tu es arrivé, il y a quelques jours. Dix mois que je ne t’avais vu. Corps d’homme avec encore des traits de l’enfance. Magnifique corps portant la beauté et ma puissance. Je me reconnais en toi lorsque j’avais ton âge: 16 ans. 16 ans, l’âge des décisions, l’âge des grands émois, l’âge des grandes colères, celui où parfois on casse tout. Et surtout l’âge où on devient un homme.

 Alors, je te redécouvre. Je découvre surtout comme tu me ressembles. Tes idées sont les miennes. Je ne te les ai pourtant pas enseignées. Ton amour est le mien, mais cela ne t’est pas difficile. Tu as toujours porté un regard d’amour sur le monde. Et je suis fier. Fier d’avoir un si beau garçon. Fier de sentir ta sensibilité, même si parfois elle te fait mal. Fier d’observer le regard que tu portes sur le monde. Fier de ce que tu vas accomplir, même si je ne sais pas ce que l’homme que tu deviens fera. Fier d’être ton père et de voir comment les gens te regardent dans la rue, déjà sensibles au charisme que tu dégages. 

Et je te parle. Je te parle de ma vie d’homme, de mes visions, de mes colères, de ce qui me transporte. Et parfois, j’oublie que tu es là et que tu n’a pas encore vécu tout cela. Et j’ai l’impression de passer à côté de toi. Alors je pose mon bras sur tes larges épaules. J’ai du mal à réaliser que tu es tellement homme. Mais je sens que tu as encore besoin d’être embrassé, que tu as encore besoin de câlins.

Il est vrai que je suis probablement terriblement maladroit avec toi. Dans ma soif de ne pas te mentir, dans mon exigence de te montrer le monde, dans ma vision de la lumière qui émane de toi, je ne peux que te dire que je suis là, que te dire que je bois ta présence, que te dire que je vis ton essence. Dans ce bonheur timide, chargé de la peur de te louper, je ne peux que te dire :

« Je t’aime, mon fils ».

Sarlat, le 6 aout 2011, 21h36

Réponse de la «Lettre d’amour d’un père a son fils»

Très ému par ta lettre, je me suis mis en questionnement sur mes jugements par rapport à toi et la vie qui seras la mienne, mon avenir.

Certainement, je me suis demandé, étant plus jeune ce qu’il s’était passé réellement entre toi et ma mère. Maintenant que la vérité a fait surface plusieurs années après, je me rends compte, qui est vraiment dans le vrai, c’est-à-dire toi.

Toi mon père si grand, si fort, si tout ! J’ai toujours été en admiration envers toi. Que cela soit avec ton travail ou avec les gens que tu rencontres, au fur et à mesure que je passe du temps avec toi, je sens l’admiration et le respect qu’ils ont envers toi et ton travail. Tu es si important pour le monde, quelqu’un d’extraordinairement surprenant qui ne cesse de m’impressionner.

Je sens à présent l’amour que tu m’as toujours porté directement ou indirectement.

Je me remémore toujours une partie de ma vie que j’ai passé avec toi. Je devais avoir aux environs de 7-8 ans. J’avais passé les grandes vacances avec toi, un mois d’août. Je m’ennuyais affreusement et un jour, tu l’as senti. Tu m’avais alors proposé que, si je le souhaitais, je pouvais retourné chez moi en avion. Ce jour-là, je m’en suis voulu horriblement car j’ai senti t’avoir fait de la peine. J’ai versé toute les larmes de mon corps, je ne supportais pas te voir triste.

Je te transmet ça, pour te dire à quel point je t’aimais, et que je veux que tu le saches: cet amour n’a jamais disparu et ne disparaitra jamais.

Je t’aime! papa.

Sarlat, le 18 août 2011, 13h59.

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2012 – CASSER LE MENTAL ABANDONNER LA COMPREHENSION


Nous nous demandons souvent de quoi sera fait l’après 2012 et ce que nous en retirerons dans notre vie quotidienne. Il est indéniable que nous assistons à une formidable mutation des structures de nos sociétés et des modes de pensée.

 Nous terminons un cycle d’évolution de 25000 ans durant lequel, à travers différentes civilisations, l’homme a conquis son indépendance mentale et pris conscience à la fois de son humanité et de sa singularité individuelle. Ce qui est moins évident pour chacun est le chaos vers lequel semble nous pousser cette échéance sur le plan individuel et comment pouvons-nous nous adapter aux énergies en présence.

 Il s’agit pour nous aujourd’hui d’entrer dans une nouvelle expérience où nous devons vivre dans une mutation accélérée car notre planète émet cette évolution rapide sur le plan vibratoire et énergétique. Il s’ensuit une inadaptation de nos structures, sur tous les plans, face à cette nouvelle énergie.

 Qu’amène-t’elle ?

Elle nous demande de casser le mental en ne nous préoccupant plus de comprendre ce qui se passe dans notre vie. Nous avons été habitué à analyser les évènements de notre vie et à en analyser les composantes afin d’en extraire ce que nous appelions « leçon de vie » à travers les diverses expériences que nous pouvions aborder dans notre vie quotidienne. Nous en tirions des enseignements modifiant notre structure comportementales, notre vision des choses, et nous permettant de passer à l’étape suivante. Nous appelions cela « cheminer dans la conscience ». Ce mécanisme nous a permis de comprendre la place que nous occupons dans le monde et l’univers et de nous placer face à notre environnement. Nous y avons acquis notre conscience de l’individualité. Aujourd’hui, chaque individu sait qu’il est unique et différencié des autres et c’est cela le but que nous avions à atteindre durant ce cycle d’évolution de 25000 ans.

 Le 21 Décembre 2012, nous entamons un nouveau cycle de 25000 ans. Autant dire que nous sommes déjà dans la nouvelle énergie. Ce cycle est destiné à nous permettre de retrouver une conscience plus globale de ce que nous sommes, de retrouver nos filiations stellaires et universelles, et de reconstruire les facultés intellectuelles, vibratoires et énergétiques qui étaient les nôtres avant que nous nous incarnions sur cette planète, notamment dans nos fonctions extra-sensorielles et télépathes. N’oublions pas que nous n’utilisons actuellement qu’environ 10% de la capacité de notre cerveau.

 Aussi aujourd’hui, les évènements et les situations que nous vivons nous demandent de « casser le mental ». Nous ne pouvons plus, comme nous le faisions antérieurement, utiliser chaque éléments du quotidien comme moyen de transformation de la conscience. Si nous procédons encore comme cela, le mental nous conduit dans une impasse car son mode de fonctionnement ne peut que s’appuyer sur des éléments antérieurs pour tenter de comprendre ce qui se passe maintenant dans notre vie. L’analyse du Présent à travers des éléments du passé ne peut que nous conduire à des impasses, voire même à des catastrophes puisque les fréquences énergétiques d’aujourd’hui sont infiniment plus puissantes et transformatrices qu’antérieurement. De plus, la planète changeant de paradigme, il ne peut que s’établir de puissantes distorsions dans notre quotidien si nous procédons ainsi.

« Casser le mental » consiste à simplement vivre notre quotidien dans ce qu’il est sans tenter d’en tirer la moindre explication. Ce nouveau mode de fonctionnement demande une grande conscience puisque nous avons construit des millénaires d’automatisation d’un mental analytique basé sur la « force de l’expérience » (!!), nous amenant à tirer les conséquences et conclusions d’une expérience passée qui n’a aucun rapport avec le Présent et dont les conclusions seront par définition erronées et inadaptées.

casser le mental

casser le mental

 Vous serez alors tentés de dire : « Mais à quoi sert le mental alors ?? »

 Le mental sert à simplement prendre conscience que nous existons. Il sert à poser une distanciation entre ce que nous sommes et notre environnement. Il sert à ressentir le fait que nous sommes séparés de l’océan de conscience présent autour de nous (êtres animés et objets inanimés) et à être capable d’observer tous les éléments qui nous entourent. Le mental est l’élément qui sert au poisson dans le bocal de prendre conscience qu’il existe un bocal et qu’il est dans le bocal. Il prend alors conscience qu’il existe quelque chose au-delà du bocal.

 Alors de grâce, si nous voulons franchir cette étape avec le moins de casse possible, recentrons-nous exclusivement sur le moment présent et abandonnons la compréhension. Il n’y a plus rien à comprendre. 

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LA PENSEE ET LES JEUX DE L’EGO


Votre pensée est toujours juste. Elle est l’émanation des aspects inconscients et multidimensionnels de votre être et constitue la force de matérialisation de votre corps physique et des évènements que vous vivez. Elle crée votre monde et vos multiples réalités.

Il est pourtant hallucinant de constater combien vous ne prenez pas en compte, instantanément, l’émanation de votre pensée.

Souvent, la pensée vous apparait comme une fulgurance, face à une situation donnée. Pourtant, votre ego joue à l’apprentissage de la pensée et du raisonnement. Vous jouez à observer les multiples circonvolutions que votre mental crée, pour justifier le « cheminement » de votre pensée. Il n’existe pas de « cheminement » de la pensée. Le « cheminement  » est une production purement mentale. La pensée est dix mille fois plus rapide que la lumière. Autant dire que le temps qu’elle met pour émerger en vous et s’inscrire dans votre cerveau est de l’ordre d’une micro nano-seconde.

Le jeu de l’ego consiste à vous montrer le soit-disant « cheminement » de votre pensée (qui est en fait celui de votre mental) en vous posant en vous la croyance que vous apprenez ainsi quelque chose, que cela fait partie de la nature de votre expérience ou de votre apprentissage. En fait, ce soit-disant « cheminement » est une manipulation perverse de votre ego qui, par ce jeu, créé un système énergétique qui, sous prétexte de vous faire faire une expérience, met en place une charge énergétique polluant votre pensée.

La pensée et les jeux de l'ego

La pensée et les jeux de l'ego

Dans les faits, il est important de comprendre que, une fois cette énergie polluante créée, il est nécessaire que plusieurs heures s’écoulent pour qu’elle se dégage, même si vous en avez localisé le fonctionnement. Néanmoins, vous pouvez être certain que cette pollution se dégage puisque votre pensée est juste et qu’elle émet, par définition, une énergie d’alignement sur vos dimensions profondes et vos multiples réalités. Elle constitue le point de passage entre vos réalités et vous permet d’établir les ponts vous permettant de vous ouvrir à de nouveaux champs de conscience.

Le parasitage de l’ego retarde l’émission et la matérialisation de votre pensée de plusieurs heures, et par conséquent de plusieurs dimensions, retardant d’autant l’établissement d’une réalité équilibrée manifestant ce que vous êtes.

Il existe une très grave perversité dans ce mécanisme. Si vous laissez se multiplier ces jeux de l’ego, il peut arriver qu’à un moment donné, vous perdiez définitivement le fil de votre pensée. A ce moment-là, vous vous perdez dans des jeux mentaux dont vous ne saurez plus sortir car vous vous serez identifié à l’univers de votre mental. Vous serez alors immobilisé dans les limbes, confondant pensée et mental, situation se soldant par une grave crise existentielle et surtout une incapacité à réaliser dans le quotidien un monde à votre convenance. Vous devenez alors la proie idéale de tous les faux prophètes, les gourous et surtout de notre société de consommation vous entraient dans un consumérisme aussi insatisfaisant qu’improductif.

Sarlat, le 14 août 2011 15h59

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