La Science de Synthèse est constitué de toutes les techniques et moyens permettant d’accéder à la perception de la Conscience de Synthèse. Elle amène à la perception mentale, physique, spirituelle et philosophique de nos origines terrestres et stellaires.
Elle permet de localiser les systèmes de croyance qui oblitèrent nos champs de perception, de comprendre la nature de notre trajectoire de vie et de la replacer dans une vision élargie (que nous pourrions qualifier de cosmogonique).
Pour ce faire, elle utilise des outils vibratoires (couleurs, cristaux, sons, etc;) qui constituent eux-mêmes des « Sous-sciences de Synthèse ». L’intégration de ces fréquences énergétiques et vibratoires permet d’éliminer les barrages à la compréhension de se que nous sommes et constituent autant de paliers nécessaires à la dissolution de nos systèmes de croyance personnels et collectifs. Seul le maintien de ces systèmes de croyances inculqués par notre éducation, notre famille ou l’inconscient de notre société nous bloque dans une perception et des facultés personnelles limitées. L’abolition de ces croyances et la compréhension des mécanismes de la Science de Synthèse donne à l’être humain le plein pouvoir de ses potentialités et lui permet de développer une vision globale de ce qu’il est et des différents moyens qu’il lui est possible de mettre en oeuvre pour réaliser l’étalonnage coda l qu’il porte en lui.
La Science de Synthèse ne comporte pas un enseignement structuré comme pourrait le donner à penser le mot « science ». Il s’agit d’un ensemble de textes et d’observations empiriques sur les plans physiques, mentaux, psychologiques, philosophiques et spirituels créant un faisceau de convergences en direction d’une perception « nouvelle » de notre environnement. Le propre de la Science de Synthèse est d’activer des « champs de connaissance » présents au sein du corps humain, oubliés, mais pourtant inscrits dans une réalité tangible et exploitable. Par ce fait, la Science de Synthèse est une « non-science ».
Sarlat, le 4 septembre 2011, 5h34