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Une réflexion, au sortir d’une méditation, sur la nature de l’Homme
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, CHROMOTEM, CHRONO CLASSEUR, Daniel Briez, HUMEUR, PARFUMS DE COULEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 6 septembre 2011
Difficile de mettre des mots sur ce que je sens tant cela est multiple.
Je suis multiple. Je suis les mondes. Je sais les ordres et les désordres. Je capte les futurs désirés par la Terre. Je sais ce vers quoi elle tend. Je connais les chaos prédictibles. Je me sais et me sens depuis toute Eternité partie prenante dans cette inénarrable architecture.
Pourtant, quelque chose de nouveau émerge.
Pas vraiment nouveau en fait. Plutôt émergeant d’une éonière mémoire, celle d’un âge oublié, sans âge.
J’ai/nous avons déjà connu cela. Mais il y a tellement longtemps…
Tellement que je n’ose fixer ma vision dessus de peur d’y croire. Peur que nous passions encore une fois à côté. Peur encore de manquer ma création.
Je suis multiple.
Je me sens un enfant, conscient mais enfant quand même, conscient de sa Conscience, Mais conscient aussi de l’émerveillement qu’il y a à laisser « Cela » se créer.
Je ne sais pas encore ce qu’est « Cela ».
Ou plutôt, je ne veux pas le formuler, de peur que le poids de ma pensée le fasse s’échapper.
« Cela » est grandiose. Géant. Doux. Merveilleux. Tendre. Immense.
« Cela » impacte les Univers et transforme les mondes, au sens matière du terme.
« Cela » redonne à l’être la dimension qu’il a perdu depuis qu’il a oublié sa Mémoire.
C’est immense.
La sensation que j’en ai est intime. Comme une minuscule vibration au cœur de la plus infime parcelle de mon coeur. Fragile. Délicate. Comme un duvet porté par le vent.
Et pourtant porteuse de la plus ultime puissance. Celle qui crée et détruit les Univers.
Je me sens aussi, multiple et porteur d’étoiles, comme je l’ai toujours été.
Je ressens la puissance de convection et de transformation de cette délicate et incommensurable puissance émergeante.
Alors je me garde bien de fixer quoique ce soit.
Je sais que cela est en lien avec mon parcours d’homme, celui qui rencontre aussi celle qu’il n’attendait pas (ou plus?).
Alors je me contente de vivre ma matière. Je suis là, dans ma nouvelle maison, attendant que les électriciens pose un branchement provisoire (??). Quelle image !
Je suis serein, tranquille, comme si je savais que j’avais attendu cet instant longtemps, tout en sachant que, forcément, il se poserait dans cette vie.
Je suis tranquille. Mon corps n’attends plus.
Je prends conscience maintenant que depuis ma naissance sur cette Terre, il a attendu.
Je me sens revenir à mes sources. C’est indescriptible mais tranquille.
Portant toutes les lignes de force que je perçois sont violemment en mouvement, comme des fouets qui claquent.
Les mondes basculent.
D’autres surgissent du néant, se matérialisant en provenance d’espaces-temps inaccessibles jusqu’à présent.
Un chaos harmonieux, créant au sens propre du terme un nouvel univers.
Et je sens simultanément cette filiation profonde avec la terre égyptienne, avec toutes mes vies, avec tous les êtres qui font partie intégrante de ce périple et qui œuvrent dans leurs sphères.
Je sais que cela pose une profonde réalisation énergétique sur la terre de France et sur Sarlat.
Voilà.
Quelques mots. Quelques ressentis. Dans une immensité en mouvement. Dans la mouvance des créateurs de mondes. Dans la Paix en marche.
A vous tous.
Sarlat, le 4 septembre 2011, 5h54
LA PAIX N’EST PAS L’ANTINOMIE DE LA GUERRE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 3 septembre 2011
Il me semble important d’attirer votre attention sur un point qui s’avère un grave barrage au développement personnel et à l’intégration de soi.
Un des points les plus importants dans l’intégration de l’être est de s’appuyer sur sa propre capacité de pacification pour découvrir de nouveaux champs d’expérience et atteindre l’équilibre.
Dans l’inconscient de l’individu, la croyance est puissante qui consiste à penser que pour trouver un équilibre de vie, il faut éliminer en soi tous les points de tension intérieure, c’est-à-dire tous les états de guerre ou de conflits, conscients ou inconscients, présents en nous.
Nous cherchons donc tous les moyens et méthodes pour aboutir à ce résultat, sans grand succès. Nous y arrivons pendant quelques temps, puis un évènement ou une personne viennent rompre cet équilibre et tout est à recommencer. Nous ressentons souvent cela comme un échec, une incapacité de notre part à nous stabiliser et à poser la paix en nous.
Cette frustration repose sur la recherche d’un état qui ne peut exister en nous et qui toujours s’avèrera impossible à atteindre. Pourquoi ?
Tout simplement parce que l’évolution de la Conscience dans un corps humanoïde repose sur l’alternance entre des périodes de calme (intégration) et de points de grandes tensions (acquisition de nouvelles données). Les points de tension sont les seuls à véritablement pouvoir nous donner de nouvelles informations dans la mesure où ils nous obligent à regarder les choses différemment (par l’opposition par exemple), ou à expérimenter de nouvelles solutions (suite à un échec). Si nous ne disposions pas de ce mécanisme, il est clair que nous nous endormirions au bout de quelques temps et que, très rapidement, notre conscience et notre intellect s’étioleraient et ne nourriraient plus du tout notre cheminement.
Nous devons donc admettre que l’état de tension (guerre) et l’état de paix sont deux états complémentaires, présents en permanence en nous, et qu’il n’est nul besoin de quitter l’un pour atteindre l’autre et réciproquement. En fait la paix et la guerre sont les deux facettes d’une même réalité qui se nomme : l’être.
Sarlat, le 30 août 2011, 22h18
Appel aux Hommes et aux Femmes de cette Terre
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 30 août 2011
Cet appel est un appel au secours. Un appel au secours pour la souffrance que je ressens lorsque je vous regarde.
Depuis longtemps je vous observe. Depuis longtemps je constate vos souffrances en me disant que la Conscience progresse, qu’il s’agit du chemin d’évolution normal de l’Homme, qu’il faut lui laisser le temps de comprendre ce qu’il est.
Depuis longtemps, je me dis que, au-delà de toutes les souffrances que vous vous donnez et que vous donnez aux autres, il existe une conscience qui comprend ce qu’elle fait et que l’amour sous-tend tout cela.
Depuis longtemps je patiente et attends de voir l’étincelle de lumière qui forcément jaillira de cette boue.
Et aujourd’hui, je me dis que cela suffit.
Peut-être suis-je plus fatigué que les autres jours. Peut-être que votre souffrance résonne plus fortement en moi aujourd’hui. Peut-être que tout simplement j’en ai marre de voir vos vies inutilement brulées à courir après des chimères.
Alors, je m’adresse à vous Hommes de cette Terre.
Je vois des vieux, souffrant dans leur corps parce que toute leur vie, ils n’ont été que mental, toute leur vie, ils ont vécu le contrôle de leur être, le contrôle de leurs émotions car on leur avait dit que c’était cela la vie, et qu’il fallait savoir contrôler ses désirs et ses émotions pour « réussir » dans la vie.
Je vois ces vieux qui souffrent dans leur être, qui souffrent dans leur corps et qui, à la fin de leur vie, sont déposés dans des mouroirs, car on ne sait pas quoi faire pour gérer leur souffrance. Elles dérangent car elles font résonance aux vôtres, celles que vous ne voulez pas encore regarder. Plus personne ne peut et ne sait gérer les souffrances dans lesquels ils sont. Souffrance d’être, souffrance mentale, folie qui peu à peu les envahit de ne jamais avoir pu dire ce qu’ils étaient, de n’avoir pu jamais être ce qu’ils étaient, de n’avoir jamais pu aimer, de n’avoir jamais pu s’aimer.
Je vois des adultes. On dit qu’être adulte est être responsable. Ces adultes courent toujours après quelque chose. Ils courent après le compagnon ou la compagne et ils s’arrêtent quand ils pensent l’avoir trouvé. Ils courent après l’argent, après la réussite sociale, la belle maison, la belle voiture, la belle situation, les beaux voyages, la belle illusion en quelque sorte. Ils ne voient pas, car on ne leur a jamais dit que leur course est illusoire et qu’elle les dirige à pas de géant vers l’état de « vieux » où ils constateront qu’ils ont perdu leur être, qu’ils ont perdu leur temps et qu’ils ne savent plus qui ils sont.
Je vois les enfants, déjà pollués par leurs parents. Car leurs parents, on leur a dit qu’il fallait élever leurs enfants comme on les avait élevé. On n’élève pas un enfant. On élève des poules, on élève des oies ou des vaches. Un enfant on devrait l’élever, c’est-à-dire le rendre plus grand que ce qu’il est.
Et pourtant ces enfants, on les casse. On leur apprend ce qu’est la « vie ». Ils perdent leur vision. Ils perdent leurs connexions. Ils perdent rapidement, oh combien trop rapidement, leur joie de vivre, leur spontanéité, celle qui leur fait raconter des histoires, connecter à des mondes car on leur dit: « Ce n’est que des histoires ! Ce n’est pas la vraie vie! Regardes ce qu’est la vraie vie. C’est ce que les adultes vivent. C’est ce que les vieux ont vécu. C’est cela qu’il vous faut comprendre pour vivre ! »
Et je vous vois, Femmes de cette Terre. Et je souffre avec vous.
N’en avez-vous pas assez d’être martyrisées au nom de cette sacro-sainte société de consommation.
N’en avez-vous pas assez de voir vos enfants abêtis, standardisés au nom des soit-disantes « valeurs morales » de cette société qui n’en possède qu’une (de valeur) celle de l’argent. N’en avez-vous pas assez de ne pas comprendre pourquoi ces enfants que vous avez porté dans votre chair s’éloignent aussi rapidement de vous, vous laissant un jour devenir « vieilles », jetées comme un rebut au fond de ces mouroirs que vous redoutez tant car rapidement vous demeurez les seules à visiter vos mères perdues dans ces mouroirs. Les hommes n’y vont plus. Cela leur fait trop peur.
Pourtant vous savez combien vos enfants sont beaux, combien ils sont lumineux. Ils sont le « fruit de vos entrailles ». Vous savez combien sont riches leurs consciences que vous avez vu découvrir le monde lorsqu’ils étaient petits.
Vous n’avez pas compris pourquoi ils devenaient si vite « sérieux », pourquoi ils s’éloignaient si vite de vous. Vous n’avez pas su quoi faire lorsque cela s’est inexorablement produit. Car on ne vous a pas expliqué qu’un être qui se trouve en mal d’amour, tout simplement parce que l’on ne lui a pas expliqué que l’amour était présent en lui et qu’il était normal qu’il le ressente, parce qu’on ne lui a pas expliqué qu’il était normal d’aimer et d’exprimer ses émotions, qu’un être comme cela se rétracte en lui et perd le chemin de l’amour. Et qu’en perdant ce chemin d’amour de lui-même, il se perd et perd les autres.
Alors, vous aussi, vous avez pensé qu’il était normal que l’enfant s’éloigne, qu’il devait grandir et qu’en grandissant, il devenait sérieux, il devenait ingrat et que cela était « normal », dans l’ordre des choses, dans l’ordre de la vie. Et vous ne lui avez plus dit ; « Je t’aime », ne sachant pas que ces 7 lettres sont le « sésame » de la reconnaissance de soi et de l’ouverture de la Conscience.
Alors j’ai envie de vous dire: ARRETEZ-VOUS !!!!
Arrêtez-vous tous. Regardez ce que vous êtes devenus!
Arrêtez de perdre votre vie. Arrêtez de mettre votre corps dans un tel stress de non-existence qui ne sait plus ce qu’il vit et qu’il ne peut plus que manifester Parkinson ou Alzheimer.
Arrêtez de ne pas regarder ce que vous êtes, de ne pas aimer ce que vous êtes. Vous ne pouvez pas aimer ce que vous êtes, car ce que vous êtes n’est pas vous. Jamais vous n’avez pris le temps de regarder ce que vous êtes. Jamais vous ne vous êtes interrogés sur le sens de ce que viviez. Ou si vous l’avez fait, vous vous êtes vite retournés vers le superbe écran 3D nouvelle génération parce que vous aviez peur de ce que vous pressentiez, peur d’être obligés de remettre en question tout ce que vous vivez.
Mais la Terre peut-elle encore longtemps supporter l’absence d’amour que vous vous donnez ?
Peut-elle encore longtemps vous accompagner dans l’extraordinaire prétention et outrecuidance que vous déposez sur elle à chaque instant ?
Peut-elle admettre encore longtemps que chacun de ses enfants est perdu dans un matérialisme sans sens ?
Alors je vous regarde et je souffre.
Je me dis qu’il n’est plus possible que l’Homme porte encore longtemps cette souffrance d’être, qu’il ne reconnaisse pas encore longtemps cette indicible insatisfaction qui le fait courir toute sa vie, pour voir au déclin de celle-ci que tout ce qu’il a cru, tout ce qu’il a cherché, tout ce qu’il a vécu a été vain. Enfin! Peut-être pas vain, mais tellement en deçà de ce qu’il aurait pu faire s’il avait simplement ouvert un peu les yeux, et se rappeler l’enfant qu’il était avant que l’adulte ne le casse.
Hommes et Femmes de cette Terre, arrêtez de vous faire du mal…
Reconnaissez-vous dans ce que vous êtes! Hommes et Femmes d’amour, hommes et femmes de cette Terre…
Reconnaissez-vous et aimez-vous…
Je vous aime.
Sarlat, le 30 août 2011, 6h24
ARRISTICE , un nouveau concept, point de passage vers l’Eterversel
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, Daniel Briez, PUBLICATIONS, SCIENCE DE SYNTHESE le 27 août 2011
La science connait depuis longtemps l’existence des interstices et du tissu interstitiel dans le corps humain. Le professeur Gauthier, père de la découverte du système endocrinien, découvreur de l’interstice, a mis en évidence l’absolu nécessité de l’interstice dans les échanges du corps et la santé.
La notion d’interstice est moins connue dans la médecine énergétique. Elle est pourtant le lien d’échange exclusif des espaces quantiques, permettant aux temps et aux espaces de se relier entre eux. Nous parlerons alors de tissu « intersticiel ». Sans l’existence de ce tissu quantique, aucun espace-temps ne pourrait prendre naissance et la matière ne pourrait entrer en matérialisation, faute d’espace-temps disponible pour se déployer.
Il est important de comprendre qu’il existe des ponts, des points de liaison et de transfert dans les espaces et les temps et que faute de cela, rien n’existerait dans les univers.
L’arristice met en évidence l’arrêt d’une conscience créatrice dans son voyage dans ce maillage. Par définition, la Conscience n’est pas un point fixe, ni un monolithe. Elle n’est que le mouvement d’un flux, d’une puissance, d’une énergie, que nous appelons « amour » dans notre champ de conscience mais qu’il serait plus juste de nommer « force étherverselle ». Elle anime ainsi l’ensemble de la trame spatio-temporelle et sert de vecteur énergétique et d’alimentation au réseau. Sans cette énergie, les branches de développement de nos mondes se scléroseraient et se dessécheraient pour mourir, comme un arbre qui manquerait d’eau, comme on peut le voir en voyageant dans certains mondes. Je me souviens de la vision d’une terre aride, emplie de poussière, desséchée, porteuse d’une indicible souffrance que j’ai contacté lors de mon réveil de l’opération du coeur que j’ai eu en 2008. Cette terre et l’indicible tristesse qui s’en dégageait était une terre ayant perdue sa connexion avec la trame étherverselle. Une terre morte et pourtant toujours matière. J’en retire une profonde tristesse qui est toujours inscrite en moi et je souhaite que notre planète ne connaisse jamais ce sort. Mais cela est une autre histoire et ce que nous ferons de notre planète nous appartient.
L’arristice est donc le point de convection constitué par l’arrêt de la Conscience sur un point de son développement déterminé, un point qu’elle décide d’explorer, créant ainsi une arborescence infinie porteuse de ses lois, de ses créations, de ses êtres et pouvant devenir une terre comme la nôtre, si telle est sa décision.
On pourrait penser que la Conscience est régie par une force supérieure qui « décide » de poser son attention et oeuvre. Il n’en est rien. Il n’existe pas de force supérieure. La force supérieure, c’est nous. Nous possédons la capacité de créer sans cesse ces allers-retours entre notre temporalité d’homme ou de femme et notre éternité. Cette éternité est porteuse de la Conscience. Elle est même LA Conscience. Il est vrai que nous ne nous regardons pas sous ce focal, pensant que nous sommes ridiculement insignifiants. Et c’est bien là qu’est notre piège : croire que nous ne sommes pas créateurs d’éternité. Nous rabaissant à l’état de simples humanoïdes impuissants, nous nous ôtons la puissance créatrice que nous possédons et rendons notre démarche d’une navrante densité. Peut-être ces quelques lignes donneront-elles à certains l’ouverture à un autre focal et la possibilité d’entre dans le paradigme étherversel ?
Pour revenir à l’arristice, il est important de comprendre que notre monde prend naissance dans ce point de convection, que c’est de là qu’émanent nos lois, mais aussi la force qui est transférée dans notre paradigme pour obtenir l’énergie nécessaire à la création de toutes les formes de vie sur notre terre. C’est de là que s’architecture nos structures de vie, quelles qu’elles soient, que sont émises les lois de création de la matière jusqu’à nos propres structures corporelles ou matérielles. Il n’existe aucune séparation entre toutes ces structures puisqu’elles sont toutes évanescence du même point et toutes sources de conscience.
Mais le point le plus important à mettre en conscience aujourd’hui dans les corps d’humanoïdes que nous sommes, est que ce point n’est qu’un point de transfert. Il agit en quelque sorte comme un goulot d’étranglement et de condensation de la force, de la conscience et de la matière, mais il constitue surtout le point de passage qui est à notre disposition pour entrer dans l’étherverselle et expérimenter et appréhender notre expérience d’éternité.
Nous ne « réparerons » pas la planète tant que nous ne serons pas conscients de notre nature étherverselle et éternelle. Et prenons garde de ne pas confondre éternité et immortalité. L’immortalité est le pendant de notre nature de mortel, c’est-à-dire d’humanoïde. Elle n’est en aucun cas le point de passage de notre nature d’éternité qui elle, comporte bien d’autres expériences de formes que l’état d’humanoïde.
Ainsi le simple fait de se relier, par le biais de ce texte au point d’arristice qui nous émet, nous permet d’entrer dans un autre champ expérienciel et ainsi de commencer le redéploiement de ce que nous sommes réellement.
Je vous remercie du temps que vous avez consacré à la lecture de ces lignes.
Sarlat, le 7 Août 2011 10h20
CHOISIR SA DIRECTION
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 24 août 2011
Le monde dans lequel nous vivons présente la fâcheuse tendance à standardiser nos choix. Les raisons en sont multiples. Très tôt, nos parents, porteurs de leurs systèmes de croyance et des aspirations qu’ils ont pour les chers bambins que nous sommes, nous chargent de leurs rêves et nous dirigent, consciemment ou inconsciemment, vers une direction donnée.
Le système culturel et éducatif ne nous, et ne leur a pas appris, à prendre en considération l’écoute de l’enfant, et même si l’écoute est présente, la charge des stéréotypes est telle (réussir sa vie, accéder à la prospérité, être beau, être heureux, etc…) qu’elle déforme totalement l’observation des aspirations de ce cher bambin qui n’aura de cesse, d’ailleurs, car il sent que cela fait plaisir à ses parents, de répondre à ces stimuli conscients et inconscients et à suivre la « voie royale » dictée par ses parents. Par la suite, le mécanisme se répète.
Le système éducatif prône la compétition. Il n’est question que d’être le meilleur, le plus fort, le plus performant, et là aussi, fi de ce que nous sommes, il nous faut tracer notre route vers la réussite sociale puisque tel est le mirage dicté par nos édiles. Là aussi, aucune prise en compte de ce que nous sommes réellement. C’est à travers la batterie d’examens et d’évaluation en tous genres que nous sommes dirigés, selon le bon vouloir du système, dans une direction que ne tient que rarement compte de ce que nous sommes.
Formatés comme nous l’avons été depuis notre naissance, nous prenons ensuite le relais de ces systèmes, puisque nous devenons nous-mêmes les chantres d’une aspiration sociale à la réussite. A grand renfort de médias, de « people » et d’images toutes faites, nous nous construisons une image illusoire du bonheur, et nous nous mettons en quête de « l’âme soeur », comme ils disent, afin de trouver le bonheur et l’accomplissement.
Nous trouvons alors un être qui porte les mêmes aspirations pré-fabriquées que nous. Nous unissons notre vie à lui ou elle, et nous traçons notre route ensemble comme de bons petits soldats ne se posant pas trop de questions dans la dure quête du bonheur à tout prix. Si nous ne le trouvons pas rapidement, qu’à cela ne tienne, nous allons poursuivre notre quête du compagnon ou de la compagne « idéale ». Au moins, pendant ce temps-là, nous serons occupés et nous ne nous poserons pas de questions qui remettraient en cause le système de formatage qui nous broie.
Seulement voilà, parfois un grain de sable vient enrayer cette belle mécanique par laquelle nos édiles manipulent les masses et les amènent à ne pas se poser de questions. Souvent, vers la quarantaine, parfois plus tôt pour certains, voire jamais pour d’autres, nous réalisons que nous sommes totalement frustrés, sans à aucun moment être capables de mettre des mots sur cette frustration. Nous entamons alors une remise en cause de tout ce qui fait notre vie, sans réellement savoir dans quelle direction aller, et surtout sans avoir de mode d’emploi pour la déterminer, ce qui ne va pas sans casse, car nous ne savons réellement pas dans quelle direction chercher.
La question première que nous devons nous poser est la suivante: « qui suis-je? »
Il est clair que sans une réponse parfaitement claire à cette question, nous n’allons pas pouvoir répondre à leurs corollaires: « De quoi est-ce que j’ai réellement envie? » et « Quels décisions et quels moyens je vais mettre en oeuvre pour réaliser mes aspirations? »
Comment répondre à cette fondamentale question existentielle, dans l’imboglio éducatif, culturel et émotionnel dont nous sommes chargés
Simplement en apprenant en tout premier lieu à regarder ce que nous ressentons, sans nullement nous préoccuper d’un futur ou d’un passé que nous ne sommes, par définition, pas capables d’appréhender puisque nous ne savons pas qui nous sommes.
Alors commence notre quête, celle qui nous permettra, à terme, de répondre à ces fondamentales questions et à déterminer le sens de ce que nous sommes et ce que nous décidons de faire de nos vies.
Cette démarche nous permet, assez rapidement, de prendre la mesure du poids des croyances dans lesquelles nous sommes empêtrées. Certaines sont relativement faciles à localiser, d’autres moins. Le seul point qu’il est important de ne pas perdre de vue, au risque de se perdre soi-même, est que le socle sur lequel nous avons construit notre perception du monde est déformé, et que temps que nous ne remettons pas en question toutes les croyances dont nous sommes affublés, nous ne pouvons pas déterminer la direction à prendre pour construire notre réalisation personnelle.
Le seul étalonnage possible dans cette démarche où tous les paramètres sont faussés dès la naissance est constitué par le corps physique et ses ressentis. Lui seul sait quel est le point d’équilibre en toutes choses. Lui seul peut nous dire ce qui nous va ou ne nous va pas dans les innombrables questions auxquelles nous avons à répondre à chaque instant. Nous devons écouter ce corps à chaque instant en nous posant la question : « Qu’est-ce que je décides par rapport au choix que me propose la vie en cet instant ? Est-ce que mon corps me dit Oui ? Ou me dit-il Non ? »
Ce n’est qu’après un réapprentissage de notre faculté décisionnelle que nous pourrons nous dire: « Ca y est ! J’ai fait le bon choix. »
Sarlat, le 1er Août 2011 3h49
LETTRE D’AMOUR D’UN PERE A SON FILS
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 24 août 2011
Je me suis souvent demandé ce que tu pensais de la vie et de moi, ton père. Très tôt, nous avons été séparés par la vie. Incompréhensions entre une femme (ta mère) et un homme (moi), visions de la vie différentes et toi.
Toi au milieu de nos conflits, au milieu de notre amour, toi avec tes grands yeux sombres semblant me dire : »Qu’est-ce que vous faites ? » Malheureusement, à ton âge, les enfants n’ont pas droit à la parole, et notre vie s’est défaite, toi partant loin, moi en souffrance de toi, ne pouvant plus te regarder dormir, ne pouvant plus te regarder grandir.
Alors, je me suis doucement éloigné. Eloigné parce qu’il n’y a pas d’école du divorce, comme il n’y a pas d’école des papas. Eloigné par ce que je ne savais pas comment gérer la souffrance de ton absence, je ne savais pas comment te dire « Tu me manques ! », « Que fais-tu ? », « Que penses-tu ? « , « Qu’aimes-tu ? »
La vie me permettait de te voir pendant « les vacances », comme si une « vacance » pouvait combler le vide de mon coeur.
Alors, je me suis encore plus éloigné. La souffrance de ta mère a fait qu’elle a cru bon de rendre les choses encore plus compliquées pour te voir. La maladie a ensuite créé une distance supplémentaire. Je ne t’ai plus vu qu’aux « grandes vacances » comme ils disent, et moi, je me sentais encore plus « vacant ».
Pourtant, le lien qui nous unit ne se dissolvait pas. Je sentais en toi le bonheur de me retrouver, moi, ton père fantôme. Je sentais, par un regard, par une expression de ta bouche, par la forme de ton corps, combien tu me ressembles.
Et tu es arrivé, il y a quelques jours. Dix mois que je ne t’avais vu. Corps d’homme avec encore des traits de l’enfance. Magnifique corps portant la beauté et ma puissance. Je me reconnais en toi lorsque j’avais ton âge: 16 ans. 16 ans, l’âge des décisions, l’âge des grands émois, l’âge des grandes colères, celui où parfois on casse tout. Et surtout l’âge où on devient un homme.
Alors, je te redécouvre. Je découvre surtout comme tu me ressembles. Tes idées sont les miennes. Je ne te les ai pourtant pas enseignées. Ton amour est le mien, mais cela ne t’est pas difficile. Tu as toujours porté un regard d’amour sur le monde. Et je suis fier. Fier d’avoir un si beau garçon. Fier de sentir ta sensibilité, même si parfois elle te fait mal. Fier d’observer le regard que tu portes sur le monde. Fier de ce que tu vas accomplir, même si je ne sais pas ce que l’homme que tu deviens fera. Fier d’être ton père et de voir comment les gens te regardent dans la rue, déjà sensibles au charisme que tu dégages.
Et je te parle. Je te parle de ma vie d’homme, de mes visions, de mes colères, de ce qui me transporte. Et parfois, j’oublie que tu es là et que tu n’a pas encore vécu tout cela. Et j’ai l’impression de passer à côté de toi. Alors je pose mon bras sur tes larges épaules. J’ai du mal à réaliser que tu es tellement homme. Mais je sens que tu as encore besoin d’être embrassé, que tu as encore besoin de câlins.
Il est vrai que je suis probablement terriblement maladroit avec toi. Dans ma soif de ne pas te mentir, dans mon exigence de te montrer le monde, dans ma vision de la lumière qui émane de toi, je ne peux que te dire que je suis là, que te dire que je bois ta présence, que te dire que je vis ton essence. Dans ce bonheur timide, chargé de la peur de te louper, je ne peux que te dire :
« Je t’aime, mon fils ».
Sarlat, le 6 aout 2011, 21h36
Réponse de la «Lettre d’amour d’un père a son fils»
Très ému par ta lettre, je me suis mis en questionnement sur mes jugements par rapport à toi et la vie qui seras la mienne, mon avenir.
Certainement, je me suis demandé, étant plus jeune ce qu’il s’était passé réellement entre toi et ma mère. Maintenant que la vérité a fait surface plusieurs années après, je me rends compte, qui est vraiment dans le vrai, c’est-à-dire toi.
Toi mon père si grand, si fort, si tout ! J’ai toujours été en admiration envers toi. Que cela soit avec ton travail ou avec les gens que tu rencontres, au fur et à mesure que je passe du temps avec toi, je sens l’admiration et le respect qu’ils ont envers toi et ton travail. Tu es si important pour le monde, quelqu’un d’extraordinairement surprenant qui ne cesse de m’impressionner.
Je sens à présent l’amour que tu m’as toujours porté directement ou indirectement.
Je me remémore toujours une partie de ma vie que j’ai passé avec toi. Je devais avoir aux environs de 7-8 ans. J’avais passé les grandes vacances avec toi, un mois d’août. Je m’ennuyais affreusement et un jour, tu l’as senti. Tu m’avais alors proposé que, si je le souhaitais, je pouvais retourné chez moi en avion. Ce jour-là, je m’en suis voulu horriblement car j’ai senti t’avoir fait de la peine. J’ai versé toute les larmes de mon corps, je ne supportais pas te voir triste.
Je te transmet ça, pour te dire à quel point je t’aimais, et que je veux que tu le saches: cet amour n’a jamais disparu et ne disparaitra jamais.
Je t’aime! papa.
Sarlat, le 18 août 2011, 13h59.
2012 – CASSER LE MENTAL ABANDONNER LA COMPREHENSION
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, Daniel Briez, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 24 août 2011
Nous nous demandons souvent de quoi sera fait l’après 2012 et ce que nous en retirerons dans notre vie quotidienne. Il est indéniable que nous assistons à une formidable mutation des structures de nos sociétés et des modes de pensée.
Nous terminons un cycle d’évolution de 25000 ans durant lequel, à travers différentes civilisations, l’homme a conquis son indépendance mentale et pris conscience à la fois de son humanité et de sa singularité individuelle. Ce qui est moins évident pour chacun est le chaos vers lequel semble nous pousser cette échéance sur le plan individuel et comment pouvons-nous nous adapter aux énergies en présence.
Il s’agit pour nous aujourd’hui d’entrer dans une nouvelle expérience où nous devons vivre dans une mutation accélérée car notre planète émet cette évolution rapide sur le plan vibratoire et énergétique. Il s’ensuit une inadaptation de nos structures, sur tous les plans, face à cette nouvelle énergie.
Qu’amène-t’elle ?
Elle nous demande de casser le mental en ne nous préoccupant plus de comprendre ce qui se passe dans notre vie. Nous avons été habitué à analyser les évènements de notre vie et à en analyser les composantes afin d’en extraire ce que nous appelions « leçon de vie » à travers les diverses expériences que nous pouvions aborder dans notre vie quotidienne. Nous en tirions des enseignements modifiant notre structure comportementales, notre vision des choses, et nous permettant de passer à l’étape suivante. Nous appelions cela « cheminer dans la conscience ». Ce mécanisme nous a permis de comprendre la place que nous occupons dans le monde et l’univers et de nous placer face à notre environnement. Nous y avons acquis notre conscience de l’individualité. Aujourd’hui, chaque individu sait qu’il est unique et différencié des autres et c’est cela le but que nous avions à atteindre durant ce cycle d’évolution de 25000 ans.
Le 21 Décembre 2012, nous entamons un nouveau cycle de 25000 ans. Autant dire que nous sommes déjà dans la nouvelle énergie. Ce cycle est destiné à nous permettre de retrouver une conscience plus globale de ce que nous sommes, de retrouver nos filiations stellaires et universelles, et de reconstruire les facultés intellectuelles, vibratoires et énergétiques qui étaient les nôtres avant que nous nous incarnions sur cette planète, notamment dans nos fonctions extra-sensorielles et télépathes. N’oublions pas que nous n’utilisons actuellement qu’environ 10% de la capacité de notre cerveau.
Aussi aujourd’hui, les évènements et les situations que nous vivons nous demandent de « casser le mental ». Nous ne pouvons plus, comme nous le faisions antérieurement, utiliser chaque éléments du quotidien comme moyen de transformation de la conscience. Si nous procédons encore comme cela, le mental nous conduit dans une impasse car son mode de fonctionnement ne peut que s’appuyer sur des éléments antérieurs pour tenter de comprendre ce qui se passe maintenant dans notre vie. L’analyse du Présent à travers des éléments du passé ne peut que nous conduire à des impasses, voire même à des catastrophes puisque les fréquences énergétiques d’aujourd’hui sont infiniment plus puissantes et transformatrices qu’antérieurement. De plus, la planète changeant de paradigme, il ne peut que s’établir de puissantes distorsions dans notre quotidien si nous procédons ainsi.
« Casser le mental » consiste à simplement vivre notre quotidien dans ce qu’il est sans tenter d’en tirer la moindre explication. Ce nouveau mode de fonctionnement demande une grande conscience puisque nous avons construit des millénaires d’automatisation d’un mental analytique basé sur la « force de l’expérience » (!!), nous amenant à tirer les conséquences et conclusions d’une expérience passée qui n’a aucun rapport avec le Présent et dont les conclusions seront par définition erronées et inadaptées.
Vous serez alors tentés de dire : « Mais à quoi sert le mental alors ?? »
Le mental sert à simplement prendre conscience que nous existons. Il sert à poser une distanciation entre ce que nous sommes et notre environnement. Il sert à ressentir le fait que nous sommes séparés de l’océan de conscience présent autour de nous (êtres animés et objets inanimés) et à être capable d’observer tous les éléments qui nous entourent. Le mental est l’élément qui sert au poisson dans le bocal de prendre conscience qu’il existe un bocal et qu’il est dans le bocal. Il prend alors conscience qu’il existe quelque chose au-delà du bocal.
Alors de grâce, si nous voulons franchir cette étape avec le moins de casse possible, recentrons-nous exclusivement sur le moment présent et abandonnons la compréhension. Il n’y a plus rien à comprendre.
LA PENSEE ET LES JEUX DE L’EGO
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 24 août 2011
Votre pensée est toujours juste. Elle est l’émanation des aspects inconscients et multidimensionnels de votre être et constitue la force de matérialisation de votre corps physique et des évènements que vous vivez. Elle crée votre monde et vos multiples réalités.
Il est pourtant hallucinant de constater combien vous ne prenez pas en compte, instantanément, l’émanation de votre pensée.
Souvent, la pensée vous apparait comme une fulgurance, face à une situation donnée. Pourtant, votre ego joue à l’apprentissage de la pensée et du raisonnement. Vous jouez à observer les multiples circonvolutions que votre mental crée, pour justifier le « cheminement » de votre pensée. Il n’existe pas de « cheminement » de la pensée. Le « cheminement » est une production purement mentale. La pensée est dix mille fois plus rapide que la lumière. Autant dire que le temps qu’elle met pour émerger en vous et s’inscrire dans votre cerveau est de l’ordre d’une micro nano-seconde.
Le jeu de l’ego consiste à vous montrer le soit-disant « cheminement » de votre pensée (qui est en fait celui de votre mental) en vous posant en vous la croyance que vous apprenez ainsi quelque chose, que cela fait partie de la nature de votre expérience ou de votre apprentissage. En fait, ce soit-disant « cheminement » est une manipulation perverse de votre ego qui, par ce jeu, créé un système énergétique qui, sous prétexte de vous faire faire une expérience, met en place une charge énergétique polluant votre pensée.
Dans les faits, il est important de comprendre que, une fois cette énergie polluante créée, il est nécessaire que plusieurs heures s’écoulent pour qu’elle se dégage, même si vous en avez localisé le fonctionnement. Néanmoins, vous pouvez être certain que cette pollution se dégage puisque votre pensée est juste et qu’elle émet, par définition, une énergie d’alignement sur vos dimensions profondes et vos multiples réalités. Elle constitue le point de passage entre vos réalités et vous permet d’établir les ponts vous permettant de vous ouvrir à de nouveaux champs de conscience.
Le parasitage de l’ego retarde l’émission et la matérialisation de votre pensée de plusieurs heures, et par conséquent de plusieurs dimensions, retardant d’autant l’établissement d’une réalité équilibrée manifestant ce que vous êtes.
Il existe une très grave perversité dans ce mécanisme. Si vous laissez se multiplier ces jeux de l’ego, il peut arriver qu’à un moment donné, vous perdiez définitivement le fil de votre pensée. A ce moment-là, vous vous perdez dans des jeux mentaux dont vous ne saurez plus sortir car vous vous serez identifié à l’univers de votre mental. Vous serez alors immobilisé dans les limbes, confondant pensée et mental, situation se soldant par une grave crise existentielle et surtout une incapacité à réaliser dans le quotidien un monde à votre convenance. Vous devenez alors la proie idéale de tous les faux prophètes, les gourous et surtout de notre société de consommation vous entraient dans un consumérisme aussi insatisfaisant qu’improductif.
Sarlat, le 14 août 2011 15h59
EXPERIENCE D’HOMME, canalisations-lâcher prise
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, Daniel Briez, HUMEUR le 3 août 2011
J’ai éprouvé le désir, ce matin de vous parler de mon expérience d’homme dans son quotidien, vivant simultanément ses états d’entrepreneur, de chef d’entreprise, de chercheur spirituel et d’explorateur de la conscience et des moyens d’y accéder.
Les membres de mon entourage m’ont souvent demandé comment je pouvais mener toutes ces activités de front, sans être autrement fatigué que par les efforts que je demande à mon corps physique. Ma réponse a toujours été la même : être dans le Présent, sans jamais laisser aucune projection polluer cet instant.
Etre dans le présent, c’est créer un espace-temps de quelques minutes, ou quelques secondes comportant ses propres éléments (personnes, évènements, pensées, etc.), totalement indépendant des autres espaces-temps. Ainsi, ce temps est-il porteur de sa propre énergie, de sa propre puissance, de sa propre logique. Il ne vient pas « peser » sur ma force vitale. Je peux ainsi, dans la même heure et alternativement, parler avec mon banquier, gérer un incident de production à Madagascar, recevoir un de mes partenaires pour définir notre programme de travail annuel, écrire une canalisation, répondre à plusieurs appels téléphoniques. Les heures peuvent se succéder avec la même intensité (et elles le font). Le soir, je ne me sens pas fatigué outre mesure. Je n’ai sûrement pas réalisé le programme de travail que je me prévoyais le matin. Mais j’ai assuré mes tâches quotidiennes sans projeter sur le passé ou le futur un seul instant, regardant chaque élément d’un regard neuf et détaché (celui de l’instant). J’ai alors le sentiment d’avoir fait ce que j’ai à faire et le lendemain est un autre jour.
Etre dans le présent m’a amené à opter souvent pour des décisions totalement irrationnelles, qui n’auraient en tout cas jamais été admises par mon mental rationnel, décisions constituant apparemment un facteur risque sur le plan notamment de la pérennité financière de mes entreprises. Pourtant, à chaque étape, mon être m’a toujours commandé de faire ce qu’il ressentait, y compris faire table rase ou remettre fondamentalement en cause des structures de vie qui m’apportaient stabilité et confort financier.
Le seul critère retenu dans ces choix est le ressenti (Oui/Non),
et surtout le respect de mon intégrité personnelle et du code déontologique qui en découle. C’est ainsi que j’ai souvent été amené à prendre des décisions que mon entourage ne comprenait pas, voire désapprouvait. A postériori, ceux-ci finissaient par admettre que ma vision s’avérait juste et nous permettait d’ouvrir de nouveaux champs d’activité, de nouveaux territoires de conscience.
La canalisation m’a profondément aidé sur ce plan. J’ai beaucoup canalisé, notamment en public, dans les quinze premières années de ma démarche de conscience (1990/2005).
Comme tout un chacun, j’étais encore alors bardé de systèmes de croyances.
Le passage le plus important pour moi a été en 1996, où, lors d’une canalisation avec El Morya sur la réincarnation, le contenu des informations énoncé ce jour-là par celui-ci a complètement pulvérisé les systèmes de croyance qui étaient les miens à cette époque. Je croyais alors en le Karma et ma vision personnelle s’était construite autour de cette perception qui me permettait de confortablement comprendre un certain nombre d’évènements qui avaient égrainé ma vie. La vision quantique de Morya et surtout son insistance à démontrer que le karma n’existait pas mais possédait la force de création que nous posons dans nos croyances jusqu’à induire l’incarnation dans certaines vies, m’a complètement déstabilisé. Il m’a fallu environ deux années pour assimiler les notions de temps, d’espace et la mécanique de construction des univers.
La canalisation a été pour moi une formidable école de lâcher-prise. J’étais un individu qui toujours avait été dans le contrôle. Laisser ce que je croyais être à l’époque une « autre conscience » parler à ma place m’a appris à lâcher mes croyances et à être totalement dans le présent, notamment par le fait que les informations reçues par ce moyen étaient souvent en contradiction avec mes propres systèmes de pensée. Néanmoins, j’ai toujours fait confiance à ce que je recevais car l’énergie de l’Amour était et est la trame dominante de ces messages.
Je parlerais dans un autre article des techniques de canalisation et des critères sur lesquels reposent une « véritable » canalisation et qui différencient celle-ci d’une construction du mental qui croit canaliser.
Merci de votre attention.
Sarlat, le 3 août 2011, 6h28
CHANNELING OU MEDIUMNITE
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHANNELING, Daniel Briez le 27 juillet 2011
La confusion est souvent faite entre channeling et médiumnité. Le différence se situe principalement sur le plan énergétique d’où découle la nature des informations reçues par une méthode ou l’autre.
En préalable, il faut savoir que ces deux facultés ne nécessitent aucune aptitude particulière. En d’autres termes, n’importe quelle personne disposant d’un minimum de centrage est en mesure de développer ces deux techniques. Un minimum de pratique énergétique et la connaissance de la base des principes énergétiques est simplement nécessaire.
La médiumnité est une faculté de connexion qui se développe au niveau du plexus solaire (chakra solaire). Elle constitue une capacité de lecture des champs de l’astral présents autour de nous. L’astral est un plan qui contient les énergies les plus lumineuses comme les plus noires selon l’état dans lequel on se trouve et le niveau où l’on se place. Les guides de Lumière, les fées, les elfes, les gnomes, tous les petits êtres de la Nature, les démons, les vampires, les entités et les défunts sont présents dans ce plan. La difficulté réside dans le fait que selon l’état de la personne qui pratique la médiumnité, le niveau de connexion et la nature des éléments contactés diffèrent. A savoir que si le médium rencontre des difficultés émotionnelles ou relationnelles, sa résonance le connectera avec des entités denses. Par ailleurs, si son hygiène de vie n’est pas de bonne qualité, ou si elle fume, par exemple, sa fréquence vibratoire sera basse et elle contactera de bas niveaux.
Le problème de ces niveaux est que le désir de communication des entités de ces niveaux est tellement grand qu’ils peuvent prendre l’apparence d’êtres plus évolués pour entamer une relation avec le médium et nouer des rapports de longue durée entrainant celui-ci dans des plans illusoires sans qu’il en ait conscience. N’oublions pas que le plan astral est également le plan des désirs et que si le désir du médium est de communiquer avec un être déterminé, il peut très bien se trouver une entité de passage qui lui donnera l’illusion d’être cette personne alors qu’elle est tout autre chose.
La dernière difficulté de la médiumnité est que cet état entraine souvent la perte de conscience, pour le médium de ce qu’il fait et ainsi, il lui est impossible, par le biais de son ressenti de contrôler la qualité de ce qu’il reçoit ainsi que le niveau d’où émane l’information. C’est ainsi que l’on peut aboutir à de grandes supercheries en mettant en action des médiums de la plus parfaite bonne foi.
Le channeling est une technique différente qui constitue une mise en action des Chakras laryngé, frontal et occipital. Il s’agit d’une élévation vibratoire de la conscience ordinaire qui change de niveau et qui connecte des niveaux de conscience d’un niveau supérieur. C’est un peu comme si l’on prenait l’ascenseur pour connecter un niveau supérieur. Le grand intérêt de cette technique est que les deux niveaux de conscience (celui du channel et la conscience contactée) cohabitent en toute conscience. En d’autres termes, le channel, qu’il utilise la parole ou l’écriture, reste toujours conscient de l’information qu’il reçoit, Il peut ainsi intervenir dans sa conscience ordinaire, soit en coupant la communication s’il le souhaite, soit en participant librement à cet échange et en attestant de la validité de son ressenti par rapport à ce qu’il reçoit.
On est en droit de se demander alors comment peut-on être sûr que le channel ne transmet pas des informations de son mental plutôt que celles d’une conscience supérieure. Le critère en est fort simple. Une véritable canalisation doit toujours donner au moins une information inédite. Une canalisation ne parlant que de s’aimer les uns les autres, en prônant de beaux sentiments mais sans rien apporter de nouveau que ces bons sentiments sera, à priori, une oeuvre du mental. Une canalisation qui met l’auditeur dans l’obligation de faire quelque chose ou qui porte des traces de jugement en est une aussi. Il convient donc d’être attentif au contenu des informations reçues.
Il faut savoir enfin que tout ce qui est « matière » est susceptible d’être l’objet d’une canalisation. La matière est atomique et dans tout atome se trouve la Conscience. Une chaise, un morceau de moquette, la peinture d’un mur, un insecte, une plante, un oiseau, etc, sont en mesure de communiquer si l’on s’en donne la peine.
Par ailleurs, les deux techniques sont physiquement fatigantes. Il convient de pratiquer régulièrement des exercices d’équilibrage énergétique ainsi que de respecter une bonne qualité et hygiène de vie (alcool, viandes rouges ou cigarettes ne sont pas recommandées).
Le lecteur aura compris, je pense, qu’il vaut mieux développer les techniques de channeling qui présentent moins de risques potentiels que la médiumnité qui présente un risque de captation et de parasitage par des énergies dont il sera ensuite difficile de se débarrasser.
Une dernière observation. Il existe peu de channels véritables et souvent ils décèdent relativement jeunes, victimes de problèmes cardiaques.
Sarlat, le 27 Juillet 2011 2h00
ENTRER DANS LA REALITE MULTIDIMENSIONNELLE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, SCIENCE DE SYNTHESE le 26 juillet 2011
Il existe un champ de réalité qui correspond à vos aspirations les plus folles mais dont vous ne pouvez même pas croire en l’existence. Il est de l’ordre de vos rêves et vous ne pouvez en imaginer la capacité de les matérialiser que vous détenez.
Les différents systèmes énergétiques présents autour de vous ont été élaborés par des races prédatrices se nourrissant des souffrances émises par l’Humanité et intégrant les réalités émotionnelles que votre humanité émet dans leurs propres plans d’existence. Ce sont ces systèmes qui manipulent vos médias et tous les organes de formation et d’information dont sont constituées vos sociétés. Ce sont eux qui dictent la « pensée unique », celle qui ne fait pas de vagues et qui ne pose pas de questions (surtout si elles sont essentielles).
C’est la raison pour laquelle elles sont aussi prégnantes dans vos propres champs de ressources et la raison pour laquelle vous confondez ces champs illusoires avec les vôtres qui n’ont pourtant strictement rien à voir avec ce que vous êtes dans votre essence.
N’oubliez pas que vous êtes poussières et parcelles d’étoiles et que le champ de diversification qui est le vôtre est intégré à celui de votre planète. Or votre planète constitue une des plus magnifiques créations de la Conscience Une qui a créée votre cosmos et les univers auxquels vous vous référez présentement.
Voici les étapes fondatrices de votre entrée dans la réalité multidimensionnelle.
Acte fondateur : percevoir la réalité des champs énergétiques et les sentir dans le corps.
Acte acteur : mettre en résonance et en application les ressentis du corps dans une réalité émotionnelle et factuelle sans se préoccuper du contenu.
Acte formateur : observer les résultats et les implications de ces actes dans votre propre champ de réalité sans les faire passer dans les prismes sociétaux, culturels, historiques ou familiaux. En d’autre termes observer les résultats dans un acte présent.
Acte réalisateur : acter ces informations dans son champ de réalité personnel sans se préoccuper des impacts sur l’environnement immédiat et ne rien supputer des conséquences que cela pourrait avoir quels qu’ils soient.
Acte transformateur : intégrer ces réalités dans ses champs expérientiels et les vivre sur le plan de ses sensations et de ses émotions.
Acte luminique : en tirer la compréhension des codes qui vous habitent et respecter la « lettre » mise par ceux-ci.
Acte révélateur : vivre cette réalité et la témoigner par l’acte. Il n’est pas possible de poser des mots dessus car les mots n’existent pas encore pour recouvrir et définir les fréquences qu’elles recouvrent.
Acte entropique : laisser toutes ses fréquences se répandre dans les univers et en observer l’impact sur les multiples champs de réalité et de non-réalité.
Acte intégrateur : accepter et aimer toutes les expériences déclenchées par ces processus et gouter à la formidable expérience de vie qu’elle apporte.
Fin de la manifestation.
20/07/2011 12h32
LA PAIX EST CE QUE NOUS SOMMES
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 15 juillet 2011
Nous pouvons supposer que chaque homme et chaque femme de cette planète aspire à la Paix. La Paix est cet état où nous n’attendons plus rien, par lequel nous nous sentons tranquilles et qui nous fait dire et penser que plus rien ni personne ne peut altérer notre sérénité.
Souvent, face a nos guerres intérieures, nous nous interrogeons sur ce que nous pourrions faire pour atteindre cet état d’être et peu de pistes nous sont données pour parvenir à cela. Nous portons souvent la croyance qui consiste à penser que la paix est l’antinomie de la guerre et que temps que nous n’avons pas éradiqué nos guerres intérieures, nous ne pouvons accéder à l’état de paix.
Cette croyance est un piège. Ce que nous pensons être un état de guerre intérieure est simplement l’état de tension intérieure (et ce, quel qu’en soit le motif ou la source), qui nous permet de gagner en conscience. La nécessité de cette tension est absolue, car l’énergie qu’elle nous apporte est le seul moyen que nous possédons pour nous « éveiller ».
Sans elle, nous serions « endormis » et notre être ne posséderait pas la possibilité de changer de placement et d’expérimenter de nouveaux paradigmes d’évolution.
En intégrant cette simple donnée, nous prenons conscience que l’état de paix est, et a toujours été présent en nous. Seule cette croyance a pu nous faire imaginer que nous ne l’étions pas.
Nous comprenons alors que nous sommes en paix et bien plus: que nous sommes la Paix.
Extérioriser et manifester l’amour
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 15 juillet 2011
un vaste programme auquel bien des hommes et des femmes de la Terre se sont attelés depuis des siècles, mais avec combien peu de résultats;
Une utopie patente mais qui habite sans que rien ne puisse entraver réellement cet élan; il est clair que parfois les évènements m’ont fait perdre de vue cet unique but de ma vie;
Mon esprit lucide et cartésien me dit toujours, dans un coin de mon esprit combien cela est vain en regard de ce que les hommes font sur la Terre et ont fait à cette Terre.
Pourtant, je ne puis m’empêcher de croire à un monde où le respect de l’Autre, l’amour de son prochain deviendra le lot commun et la haine, l’exception.
Les évènements de ces derniers jours m’ont montré combien le cours des évènements pouvaient complètement sembler se retourner alors que tout était organisé depuis des millénaires de notre temps linéaire. Tout était ordonnancé mais en instance. En instance de ceux qui pouvaient la construire cette nouvelle Terre, en instance de ces jeunes/veilles âmes qui mettraient leur énergie à façonner la Terre à leur image, celle de la Beauté, celle de l’Amour, celle de la tendresse entre les êtres et du respect de leurs différences.
Alors je me prends à rêver. je me prends à rêver de cette nouvelle Terre. Le dernier président américain a construit son élection sur le slogan « Yes, we can ». Oui! nous pouvons. Vous pouvez rêver et construire votre rêve dans ce monde de réalités. Car la Réalité est ce que nous en faisons à chaque instant. C’est par elle que nous façonnons notre monde et que nous devenons ce que nous sommes. C’est par elle que nous donnons cette Terre à nos enfants.
Il est clair que rien ne nous incite à penser cela. Ou plutôt, tout est fait pour nous convaincre que cela est impossible. Devons-nous pourtant écouter les destructeurs de la Terre? Devons-nous penser que tout est accompli alors que l’Homme a toujours démontré sa capacité de rebond, sa capacité à retrouver le sens de ce qu’il est dans les pires instants, là où tout espoir et toute lumière semblait avoir abandonné la surface de cette Terre. Alors réveillons-nous et posons simplement autour de nous cette capacité à aimer.
Je vous adresse tout mon respect.
Les intempéries
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHRONO CLASSEUR, HUMEUR le 10 janvier 2011
Sans doute sommes-nous un certain nombre à être profondément agacé par la place qu’occupe les intempéries dans les médias depuis un mois. On dirait qu’il n’y a plus que cela dans le monde: les camions bloqués, la neige, les inondations…
Comme si cela n’était pas le lot de chaque hiver depuis que la Terre existe…
L’intérêt ? Pendant ce temps-là, les médias mobilisent l’attention du public et ne lui permettent pas de se pencher sur les vrais sujets mondiaux. Nombrilisme typiquement franco/français!
Pratique, non !!
Le Livre de l’Amour
Publié par Daniel Briez BLOG dans CHRONO CLASSEUR, Daniel Briez le 10 janvier 2011
Un mot sur ce magnifique roman dont j’avais lu la première partie il y a quelques années.
Cet ouvrage a le mérite de remettre la tradition chrétienne dans une perspective qu’elle a toujours refusée, celle de la Femme. La position de la femme au sein de la tradition chrétienne a toujours été niée, notamment dans la place qu’ont occupé les femmes auprès du Christ. L’auteure fait ici preuve d’une profonde érudition et d’une magnifique perspective redonnant a la femme une réelle place dans le message d’amour véhiculé par le Christ.
Vous connaissez probablement mon travail et mes positions sur l’abolition des systèmes de croyance dans la trajectoire de conscience personnelle de l’être. Il est clair pour moi que ce livre s’inscrit malgré tout dans une logique traditionnelle chrétienne qui prône la séparation entre le masculin et le féminin et n’induit pas l’Unité. Néanmoins, cet ouvrage constitue une précieuse étape permettant à chacun de replacer l’énergie de la Femme à une plus juste place. Sa lecture permet de se replacer dans une vision plus juste du masculin/féminin et ainsi d’être plus proche d’une réflexion aboutissant à l’élimination de ces archétypes menant à la perception de l’Unité.
En résumé un ouvrage et une auteure que je recommande a tous !
Le livre de l’Amour de Kathleen McGowan. Éditions XO











