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LA PIERRE DU MOIS D’AVRIL 2014 : LA CALCITE ORANGE


Enfin se présente le mois de la renaissance : Avril. La lumière est belle, les oiseaux chantent. Après ce long hiver de tempêtes, le soleil est enfin là. Avez-vous observé qu’il suffit de deux jours de soleil pour balayer dans notre tête, des mois de grisaille ? Vous avez envie de faire de nouvelles choses. L’énergie vous pousse à aller à l’extérieur et à entamer de nouvelles expériences.

Il est clair que le contexte a changé. Les années précédentes, les projets étaient plus spontanés. Vous tentiez souvent de nouvelles expériences, même si vous sentiez qu’elles seraient éphémères. Aujourd’hui, vos perceptions sont plus profondes, plus essentielles. Elles partent d’une zone de votre être qui vous implique plus profondément. Vous ressentez le besoin de condenser vos énergies dans quelque chose qui va vous « nourrir intérieurement ». Nous pourrions presque dire que les projets que vous allez élaborer en 2014 constituent une charnière dans l’établissement d’une nouvelle vie, la mise en place de choses vous tenant particulièrement à cœur depuis longtemps. Vous sentez que vous n’êtes plus dans une spontanéité « adolescente », mais dans la puissance de manifestation d’une force mûrie qui a pris le temps de poser les bases de la réussite. Car c’est bien de cela qu’il s’agit aujourd’hui : une manifestation mûrie intérieurement, au fil des années, voit finalement son aboutissement pour vous procurer une profonde joie.

Arrive maintenant le temps de manifester votre projet dans la réalité extérieure. Pour cela, il vous faut correctement évaluer les paramètres nécessaires à sa réalisation et surtout concentrer vos énergies dans cette direction, tout en y apportant une telle concentration lumineuse qu’elle fera que tout s’ajustera autour de vous, supprimant toutes entraves qui pourraient se placer face à la marche des choses.

N’oubliez pas la Loi d’Attraction. Le moindre de vos doutes ou de vos incertitudes intérieures peut matérialiser des frictions, voire même des oppositions. Cela est normal et fait partie de la mise en matière de tout projet élaboré intérieurement. Votre environnement se révèle comme le miroir de votre puissance mais aussi de vos incertitudes. Les oppositions sont là pour vous permettre d’affiner votre projet, de le renforcer. Il est normal de douter, mais la peur n’a pas sa place si vous avez suffisamment maturé votre projet.

La Calcite Orange vous aide à finaliser les derniers ajustements nécessaires pour la réussite de cette mise en forme. C’est une pierre de centrage, de condensation et de renforcement de votre capacité de rayonnement. Elle vous permet de concentrer vos énergies. Elle élimine les derniers parasitages mentaux et vous procure une « force luminique » considérable, symbiose créée par la concentration de vos propre fréquences luminiques et de celles du Cosmos. Elle crée une sorte de faisceau d’émission qui catalyse ces énergies et les émet vers vos futurs.

Pour ceux qui n’ont pas de projets en cours, la Calcite Orange vous permet de vous concentrer puissamment sur vous-même, et donc de mieux formuler vos désirs. Elle condense en vous les énergies luminiques de création et vous permet d’amener en conscience vos désirs. Ils peuvent être de toute nature mais seront forcement placés dans le sens du rayonnement de votre être, dans la joie, la spontanéité et la lumière. Ils émergent naturellement.

Ainsi vous trouverez de grandes satisfactions à poser dans votre vie ce qui vous habite et ce, avec une bien plus grande facilité. Je vous souhaite de grands bonheurs.

Conseils d’utilisation :

Munissez-vous de deux Œufs polis de Calcite Orange de 120/220 gr (si vous ne trouvez pas deux œufs similaires, travaillez avec un seul). L’onde de forme de l’œuf est particulièrement appropriée car elle concentre les énergies et les redistribue. Sa symbolique est lié à la renaissance.
Choisissez un moment de la journée où vous pouvez être tranquille et installez-vous confortablement en fermant les yeux. Prenez un œuf dans chaque main, respirez profondément et laissez agir les pierres. Vous sentirez rapidement votre respiration se réguler et un sentiment de détente s’installer. Laissez ainsi agir les pierres pendant dix à quinze minutes, puis revenez à votre état de conscience ordinaire. Pendant votre exercice, si vous en ressentez le besoin, vous pouvez vous poser intérieurement une question. La réponse émergera naturellement. Ne tentez pas de la raccorder à quoi que ce soit. Recevez-la telle qu’elle vient, sans tenter de la comprendre avec votre mental. Laissez faire les choses.
Durant la journée, vous pouvez également prendre un œuf de Calcite Orange, lors de vos déplacements, et le prendre en main le plus souvent possible. Si vous le faites, n’oubliez pas de le mettre dans l’eau en rentrant chez vous durant toute la nuit pour le dégager des énergies extérieures. Lorsque vous avez fait votre exercice de détente, n’oubliez pas non plus de mettre vos œufs chacun dans un grand bol d’eau claire durant quelques heures pour les décharger.

Nouvelles du mois :

Ma deuxième opération vasculaire s’est très bien déroulée. Cette intervention devrait définitivement éloigner mes problèmes de santé.
Je suis par ailleurs impatient d’ouvrir ma saison de formation 2014 avec le cycle « Couleurs, énergies quantiques et Chromotem » dont la première session se déroulera du 17 au 20 avril. Pour ceux qui ne connaissent pas mon travail dans ce domaine : il s’agit de comprendre et d’étalonner vibratoirement les 13 Fréquences-Mères qui nous composent, en posant la perception quantique dans notre quotidien, ainsi que d’explorer dans le même temps votre CHROMOTEM personnel. Bienvenue aux participants (il reste encore trois places).

Pour toutes informations sur le programme de formation 2014, vous pouvez contacter Wydiane : 06 42 82 26 02 ou par mail grace à notre formulaire de contact sur cristaux-sante.com

Je vous souhaite un beau Printemps.

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LA PIERRE DU MOIS D’AVRIL 2013 : LA MALACHITE


LA MALACHITE : l’ouverture

Le mois d’Avril est le mois de l’ouverture. Vous avez envie de faire de nouvelles choses. Les oiseaux chantent et l’énergie vous pousse à aller à l’extérieur, à aller prendre l’air dans la Nature et à entamer de nouvelles expériences. 

Dans la vague porteuse de cette année 2013, il est clair que de nombreux projets qui étaient en « stand-by » depuis des mois, voire plusieurs années, vont voir le jour. Vient maintenant le temps de la confrontation entre vos idées et la réalité extérieure. En d’autres termes, vous allez rencontrer dans la mise en phase de vos projets avec la réalité matérielle un certain nombre d’ajustements, de frictions, voire même d’opposition. Cela est normal et fait partie de la mise en matière de tout projet élaboré intérieurement. 

La pierre du mois d'avril : La Malachite

La pierre du mois d’avril : La Malachite
®Photo Serge BRIEZ Capmédiations – cristaux-sante.com

La pierre du mois d'avril : La Malachite ®Photo Serge BRIEZ Capmédiations - cristaux-sante.com

La pierre du mois d’avril : La Malachite
®Photo Serge BRIEZ Capmédiations – cristaux-sante.com

Votre environnement se révèle comme le miroir de votre projet et de de ce que vous êtes à travers lui.

La Malachite, pierre verte contenant du cuivre et renforçant la défense immunitaire, vous aide dans ce processus. La Malachite est une pierre d’ouverture, ouverture au niveau du cœur. Elle génère tolérance et empathie et permet d’accueillir en vous les tensions et les difficultés que vous pouvez rencontrer avec les autres. 

Comment fonctionne ce mécanisme sur le plan énergétique ? Prenons un exemple. 

Vous parlez d’un projet qui vous tient à coeur à un ami en pensant qu’il va vous soutenir dans cette idée et vous avez la désagréable surprise de le voir réagir avec agressivité, vous renvoyant que votre projet est utopique, qu’il n’est pas ancré dans la réalité et que vous faites n’importe quoi. Deux réactions possibles de votre part :

  • vous vous sentez blessé et en colère. Vous vous taisez ou entrez dans une dispute avec votre ami. Sa réaction le renvoie à sa peur et à sa propre difficulté à peut-être développer un projet lui-même et, par effet miroir, aux vôtres. Et vous réagissez sur le même mode réactif d’opposition.
  • vous comprenez que ce projet l’a dérangé et vous renvoie aux difficultés intérieures que vous avez vécu afin d’oser dépasser vos limites et mettre en œuvre ce projet. En d’autres termes, l’opposition de votre ami est le miroir de votre propre opposition intérieure. Cela est « l’attitude Malachite ». 

La Malachite vous aide à vous positionner. Vous accueillez les énergies de l’Autre dans le cœur et la compréhension. Vous ressentez que les oppositions et les difficultés qu’il énonce ont été les mêmes que les vôtres lors de l’élaboration de votre projet et cette énergie se transforme. Elle vous permet de ne pas entrer en colère, de ne pas vous sentir attaqué. La Malachite vous permet alors d’expliquer votre projet plus précisément, sur les points de détails qu’a soulevé cette opposition, et ainsi d’en affiner le concept et la réalisation.

La Malachite est véritablement une pierre d’amour et de partage qui vous aidera à favoriser l’insertion de vos projets dans votre environnement et vous donnera l’espace pour accueillir dans le cœur tous les nouveaux éléments qui se présentent à vous. Elle vous permettra aussi, si c’est le moment pour vous, de rencontrer de nouvelles personnes et pourquoi pas ( !) quelqu’un qui vous ravira le cœur. 

Je vous souhaite de belles rencontres.

Conseils d’utilisation :

Munissez-vous d’un Galet de Malachite poli de 150/200 gr, ou d’une boule de Boule de Malachite, diamètre 8cm.

Prenez votre pierre en main aussi souvent que vous le souhaitez. Plus vous la prendrez en main et plus elle renforcera votre énergie et votre espace personnel. 

Veillez à la décharger en la mettant à tremper dans un grand bol d’eau, le soir lorsque vous avez fini de l’utiliser.

Avertissement : La Malachite est une pierre qui se « consomme ». Cela signifie que si votre corps se révèle avoir de grands besoins de cuivre, vous aurez tendance à « pomper » le cuivre qui est contenu dans la pierre. Elle deviendra progressivement mate et poreuse. Au bout d’un certain temps, elle sera « vidée » de son énergie et devra être remplacée. Néanmoins, ce mécanisme n’est pas systématique.

Retrouvez la pierre du mois d’Avril sur www.cristaux-sante.com

La pierre du mois d'avril : La Malachite ®Photo Serge BRIEZ Capmédiations - cristaux-sante.com

La pierre du mois d’avril : La Malachite
®Photo Serge BRIEZ Capmédiations – cristaux-sante.com

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LA PIERRE DU MOIS DE MARS 2013 : LE GRENAT ROUGE


LE GRENAT ROUGE

Le mois de Mars arrive. Vous sentez l’énergie du Printemps qui pointe. Vient avec elle le désir de faire de nouvelles choses, de sortir et de découvrir de nouveaux horizons. C’est le moment de sortir de votre tanière, même si vous ne sentez pas forcément que vous disposez encore des ressources énergétiques suffisantes pour faire tout ce que vous avez envie de faire.

Le Grenat Rouge vient combler vos besoins dans ce sens. Cette pierre est un formidable « booster » énergétique. Ce n’est pas pour rien qu’elle est conseillée aux personnes en baisse de vitalité sexuelle, ou aux convalescents. Cette pierre possède la particularité de renforcer l’énergie des glandes surrénales (qui vous donnent la force vitale), sans pour autant constituer un excitant (ce qui est fondamental lorsqu’elle est prescrite aux personnes sortant d’une grave maladie et ne disposant pas d’un métabolisme solide).

La pierre du mois de Mars : le GRENAT, photo Serge BRIEZ ®cristaux-sante.com

La pierre du mois de Mars : le GRENAT, photo Serge BRIEZ ®cristaux-sante.com

Le Grenat Rouge est notamment conseillé pour toutes les personnes faisant de l’accompagnement énergétique ou médical (aide-soignant(e)s, infirmièr(e)s, magnétiseurs, kinés, masseurs et masseuses, esthéticiennes, etc.) afin que, dans l’exercice de leur activité, elles ne « pompent » pas sur leur propre capital d’énergie vitale. 

Le Grenat Rouge va donc vous permettre de terminer la remise en forme commencée dès le mois de Janviers avec le Jaspe Rouge et l’Aragonite et de reconstituer le capital énergétique nécessaire pour entamer tous les projets que vous avez soigneusement élaboré ces derniers mois. 

Pour le « fun », si cela vous intéresse, le Grenat Rouge relève puissamment l’énergie sexuelle et vous donne la « pêche » pour exercer votre créativité.

Dernier point. Le Grenat Rouge constitue la plus puissance pierre portant la force de matérialisation. En d’autres termes, elle concentre toutes les énergies nécessaires pour mettre en route de nouveaux projets ou vous aider à les concevoir. Donc n’hésitez pas. Usez en et abusez en.

Je vous souhaite de belles créations.

Conseils d’utilisation :

Munissez-vous d’un Grenat Rouge facetté de 200/300 gr, ou d’une boule de Grenat Rouge de 350/450 gr. Il existe sur le site Cristaux-santé des grenats ou des boules de très grosses dimensions. N’hésitez pas à vous en informer.

Prenez votre pierre en main aussi souvent que vous le souhaitez. Il n’y a aucune contre-indication. La puissance de cette pierre fait qu’elle ne se charge pas facilement. Néanmoins, veillez à la décharger en la mettant à tremper dans un grand bol d’eau, le soir lorsque vous avez fini de l’utiliser.

Retrouvez la pierre du mois de Mars sur www.cristaux-sante.com

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LA PIERRE DU MOIS DE FEVRIER 2013 : L’ARAGONITE BRUTE


L’ARAGONITE BRUTE

Le mois de Janvier vous a permis de reconstituer vos forces et de commencer à stabiliser vos structures qui ont fort été bousculées par la transition énergétique de l ‘année 2012.

En Février, vous commencez à capter les paramètres du nouveau cycle cosmique. Cela présente une difficulté certaine car cette ère apporte l’inscription de votre énergie et de votre réalité quotidienne dans un espace à de multiples dimensions alors que vous étiez habitués à n’en gérer qu’une, voire deux ou trois à la fois. A partir de cette année, l’interaction de vos multiples dimensions va se développer et les plans que vous allez aborder simultanément n’auront plus de limites. 

ARAGONITE BRUTE, photo Serge Briez ©cristaux-santé

ARAGONITE BRUTE, photo Serge Briez ©cristaux-santé

Il est évident que cela représente une certaine difficulté, car personne ne vous donne actuellement de « mode d’emploi » de ces nouvelles énergies. On tente plutôt de vous ramener « au ras de pâquerettes » en focalisant votre attention sur la « crise » et les difficultés de la vie. Par ailleurs, compte tenu de l’extraordinaire sollicitation énergétique que constitue ce nouveau paradigme, il est probable que vous soyez désorienté et/ou dispersé. Il s’ensuit pour vous une insatisfaction frustrante, l’impression de ne pas être efficace et de ne pas y arriver. Ne vous inquiétez pas cela, est dû à la période de transition que l’Humanité traverse et à la fréquence énergétique qui y est liée.

L’Aragonite brute est la pierre qui permet de rassembler dans un espace-temps unique (Ici et Maintenant, c’est-à-dire votre Présent), tous vos plans de réalité et toutes vos dimensions. Ces notions peuvent paraître issues de la science-fiction, mais n’oubliez pas que la science fiction d’aujourd’hui est la science de demain. 

L’Aragonite vous aide grandement dans la gestion de ces nouvelles énergies et dans leur compréhension sur le plan intuitif. Car ne vous y trompez pas, le mental rationnel n’aura plus beaucoup de place dans les fréquences des temps qui se présentent. Seule la profonde stabilisation de votre intuition pourra vous donner les informations fiables nécessaires pour diriger votre trajectoire de vie.

L’Aragonite brute, de par sa structure chimique et sa structure de cristallisation composée de milliers de cristaux agglomérés, possède la caractéristique unique dans le royaume minéral de ramener dans votre ventre, tous les éléments, toutes les dimensions qui vous concernent et qui cohabitent simultanément en vous, sans que vous en ayez à prendre conscience pour autant. L’avoir en main quelques minutes, vous rassemble, vous recentre et vous calme. Vous pouvez l’utiliser plusieurs fois par jour sans aucun problème. En fait chaque fois que vous vous sentirez fatigué, désorienté ou dispersé. 

Dans un deuxième temps, elle favorise votre intuition et vous permet de trouver des informations à des niveaux auxquels vous n’avez pas accès habituellement.

Retrouvez la pierre du mois de Novembre sur www.cristaux-sante.com

Conseils d’utilisation :

L’Aragonite est une pierre très particulière comme vous pourrez le constater sur le site Cristaux-Santé. La qualité avec laquelle nous travaillons est exceptionnelle. Compte tenu du mode de cristallisation, il n’est pas possible de calibrer les poids. Je vous recommande de consulter le site et de choisir la pierre répertoriée dont le poids vous appellera. Autorisez-vous à acquérir une pierre de gros format. Sa fonction va devenir quasiment indispensable dans les années à venir. Compte tenu des mutations génétiques et énergétiques qui s’annoncent, elle ne sera jamais trop grosse. 

Prenez cette pierre en main aussi souvent que vous le souhaitez. La durée d’utilisation n’est pas forcément importante. Vous constaterez fréquemment que quelques minutes sont suffisantes.

Même si une grosse Aragonite ne se « charge » pas rapidement, n’oubliez pas de lui faire prendre un bain de temps en temps. Si elle pèse moins de 500 gr, mettez votre pierre à tremper dans un grand bol d’eau claire après chaque usage, durant plusieurs heures.

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2013 UN NOUVEAU COMMENCEMENT


Je ne reviendrais pas sur l’énergie de 2012 qui a fait l’objet de plusieurs articles de ma part. Sur ce point, un simple témoignage personnel. Nous avons pu sentir, moi-même et les membres de mon entourage, une profonde mutation cellulaire qui s’est traduite par des coups de fièvre, des rhumes passagers et surtout une énorme fatigue, comme si nous avions eu des mois d’insomnies consécutives. Cette charge est en train de disparaître, surtout pour les personnes qui se sont préparées à cette mutation. 

 Tournons-nous maintenant vers les temps à venir.

Opale noire d'Australie, ®photo Serge Briez - Cristaux-sante

Opale noire d’Australie, ®photo Serge Briez – Cristaux-sante

Les temps à venir seront marqués par une nécessité absolue de faire concorder nos fréquences énergétiques personnelles avec les situations, les structures et les événements que nous impulsons. La non-concordance énergétique se traduira sans délai par une « explosion » (structure et/ou événements).

Par ailleurs, nous allons bénéficier à partir du mois d’Avril 2013, d’une poussée énergétique comme nous n’en avons jamais connu. Elle favorisera grandement l’émergence de nouveaux champs de conscience, mais aussi la réalisation de nouveaux projets qui pouvaient être latents depuis plusieurs années. 

 L’heure est donc à la créativité. Nous vous laissez pas endormir par les « flons-flons » pessimistes véhiculés par les médias et les pouvoirs publics. Utilisez la période de janvier à mars pour terminer la conception de vos projets et allez de l’avant.

Tout est à inventer. Nous allons découvrir dans les dix prochaines années bien plus que nous avons découvert en deux mille ans.

Alors, une belle année à tous et merci pour votre fidélité.

Amour et Lumière 

Daniel 

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LA PIERRE DU MOIS DE JANVIER : LE JASPE ROUGE


LE JASPE ROUGE : l’énergie vitale de la planète

Le Passage du 21 Décembre est accompli. Comme vous avez pu le constater, pas de « Fin du Monde », pas de cataclysme planétaire, seulement la droite ligne de ce qui s’impose  à vous depuis quelques années : être de plus en plus dans votre axe personnel pour éviter que les évènements de la vie aient à vous réajuster.

L’année 2012 a été l’année du nettoyage, de la meilleure compréhension de vous-même et de la découverte de vos véritables axes de vie. 

L’année 2013 sera l’année du démarrage de votre nouvelle vision des choses, l’année où tout commence pour un premier cycle de 12 années. Une année bénéficiant d’un extraordinaire potentiel vital pour  démarrer de nouveaux projets et entrer dans le nouveau paradigme.

Sur un plan planétaire, 2013 voit l’abolition définitive de la Loi de Cause à Effet. Cela est particulièrement patent pour les personnes, comme vous, lecteur, que êtes dans une démarche personnelle d’évolution de conscience. Le signe en est que vous lisez cet article. Pour l’immense majorité des autres, ils disposent d’encore quelques années avant d’être obligés de se placer dans leur axe identitaire, et plus dans celui de l’ego.

Le premier trimestre sera la période du redémarrage qui ne prendra vraiment son envol qu’en Avril. Ces trois premiers mois seront un peu comme l’énergie de l’athlète qui se concentre durant les quelques instants qui précède une grande compétition, sauf que ces instants représenteront trois mois, et la compétition de nombreuses années. Ainsi allez-vous concentrer et recentrer vos énergies afin qu’elles « explosent »  à partir du mois d’Avril.

Le Jaspe Rouge est la Pierre de Janvier.

JASPE ROUGE, l'énergie vitale de la planète, Photo Serge Briez ® cristaux-sante.com

JASPE ROUGE, l’énergie vitale de la planète, Photo Serge Briez ® cristaux-sante.com

En Janvier, il vous faut recharger les batteries. Ce mois vous permet de reconstituer votre capital énergétique en vue de votre nouveau déploiement. Il est vital pour vous de ne pas vous disperser et de ne pas démarrer trop tôt, sans disposer d’une véritable réserve énergétique pour vous lancer dans de nouveaux projets. Par ailleurs, il est indispensable que vous définissiez clairement  les aspects matériels de cette nouvelle étape de vie. Il convient de ne pas vous précipiter. 

Le Jaspe Rouge correspond totalement à ces besoins. Il vous permet de vous relier à l’énergie vitale de la planète Terre et de puiser dans son réservoir énergétique pour renforcer et reconstituer la vôtre. Ne vous inquiétez pas, ses réserves sont inépuisables, car elle puise elle-même son énergie directement dans la Galaxie. 

Par ailleurs, le Jaspe Rouge vous permet de mieux réfléchir et de d’appréhender plus clairement les différents paramètres matériels qui vont servir de structure à vos projets. En tous points, cette pierre vous détend, vous rassure et vous permet de rassembler les éléments nécessaires à votre nouvelle vie. 

Retrouvez la pierre du mois de Novembre sur www.cristaux-sante.com

PIERRE DU MOIS DE JANVIER : JASPE ROUGE, www.cristaux-sante.com

PIERRE DU MOIS DE JANVIER : JASPE ROUGE http://www.cristaux-sante.com

Conseils d’utilisation :

Compte tenu de l’extraordinaire puissance de développement de la période à venir, je vous conseille d’utiliser un galet poli de Jaspe Rouge de 200/300 gr ou plus. Si votre budget ne vous le permet pas,  travaillez avec un galet de  120/150 gr. Il serait autrement très profitable d’acquérir une forme libre de 2/3kg qui constituera un pivot énergétique de votre environnement qu’il vous suffira de prendre en main quelques instants pour reconstituer vos énergies.

Prenez votre pierre en main aussi souvent que possible, et surtout lorsque vous vous sentez « à plat ». Passez le temps dont vous avez envie avec. Il ne peut y avoir de « surdosage ». Vous pouvez aussi dormir avec cette pierre si vous le sentez.

N’oubliez pas de la décharger de vos énergies après usage en la mettant à tremper plusieurs heures dans un grand bol d’eau claire.

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BIEN VIVRE SA MORT : Manuel pratique pour réussir le Passage


Ami lecteur, depuis plusieurs mois vous avez du vous interroger sur le fait que je me faisais aussi rare.

En fait, l’énergie d’un ouvrage a mobilisé toutes mes ressources d’écriture depuis Janvier. Il m’a littéralement « pris la tête » et le cœur. C’est ainsi que je suis heureux de vous informer de la sortie de mon dernier livre,

« Bien vivre sa mort, Manuel pratique pour réussir le Passage », Editions Dangles.
BIEN VIVRE SA MORT : Manuel pratique pour réussir le Passage, Daniel Briez Editions Dangles, Prix 10 € format poche 240 pages

BIEN VIVRE SA MORT : Manuel pratique pour réussir le Passage, Daniel Briez Editions Dangles, Prix 10 € format poche 240 pages

Ce sujet peut paraître très en marge de mes thématiques habituelles. Pourtant, il m’a fallu toutes les perceptions et l’entièreté d’un parcours de vie de chercheur pour le mener à bien. Il est donc probablement l’ouvrage qui reflète le plus ma vision de la vie et de la mort.

Pourquoi cet ouvrage ? Lire la suite »

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REGARDER L’AUTRE


Il est parfois des blessures que nous infligeons à l’Autre sans même nous en apercevoir. Trop souvent, nous sommes centrés sur notre vécu intérieur, sur les sensations que nous pouvons percevoir en nous, notamment lorsque nous sommes dans une phase de compréhension de nous-mêmes qui entraîne une profonde mutation en nous et la mobilisation de notre attention.

Ainsi existe-t’il en nous des évidences qui ne peuvent pas être perçues par l’Autre, voire même qui peuvent être perçues à l’opposé de ce que nous pensons et ressentons.

Vous aimez celui ou celle qui est à vos côtés. Cela est indéniable, car si tel n’était pas le cas, vous ne pourriez supporter son énergie et sa présence à longueur de mois ou d’années. L’amour que vous lui portez fait partie de votre évidence, mais en est-il de même pour l’Autre?

Cela n’est pas certain. Chacun porte en soi une part de blessures, de déceptions et son lot de trahisons vécues. Il n’est rien de plus facile pour ces cicatrices de se réouvrir par un mot, une attitude, un geste qui ne sont que le reflet d’un instant de réflexion de votre part, mais qui peuvent prendre un tout autre sens pour l’Autre, s’ils viennent réactiver de vieilles souffrances.

Ainsi, parfois, il arrive que vous soyez dans une souffrance inconsciente qui vous ne descellez même pas. Elle est partie intégrante de votre inconscient mais imprime néanmoins, jour après jour, votre quotidien. Il suffit d’un tout petit évènement, d’un simple mot pour que votre inconscient s’empare de cette énergie, et réactive cette souffrance qui avait été le plus souvent oubliée, mais qui n’en altère pas moins votre plénitude. Alors vous vous retrouvez sur la défensive. Vous vous retirez dans votre « tour d’ivoire ». Inconsciemment, vous amalgamez la fréquence de l’Autre à cette vieille blessure, comme s’il en était la cause, alors qu’il ne fait pas partie de cette histoire. Et surtout, et c’est ce qui est le plus dommageable, vous ne vous rendez pas compte que vous avez fait un amalgame. Vous commencez à vous éloignez de plus en plus, posant vos centres d’intérêt dans d’autres directions. L’Autre le sent, vous sollicite tout d’abord en douceur puis d’une manière de plus en plus pressante et vous vous retrouvez tous les deux en situation de crise relationnelle alors qu’aucun événement n’est venu provoquer cette tension. Il est même possible alors qu’un événement sans importance serve de focalisation à cette tension et prenne des proportions qu’il n’aurait jamais dû prendre.

L’Autre reçoit votre énergie de plein fouet et ne comprends pas. Il ne peut comprendre puisqu’il s’agit d’un autre temps, d’une autre histoire qu’il ne connait probablement pas et qui peut, parfois, ne pas appartenir à cette vie. Elle provient d’un plan parallèle ou d’une « vie antérieure », autant dire qu’elle vient d’un autre monde.

Selon son niveau de conscience, selon sa propre histoire, l’Autre se sent profondément blessé, rejeté. Parfois même, il culpabilise, pensant avoir dit ou fait quelque chose qui vous a blessé. En fait, il ne sait pas ce qui se passe. Cela est d’autant plus pernicieux que vous non plus, vous ne savez pas pourquoi vous vous sentez comme cela. Vous sentez néanmoins que vous vous éloignez de l’Autre, insensiblement, inexorablement. L’écart se creuse. Si vous n’y prêtez pas attention, et n’entamez pas un dialogue approfondi, cet écart peut devenir définitif.

C’est ainsi que la magie de la vie à deux disparait et entre dans une routine morbide dans laquelle les mots d’amour deviennent vides de sens. Elle ne porte plus l’énergie de la rencontre. Alors vous vous dites: « Ce n’est pas grave. C’est dans l’ordre des choses. La magie des premiers temps s’efface et la vie reprend ses droits » (sous-entendu: il est normal que les sentiments s’usent et que nous ne partagions plus les choses comme au commencement).

Je viens moi-même de faire cette expérience avec un des êtres que je chéris le plus au monde. Je pensais bien connaitre ma psyché, avoir fait le tour de mes fonctionnements, connaitre mes équilibres et mes déséquilibres, en d’autres termes, être conscient de ma géographie intérieure. Je me suis pourtant retrouvé à émettre une certaine forme d’indifférence, une distance vis-à-vis de mes proches, sans même m’en rendre compte. Parce qu’une toute petite chose, un élément insignifiant en regard de toutes les informations que je reçois et traite au quotidien est venu éveiller dans mon inconscient une vieille blessure que je ne savais même pas être encore présente en moi, je suis rentré dans ma « bulle ». Je me suis enfermé en moi sans même m’en rendre compte.

En faisant cela, je n’ai même pas vu la distance que je mettais avec l’Autre, distance que je reconnais maintenant, après réflexion, comme étant la cause et le ferment de la rupture avec d’autres compagnes que j’aimais profondément et que j’aime toujours. Je me trouvais à des années-lumière d’imaginer que je pouvais être la cause de cet éloignement. Lorsque je regardais ma vie, je pensais simplement que chacun avait pris de voies différentes. Heureusement que dans le cas présent, l’amour et le partage nous ont permis de mettre ce piège en lumière.

Alors, si ces quelques mots et ce témoignage peuvent servir à quelques uns d’entre vous, regardez l’Autre. Faites l’effort de vous sortir de votre regard quotidien, celui qui s’est usé aux aspérités d’un cheminement que vous ne comprenez pas forcément mais qui érode lentement l’élan qui nous pousse dans les bras de l’Autre.

Prenez conscience que trop souvent (et je me parle à moi-même dans ces lignes), vous êtes enfermé dans votre espace intérieur et que vous ne laissez pas l’Autre y pénétrer, souvent d’ailleurs (c’est ce que vous pensez) par amour pour l’Autre. Soit-disant, vous ne voulez pas le (ou la) charger de vos soucis ou de vos questionnements, alors qu’il ne s’agit, encore une fois, que d’une stratégie destinée à vous protéger.

Réfléchissez ! Dans tous les cas, ne cherchez-vous pas à préserver un territoire intérieur, un espace personnel que vous ne savez pas défendre autrement, tout simplement parce que vous n’avez pas encore fait la paix avec tous les fragments de votre histoire !

Photo Serge Briez©

Photo Serge Briez©

Regardez comment vous pouvez vous isoler par le jeu de vos pensées. Regardez comment l’inconscient peut vous faire sortir de votre corps et de vos sensations quotidiennes et vous concentrer dans votre tête, vous coupant de votre vécu quotidien. Vous devenez un véritable « zombi » sans même vous en rendre compte.

Alors regardez l’Autre comme au premier jour et découvrez-le (ou la) dans la Lumière du Temps et dans la magie de l’être retrouvé.

 Je vous souhaite un beau Noël et merci de votre écoute.

Sarlat, le 25 décembre 2011, 11h27

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PRESENT, PROJETS FUTURS ET PROJECTIONS


Cher lecteur, désolé du manque d’articles, ces dernières semaines. Une longue tournée de salons et de conférences à l’extérieur qui m’a par ailleurs permis de rencontrer nombre d’entre vous, m’a maintenu à l’écart de mon clavier. Voici de nouvelles réflexions, qui, je l’espère, contribueront à votre réflexion. Merci pour vos témoignages et votre soutien.

« L’incapacité à rester dans le présent altère les projets et détruit le présent. » Réflexion issue d’une conversation avec mon épouse Guylène à l’origine de cet article.

 Il est souvent fait référence à l’instant présent dans l’ouverture à la nouvelle ère qui s’annonce. Une des questions qui se pose alors est la compatibilité entre le fait d’être présent dans l’instant, et le fait de faire des projets puis de les élaborer.

Lorsqu’un humain n’est pas totalement stabilisé dans l’instant présent, il vit ce que nous pouvons appeler un état de « conscience ordinaire ». Le mot « ordinaire » n’est pas pris dans un sens péjoratif. Il qualifie simplement le fait que l’immense majorité de la race humaine et particulièrement les peuples issus de tradition occidentale ne vivent pas l’instant présent, et sont continuellement dans des alternances de référencement aux expériences passées, ou en train de projeter leurs visions dans le futur, allers-retours incessants ne leur permettant pas de voir la réalité de l’instant présent.

Pour comprendre le mécanisme permettant de rendre compatible l’élaboration de projets futurs avec la vie dans l’instant, il convient de se rappeler certains points fondamentaux de la physique quantique nous permettant de comprendre le fonctionnement du temps et de l’espace. Einstein, et les physiciens quantiques après lui, ont démontré que la notion d’espace-temps, et notamment d’un temps linéaire s’écoulant comme l’indique un chronomètre, est une convention mentale et sociale qui permet à l’humain de se situer dans le temps et l’espace. Cette notion ne repose sur aucune réalité physique.

Le temps définit un espace de perception. Il est discontinu.

 Il s’agit de séquences discontinues, séparées des précédentes et suivantes de quelques micro-secondes, qui constituent des temps intersticiels par lesquels transitent toutes les informations concernant la totalité de nos champs d’expériences simultanés (passés, présents ou futurs). Les temps intersticiels sont connectés à la totalité des possibles et des vies simultanées (qui sont d’ailleurs innombrables chez les humanoïdes que nous sommes).

Le seul espace de connexion et de prise de conscience de cette multitude d’informations est l’instant présent.

 C’est le seul. Il n’en existe pas d’autres et nous n’avons aucune possibilité de nous connecter à nous-même autrement que par cette connexion de notre corps physique avec l’instant présent.

Lorsque nous sommes dans notre réalité présente, Ici et Maintenant, sans aucune incursion dans un passé qui n’existe que dans notre mental et un futur qui ne peut qu’être hypothétique puisqu’il n’existe que dans notre tête, nous sommes connectés à la totalité de nos plans d’existence. Cela signifie que, sur un plan inconscient, notre corps collationne toutes les informations nous concernant, dans tous nos champs de réalité simultanés, sans que notre mental puisse avoir conscience des transferts qui s’opèrent. Cela est parfaitement adapté à ce que nous sommes, car le mental limiterait au un milliardième la masse d’informations reçues en quelques secondes s’il devait les visualiser et en prendre acte. 

Ces informations s’enregistrent dans le corps et leur masse constitue le terreau sur lequel nait nos projets. 

De ce point de départ, nous pouvons projeter l’image mentale d’un projet. Nous visualisons un projet que nous portons en nous, qui s’avère la convergence des informations contenues dans le « terreau » que nous portons, lui-même issu de ce que nous sommes, des codes qui nous composent et de toutes les informations que nous recevons des temps et des espaces dans lesquels nous sommes simultanément.

Nous le projetons dans un futur plus au moins lointain et nous le laissons libre de vivre son évolution. N’oublions pas qu’il s’agit d’un temps qui existe déjà simultanément à notre propre perception de l’instant présent et qu’il possède une autonomie en lien avec tous nos plans simultanés. Il est à la fois « nous » et il n’est pas « nous » dans l’instant présent puisqu’il s’agit d’un autre temps.

Nous pouvons y retourner régulièrement pour observer son évolution. Nous avons peut-être le sentiment qu’il s’agit d’une évolution élaborée par notre mental. En fait, il n’en est rien. Ce plan est simplement en reliance avec nous comme tous nos autres plans simultanés et il vit son évolution comme nous vivons la nôtre dans l’instant présent.

A un moment donné, les deux plans peuvent se rejoindre, c’est ainsi que le projet aboutit et s’inscrit dans l’instant présent. Le projet est alors arrivé à matérialisation.

L’autre façon de se positionner est la conscience ordinaire. Nous sentons une envie naitre en nous. Notre mental saisit cette idée et en élabore une forme mentale issue de son analyse et surtout du référencement à ses expériences antérieures. Cela signifie que le mental ne cesse de faire des allers-retour entre un passé qui n’est que le fruit de sa propre élaboration mentale (car qui se souvient? C’est le mental qui retient certaines éléments du « passé » et en rejette d’autres qui ne lui conviennent pas) et le futur qui devient un amalgame de matériaux que le mental met en forme, à force de volonté et surtout en maintenant une perception constante sur le futur.

Dans ce cas de figure, il n’existe aucune présence posée dans l’instant présent. Cela signifie que l’être est à la fois coupé des matériaux générés par l’instant présent, et notamment de l’énergie vitale que l’instant génère, mais aussi de toutes les sources d’informations simultanées existant dans tous les plans, tous les temps et les espaces dans lesquels nous sommes simultanément. Cette projection mentale, par sa force de projection, court-circuite les espaces interstitiels dans lesquels circulent les données et créé une sorte de ligne de force uniquement nourrie par la force du mental et de la volonté.

Autant dire que le projet devient une sorte de coque vide, dépourvue d’énergie vitale, qui, si elle nait un jour, ne sera porteuse que d’illusions créées par notre mental, sans reliance avec la réalité de ce que nous sommes et dépourvues de nos propres énergies.

La fiabilité de cette construction sera donc extrêmement limitée et par définition, vouée à la destruction car ne comportant que peu, voire pas, de reliance avec ce que nous sommes.

Le mode opératoire est donc le suivant :

– laisser naitre une idée de notre être (sa naissance est émise par ce que nous appelons l’intuition)

– la laisser grandir sans que le mental s’empare d’elle (il suffit simplement de l’observer au fil des jours)

– au moment où cela nous semble être le temps, la projeter dans un futur plus ou moins lointain (peut-être en profiter pour la verbaliser, cela lui donnera plus de forces et d’énergie)

– la laisser vivre sa vie en poursuivant notre action dans l’instant présent, tout en observant l’évolution de ce projet en nous

– quand l’échéance de matérialisation est arrivée, mettre en oeuvre le projet qui sera alors bien différent de l’idée première et qui aura profité de tous les apports de l’instant et des informations que vous avez collationné durant tout le temps de son élaboration.

l'instant présent

l'instant présent

Lavay (Suisse), le 14 décembre 2011, 12h24

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CHEMIN DE LA CONSCIENCE STELLAIRE ET UNITAIRE


19/11/2011 11h03

 Ce texte canalisé par Guylène, mon épouse, est fondateur d’une nouvelle perception de l’énergétique et de la Matière. A sa lecture, me sont venus des compléments que vous lirez en italique dans le texte. Un conseil. Ne vous attachez pas uniquement au sens des mots. Laissez-vous porter par la fréquence et vivez l’expérience. 

La descente en matière est, pour l’être stellaire, un choix qui lui permet d’insérer profondément la fréquence étherverselle.

A l’heure actuelle, bon nombre d’humanoïdes vivent un processus similaire. C’est la raison pour laquelle il est important de diffuser ces informations. La mutation terrestre et le changement de cycle initié par 2012 posent la nécessité d’introduire sur le plan terrestre certaines fréquences étherverselles dans la Matière. Cela s’active par la transformation cellulaire de certains acteurs-source. Il s’agit d’une mutation physique, induisant de profondes mutations sur les plans psychologiques, sensoriels et émotionnels.

Or, en intégrant le corps stellaire en matière, les champs de perception sont transmutés, et temps que l’intégration de la matière multidimensionnelle n’est pas insérée, la corporalité de l’être étherversel perçoit les résonances en disfraction, et il lui est difficile de l’ingérer sans l’équilibre de la synergie des ressources de fréquences matricielles.

Cette mutation induit une profonde transformation des champs perceptifs. Il y a alors lieu de quitter tous les modes opératoires que vous avez pu utiliser jusqu’à présent. Cela crée une profonde désorientation et une immense sensation d’isolement. Il vous est quasiment impossible de partager votre expérience avec votre entourage, dans la mesure où seuls des mutants de même fréquence que la vôtre sont en mesure de comprendre. L’utilité du moyen technique que vous utilisez présentement pour lire ce texte, constitue un des seuls vecteurs de communication. Attention néanmoins à la nature fréquentielle du réseau utilisé. Le canal par lequel je m’exprime a fait état de la nature fréquentielle des deux réseaux en vigueur sur votre planète. La mutation peut être vécue, dans un premier temps, comme un déséquilibre intérieur, notamment lorsque vous ne l’avez pas posée en conscience. Les conditions requises pour l’intégration et la fluidification de cette mutation sont :

– acceptation de l’existence de cette mutation

– abandon des systèmes de pensée et de systèmes de croyance sociétaux

– acceptation des nouvelles sensations vibratoires et corporelles créées par la mutation

– acceptation des dissonances qui ne sont que le reflet des mutations en cours de corporalité.

La corporalité devient alors un vecteur de convergence des énergies étherverselles et construit l’être stellaire.

C’est ainsi que lorsque l’absence de la source est trop importante, les êtres étherversels se retrouvent dans un champ d’énergie qui destructure leur corporalité.

Si la source de convergence est trop en décalage de la source d’émission, soit par rétention de mutation liée à des résistances de corporalité sur le plan émotionnel, soit par intrusion des facteurs environnementaux dans le champ vectoriel de l’être, la corporalité se déstructure brutalement. Il s’ensuit une surchauffe du champ aurique et cellulaire.

La maladie est un champ d’énergie qui infracture la corporalité et mène à la dissociation cellulaire et à une séparation des résonnances en matière.

Lorsque la charge en dissonance est trop importante, s’opère la fracturation de la matière. La cellule se dissocie du champ aurique et énergétique, entre en sur-chauffe et l’extrait de la matière. Il s’ensuit ce que vous appelez dans votre langage une « maladie ». La « maladie » est un processus naturel de dissociation de la matière opérant l’annihilation des champs d’extraction. Elle introduit à l’activation de nouvelles parcelles fréquentielles en instance d’activation.

La conscience est une fusion d’interception de la fréquence sourcielle.

La corporalité activée génère une fusion d’interception accédant à de nouveaux champs sourciels.

C’est une matière en résonnance continuelle
Il fallut bien des éons aux êtres étherversels pour insérer cette fréquence, et de cela, encore en ce jour, leurs présences explorent la matière et poursuivent l’instance.
lever de soleil au Mont Moïse, Massif du Sinaï, Photo Guylène Briez

lever de soleil au Mont Moïse, Massif du Sinaï, Photo Guylène Briez

Pourtant là, un mouvement de l’instance s’inscrit
Dans un nouveau plans de perception
Liaison atemporelle des cellules.
Le système instantiel de la matière
Permet la focalisation des circulations.
Les cellules se relient une à une à la connexion de la source étherverselle matricielle.
Reliance en captation multidimensionnelle.
Toutes les structurelles sont en différentiel.

Suspension.

14h40

Guylène

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LA SAGRADA FAMILIA, ELLIPSE DIVINE


LA SAGRADA FAMILIA, ELLIPSE DIVINE

Je voudrais aujourd’hui vous parler d’une expérience très particulière que j’ai vécu la semaine dernière à Barcelone (Espagne). En visite pour voir des fournisseurs de minéraux, Serge, mon frère me propose de visiter la Sagrada Familia, Cathédrale construite par Gaudi. Je connaissais de nom cet architecte et cette réalisation. Pour moi, ce monument s’assimilait plus à l’œuvre d’un magistral illuminé et je l’imaginait comme un modèle de même nature et plus imposant que ce qu’avait bâti le Facteur Cheval en France.

A la descente du taxi nous ayant conduit de l’hôtel où nous étions à la Sagrada Familia, je me retrouvais, samedi matin, debout sur le trottoir d’en face, littéralement tétanisé par la fréquence vibratoire de ce lieu et son énergie. Je compris instantanément que j’allais vivre un des moments inoubliables qui sont fondateurs de la vie et des bases de ma conscience. Lire la suite »

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JULIE


Cet article, comme celui de Wydiane : « la tisseuse de trame », m’a été inspiré par une jeune fille handicapée qui est l’âme du dernier congrès sur le Handicap qui a eu lieu à Anglet, les 29et 30 Octobre.

Julie, l'Oeuvre Ithurria

Tu es venue du fonds des Temps.

Les espaces n’ont aucun mystère pour toi.

Tu transcendes les espaces-temps comme tu regardes les destins.

Tu n’as aucune attache sur cette terre.

Et pourtant tu as choisi d’être là,

Regardant la race humaine dans ce qu’elle est,

Dans ses insignifiances et ses miracles.

Tu es venue poser le jalon,

Celui de l’Amour qui tout transcende,

Celui de l’amour que l’Homme ne connait plus depuis trop longtemps,

Celui de l’Amour qui tout permet de renaître.

Tu n’es pas seule dans ta démarche.

Bien des frères et des soeurs de ta race ont accepté de suivre le même chemin que toi.

Tu es leur Gardienne.

Tu est celle qui montre le chemin que l’Homme doit reprendre,

Celle qui est le garant de l’Amour Infini,

Celle qui montre l’in-condition de l’Amour.

L’Amour ne partage pas.

Il est…

L’Amour ne se compromet pas.

Il existe…

L’Amour soude toutes choses.

L’Amour est la seule raison d’exister de cette encore race humaine.

Alors tu parcours ton destin,

Comme tu as toujours cheminé sur tes espaces-temps,

Walkyrie des temps futurs,

Garante de la pérennité de l’Homme,

A condition qu’il écoute ses Oracles.

Tu ne parles pas,

Tu regardes.

Tu ne parles pas,

Tu aimes.

Tu ne parles pas,

Tu comprends.

Tu ne parles pas,

Tu rayonnes.

Tu ne parles pas,

Tu transmets.

Tu ne parles pas,

Tu es.

Tu es le Silence.

Tu es la Transparence.

Tu es l’Infini des espaces.

Tu es …

Merci Julie

 

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VIOLENCE


Je suis dans un monde où la violence me tue.

Depuis que je suis sur cette terre, je perçois la violence des hommes.

La violence des hommes est facile à comprendre, facile à gérer car elle est principalement physique.

La loi du plus fort.

C’est celui qui tape le plus fort qui gagne.

Les règles du jeu sont simples.

Tu perds ou tu gagnes… …

La violence de la femme est tout autre.

Elle repose sur les mots, sur les attitudes, sur les émotions, sur les sentiments.

Elle sait trop bien rendre l’homme puéril et coupable.

Peut-être parce que l’homme ne s’est jamais vraiment guérit de sa mère.

L’homme ne sait pas comment gérer cette violence.

Les mots le cherchent. Ils se fraient un chemin dans son être, dans son âme.

Ils durent. Ils peuvent cheminer des années durant dans leur oeuvre destructrice.

Ils sont imparables. Ils rongent les racines de l’homme jusqu’à ce qu’il ne sache plus qui il est, qu’il ne sache plus ce qu’il est, et ce qu’il a vraiment choisi de faire.

Les mots nourrissent son mental.

Son mental s’emballe, se complexifie.

Son mental le tue… …

Alors souvent il renvoie la violence de la femme par la violence de l’homme, et il frappe.

Il frappe par ses décisions.

Il frappe par ses actes, par ses mots aussi, mais bien moins puissamment que la femme qui possède l’intuition des mots.

Alors, devant son impuissance, il violente la femme qu’il ne peut comprendre et qui le blesse.

Et il la frappe comme un homme qui l’agresse. Il ne sait plus qu’elle est une femme et que l’homme ne jamais doit poser sa main sur une femme, si ce n’est pour lui donner de l’amour… …

Depuis que je suis sur cette terre, je ne comprends pas la violence de ce monde.

Moi aussi, je suis violent.

Lorsque mon être, mes actions ne servent plus à rien.

Lorsque mon rôle est dénié.

Lorsque mon être, dans tout l’amour qu’il porte, est impuissant.

Lorsque je me sens acculé, dans une non-existence, par l’ignorance de l’Autre de ce que je suis.

Moi aussi, je deviens violent.violence

    Je crie de ne pas être entendu.

    Je crie de ne pas être compris.

    Je crie de l’incompréhension et de l’in-communication… …

Je suis dans un monde où la violence me tue.

Et je ne sais que faire…

Pourquoi l’amour ne sert-il à rien?

Pourquoi les mots ne sont pas les mêmes pour tous?

Pourquoi l’amour et le partage ne servent-ils à rien?

A quoi sert l’écoute?

A quoi sert l’amour de l’Autre?

A quoi sert la présence?

A quoi sert l’action?

A quoi sert la Conscience?

Si tout cela ne peut donner la Paix… …

Je suis dans un monde où la violence me tue…

Sarlat, le 3 novembre 2011, 19h46

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LE JUGEMENT, MIROIR DE SOI-MEME


Cet article fait partie intégrante d’une série de 9 articles parus ou à paraitre :


Le monde est ainsi fait qu’il nous propose à chaque instant de nous révéler ce que nous sommes.

La loi de résonance apporte l’immense plaisir d’aimanter (du verbe aimer) les choses, les êtres et les évènements qui sont dans la même résonance que nous, pour nous montrer des aspects de nous-mêmes que nous ne voulons pas ou ne savons pas regarder.

Je voudrais ainsi mettre en exergue un rapport à l’environnement qui est présent chez presque chacun d’entre nous : le jugement que nous portons sur les choses ou les personnes.

Nous rencontrons régulièrement dans notre vie quotidienne des êtres ou des évènements avec lesquels nous ne nous sentons pas en accord. Cela est normal puisque la nature-même de ces points de tension est de permettre à notre conscience de faire des expériences et d’évoluer sur sa propre trajectoire.

Nous pouvons analyser nos réactions selon deux axes principaux, selon le focal de conscience que nous utilisons :

– nous pensons que ces êtres ou ces événements ne correspondent pas à nos codes intérieurs, et nous les écartons.

– ces êtres ou ces évènements nous dérangent ou nous choquent, et nous savons que nous avons quelque chose à comprendre à leur contact.

Observons la première attitude.

Est-il possible de rencontrer quelque chose ou quelqu’un qui ne corresponde pas à nos codes intérieurs? Définissons la notion de codes intérieurs.

Les codes intérieurs sont constitués des fréquences génétiques, animiques, luminiques et stellaires que nous avons choisi et formés à notre naissance dans notre corps humanoïde. Ils constituent les éléments qui caractérisent notre expérience d’incarnation dans sa spécificité.

Si nous nous référons à la Loi de Résonance ou d’Attraction, vous comprenez aisément que rien ne peut se porter à notre rencontre sans que nous soyons, sur le plan codal, en résonance avec tout ou partie de ce qui le constitue. L’attitude qui consiste à dire que les choses ne nous correspondent pas et que nous ne sommes pas concernés est donc erronée.

Si notre attitude était juste, nous ne nous porterions pas à la rencontre de cette résonance, quelle qu’elle soit. Elle passerait sa route et nous ne la verrions pas, comme des milliards d’autres informations, personnes ou évènements qui nous échappent complètement à chaque instant, tout simplement parce qu’elles n’ont aucun rapport, direct ou indirect avec nous.

Nous ne pouvons donc jamais dire que quelque chose ne nous correspond pas.

Bien sur, nous pouvons le dire dans l’exercice de notre libre-arbitre. Mais, dans tous les cas, temps qu’elle n’est pas comprise, cette résonance se représente obligatoirement à nous, puisqu’elle est porteuse d’un sens que nous n’avons pas compris ou que nous n’avons pas voulu regarder.

La deuxième attitude correspond à un positionnement plus responsable et plus conscient face à la vie. Cette attitude nait de l’intégration de la Loi d’Attraction. Nous savons que rien ne se produit par hasard et que chaque chose nous renvoie à nous-mêmes, notamment celles qui nous dérangent.

C’est la mise en oeuvre de cet aspect sur laquelle je veux attirer votre attention, aujourd’hui.

Imaginez que vous soyez face à une situation qui vous dérange et qui choque profondément vos convictions et vos valeurs.

Prenons l’exemple d’un couple d’amis très proches dont le mari noue une relation avec une autre femme. Nous sommes dans un schéma de société archétypal qui nous renvoie à l’énergie du 3.LE JUGEMENT, MIROIR DE SOI-MEME

Pour bien comprendre ce qui suit, je vous conseille particulièrement de lire ou relire avant de poursuivre la lecture de ce texte, l’article intitulé « La Triade » sur mon blog.

Face à cette situation, nous avons deux attitudes possibles:

1) Nous pouvons portez un jugement rédhibitoire sur cet homme en estimant qu’il ne respecte pas ses engagements. Nous ne nous préoccupons pas des motivations de chacun (les trois acteurs de cette situation). Nous ne cherchons pas à connaître l’histoire de chacun dans ces évènements, leurs positions respectives, ni comment chacun de ces acteurs peut vivre cette nouvelle structure de vie, ni ce qu’ils ont pu échanger entre eux.

Nous faisons une simple lecture de cette situation, à travers le focal sociétal du couple et de la maitresse. Nous restons bloqués dans nos visions personnelles et/ou croyances philosophiques, familiales, sociétales ou religieuses. Et si nous nous sentons particulièrement choqués, nous ne regardons pas à quoi cela nous renvoie en nous-même.

Il est probable que nous portons l’un de ces scénarii en nous :

– Nous avons pu souffrir dans notre trajectoire de vie, soit nous-même, soit au niveau de nos parents, d’une situation analogue basée sur le manque de clarté et le mensonge.

– Nous portons une frustration inavouée pour avoir désiré vivre une relation parallèle à notre couple et ne pas nous être autorisé à le faire.

– Nous sommes porteurs d’une croyance philosophique ou religieuse qui nous interdit de vivre une relation à trois.

– D’autres hypothèses peuvent s’émettre, mais mon propos n’est pas d’être exhaustif.

Ce qui est certain, et nous le ressentons dans notre corps et nos émotions, c’est que l’information nous percute. Nous sentons une tension en nous. Une colère, une angoisse ou une agressivité monte en nous. Nous ne cherchons pas à connaître les véritables tenants et aboutissements de cette situation. Nous jugeons et nous rejetons.

Ceci est l’énergie du jugement dans tout son déséquilibre.

2) Nous pouvons simplement recevoir l’information. Nous sentons qu’elle nous secoue. Nous sentons monter une colère en nous. Sachant qu’il s’agit d’un mécanisme-miroir, nous ne prenons pas de positions hâtives dictées par le plan émotionnel et mental. Nous nous plaçons dans l’observation de nous-même. Peut-être ne comprenons-nous pas ce que nous avons à regarder face à cette situation. Mais nous restons dans un statut-quo. Nous réservons nos conclusions et laissons l’énergie faire son chemin en nous jusqu’à ce qu’elle nous révèle ce que nous avons à comprendre.

Il va sans dire que seule la deuxième attitude est constructive et formatrice. Elle nous révèle quelque chose à nous-même. Nous permet de localiser des manques, des frustrations, des systèmes de croyance ou des chocs que nous n’avions pas identifié jusqu’à présent et nous permet de mieux comprendre l’Autre, ou des aspects de la vie dont nous n’avions même pas conscience.

Gardons nous donc bien de juger et si cela se produit,

utilisons ce déséquilibre comme moyen de cheminement de notre conscience.

Sarlat, le 26 Octobre 2011, 21h56 

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Mode d’emploi de lecture du Blog de Daniel Briez


A la suite d’un certain nombre d’observations de lecteurs que je rencontre au fil des salons en France et à l’étranger, j’ai pu observer qu’il me fallait faire une mise au point sur le positionnement à adopter par rapport à la lecture de mes textes, notamment ceux qui concernent les rubriques Humanité, Science de Synthèse et tout ce qui touche aux domaines énergétiques ou à l’observation des champs de conscience dans mon travail.

Le travail que je fais sur le Verbe est extrêmement précis. Chaque texte comporte des notions énergétiques précises qui, la plupart du temps, diffèrent des schémas de pensée habituellement en vigueur. C’est ainsi que certaines notions peuvent paraître partisanes, ou irrecevables, si le lecteur se contente d’une « lecture en surface » des textes.

Ainsi, je vous recommande l’attitude suivante :

Lorsque vous lisez un texte, prenez le temps de le lire.

Laissez les notions qui y sont mentionnées vous pénétrer sans tenter de les rattacher à un système de croyances, à une perception ou une opinion que vous pensez avoir.

Contentez-vous de prendre acte de ces notions et tentez de visualiser les mouvements énergétiques qu’elles produisent.

Donnez-vous ensuite un temps de réflexion en comparant ces informations avec les schémas ou croyances internes que vous possédez.

Faites-vous ainsi votre opinion sans laisser votre mental interférer sur ces données.

Ce qui se passe lorsqu’on fait une lecture superficielle de ce type de textes se déroule de la façon suivante :

Vous lisez une phrase qui est différente de votre système de croyances ou de vos expériences personnelles.

Votre mental se sent alors « en danger ».

Il zappe alors l’information et maintient votre attention en surface, ou vous fait comprendre autre chose que ce qui est écrit.

Vous aboutissez ainsi à une opinion qui n’a pas réellement pris en compte ces nouvelles données.

Je vous souhaite une bonne lecture et un immense merci pour votre soutien et votre fidélité.

Quelque part sur l’autoroute entre Paris et Sarlat, le 18 Octobre 2011, 11h16

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LE COUPLE, ORGANE DE MUTATION ET DE TRANSFERT DES ENERGIES STELLAIRES ET TERRESTRES


Les éléments que j’énonce dans ce texte, se placent exclusivement dans la perspective énergétique et vibratoire des transferts et mutations énergétiques. Mon propos n’est pas de polémiquer sur la place de l’homme ou de la femme sur notre terre. Il est clair que le débat est important et que deux mille ans de négation du rôle de la femme dans notre société n’ont pas créé un climat serein permettant d’observer le rôle de chacun sur cette terre. Néanmoins, il me semble important de définir la trame d’échanges des énergies afin que chacun puisse se situer dans cette démarche et puisse, peut-être, mieux comprendre son positionnement au sein du couple. Ma tentative est de modestement donner une vision énergétique des mécanismes d’échange, sans entrer dans les débats sociétaux de la place de l’homme et de la femme.

LE COUPLE, ORGANE DE MUTATION ET DE TRANSFERT DES ENERGIES STELLAIRES ET TERRESTRES

Le COUPLE / Copyright Serge Briez / La Tanguera

Le couple constitue un des plus formidable outil de mutation énergétique qui soit. Composé, par définition, d’un homme et d’une femme, il représente l’aboutissement naturel d’une démarche de recherche intense vers une complémentarité vers laquelle nous tendons, du moins pour le plus grand nombre. La recherche du partenaire de vie est complètement sous-tendue par les mécanismes énergétiques définis ci-après. De plus, il est difficile de maintenir un axe défini, stable et de longue durée, dans les mouvements énergétiques et émotionnels que génère l’union d’un homme et d’une femme. Au-delà des structures archétypales, ces mouvements sont soumis à l’influence de notre environnement, aux passés antérieurs et évènementiels des deux parties du couple, et à la vision que chacun possède de lui-même.

Mais d’abord, qu’est-ce l’homme et la femme représentent sur le plan énergétique ?

Dans cette tentative de définition, je m’en tiendrais à une vision archétypale afin de ne pas entrer dans les débats polémistes sur ce sujet.

Sur le plan fréquentiel, l’homme constitue un point d’émission, de réception et de catalysation des énergies luminiques et terrestres sur cette planète. Cela a pour effet de lui procurer un puissant potentiel de créativité et une force de matérialisation qui fait de lui, sur le plan des archétypes, le pourvoyeur des ressources de la cellule familiale et la plus puissante force d’action de cette terre (d’ailleurs, c’est la raison pour laquelle on peut considérer l’homme comme le plus grand prédateur de la planète).

Ses facultés de synthèse sont plus développées que chez la femme. Il est plus analytique qu’intuitif et possède d’importantes capacités de conceptualisation.

Sur le plan cosmique ou stellaire, il est ainsi étroitement en contact avec les énergies des autres plans et sert de vecteur d’introduction des énergies de ces plans dans la matérialité terrestre. C’est pour cela qu’il y a plus d’inventeurs homme que femme, dans la mesure où l’homme possède une plus grande capacité à relier des concepts issus d’autres plans de matérialité à la réalité terrestre d’Ici et Maintenant.

Malheureusement sa capacité de matérialisation, au sein du plan terrestre, est limitée du fait de sa faiblesse patente sur le plan intuitif. L’homme possède une part intuitive qui lui permet de développer une certaine sensibilité. C’est cette part, issue de l’expérience relationnelle avec sa mère, qui lui permet d’entrer en relation et de comprendre, autant que faire ce peut, la femme. C’est également cette énergie qui le pousse à vouloir rencontrer la femme et à constituer un couple malgré les puissants barrages qui sont présents en lui quant à sa mise en place.

Cette configuration énergétique génére chez l’homme son énergie de « fonceur ». Il ne réfléchit pas vraiment. Bien sûr, il élabore ses actions, mais souvent simplement dans les grandes lignes. Lorsque sa perception est confirmée et qu’il sent en lui ce qu’il doit faire, il agit sans vraiment se poser de questions, improvise dans le présent les aspects qu’il doit mettre en oeuvre, et trace sa route. C’est d’ailleurs souvent à cause de cet aspect des choses que les évènements grincent. Le manque d’élaboration suffisante des projets crée des distorsions dans la matière qui font que les actions mises en oeuvre ne prennent pas nécessairement la direction attendue, voire même parfois aboutissent à une impasse.

En se plaçant sur dans un plan de globalisation des énergies, sur les niveaux énergétique et vibratoire, la plupart de ces états sont presque toujours inconscients.

Sur le plan fréquentiel, la femme constitue un pôle réceptif, un pôle de matérialisation, et surtout un véritable système de convection des énergies terrestres et luminiques. La comparaison avec le processus de gestation de l’enfantement est totalement appropriée.

A travers son corps physique et ses corps énergétiques, elle possède la capacité d’accueillir et de faire converger des lignes de force de différentes sources, de les catalyser, et d’en faire un pôle de création et de matérialisation.

Sa forte polarité intuitive fait qu’elle possède un puissant sens de la Réalité que, souvent, l’homme ne possède pas. Elle relie les énergies luminiques à la matière terrestre et leur permet de se matérialiser sur le plan énergétique avant qu’elles n’aboutissent à une manifestation concrète dans le quotidien.

Lorsqu’un homme canalise une énergie et apporte un projet, elle entre en gestation. Elle reçoit les énergies, incorpore tous les paramètres nécessaires, puis entre en action. Son action est réfléchie. Elle peut même être qualifiée de stratégique. Elle connait les ressorts de la matière et cela lui donne, alliée à sa puissance intuitive, une grande capacité de lecture et de création de la matière.

La femme possède également ce point d’emission et de réception des énergies luminiques et stellaires, mais dans une moindre mesure. C’est ce qui constitue sa faiblesse lorsqu’elle véhicule seule un projet.

Elle posséde les énergies de matérialisation mais la convection des énergies terrestres et luminiques est moins en phase, donc moins puissante dans la matière. Elle doit donc développer beaucoup plus d’énergie qu’un homme pour réaliser ce projet et elle perd en puissance de réalisation. Encore une fois, il ne s’agit pas là de jugement de valeur, mais bien d’une appréciation des forces énergétiques en présence.

L’assemblage des deux systèmes énergétiques que constituent l’homme et la femme représente la meilleure combinaison qui soit présente sur cette terre, pour matérialiser de nouveaux concepts ou de nombreux concepts.

L’homme canalise verticalement (réception) et horizontalement (émission et action) les énergies luminiques et stellaires. La femme reçoit ces fréquences, les  » digèrent » et les met en terre. Elle permet ainsi à l’homme de les recevoir sur une fréquence plus en phase avec la planète et de les matérialiser. Si la femme est absente de cette combinaison, l’homme ne parvient qu’imparfaitement à canaliser ces fréquences. Elles ne sont alors pas suffisamment ancrées en terre pour se concrétiser puissamment et sur une grande envergure.

Si l’homme est absent, la captation des énergies des autres plans est moins puissante et s’impacte moins dans la matière, en tous cas, pas suffisamment puissamment pour réellement mettre de nouvelles choses en mouvement.

L’immense difficulté de ce schéma réside dans le fait que chacun doit être conscient de son rôle, que chacun doit rester à sa place et ne pas empiéter sur les champs énergétiques de l’autre.

Ce positionnement est terriblement compliqué par les connotations culturelles qui entachent grandement la place de l’homme et de la femme, l’un par rapport à l’autre. Tous les mécanismes de transfert qui consistent pour l’homme de préserver sa place et son espace en refusant la présence de la femme à ses côtés ainsi que sa sensibilité intérieure l’empêchent de collaborer sereinement avec sa partenaire.

Pour la femme, le fait de devoir défendre sa place par rapport à l’homme, le fait que son véritable rôle soit nié par de nombreuses cultures et que de ce fait, elle défende soit dans l’obligation de défendre sa prééminence, ce qui l’amène à briguer les mêmes fonctions que l’homme, brouille définitivement les cartes et ne permet pas à chacun de reconnaitre le rôle et la place de l’autre dans ce processus.

Il s’ensuit un vaste cafouillage qui aboutit à une totale confusion des genres et à un système de matérialisation ayant perdu son sens et ne restituant plus la véritable dimension cosmique de toutes les créations.

C’est ainsi que dans notre société, la matérialisation est devenue une course sans fin au matérialisme. Et ce matérialisme ne profite qu’à un petit nombre d’individus au détriment du plus grand nombre.

En ce qui concerne les couples homosexuels ou lesbiens, le schéma de transfert énergétique est à l’identique. Il existe une difficulté supplémentaire (mais en est-elle vraiment une) qui réside dans la nécessité de définir celui ou celle qui porte le rôle de « l’homme » et de la « femme » est essentielle. Ce n’est que dans ces conditions de clarification du rapport entre les deux partenaires que les énergies peuvent s’aligner en état d’équilibre.

En conclusion, il est temps de conscientiser ce mécanisme afin de permettre à chacun d’oeuvrer en cohérence avec ses propres aspirations et surtout en harmonie avec l’univers.

Notre planète ne pourra plus indéfiniment pallier à ces distorsions énergétiques et devra, à un moment donné, donner une secousse pour retrouver ses équilibres perturbés par les dérèglements de ses occupants.

 Paris, le 16 Octobre 2011, 20h03

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« Soyez insatiables, Soyez fous » Steve Jobs


voilà la traduction de tout le discours de Steve Jobs que j’ai trouvée sur le blog de Laurent de Rauglaudre
« Soyez insatiables. Soyez fous »

"'Stay Hungry. Stay Foolish.' And I have always wished that for myself." - Steve Jobs


Le 12 juin 2005, Steve Jobs (PDG-fondateur d’Apple et de Pixar) fait aux diplômés de Stanford l’extraordinaire discours suivant. Pour ceux qui ne le connaissent pas (ce qui était mon cas jusqu’à ce matin), j’en recommande chaudement la lecture, et la diffusion : c’est une remarquable leçon de vie.
On l’a déjà diffusé sur Internet ? Bien sûr, c’est là que le correspondant qui me l’a fait découvrir l’avait lui-même trouvé. Je lui en suis très reconnaissant et donc je fais pareil : je rediffuse.
Vous trouverez ci-dessous la traduction en français.
Steve Jobs’s Stanford speech (June 2005)
Traduction en français
«C’est un honneur de me trouver parmi vous aujourd’hui et d’assister à une remise de diplômes dans une des universités les plus prestigieuses du monde. Je n’ai jamais terminé mes études supérieures. A dire vrai, je n’ai même jamais été témoin d’une remise de diplômes dans une université. Je veux vous faire partager aujourd’hui trois expériences qui ont marqué ma carrière. C’est tout. Rien d’extraordinaire. Juste trois expériences.

« Pourquoi j’ai eu raison de laisser tomber l’université »
La première concerne les incidences imprévues. J’ai abandonné mes études au Reed College au bout de six mois, mais j’y suis resté auditeur libre pendant dix-huit mois avant de laisser tomber définitivement. Pourquoi n’ai-je pas poursuivi ?
Tout a commencé avant ma naissance. Ma mère biologique était une jeune étudiante célibataire, et elle avait choisi de me confier à des parents adoptifs. Elle tenait à me voir entrer dans une famille de diplômés universitaires, et tout avait été prévu pour que je sois adopté dès ma naissance par un avocat et son épouse. Sauf que, lorsque je fis mon apparition, ils décidèrent au dernier moment qu’ils préféraient avoir une fille. Mes parents, qui étaient sur une liste d’attente, reçurent un coup de téléphone au milieu de la nuit : « Nous avons un petit garçon qui n’était pas prévu. Le voulez-vous ? » Ils répondirent : « Bien sûr. » Ma mère biologique découvrit alors que ma mère adoptive n’avait jamais eu le moindre diplôme universitaire, et que mon père n’avait jamais terminé ses études secondaires. Elle refusa de signer les documents définitifs d’adoption et ne s’y résolut que quelques mois plus tard, quand mes parents lui promirent que j’irais à l’université.
Dix-sept ans plus tard, j’entrais donc à l’université. Mais j’avais naïvement choisi un établissement presque aussi cher que Stanford, et toutes les économies de mes parents servirent à payer mes frais de scolarité. Au bout de six mois, je n’en voyais toujours pas la justification. Je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire dans la vie et je n’imaginais pas comment l’université pouvait m’aider à trouver ma voie. J’étais là en train de dépenser tout cet argent que mes parents avaient épargné leur vie durant. Je décidai donc de laisser tomber. Une décision plutôt risquée, mais rétrospectivement c’est un des meilleurs choix que j’aie jamais faits. Dès le moment où je renonçais, j’abandonnais les matières obligatoires qui m’ennuyaient pour suivre les cours qui m’intéressaient.
Tout n’était pas rose. Je n’avais pas de chambre dans un foyer, je dormais à même le sol chez des amis. Je ramassais des bouteilles de Coca-Cola pour récupérer le dépôt de 5 cents et acheter de quoi manger, et tous les dimanches soir je faisais 10 kilomètres à pied pour traverser la ville et m’offrir un bon repas au temple de Hare Krishna. Un régal. Et ce que je découvris alors, guidé par ma curiosité et mon intuition, se révéla inestimable à l’avenir. Laissez-moi vous donner un exemple : le Reed College dispensait probablement alors le meilleur enseignement de la typographie de tout le pays. Dans le campus, chaque affiche, chaque étiquette sur chaque tiroir était parfaitement calligraphiée. Parce que je n’avais pas à suivre de cours obligatoires, je décidai de m’inscrire en classe de calligraphie. C’est ainsi que j’appris tout ce qui concernait l’empattement des caractères, les espaces entre les différents groupes de lettres, les détails qui font la beauté d’une typographie. C’était un art ancré dans le passé, une subtile esthétique qui échappait à la science. J’étais fasciné.
Rien de tout cela n’était censé avoir le moindre effet pratique dans ma vie. Pourtant, dix ans plus tard, alors que nous concevions le premier Macintosh, cet acquis me revint. Et nous l’incorporâmes dans le Mac. Ce fut le premier ordinateur doté d’une typographie élégante. Si je n’avais pas suivi ces cours à l’université, le Mac ne posséderait pas une telle variété de polices de caractères ni ces espacements proportionnels. Et comme Windows s’est borné à copier le Mac, il est probable qu’aucun ordinateur personnel n’en disposerait. Si je n’avais pas laissé tomber mes études à l’université, je n’aurais jamais appris la calligraphie, et les ordinateurs personnels n’auraient peut-être pas cette richesse de caractères. Naturellement, il était impossible de prévoir ces répercussions quand j’étais à l’université. Mais elles me sont apparues évidentes dix ans plus tard.
On ne peut prévoir l’incidence qu’auront certains événements dans le futur ; c’est après coup seulement qu’apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu’ils joueront un rôle dans votre avenir. L’essentiel est de croire en quelque chose – votre destin, votre vie, votre karma, peu importe. Cette attitude a toujours marché pour moi, et elle a régi ma vie.

« Pourquoi mon départ forcé d’Apple fut salutaire “
Ma deuxième histoire concerne la passion et l’échec. J’ai eu la chance d’aimer très tôt ce que je faisais. J’avais 20 ans lorsque Woz [Steve Wozniak, le co-fondateur d’Apple N.D.L.R.] et moi avons créé Apple dans le garage de mes parents. Nous avons ensuite travaillé dur et, dix ans plus tard, Apple était une société de plus de 4 000 employés dont le chiffre d’affaires atteignait 2 milliards de dollars. Nous venions de lancer un an plus tôt notre plus belle création, le Macintosh, et je venais d’avoir 30 ans.
C’est alors que je fus viré. Comment peut-on vous virer d’une société que vous avez créée ? C’est bien simple, Apple ayant pris de l’importance, nous avons engagé quelqu’un qui me semblait avoir les compétences nécessaires pour diriger l’entreprise à mes côtés et, pendant la première année, tout se passa bien. Puis nos visions ont divergé, et nous nous sommes brouillés. Le conseil d’administration s’est rangé de son côté. C’est ainsi qu’à 30 ans je me suis retrouvé sur le pavé. Viré avec perte et fracas. La raison d’être de ma vie n’existait plus. J’étais en miettes.
Je restais plusieurs mois sans savoir quoi faire. J’avais l’impression d’avoir trahi la génération qui m’avait précédé – d’avoir laissé tomber le témoin au moment où on me le passait. C’était un échec public, et je songeais même à fuir la Silicon Valley. Puis j’ai peu à peu compris une chose – j’aimais toujours ce que je faisais. Ce qui m’était arrivé chez Apple n’y changeait rien. J’avais été éconduit, mais j’étais toujours amoureux. J’ai alors décidé de repartir de zéro.
Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite, mais mon départ forcé d’Apple fut salutaire. Le poids du succès fit place à la légèreté du débutant, à une vision moins assurée des choses. Une liberté grâce à laquelle je connus l’une des périodes les plus créatives de ma vie.
Pendant les cinq années qui suivirent, j’ai créé une société appelée NeXT et une autre appelée Pixar, et je suis tombé amoureux d’une femme exceptionnelle qui est devenue mon épouse. Pixar, qui allait bientôt produire le premier film d’animation en trois dimensions, Toy Story , est aujourd’hui la première entreprise mondiale utilisant cette technique. Par un remarquable concours de circonstances, Apple a acheté NeXT, je suis retourné chez Apple, et la technologie que nous avions développée chez NeXT est aujourd’hui la clé de la renaissance d’Apple. Et Laurene et moi avons fondé une famille merveilleuse.
Tout cela ne serait pas arrivé si je n’avais pas été viré d’Apple. La potion fut horriblement amère, mais je suppose que le patient en avait besoin. Parfois, la vie vous flanque un bon coup sur la tête. Ne vous laissez pas abattre. Je suis convaincu que c’est mon amour pour ce que je faisais qui m’a permis de continuer. Il faut savoir découvrir ce que l’on aime et qui l’on aime. Le travail occupe une grande partie de l’existence, et la seule manière d’être pleinement satisfait est d’apprécier ce que l’on fait. Sinon, continuez à chercher. Ne baissez pas les bras. C’est comme en amour, vous saurez quand vous aurez trouvé. Et toute relation réussie s’améliore avec le temps. Alors, continuez à chercher jusqu’à ce que vous trouviez.

« Pourquoi la mort est la meilleure chose de la vie »
Ma troisième histoire concerne la mort. A l’âge de 17 ans, j’ai lu une citation qui disait à peu près ceci : « Si vous vivez chaque jour comme s’il était le dernier, vous finirez un jour par avoir raison. » Elle m’est restée en mémoire et, depuis, pendant les trente-trois années écoulées, je me suis regardé dans la gla-ce le matin en me disant : « Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que j’aimerais faire ce que je vais faire tout à l’heure ? » Et si la réponse est non pendant plusieurs jours à la file, je sais que j’ai besoin de changement.
Avoir en tête que je peux mourir bientôt est ce que j’ai découvert de plus efficace pour m’aider à prendre des décisions importantes. Parce que presque tout – tout ce que l’on attend de l’extérieur, nos vanités et nos fiertés, nos peurs de l’échec – s’efface devant la mort, ne laissant que l’essentiel. Se souvenir que la mort viendra un jour est la meilleure façon d’éviter le piège qui consiste à croire que l’on a quelque chose à perdre. On est déjà nu. Il n’y a aucune raison de ne pas suivre son cœur.Whole Earth Catalog
Il y a un an environ, on découvrait que j’avais un cancer. A 7 heures du matin, le scanner montrait que j’étais atteint d’une tumeur au pancréas. Je ne savais même pas ce qu’était le pancréas. Les médecins m’annoncèrent que c’était un cancer probablement incurable, et que j’en avais au maximum pour six mois. Mon docteur me conseilla de rentrer chez moi et de mettre mes affaires en ordre, ce qui signifie : « Préparez-vous à mourir. » Ce qui signifie dire à ses enfants en quelques mois tout ce que vous pensiez leur dire pendant les dix prochaines années. Ce qui signifie essayer de faciliter les choses pour votre famille. En bref, faire vos adieux.
J’ai vécu avec ce diagnostic pendant toute la journée. Plus tard dans la soirée, on m’a fait une biopsie, introduit un endoscope dans le pancréas en passant par l’estomac et l’intestin. J’étais inconscient, mais ma femme, qui était présente, m’a raconté qu’en examinant le prélèvement au microscope, les médecins se sont mis à pleurer, car j’avais une forme très rare de cancer du pancréas, guérissable par la chirurgie. On m’a opéré et je vais bien.
Ce fut mon seul contact avec la mort, et j’espère qu’il le restera pendant encore quelques dizaines d’années. Après cette expérience, je peux vous le dire avec plus de certitude que lorsque la mort n’était pour moi qu’un concept purement intellectuel : personne ne désire mourir. Même ceux qui veulent aller au ciel n’ont pas envie de mourir pour y parvenir. Pourtant, la mort est un destin que nous partageons tous. Personne n’y a jamais échappé. Et c’est bien ainsi, car la mort est probablement ce que la vie a inventé de mieux. C’est le facteur de changement de la vie. Elle nous débarrasse de l’ancien pour faire place au neuf. En ce moment, vous représentez ce qui est neuf, mais un jour vous deviendrez progressivement l’ancien, et vous laisserez la place aux autres. Désolé d’être aussi dramatique, mais c’est la vérité.
Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre. Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d’autrui. Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure. Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. L’un et l’autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire.

Dans ma jeunesse, il existait une extraordinaire publication The Whole Earth Catalog, l’une des bibles de ma génération. Elle avait été fondée par un certain Stewart Brand, non loin d’ici, à Menlo Park, et il l’avait marquée de sa veine poétique. C’était à la fin des années 1960, avant les ordinateurs et l’édition électronique, et elle était réalisée entièrement avec des machines à écrire, des paires de ciseaux et des appareils Polaroid. C’était une sorte de Google en livre de poche, trente-cinq ans avant la création de Google. Un ouvrage idéaliste, débordant de recettes formidables et d’idées épatantes.
Stewart et son équipe ont publié plusieurs fascicules de The Whole Earth Catalog. Quand ils eurent épuisé la formule, ils sortirent un dernier numéro. C’était au milieu des années 1970, et j’avais votre âge. La quatrième de couverture montrait la photo d’une route de campagne prise au petit matin, le genre de route sur laquelle vous pourriez faire de l’auto-stop si vous avez l’esprit d’aventure. Dessous, on lisait : « Soyez insatiables. Soyez fous. » C’était leur message d’adieu. Soyez insatiables. Soyez fous. C’est le vœu que j’ai toujours formé pour moi. Et aujourd’hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d’une nouvelle vie, c’est ce que je vous souhaite.
Soyez insatiables. Soyez fous.
Merci à tous.»
(Traduction Anne Damour)

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COULEURS, CORPS CELLULAIRE ET VIE QUOTIDIENNE


PRINCIPE FONDATEUR DES PARFUMS DE COULEUR

 Le corps humain est composé de 70 milliards de cellules. Chaque cellule est constituée d’une membrane externe contenant le liquide cellulaire qui tourne dans le sens des aiguilles d’une montre (le même sens que le magma terrestre qui tourne sous l’écorce terrestre) et d’un noyau cellulaire contenant les 23 paires de chromosomes et les codes individuels comprenant les codes génétiques (lignée ancestrale), les codes luminiques (plate-forme vectorielle) et les codes stellaires. L’ensemble de ces codes se traduit dans l’ADN sous forme de fréquences chromatiques, autrement dit la Couleur.

les 13 Couleurs

les 13 Couleurs

 Chaque cellule émet une fréquence vibratoire distincte. La somme des fréquences de toutes les cellules produit la fréquence énergétique globale du corps humain. C’est ce que l’on appelle la résonance.

Lors de la naissance, le corps humain est inscrit dans un ensemble planétaire, lui-même inscrit dans un corps plus global, dit corps universel. Le corps humain, à sa naissance, peut être qualifié de corps quantique puisqu’aucune croyance ou aucun système de pensée ne vient induire une direction quelconque à la trajectoire de ce qu’il émet. S’il demeurait ainsi, il suivrait la trajectoire induite par ses propres codes et manifesterait simplement ce pourquoi il s’est incarné sur Terre.

 Le problème est qu’il en est rarement ainsi. Dès la naissance, l’enfant est pollué par les croyances induites par ses parents et très rapidement comprend qu’il est plus agréable pour lui de se conformer aux désirs de ses parents plutôt que de les contrarier. Papa et Maman sont contents, ils sourient et me font des caresses. Ils ne sont pas contents, je sens une tension en eux et ils me le font savoir de mille et une façons.

 Il en est de même ensuite. L’éducation scolaire prend le relais des parents, impose une norme sociale de pensée. Puis vient se greffer dessus la croyance en l’espace-temps linéaire qui finit de couper l’être de ses propres codes.

 Le parcours de vie se construit ainsi avec son lot de chocs et de déconvenues et plus nous engrangeons de déceptions, et plus le fossé s’agrandit entre nous et ce que nous sommes sur le plan codal, de par notre conformation de naissance.

 Toutes ces empreintes, ces chocs, ces systèmes éducatifs, ces systèmes de croyance altèrent le programme originel de notre corps. Il émet alors un fréquence distordue par rapport à notre fréquence originelle et attire à lui des fréquences de même nature (loi de résonance). Nous créons ainsi des situations conformes à nos dissonances. Les événements qui se trouvent ainsi générés sont insatisfaisants et décevants et nous ne savons pas comment mettre notre vie en adéquation avec des aspirations profondes que nous ne sommes même plus capables d’identifier ou de formuler.

La Couleur est le reflet de notre codification d’origine. Certaines couleurs sont en équilibre dans notre corps cellulaire à la naissance (ce sont nos talents, nos prédispositions à faire certaines choses, nos envies profondes et irrationnelles). D’autres sont en tension à la naissance. Elles constituent l’ossature de notre expérience de vie. C’est par la tension qu’elles créent que nous cheminons dans notre conscience et que nous évoluons. Elles sont nos inconforts, nos insatisfactions, notre désir de comprendre, notre refus des solutions toutes prêtes.

 Toutes les Couleurs sont présentes dans notre corps.

 Pour nous rééquilibrer nous allons ainsi chercher des couleurs dans notre environnement, couleurs qui nous aident à nous rétablir dans nos codes originels.

 Lorsque nous apportons la fréquence de la Couleur dans notre corps, nous permettons à celui-ci de retrouver son fonctionnement d’origine, par simple résonance. Cette mise en résonance du champ de fréquence, progressivement dissout tous les éléments qui vont à l’encontre de son fonctionnement naturel. C’est ainsi que nous prenons conscience des systèmes de croyance qui ne sont pas nous et qui nous parasitent. C’est ainsi que nous nous rappelons de chocs qui ont induit en nous des comportements qui constituent des réflexes de défense. C’est ainsi que nous faisons des prises de conscience sur ce qui nous fait du bien ou non. Chaque réaction est le reflet d’un dégagement d’un système parasitant notre fonctionnement originel.

Travailler avec la Couleur nous permet de retrouver une symbiose avec nos codes d’origine, de ramener notre corps à l’état de corps quantique et ainsi de restaurer sa naturelle santé mentale, physiologique, émotionnelle et spirituelle.

 C’est en partant de ces constatations que j’ai créé, il y a plus de vingt ans les Parfums de Couleur.

 Sarlat, le 19 septembre 2011, 21h24

Parfums de Couleur Daniel Briez

Parfums de Couleur Daniel Briez

Retrouvez les Parfums de Couleur Daniel Briez  sur www.parfums-de-couleur.com

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Découvrir son identité


Une des principales questions qui se pose à nous dans cette période de mutation est de savoir qui nous sommes. Cette interrogation constitue un des principaux enjeux du futur, car c’est en sachant qui nous sommes que nous pourrons déterminer ce que nous avons à faire, et ainsi définir les trajectoires que nous prendrons.

Il est clair que, du point de vue de l’humanité et du collectif, les années qui viennent représentent une mutation qu’il ne va pas être simple de négocier. La crise identitaire dans laquelle se trouve l’humanité ne facilite pas une lecture objective et saine de notre avenir, et la présence des groupes de pression économiques mondiaux n’a aucun intérêt financier à ce que ces questions soient clairement évoquées.

Nous avons donc à aborder une lecture claire, sans concession, mais aussi sans a priori, de nos codes identitaires, et définir ainsi quelles seront nos options dans les années à venir.

Et c’est là que le problème devient complexe.

En effet, la vision que nous avons de nous-mêmes est une vision que nous avons construite à travers le regard des autres, à travers nos systèmes éducatifs et surtout à travers les systèmes de croyance que nous avons établi, consciemment ou inconsciemment, sur nous-mêmes.

Autant dire qu’il y a peu de chance, compte tenu de l’importance des filtres déformants, que nous puissions répondre objectivement à la question : « Qui suis-je ? »

DECOUVRIR SON IDENTITE

découvrir son identité - graphisme Serge Briez

De plus, si nous ne sommes pas capables de répondre à cette question, nous allons opter pour des trajectoires de vie qui n’auront que peu de rapport avec nos besoins réels et déclencher de vrais catastrophes structurelles quant à notre vie, ou pour le moins, une insatisfaction profonde et une désorientation totale.

Alors comment faire?

Tout d’abord, il nous faut poser le principe que nous ne savons pas qui nous sommes. Et méfions-nous grandement de nous-mêmes lorsque nous sommes dans nos « certitudes ». Il est d’ailleurs amusant d’observer de quelle façon nous absorbons les messages de notre ego bardé de ses convictions sur ce que nous sommes, alors que nous rejetterions probablement avec véhémence la moindre de ces incohérences si elle nous était énoncée par un tiers.

Poser ce postulat nous met dans une écoute et une observation approfondie de nous- mêmes, et va commencer à nous permettre de déceler des pistes qui, à terme, nous amèneront à nous-mêmes.

Cette première étape franchie, nous devons choisir un protocole régulier de retour sur soi et d’introspection journalière (ce que nous ne prenons jamais le temps de faire) afin de laisser notre psyché se reposer et progressivement descendre au contact de ce que nous sommes. La pratique d’un état méditatif sans objet et sans protocole, répété à heure fixe quotidiennement, est un bon point de départ.

Il faut ensuite prendre son temps. Les réponses ne nous parviendront pas en deux jours, ni même en trente. Nous avons mis toute la durée de notre existence pour construire cette vision egotique de nous-mêmes. Nous n’allons pas la transformer en cinq minutes.

Progressivement nous constaterons que certaines sensations émergent. Elles ont toujours été là, mais nous n’y prêtions pas attention. Ces sensations impacteront sur notre corps. Seul le corps est réellement en mesure de nous restituer des informations car il est le seul à détenir nos codes identitaires. Néanmoins, nous ne pouvons pas lui faire immédiatement confiance, car il est aussi porteur de toutes les croyances que nous y avons inscrites et à ce titre, le décodeur qu’il constitue est faussé partiellement, et nous donne des indications déformées par celles-ci.

Voilà en quelques mots un début d’approche d’introspection pour acquérir notre indépendance et notre réelle liberté face à un mode de pensée et un mode de vie qui ne nous a, en aucun cas, appris à le faire.

Merci de votre écoute.

La Teste de Buch, le 9 septembre 2011, 9h44

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Prière du SAROS


Tu verras un jour, mon enfant.

Cette femme. Celle dont je t’ai parlé.

Cette femme dont mon père m’a parlé.

Et avant lui, le père de mon père.

Et son père avant ça.

Celle que nous espérons.

Du plus loin que nous puissions regarder tous ensemble.

Elle se présentera à toi. Je l’espère.

Fassent les eaux du monde que cela se passe de ton temps.

Et tu la reconnaitras.

Tu ne sauras pas comment mais, sans l’avoir jamais vue,

tu te rappelleras d’elle.

Et elle de toi.

Alors, tu l’accueilleras comme la mère des hommes.

Ce jour béni, tu seras enfin en paix.

Et les tiens aussi avec toi.

Car sera revenu le temps de la connaissance et de l’harmonie.

Et avec elles rejaillira l’esprit de l’Aratta.

Ainsi chanteront les hérauts de notre reine.

Jusqu’à ce que son retour emporte leurs prières dans le sable et le vent.

Texte sumérien

début du troisième millénaire av. J.-C.

Extrait du livre 2 « Malhorne » de Jérome Camut Editions Braguelonne

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