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2012 – CASSER LE MENTAL ABANDONNER LA COMPREHENSION


Nous nous demandons souvent de quoi sera fait l’après 2012 et ce que nous en retirerons dans notre vie quotidienne. Il est indéniable que nous assistons à une formidable mutation des structures de nos sociétés et des modes de pensée.

 Nous terminons un cycle d’évolution de 25000 ans durant lequel, à travers différentes civilisations, l’homme a conquis son indépendance mentale et pris conscience à la fois de son humanité et de sa singularité individuelle. Ce qui est moins évident pour chacun est le chaos vers lequel semble nous pousser cette échéance sur le plan individuel et comment pouvons-nous nous adapter aux énergies en présence.

 Il s’agit pour nous aujourd’hui d’entrer dans une nouvelle expérience où nous devons vivre dans une mutation accélérée car notre planète émet cette évolution rapide sur le plan vibratoire et énergétique. Il s’ensuit une inadaptation de nos structures, sur tous les plans, face à cette nouvelle énergie.

 Qu’amène-t’elle ?

Elle nous demande de casser le mental en ne nous préoccupant plus de comprendre ce qui se passe dans notre vie. Nous avons été habitué à analyser les évènements de notre vie et à en analyser les composantes afin d’en extraire ce que nous appelions « leçon de vie » à travers les diverses expériences que nous pouvions aborder dans notre vie quotidienne. Nous en tirions des enseignements modifiant notre structure comportementales, notre vision des choses, et nous permettant de passer à l’étape suivante. Nous appelions cela « cheminer dans la conscience ». Ce mécanisme nous a permis de comprendre la place que nous occupons dans le monde et l’univers et de nous placer face à notre environnement. Nous y avons acquis notre conscience de l’individualité. Aujourd’hui, chaque individu sait qu’il est unique et différencié des autres et c’est cela le but que nous avions à atteindre durant ce cycle d’évolution de 25000 ans.

 Le 21 Décembre 2012, nous entamons un nouveau cycle de 25000 ans. Autant dire que nous sommes déjà dans la nouvelle énergie. Ce cycle est destiné à nous permettre de retrouver une conscience plus globale de ce que nous sommes, de retrouver nos filiations stellaires et universelles, et de reconstruire les facultés intellectuelles, vibratoires et énergétiques qui étaient les nôtres avant que nous nous incarnions sur cette planète, notamment dans nos fonctions extra-sensorielles et télépathes. N’oublions pas que nous n’utilisons actuellement qu’environ 10% de la capacité de notre cerveau.

 Aussi aujourd’hui, les évènements et les situations que nous vivons nous demandent de « casser le mental ». Nous ne pouvons plus, comme nous le faisions antérieurement, utiliser chaque éléments du quotidien comme moyen de transformation de la conscience. Si nous procédons encore comme cela, le mental nous conduit dans une impasse car son mode de fonctionnement ne peut que s’appuyer sur des éléments antérieurs pour tenter de comprendre ce qui se passe maintenant dans notre vie. L’analyse du Présent à travers des éléments du passé ne peut que nous conduire à des impasses, voire même à des catastrophes puisque les fréquences énergétiques d’aujourd’hui sont infiniment plus puissantes et transformatrices qu’antérieurement. De plus, la planète changeant de paradigme, il ne peut que s’établir de puissantes distorsions dans notre quotidien si nous procédons ainsi.

« Casser le mental » consiste à simplement vivre notre quotidien dans ce qu’il est sans tenter d’en tirer la moindre explication. Ce nouveau mode de fonctionnement demande une grande conscience puisque nous avons construit des millénaires d’automatisation d’un mental analytique basé sur la « force de l’expérience » (!!), nous amenant à tirer les conséquences et conclusions d’une expérience passée qui n’a aucun rapport avec le Présent et dont les conclusions seront par définition erronées et inadaptées.

casser le mental

casser le mental

 Vous serez alors tentés de dire : « Mais à quoi sert le mental alors ?? »

 Le mental sert à simplement prendre conscience que nous existons. Il sert à poser une distanciation entre ce que nous sommes et notre environnement. Il sert à ressentir le fait que nous sommes séparés de l’océan de conscience présent autour de nous (êtres animés et objets inanimés) et à être capable d’observer tous les éléments qui nous entourent. Le mental est l’élément qui sert au poisson dans le bocal de prendre conscience qu’il existe un bocal et qu’il est dans le bocal. Il prend alors conscience qu’il existe quelque chose au-delà du bocal.

 Alors de grâce, si nous voulons franchir cette étape avec le moins de casse possible, recentrons-nous exclusivement sur le moment présent et abandonnons la compréhension. Il n’y a plus rien à comprendre. 

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LA PENSEE ET LES JEUX DE L’EGO


Votre pensée est toujours juste. Elle est l’émanation des aspects inconscients et multidimensionnels de votre être et constitue la force de matérialisation de votre corps physique et des évènements que vous vivez. Elle crée votre monde et vos multiples réalités.

Il est pourtant hallucinant de constater combien vous ne prenez pas en compte, instantanément, l’émanation de votre pensée.

Souvent, la pensée vous apparait comme une fulgurance, face à une situation donnée. Pourtant, votre ego joue à l’apprentissage de la pensée et du raisonnement. Vous jouez à observer les multiples circonvolutions que votre mental crée, pour justifier le « cheminement » de votre pensée. Il n’existe pas de « cheminement » de la pensée. Le « cheminement  » est une production purement mentale. La pensée est dix mille fois plus rapide que la lumière. Autant dire que le temps qu’elle met pour émerger en vous et s’inscrire dans votre cerveau est de l’ordre d’une micro nano-seconde.

Le jeu de l’ego consiste à vous montrer le soit-disant « cheminement » de votre pensée (qui est en fait celui de votre mental) en vous posant en vous la croyance que vous apprenez ainsi quelque chose, que cela fait partie de la nature de votre expérience ou de votre apprentissage. En fait, ce soit-disant « cheminement » est une manipulation perverse de votre ego qui, par ce jeu, créé un système énergétique qui, sous prétexte de vous faire faire une expérience, met en place une charge énergétique polluant votre pensée.

La pensée et les jeux de l'ego

La pensée et les jeux de l'ego

Dans les faits, il est important de comprendre que, une fois cette énergie polluante créée, il est nécessaire que plusieurs heures s’écoulent pour qu’elle se dégage, même si vous en avez localisé le fonctionnement. Néanmoins, vous pouvez être certain que cette pollution se dégage puisque votre pensée est juste et qu’elle émet, par définition, une énergie d’alignement sur vos dimensions profondes et vos multiples réalités. Elle constitue le point de passage entre vos réalités et vous permet d’établir les ponts vous permettant de vous ouvrir à de nouveaux champs de conscience.

Le parasitage de l’ego retarde l’émission et la matérialisation de votre pensée de plusieurs heures, et par conséquent de plusieurs dimensions, retardant d’autant l’établissement d’une réalité équilibrée manifestant ce que vous êtes.

Il existe une très grave perversité dans ce mécanisme. Si vous laissez se multiplier ces jeux de l’ego, il peut arriver qu’à un moment donné, vous perdiez définitivement le fil de votre pensée. A ce moment-là, vous vous perdez dans des jeux mentaux dont vous ne saurez plus sortir car vous vous serez identifié à l’univers de votre mental. Vous serez alors immobilisé dans les limbes, confondant pensée et mental, situation se soldant par une grave crise existentielle et surtout une incapacité à réaliser dans le quotidien un monde à votre convenance. Vous devenez alors la proie idéale de tous les faux prophètes, les gourous et surtout de notre société de consommation vous entraient dans un consumérisme aussi insatisfaisant qu’improductif.

Sarlat, le 14 août 2011 15h59

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EXPERIENCE D’HOMME, canalisations-lâcher prise


J’ai éprouvé le désir, ce matin de vous parler de mon expérience d’homme dans son quotidien, vivant simultanément ses états d’entrepreneur, de chef d’entreprise, de chercheur spirituel et d’explorateur de la conscience et des moyens d’y accéder.

 Les membres de mon entourage m’ont souvent demandé comment je pouvais mener toutes ces activités de front, sans être autrement fatigué que par les efforts que je demande à mon corps physique. Ma réponse a toujours été la même : être dans le Présent, sans jamais laisser aucune projection polluer cet instant.

 Etre dans le présent, c’est créer un espace-temps de quelques minutes, ou quelques secondes comportant ses propres éléments (personnes, évènements, pensées, etc.), totalement indépendant des autres espaces-temps. Ainsi, ce temps est-il porteur de sa propre énergie, de sa propre puissance, de sa propre logique. Il ne vient pas « peser » sur ma force vitale. Je peux ainsi, dans la même heure et alternativement, parler avec mon banquier, gérer un incident de production à Madagascar, recevoir un de mes partenaires pour définir notre programme de travail annuel, écrire une canalisation, répondre à plusieurs appels téléphoniques. Les heures peuvent se succéder avec la même intensité (et elles le font). Le soir, je ne me sens pas fatigué outre mesure. Je n’ai sûrement pas réalisé le programme de travail que je me prévoyais le matin. Mais j’ai assuré mes tâches quotidiennes sans projeter sur le passé ou le futur un seul instant, regardant chaque élément d’un regard neuf et détaché (celui de l’instant). J’ai alors le sentiment d’avoir fait ce que j’ai à faire et le lendemain est un autre jour.

 Etre dans le présent m’a amené à opter souvent pour des décisions totalement irrationnelles, qui n’auraient en tout cas jamais été admises par mon mental rationnel, décisions constituant apparemment un facteur risque sur le plan notamment de la pérennité financière de mes entreprises. Pourtant, à chaque étape, mon être m’a toujours commandé de faire ce qu’il ressentait, y compris faire table rase ou remettre fondamentalement en cause des structures de vie qui m’apportaient stabilité et confort financier.

 Le seul critère retenu dans ces choix est le ressenti (Oui/Non),

temple de Kalabsha, Egypte, photo Serge Briez

temple de Kalabsha, Egypte, photo Serge Briez

et surtout le respect de mon intégrité personnelle et du code déontologique qui en découle. C’est ainsi que j’ai souvent été amené à prendre des décisions que mon entourage ne comprenait pas, voire désapprouvait. A postériori, ceux-ci finissaient par admettre que ma vision s’avérait juste et nous permettait d’ouvrir de nouveaux champs d’activité, de nouveaux territoires de conscience.

 La canalisation m’a profondément aidé sur ce plan. J’ai beaucoup canalisé, notamment en public, dans les quinze premières années de ma démarche de conscience (1990/2005).

Comme tout un chacun, j’étais encore alors bardé de systèmes de croyances.

Le passage le plus important pour moi a été en 1996, où, lors d’une canalisation avec El Morya sur la réincarnation, le contenu des informations énoncé ce jour-là par celui-ci a complètement pulvérisé les systèmes de croyance qui étaient les miens à cette époque. Je croyais alors en le Karma et ma vision personnelle s’était construite autour de cette perception qui me permettait de confortablement comprendre un certain nombre d’évènements qui avaient égrainé ma vie. La vision quantique de Morya et surtout son insistance à démontrer que le karma n’existait pas mais possédait la force de création que nous posons dans nos croyances jusqu’à induire l’incarnation dans certaines vies, m’a complètement déstabilisé. Il m’a fallu environ deux années pour assimiler les notions de temps, d’espace et la mécanique de construction des univers.

La canalisation a été pour moi une formidable école de lâcher-prise. J’étais un individu qui toujours avait été dans le contrôle. Laisser ce que je croyais être à l’époque une « autre conscience » parler à ma place m’a appris à lâcher mes croyances et à être totalement dans le présent, notamment par le fait que les informations reçues par ce moyen étaient souvent en contradiction avec mes propres systèmes de pensée. Néanmoins, j’ai toujours fait confiance à ce que je recevais car l’énergie de l’Amour était et est la trame dominante de ces messages.

 Je parlerais dans un autre article des techniques de canalisation et des critères sur lesquels reposent une « véritable » canalisation et qui différencient celle-ci d’une construction du mental qui croit canaliser.

 Merci de votre attention.

 Sarlat, le 3 août 2011, 6h28

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L’INCOMPREHENSION


L’incompréhension nait du regard que nous portons sur les autres. Notre regard est empreint des prismes de notre éducation, des systèmes culturels ou religieux et de notre histoire personnelle. A travers eux, nous nous sommes forgés une vision du monde que nous pensons être celle de tout le monde. Aussi, lorsque nous regardons l’Autre, ou lorsque nous tentons d’entrer en communication avec l’Autre, c’est à travers ce que nous sommes que nous le faisons.

C’est lorsqu’il s’agit des êtres que nous aimons, ceux qui composent notre intimité que cela devient le plus difficile. Il existe une telle proximité; le parcours en commun a été tellement long et multiple; nous avons tellement accumulé de matériaux similaires, que nous ne pouvons imaginer que l’Autre ne puisse pas penser comme nous.

C’est alors que, même si le dialogue est de bonne qualité, nous commençons à penser à la place de l’Autre et à lui attribuer des pensées ou des attitudes qui sont parfois à des années-lumière de ce qu’il est réellement. Nous avons probablement tous fait l’expérience d’avoir vécu de longues années auprès de quelqu’un, puis de choisir une autre route, et de constater que cette personne qui a vécu huit ou dix années à nos côtés, apparait comme le plus parfait inconnu, comme si tout ce vécu en commun, ce magnifique parcours d’amour n’avait jamais existé.

Nous constatons que nous ne connaissons aucunement cette personne que nous imaginions pourtant si proche et avec laquelle nous avions tant partagé. En fait, nous l’avions regardé avec le regard de l’incompréhension, le regard du prisme de notre ego sans jamais remarquer que nous ne la regardions pas, mais qu’elle était le miroir de notre ego et de nos projections. Nous avions projeté une « image » d’elle que ne prenait à aucun moment en compte ce qu’elle était réellement. C’est ainsi que l’incompréhension s’installe.

 L’incompréhension est le pire mal de notre siècle. C’est à cause d’elle que les êtres se déchirent, que les familles se détruisent, que la solitude règne. Le manque d’amour est rarement la cause des conflits et des séparations. Les humains s’aiment; C’est dans leur nature profonde. L’amour est présent la plupart du temps. Mais il s’exprime à travers l’incompréhension et il ne peut être entendu.

 Gardons-nous bien de penser à la place de l’Autre et de lui attribuer des pensées qu’il n’a pas. C’est la source de toutes les guerres.

amandiers en fleurs

Photo Serge Briez

Sarlat, le 26 juillet 2011 20h31

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LETTRE D’AMOUR A MON FRERE


Lorsque j’ai raccroché le téléphone hier matin, j’étais bouleversé. Bouleversé par ce que tu venais de me dire. Bouleversé par la reconnaissance que tu venais de me témoigner des cinquante huit années de trajectoire qui avaient été les miennes jusqu’à ce jour. Toi, si avare de paroles, si pudique dans tes sentiments, tu m’avais témoigné de ce que tu estimais la qualité de mes écrits et de mon travail et demandé de consacrer plus de temps pour émettre ma pensée à travers ce blog que tu as créé pour moi en début d’année. Je me suis demandé pourquoi j’avais éclaté en sanglots en raccrochant ce téléphone et pourquoi cette émotion m’avait submergé avec une telle puissance.J’ai alors vu apparaître la raison de cela, une chose dont je n’avais jamais pris conscience jusqu’à ce jour, et j’ai voulu par ces quelques mots que je ne t’avais jamais dit (parce que moi aussi, j’ai cette pudeur des sentiments qui ne dit pas ), ce que j’avais vu.

Nous avons dix-huit mois d’écart et lorsque tu es né (j’ai la chance d’avoir retrouvé la mémoire), j’ai été envahi d’un immense bonheur. Je n’étais plus seul sur cette Terre. Un Frère m’étais né. Nous avons grandi ensemble, nous chamaillant, nous aimant. Des frères, quoi! Lorsque l’un était absent, toujours l’autre le cherchait. Lorsque nous étions ensemble, jamais nous n’étions d’accord. Toi, tu bougeais tout le temps, avide de rencontrer le monde (tu n’as pas beaucoup changé depuis). Moi, j’étais plus contemplatif, préférant la tranquillité que tu venais toujours dérangé, comme si tu devais m’aiguillonner ou plutôt m’aiguiller vers la vie.

 J’ai compris aujourd’hui tout ce que je devais. Tu as toujours eu sur le monde un regard aiguë, un regard d’une telle acuité que tu en as fait ton métier, ta raison d’être, témoin de notre époque ( pour nos lecteurs, il est important qu’ils sachent que tu es réalisateur). Ce regard était, et est toujours, empreint d’une indéfectible exigence, celle de la droiture et de la justesse, celle de la transparence et de l’absolu. Pourtant bien des fois, tu ne l’as pas été (juste), mais n’empêche. C’est ton regard, celui que tu portes sur le monde. Et moi, j’ai, toute mon enfance et toute mon adolescence, et le début de ma vie d’adulte été sous ce regard. Je ne l’ai jamais perçu en temps que tel, jusqu’à aujourd’hui. Aujourd’hui, je sais.

 Ce regard de droiture et de cohérence m’a toujours suivi. C’est parce que je n’avais pas été clair avec toi que nous ne nous sommes pas vus durant dix-neuf longues années, autant dire quasiment toute notre vie d’homme. Surement ta soif d’absolu, ton exigence, j’avais failli à ta confiance. Pourtant, chaque 15 décembre, jour de ton anniversaire, moi qui oublie jusqu’à celui de mes enfants, je pensais à toi.

 Pour plaire à ce regard, parce j’avais besoin de ton amour, et que je voulais que tu sois fier de moi, gamin, je me suis toujours fourré dans des situations impossibles, car tu avais le chic pour t’attirer des ennuis avec toujours plus grand et plus fort que toi. Et qui tu venais chercher dans la cour de recréation pour de défendre? Ton frère. Ce regard m’a suivi toute ma vie. Je n’étais plus sous ses yeux, mais je me devais d’être droit. Je me devais d’être juste. Je me devais d’être le meilleur, pour te plaire, même si je savais que je ne te reverrais sûrement pas, tant est grande ta soif d’absolu.

Alors, j’ai vécu ma vie d’homme, avec ces aléas, ses chutes, ses exigences. Chaque fois que je suis tombé, je me suis relevé et je suis reparti, pour aller je ne savais où, pour faire, je ne savais quoi, mais toujours avec cette exigence d’être juste, d’être droit, d’être absolu, d’être cohérent. Aujourd’hui, je sais que ce que je suis, je te le dois. Si ton regard n’avais été posé sur moi, lorsque nous étions enfant, je ne serais pas ce que je suis aujourd’hui et je voulais te le dire. Comme l’écriture est plus facile pour moi que la parole (qui s’étranglerait d’ailleurs tant l’émotion est encore présente en moi), je t’écris cette lettre.

Nos lecteurs pourraient se demander pourquoi, moi qui n’affiche jamais mes sentiments, j’ai choisi de publier cette lettre intime sur mon blog ! La raison en est simple : témoigner. Nous avons choisi avec Serge, mon Frère, de témoigner, chacun à notre façon, lui avec l’image, moi avec l’écriture et la parole, de notre regard sur le monde.

Quelle étonnante mécanique a fait que tu naisses a côté de moi? Par quel hasard, toi qui n’a jamais eu conscience de l’impact que ton regard avait sur moi et sur les êtres qui t’entourent, possédais-tu cette exigence de la droiture, cette acuité qui déterminerait la trajectoire de ce que je deviendrai cinquante-huit ans plus tard? Je ne sais . Mais peu importe. Tu es a côté de moi. Nous cheminons ensemble. Et je t’aime.

Ton Frère. Daniel

Dimanche 25 juillet 2011, 2h00

Daniel et Serge Briez

Daniel et Serge Briez

 Réponse à mon Frère Daniel

Il n’est pas aisé pour moi de rendre public les mots qui suivent mais comme Daniel me l’a dit çà peut servir aux autres et si deux autres personnes entamaient en lisant cet échange entre deux Frères une relation plus juste et plus aimante… ma pudeur s’efface dans ce but, on a tellement de mal à dire les choses qu’il vaut mieux que çà serve à quelques chose.

Il n’y a pas si longtemps que je suis capable de dire ce mot Frère sans être envahi par des sentiments contradictoires entre la raison et l’Amour. Ma vie s’est batie sur une enfance électrochoc, né second dans une famille aimante mais convalescente de la guerre avec tant de plaies dans les corps et les consciences à cicatriser. Je suis né ébloui par la beauté du ciel et de la lumière, j’avais toujours le nez en l’air et bien entendu la conséquence en était la “tête en l’air”. Quand je suis arrivé, j’étais attendu par mon frère qui m’a précédé de quelques mois et avait de la vie déjà une vision et une expérience quand je suis arrivé. Nos premières années ont été de la douceur de l’insouciance et des drames d’enfants dont on se souvient avec tendresse, les premiers pas, les premiers mystères, les premières souffrances, les premiers amours, les premiers goûts, le premier envol à vélo, le premier poisson pris dans la rivière, la première histoire racontée par le Grand père, la première cerise, la première gamelle…Je crois que notre expérimentation de la vie dans les premières années s’est faite souvent ensemble, à l’ombre du grand frère protecteur du danger des autres mais aussi naïfs l’un que l’autre dans la découverte de la vie. Ma vie d’enfant a hélas toujours été scindée en deux la vie avec ma famille et la vie à l’école et arrivé à l’âge de raison il a fallu me détacher de mes parents de mon frère et de ma soeur pour vivre seul un terrible parcours scolaire. Ce fut un désastre et je passais brutalement dans la réalité des hommes et de la société et depuis ma vie a toujours été basée sur cette dichotomie entre ma vie intérieure et ma vie dans la société. Les maîtres mots furent rapidement devoir et responsabilité, morale et respect, travail et effort. Bien entendu un enfant à la conscience de tout cela mais la société l’entendait alors autrement. La vie devait être sérieuse et grave, la beauté et la connaissance n’était accessible qu’au prix d’efforts récompensés et la place pour la différence ne pouvait être tolérée. Ainsi, j’ai passé ma “primaire” dans un broyeur d’enfant, ou la violence et l’humiliation quotidienne étaient ma réalité et je n’ai échappé je crois (je n’en suis pas sur) à la perversion des éducateurs qu’à force de constante révolte et résistance qui m’ont valu un sort peu enviable. Alors, je ne pouvais plus compter que sur moi et je t’appelai à l’aide quand la cruauté des autres enfants en rajoutait une couche insupportable, pour le reste je me suis toujours débrouillé seul. J’ai été isolé de ma famille et meurtri durant toutes ces années et l’image que j’avais de toi était un grand frère aimé mais tellement plus grand, tellement plus indépendant, tellement bon à l’école qu’il en était normal aux yeux des parents et érigé en modèle à atteindre. Les enfants naissent différents et une fraterie n’est pas un hasard, je le sais aujourd’hui, j’avais toujours de la facilité à dire quand tout allait mal entre nous,je n’ai pas choisi mon frère et si je l’avais rencontré dans la rue nos regards ne se seraient pas croisés. Je sais aujourd’hui que ce sont des paroles injustes mais dictées par ma révolte, quand on souffre on a tendance à affliger ceux qu’on aime le plus et qui sont là disponibles aux attaques on a tous joué ce rôle et je pense qu’il est parfois nécessaire pour éviter l’expression de violence extrêmes. Voilà donc une enfance désastreuse dès que je sortais de la maison et heureux dès que je me retrouvais dans ma famille. J’ai partagé avec toi Daniel, tout ce qu’un frère peut espérer partager, et nous avons fait ensemble l’expérience de la vie, je parle là de la vraie vie, celle qui a fait les adultes et les parents que nous sommes devenus aujourd’hui. 1968, ma révolution m’a sorti de la violence scolaire, malade, très malade mais endurci et avec un sens profond de l’amour de l’autre et du respect et de l’amour que l’on doit à l’univers. J’ai fait ma révolution çà a duré 20 ans, j’ai risqué ma vie dans des aventures splendides et désespérées dont je suis sorti affermi, j’ai perdu mes peurs de tout en chavirant au Cap Horn, j’ai perdu mes illusions d’immortalité après une chutte d’escalade de 12 m et la mort d’un compagnon de cordée. Nous avons vécu ensemble, jeunes adultes des années de folies et de tournis, partagés les ivresses, refait le monde, tenté des choses qui n’ont pas marché mais qui auraient pu marcher si …Puis tu t’es perdu dans une vie que je ne pouvais plus suivre et dans laquelle la violence à un jour fait son apparition et là une voix m’a dit : tu es pour Daniel le dernier NON, si tu ne lui déclare pas il se perdra irrémédiablement dans une vie dissolue. Pourquoi moi ? Je crois que je suis là pour çà aussi, humblement j’ai résisté et dis mon NON durant 19 ans et j’ai souvent pleuré comme un enfant de ne pouvoir rigoler et te serrer dans mes bras, je suis passé pour un homme intransigeant et fermé, ce que j’ai fini un jour par croire m’érigeant parfois en défenseur de la morale. Que d’errements… mais ma mission n’était pas facile et je ne le comprends vraiment qu’aujourd’hui. Puis nous nous sommes retrouvés sans arrières pensées comme si nous avions toujours été ensemble. Je ne crois pas aux grands destins et aux grandes missions mais je pense que les hommes qui s’aiment sont capable de dépasser les limites de ce que l’éducation, la société et ses lois imposent. Je crois que l’Homme est là sur terre en composante de l’énergie universelle et divine. Mes trois enfants m’ont appris que l’on ne sait rien et que chaque jour est une recherche d’absolu, d’Amour et de beauté. J’ai retrouvé avec toi la confiance innée en la vie, et je sais que notre mission est de transmettre ce coin de ciel bleu et le ciel étoilé que nous avons en nous. Mon exigence n’est qu’un respect absolu et ultime de la beauté qui m’entoure et dont tous mes atomes se nourrissent. Merci, de tes paroles et de l’aide que nous nous apportons pour poursuivre notre but, notre capacité d’absolu alliée aujourd’hui à notre compétence de la vie commence à nous permettre de faire le bien et le beau.

Serge Ton frère qui t’aime.

Daniel et Serge BRIEZ et le Grand Père

Daniel et Serge BRIEZ et le Grand Père

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L’INSTITUTIONALISATION DE LA PENSEE


Souvent nous nous interrogeons sur les fondements de notre pensée et sur le fait que, dans bon nombre de cas, celle-ci ne semble pas nous satisfaire. Mélangeant pensée et intellect, nous nous demandons alors si ce manque ne provient pas du fait que nous n’avons pas acquis suffisamment de connaissances, et si ce n’est pas cette carence qui induit en nous une pensée pauvre et insatisfaisante. Si nous déroulons jusqu’au bout ce raisonnement, nous nous lançons alors dans une débauche d’acquisition de connaissances nouvelles (études, lectures, exploration des différents systèmes philosophiques ou religieux).

l'arbre de la connaissance

l'arbre de la connaissance

 En fait, il n’en est rien. Le système de manipulation des foules et de la pensée, nous dirigeant vers une pensée unique, est tellement bien fait qu’il est devenu invisible, à moins que nous portions véritablement l’attention sur la façon dont les informations nous sont données à travers les médias de notre pays, et comment, malgré le fait que nous ayons à notre disposition de nombreuses chaines d’information, c’est toujours le même type d’informations qui nous est donné, l’information socialement et politiquement correcte.

 Je me suis longtemps demandé s’il ne fallait pas entrer ouvertement en opposition avec ce type de pratique, s’il ne convenait de dire à nos concitoyens : « Réveillez-vous! »

Les faits m’ont prouvé qu’il ne servait à rien de le faire, que malheureusement l’immense majorité de nos concitoyens étaient tellement anesthésiés qu’une information démontrant la manipulation collective n’était pas en mesure d’éveiller un assez grand nombre de conscience pour faire bouger le système

 Ne nous y trompons pas. Il ne s’agit nullement là de politique. Les partis de droite ou de gauche, quels qu’ils soient, une fois au pouvoir, utiliseront de la même façon les outils et les méthodes servant à asseoir leur pouvoir, et seul le citoyen lambda qui n’y aura vu que du feu, fera les frais de cette littérale mise en coupe de la pensée.

l'univers des médias

l'univers des médias

Alors que reste-t-t’il ? Un mot comme celui-ci, lancé sur le Net, lu par quelques personnes qui se diront : « C’est vrai, je ne suis pas satisfait de ma pensée. Mais peut-être finalement n’est-ce pas Ma pensée? »

 Alors ce mot n’aura pas été vain et votre pensée viendra s’ajouter à quelques autres qui ont pris la décision de « faire de la résistance », c’est-à-dire de penser par eux-mêmes.

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LA PAIX EST CE QUE NOUS SOMMES


Nous pouvons supposer que chaque homme et chaque femme de cette planète aspire à la Paix. La Paix est cet état où nous n’attendons plus rien, par lequel nous nous sentons tranquilles et qui nous fait dire et penser que plus rien ni personne ne peut altérer notre sérénité.

Souvent, face a nos guerres intérieures, nous nous interrogeons sur ce que nous pourrions faire pour atteindre cet état d’être et peu de pistes nous sont données pour parvenir à cela. Nous portons souvent la croyance qui consiste à penser que la paix est l’antinomie de la guerre et que temps que nous n’avons pas éradiqué nos guerres intérieures, nous ne pouvons accéder à l’état de paix.

Cette croyance est un piège. Ce que nous pensons être un état de guerre intérieure est simplement l’état de tension intérieure (et ce, quel qu’en soit le motif ou la source), qui nous permet de gagner en conscience. La nécessité de cette tension est absolue, car l’énergie qu’elle nous apporte est le seul moyen que nous possédons pour nous « éveiller ».

Pyramide au Caire

Photo Serge Briez / le Caire Juin 2011

Sans elle, nous serions « endormis » et notre être ne posséderait pas la possibilité de changer de placement et d’expérimenter de nouveaux paradigmes d’évolution.

En intégrant cette simple donnée, nous prenons conscience que l’état de paix est, et a toujours été présent en nous. Seule cette croyance a pu nous faire imaginer que nous ne l’étions pas.

Nous comprenons alors que nous sommes en paix et bien plus: que nous sommes la Paix.

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A QUI PROFITE LE « CRIME » ?


Lorsque nous nous trouvons face à un événement médiatique majeur, par rapport auquel, nous, commun des mortels n’ayant pas accès au pentacle de l’information, nous ne connaissons pas les tenants et aboutissants, tel que l’affaire DSK, ou les tragiques événements du 11 septembre 2001, nous pouvons nous poser la question: « A qui profite le crime? »

Nous voyons alors clairement apparaitre dans notre esprit la réponse, et nous pouvons être certains que les véritables instigateurs de ces événements ne sont sûrement pas ceux que les médias désigneront comme boucs émissaires, mais bien ceux, sur le plan occulte ( mais cela, pauvres communs des mortels que nous sommes n’en auront jamais la preuve!) à qui cela profite.

Inconsciemment notre Etre connait la réponse car il « reconnait » les sources de l’événement.

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Extérioriser et manifester l’amour


un vaste programme auquel bien des hommes et des femmes de la Terre se sont attelés depuis des siècles, mais avec combien peu de résultats;

Une utopie patente mais qui habite sans que rien ne puisse entraver réellement cet élan; il est clair que parfois les évènements m’ont fait perdre de vue cet unique but de ma vie;

Mon esprit lucide et cartésien me dit toujours, dans un coin de mon esprit combien cela est vain en regard de ce que les hommes font sur la Terre et ont fait à cette Terre.

Pourtant, je ne puis m’empêcher de croire à un monde où le respect de l’Autre, l’amour de son prochain deviendra le lot commun et la haine, l’exception.

amour et offrande

photo Serge Briez

Les évènements de ces derniers jours m’ont montré combien le cours des évènements pouvaient complètement sembler se retourner alors que tout était organisé depuis des millénaires de notre temps linéaire. Tout était ordonnancé mais en instance. En instance de ceux qui pouvaient la construire cette nouvelle Terre, en instance de ces jeunes/veilles âmes qui mettraient leur énergie à façonner la Terre à leur image, celle de la Beauté, celle de l’Amour, celle de la tendresse entre les êtres et du respect de leurs différences.

Alors je me prends à rêver. je me prends à rêver de cette nouvelle Terre. Le dernier président américain a construit son élection sur le slogan « Yes, we can ». Oui! nous pouvons. Vous pouvez rêver et construire votre rêve dans ce monde de réalités. Car la Réalité est ce que nous en faisons à chaque instant. C’est par elle que nous façonnons notre monde et que nous devenons ce que nous sommes. C’est par elle que nous donnons cette Terre à nos enfants.

Il est clair que rien ne nous incite à penser cela. Ou plutôt, tout est fait pour nous convaincre que cela est impossible. Devons-nous pourtant écouter les destructeurs de la Terre? Devons-nous penser que tout est accompli alors que l’Homme a toujours démontré sa capacité de rebond, sa capacité à retrouver le sens de ce qu’il est dans les pires instants, là où tout espoir et toute lumière semblait avoir abandonné la surface de cette Terre. Alors réveillons-nous et posons simplement autour de nous cette capacité à aimer.

Je vous adresse tout mon respect.

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KATE et WILLIAM, JEAN-PAUL II, OUSAMA BEN LADEN, un bel exemple de synchronicité à l’échelle planétaire


En une semaine de temps linéaire, nous avons eu trois événements planétaires majeurs qui ont chacun mobilisé l’énergie et l’attention de plusieurs milliards d’individus sur la planète :

– le mariage princier de Kate et William en Grande Bretagne – symbole de l’amour et de l’ouverture aux autres (une roturière épousant un prince) – 2 milliards de téléspectateurs éprouvant l’émotion de l’amour;

Kate et William

Kate et William


– la sanctification du Pape Jean-Paul II – symbole de la tolérance entre toutes les religions, reconnus par tous comme ayant été le Pape qui a le plus oeuvré pour le dialogue entre les différents courants religieux – 1 milliard de chrétiens pensant à lui dans une énergie d’amour et de dévotion; 

Jean Paul II

Jean Paul II

– l’élimination physique d’un des plus grands symbole de destruction du XXIème siècle : Ousama Ben Laden – son idéologie et ses actions ont eu, entre autres choses, pour effet de déclencher les guerres d’Irak, d’Iran et d’Afghanistan, créant un amalgame de xénophobie et de racisme à l’encontre des arabes et des musulmans qui représentent 3 milliards de croyants sur la planète. Il est à noter que la plupart des musulmans prônent l’entraide, le partage et le service aux autres.

OUSAMA BEN LADEN

OUSAMA BEN LADEN

Que faut-il voir dans ce rapide enchainement d’évènements?

Simplement que la puissance de l’amour initiée par le mariage de William et Kate en Grande-Bretagne et la puissance de dévotion envers Jean-Paul II ont créé un égrégore d’énergie positive suffisante pour créer la masse critique nécessaire pour initier le processus planétaire qui éradiquera (cela, seul l’avenir nous le dira) une logique du meurtre trouvant sa justification dans une idéologie politique.

Cette brillante démonstration vient nous interpeler sur le regard à porter sur les « commémorations » de tous ordres des dernières guerres mondiales (8 Mai, 11 Novembre, Shoa, etc.). Sans renier le devoir de « mémoire » qui permet aux générations suivantes de comprendre le sens profond de ces évènements, ne devrions-nous pas en profiter pour orienter nos pensées vers ce qui fait la conscience de l’ Homme et non son obscurité.

la conscience de l' Homme

la conscience de l' Homme

Vitrac, le 8 mai 2011


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AU SUJET DU NUCLEAIRE MANIPULATION OU INTOX ?


Une simple information pour vous recommander la lecture d’un article : TABAC ET NUCLÉAIRE qui m’a été indiqué par une amie. Je ne suis pas compétent pour apprécier la véracité de cet article que j’ai trouvé fort bien écrit et documenté. Mais sa lecture m’a permis de réfléchir et de me sortir de l’énorme intoxication véhiculée par les médias français sur le nucleaire.

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FINI LE DEVELOPPEMENT PERSONNEL


La transformation vibratoire de planète produit des effets tangibles dans notre quotidien. Le non des moindres, pour ne pas parler aujourd’hui des « soubresauts » de la planète, est la suppression quasiment définitive, dès à présent, de la Loi de Cause à Effet.
Depuis de nombreuses années, les hommes et femmes de bonne volonté se sont posés des questions sur ce que cette vie avait à leur apprendre, et ont utilisé différents outils et méthodes pour comprendre les fonctionnements de la vie et les lois qui les régissent. Cela a amené chacun à en tirer des conclusions sur la façon de conduire sa vie et sur les objectifs à construire.
Néanmoins bon nombre d’entre nous poursuivent cette quête de compréhension de soi, confondant développement personnel et réalisation de soi. Ceci revêt un certain confort pour l’ego qui ne se voit que partiellement remis en cause et peut poursuivre ainsi sa stratégie de contrôle sur les éléments majeurs de notre existence.
L’approche, à grand pas de 2012 (c’est demain!), a accéléré l’élévation vibratoire de notre planète et il n’est plus temps de se demander ce que sommes et surtout, cette sempiternelle question et manipulation de l’ego :  » Suis-je prêt pour faire ce que j’ai à faire ? »

Il est certain qu’à ce moment-là, toutes les peurs sécuritaires qui nous ont toujours paralysé reviennent en force. Mais que choisissons-nous ?
Préférons-nous voir la planète continuer à se dégrader en oubliant allègrement, dans notre vision étriquée de la réalité, qu’elle est la seule possibilité que nous avons de rester vivants ? Ou décidons-nous d’ oeuvrer dans notre sphère personnelle pour accomplir, en notre âme et conscience, ce pourquoi nous avons pris corps sur elle dans cette magnifique période de transition ?
A nous de décider !
Dans ma perception, il n’est plus temps de décider, il est le temps d’agir. Chacun à sa modeste échelle, dans sa sphère personnelle. Mais si toutes les femmes et les hommes de bonne volonté se mettent enfin réellement au travail, peut- être cela fera-t’ il la différence et pourrons-nous ainsi aider la Terre à passer un nouveau cap en notre compagnie.

Sarlat, le 6 avril 2011

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REFLEXIONS SUR LA NOUVELLE ANNEE


Depuis plus d’une vingtaines d’années, je consacre la première journée de l’année à un temps d’observation: observation de tout ce qui s’est passé durant l’année écoulée, observation de ce que je pense faire durant l’année à venir, ce qui me semble important pour moi. Je profite donc de ce temps de latence pour partager avec vous quelques réflexions.

La première réflexion qui me vient est celle de l’inanité du mental. Je ne puis qu’être horrifié de l’énergie qui se consomme autour de moi du fait de l’activité du mental. La force des choses nous amène à demeurer dans le présent et tout porte à nous démontrer combien il devient illusoire, futile et inutile de se projeter dans le futur en se référant au passé ou de supputer sur de futures actions alors que les choses sont dans une telle mouvance que rien ne sert de prévoir quoique ce soit alors que tout change à chaque seconde. Il n’en demeure pas moins que force m’est d’observer que le mental prédomine chaque action du quotidien. Que de temps et d’énergies gaspillées de cette façon… Il est tellement plus facile et reposant pour la tête de simplement s’occuper de ce que l’on fait dans l’instant et de se consacrer à une tâche après l’autre en simplement faisant fonctionner son ressenti et son intuition. Les choses s’enchaînent ainsi et à la fin de notre journée ou de notre année, nous pouvons simplement observer avec la satisfaction d’avoir accompli ce que nous avions à faire, l’ensemble des créations auxquelles nous avons participé. Depuis plus de vingt ans, je fonctionne ainsi à titre personnel. Je peux témoigner que c’est ce qui m’a permis de passer à travers toutes les difficultés qui ont émaillé ma vie et récolter tous les cadeaux que j’ai pu recevoir. C’est ce qui m’a toujours permis de conserver mon axe personnel et de ne jamais déroger à ce que je suis.

Ma deuxième réflexion porte sur l’état du monde. Au lieu de nous préoccuper de réchauffement climatique, de crise économique, ou de l’avenir incertain de notre planète, pourquoi ne regardons-nous pas simplement les actions que nous pouvons accomplir dans notre proximité quotidienne? Il ne s’agit pas de se voiler la face sur les problèmes généraux, mais bien d’exercer sa responsabilité de chaque instant dans la sphère dans laquelle nous opérons, sans nous occuper l’esprit de problèmes sur lesquels nous n’avons que peu d’influence à titre individuel et qui constituent un alibi à notre non-implication dans les évènements et à notre non-responsabilisation dans la vie de tous les jours.

Ma troisième et dernière réflexion porte sur ce que j’ai à faire dans l’année à venir. J’ai entamé en 2010 des projets de grande envergure: création de la gamme « Parfums de Couleur », mise en place d’un important système de distribution concernant les cristaux. Je tiens, en premier lieu, à remercier tous les partenaires qui m’accompagnent dans cette aventure (aussi bien humaine qu’économique), et surtout mon épouse Guylène qui m’a soutenue d’une manière indéfectible dans ces actions dont les développements échappent parfois à mon entourage. Il est vrai qu’il est parfois difficile, même pour mon entourage, de comprendre ma vision à moyen et long terme de mes activités. Et je leur suis d’autant plus reconnaissant de leur aide.

Je vais donc poursuivre mes activités en donnant une importance grandissante à la communication, à la fois à travers les différents médias que nous mettons en place, mais aussi en donnant une place de plus en plus importante à la formation (espace privilégié de partage). J’ai beaucoup souffert ces dernières années de la sensation d’impuissance que j’éprouvais lorsque je constatais la grande part de médisance qui était véhiculée en direction de ma personne ou de mes activités, mais surtout sur mon impossibilité de répondre à cela et partager mes réflexions et surtout des informations avec les personnes qui s’intéressaient à mon travail. Je sais que cela m’a beaucoup pénalisé, quoique cela n’ai jamais affecté ni mon engagement vis-à-vis de la planète et de l’humanité, ni ma conviction et mes activités de chercheur. L’ouverture de ce Blog me permet aujourd’hui de communiquer en toute transparence. Chacun pourra ainsi se faire sa propre opinion sur mes recherches et en tirer les conclusions qu’il veut. Nous ne serons ainsi plus dans le « quand dira-t’on ».

Je profite de ce temps pour souhaiter à tous le plein accomplissement de ce que vous êtes et vous dire que vous êtes les bienvenus dans cet espace de partage.

Amour et Lumière

Daniel

Sarlat, le 1er janvier 2011

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LE PASSAGE DU 21 Décembre 2012


Comme beaucoup d’entre nous, vous vous demandez sûrement ce qui nous attend le 21 Décembre 2012. Je me suis longuement posé la question, notamment face à toutes les interprétations plus délirantes ou opportunistes qui étaient publiées sur ce sujet. Elles n’en étaient pas moins la traduction de l’inconscient collectif de notre humanité. Il était clair que cette date était porteuse de sens, mais lequel?

Le 21 Décembre 2012 est la date d’achèvement du calendrier Maya

 

calendrier maya

. Elle coïncide avec l’achèvement de plusieurs cycles et correspond à une conjonction astronomique et astrologique très particulière, telle que nous n’en avons probablement jamais eu. Toutes les conditions énergétiques et vibratoires seront réunies sur cette date pour en faire un passage majeur sur le plan de la Conscience. Il n’y avait donc qu’un pas à faire pour annoncer la Fin du Monde, ce qui pour moi n’est que la fin d’un Temps.

Depuis deux millénaires, nous sommes inscrits dans le système de croyance d’un temps linéaire, celui qui s’écoule au rythme de la montre, chaque seconde succédant à chaque minute, chaque heure, chaque année, le Présent servant de trait d’union au Passé et au Futur. Cette convention mentale créait une sorte de boite hermétique dans laquelle nous évoluions. Cela ne nous posait pas de problèmes. Nous cheminions dans cet Espace-Temps et tout se passait bien.

Puis vint Einstein. Et les physiciens et mathématiciens qui le suivirent, confirmèrent sa théorie. Il nous expliqua que cette perception du Temps était erronée, que nous étions inscrits dans un temps discontinu, superposé, simultané, que l’espace n’était pas linéaire, qu’il était courbe, qu’il pouvait même se replier sur lui-même. En bref, il avait créé un monde inconnu que nous ne sommes pas près d’avoir fini d’explorer.

Cette transformation de la perception du Temps a alors fissuré la « boite » et la rendu perméable à d’autres énergies, notamment celles qui nous composent : nos autres corps, nos autres champs énergétiques, nos autres vies, en fait tout ce qui compose un humanoïde, qui nous semble être plus de l’ordre de la science-fiction que de la réalité, que nous n’avons souvent pas voulu regarder, bloqués dans notre vision cartésienne et mécaniste du monde, mais qui influencent grandement notre vie dans son environnement, comme la médecine quantique commence à le percevoir.

Cette fissuration a causé l’émergence de nouvelles perceptions, de nouvelles maladies, d’une certaine désorientation pour certains, et surtout d’une nouvelle façon de percevoir notre environnement.

Nous nous trouvons à ce moment-là devant un des passages majeurs de l’Humanité, fin d’un cycle d’évolution de la Conscience de 25000 ans, et entrée dans un nouveau.

Que s’est-il passé durant ces 25000 dernières années?

Les mémoires akkhashiques de l’Humanité nous disent que cette période a vu l’avènement et la disparition de plusieurs civilisations, étapes fondamentales nous ayant permis d’acquérir le niveau de conscience qui est le nôtre aujourd’hui.

Le cycle écoulé nous a permis, en temps qu’humanité, d’aborder plusieurs façons d’appréhender la pénétration de la Conscience dans la matière.

En Lémurie, nous avons pris conscience de l’existence de notre corps et de son inscription dans une réalité environnementale. Nous avons senti nos énergies, perçu que d’autres énergies étaient présentes autour de nous, pris la mesure de la puissance des éléments de la Nature (élémentaux) et de la puissance de la Terre (Gaia). Nous sommes entrés dans la prise de conscience de notre individuation.

En Atlantide, nous avons commencé à expérimenter le mental, pris conscience de l’individualité que nous étions, séparés des autres et porteurs d’une expérience de conscience. Nous avions malheureusement remis les destinées de cette conscience entre les mains d’une classe dirigeante qui pensait à notre place. Cette civilisation s’est alors détruite par elle-même et nous sommes revenus à l’âge de pierre.

Aujourd’hui, nous sommes les héritiers d’une trajectoire d’environ 7000 ans, ayant vu l’Egypte, les débuts de la chrétienté, l’avènement d’une nouvelle société technologique et surtout la construction d’une individualité mentale puissante nous permettant d’appréhender plus globalement ce que nous sommes en temps qu’être humain et le sens probable de notre présence sur cette planète.

C’est dans ce contexte que nous entrons dans le Passage de 2012.

A PARTIR DU 21 DECEMBRE 2012, N’EXISTE PLUS AUCUNE PROPHETIE.

Cela constitue à la fois une immense chance pour l’Humanité, mais aussi un énorme risque. Précédemment, des prophéties avaient toujours été énoncées par différentes traditions. Que nous y croyions ou non, ces prophéties avaient induit des choses dans notre inconscient, entrainant des lignes de force énergétiques orientant notablement la direction de nos décisions individuelles.

A partir du 21 Décembre 2012, nous serons face à une page blanche. Tous les possibles seront possibles. Rien n’orientera plus notre trajectoire. NOUS SERONS ENFIN LIVRÉS À NOUS-MÊMES.

Que se passera-t’il alors?

Il se présentera quatre cas de figure principalement correspondant au chemin de conscience qu’aura accompli chaque individu dans sa vie :

– Le premier profil sera celui des personnes ayant fait un profond travail de connaissance d’elles-mêmes, dans les années précédentes. Ces personnes ont identifié la plupart des codes énergétiques, vibratoires, génétiques qui les composent. Elles connaissent leurs capacités, leur limites. Elles perçoivent l’influence que peuvent encore avoir le mental, l’ego et leurs émotions sur leur trajectoire de vie. Elles ont ainsi déterminé précisément leurs aspirations de vie et l’implication qu’elles souhaitent avoir au niveau du collectif et ont d’ores et déjà commencé à appliquer concrètement cette perception dans leur vie quotidienne.

Ces personnes poursuivront la trajectoire qu’elles ont déterminée, accomplissant ce pourquoi elles sont venues sur la planète et se substitueront, par le simple fait de leur présence et de leurs actions aux lignes de force que créaient les prophéties auparavant. Elles serviront de modèle, non plus sur le plan collectif comme avaient pu le faire les prophéties, mais sur un plan individuel, dans leur champ d’action quotidien. Le temps ne sera plus aux grandes « envolées » philosophiques ou politiques. La vertu de l’exemple sera à nouveau en vigueur, non plus à travers des valeurs morales ou sociétales, mais simplement en observant que tout réussit à telle ou telle personne que nous côtoyons et en étant interpellés par son bien-être, sa sérénité et sa réussite sur tous les plans. Nous entrerons dans l’ère de l’exemple individuel.

– Le deuxième cas de figure sera pratiquement le même profil que le précédent. Ces personnes auront également fait un travail de connaissance de soi, seront arrivées à la même perception que la catégorie précédente, mais laisseront encore l’ego, l’affectif et le mental diriger leurs décisions qui seront encore fortement influencées par l’ affect et la peur de l’insécurité. La Loi de Cause à Effet n’existant plus dans cette nouvelle ère (où plutôt s’appliquant sans aucun délai), les évènements conséquents à leurs décisions seront extrêmement percutants et nombre d’entre elles disparaitront de mort violente ou de maladie dans les toutes premières années de cette ère. Les autres comprendront les messages que délivrent les évènements quotidiens et rejoindront la première catégorie

– Le troisième cas de figure sera celui de ceux qui ne se sont jamais posés de questions sur eux-mêmes, mais étant dans un contexte matérialiste aisé. Il s’agit principalement de la couche sociale ayant dépassé largement l’économie de subsistance et ayant opté pour un consumérisme forcené. Ceux-là constateront que les modèles de fonctionnement existants répondent de moins en moins à leurs besoins. Ils chercheront alors autour d’eux des solutions. Ils découvriront que certaines personnes dans leur entourage immédiat ne semblent pas avoir les mêmes tensions existentielles. Ils iront alors dans cette direction ou non. S’ils n’y vont pas, ils disparaitront relativement rapidement comme la précédente catégorie. Dans l’autre hypothèse, ils rejoindront la première catégorie.

– La quatrième cas de figure sera celui de l’immense majorité de l’humanité étant encore dans une économie de subsistance. Ceux-là auront le temps de changer de perception, jusqu’à ce qu’ils puissent subvenir à leurs besoins les plus élémentaires, qu’ils aient alors l’espace nécessaire pour se poser des questions sur eux-mêmes et qu’ils puissent faire leur chemin. Ils repèreront alors des modèles individuels et suivront la trace qu’auront fait ces précurseurs.

En conclusion, nous basculerons dans une société prônant l’intégration personnelle et l’autonomie de pensée, basée sur la réalisation personnelle, rejetant tout modèle de « pensée correcte » et ne se fiant qu’à l’expérience personnelle.

Il est clair que cette vision n’engage que moi. Elle est une tentative de réflexion d’un chercheur sur les temps à venir.

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LE RETOUR A L’INFINI


Retrouver le sens de l’horizon.
S’ouvrir à une vision ouverte de notre horizon, sans limite, sans attente.

Redécouvrir le sens de la profondeur qui change notre perspective.

Et ainsi ressentir à nouveau notre appartenance aux étoiles.

Seule la Nature peut nous redonner cette perception.
Seule la vue d’un horizon dégagé nous réintroduit à l’Espace.

Car bien trop souvent nous sommes déconnectés de notre appartenance,
bien trop souvent nous avons oublié.
Bien trop souvent nous ne nous appartenons plus, laissant au consumérisme de nos sociétés le pouvoir de définir nos directions.

Il n’y a pourtant pas de limite.
Pas de limite à ce que nous sommes.
Pas de limite à ce que nous pouvons accomplir.
Pas de limite à notre éternité.

Alors le fleuve me parle.
Il me parle de l’histoire des hommes au-delà des temps.
Car bien souvent les civilisations ont disparu.
Bien souvent l’artificialité des sociétés s’est éteinte sous le poids de l’histoire.

Car rien de ce qui n’est pas l’homme dans son Essence, ne peut durer.
Rien de ce qu’il n’est pas ne peut perdurer.

Car l’âme est immortelle.
L’Homme est immortel.
Et seul Lui peut accomplir son destin.

Point de sociétés.
Point de règles.
Point d’enjeux.
Simplement la dignité d’être.

Bagan (Birmanie), devant le fleuve Irrawady, le 10 Janvier 2011, 18h.

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LE PASSAGE DE L’ETRE HUMAIN A L’ETRE STELLAIRE


Depuis de nombreuses années la littérature fleurit d’ouvrages sur la Merkabah, l’Ascension ou le Corps de Lumière. Il a été formulé bien des hypothèses. Je voudrais ajouter ma contribution a ces réflexions.

Pour moi, il est une évidence que l’homme ne descend pas du singe, comme le darwinisme a bien voulu nous le faire penser. Il est arrivé des étoiles dans son « corps de lumière » qui n’était que la manifestation visuelle de l’accélération vibratoire de son corps cellulaire lui permettant de se dé-matérialiser et de se re-matérialiser par l’énergie de sa pensée.

Les codes permettant cela étaient inscrits, et le sont toujours, en chacun. Chacun les porte encore en lui. Il sont enfouis sous les milles et une couches de nos systèmes de croyance et de toutes les manipulations intellectuelles dont nous avons subi depuis des millénaires, notamment durant notre ère (religion, pensée ploutocratique, psychologie, pression culturelle et éducative).

La structure énergétique et cellulaire de l’homme stellaire reposait sur la structure d’un ADN en 12 brins ( 3 x 4). Le trois (ternaire) constituant la structure parfaite de l’équilibre. Le quatre (quaternaire) constituant les quatre niveaux de résonance de la matière nous permettant de voyager dans la Quatrième dimension, dimension servant de plan de passage dimensionnel entre tous les champs de conscience et tous les plans de matérialité. Le 4 x 3 apportant la fréquence de structuration de la matière .

Pour pouvoir intégrer efficacement l’état d’humanoïde, nous avons du abandonner la structure du Trois en intégrant le Deux. Ceci nous a permis de nous sexuer et surtout d’intégrer profondément la matière en mettant en place l’énergie du mental.

Au fil des millénaires, nous avons perdus la mémoire directe de notre appartenance aux étoiles, même si inconsciemment nous retournons souvent notre regard en direction du ciel étoilé.

C’est en nous retournant vers le Trois, sous quelque forme que ce soit, que progressivement nous retrouverons notre codification d’origine nous permettant de réacquérir nos facultés initiales.

Peu importe les supports que nous utilisons. Mettre trois chaises autour d’une table ou un multiple de trois. Penser que notre ADN reconstitue son troisième brin. Acheter trois tee-shirts dans un magasin au lieu d’un seul. Placer des objets par série de trois dans notre environnement. Tous les moyens sont bons pour retrouver l’énergie du ternaire dans notre vie.

Savez-vous que les scientifiques ayant codifiés le génome humain affirment que 80% du matériel génétique présent dans notre ADN est de l’ADN poubelle. Sommes-nous devenus tellement bêtes que nous puissions imaginer posséder plus de 80% de données inutiles dans notre corps,

Un excellent moyen d’activation de notre ADN et de sa reconstitution consiste en le simple fait de visualiser la mise en place de notre troisième brin d’ADN. Cette pensée aimante les matériaux d’ADN disponibles dans notre corps et permet sa mise en place.

Nous ne sommes plus alors dans un ADN à deux brins dont les deux parties s’enroulent l’une autour de l’autre sans être véritablement solidaires (cela ne nous fait-il pas penser au rapport du couple). Nous construisons un ADN que nous pouvons visualiser sous la forme d’une « natte » dont le troisième brin solidarise les deux autres et crée ainsi une structure stable sur laquelle viendront, par la suite, se greffer les autres brins.

Le troisième brin est le moyen de connexion avec nos codes stellaires nous permettant de retrouver des informations majeures nous concernant et facilitant les mécanismes de passage de 2012.

La construction du Trois procurera une totale stabilisation émotionnelle et mentale et supprimera l’infinité des digressions mentales par lesquelles nous sommes manipulés et qui nous ont fait perdre notre discernement.

Bangkok, le 25 Janvier 2011, 13h

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Les intempéries


tempête de 2009 en Languedoc Roussillon

tempête de 2009 en Languedoc Roussillon Photo Serge Briez

Sans doute sommes-nous un certain nombre à être profondément agacé par la place qu’occupe les intempéries dans les médias depuis un mois. On dirait qu’il n’y a plus que cela dans le monde: les camions bloqués, la neige, les inondations…

Comme si cela n’était pas le lot de chaque hiver depuis que la Terre existe…

L’intérêt ? Pendant ce temps-là, les médias mobilisent l’attention du public et ne lui permettent pas de se pencher sur les vrais sujets mondiaux. Nombrilisme typiquement franco/français!

Pratique, non !!

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