Retrouver le sens de l’horizon.
S’ouvrir à une vision ouverte de notre horizon, sans limite, sans attente.
Redécouvrir le sens de la profondeur qui change notre perspective.
Et ainsi ressentir à nouveau notre appartenance aux étoiles.
Seule la Nature peut nous redonner cette perception.
Seule la vue d’un horizon dégagé nous réintroduit à l’Espace.
Car bien trop souvent nous sommes déconnectés de notre appartenance,
bien trop souvent nous avons oublié.
Bien trop souvent nous ne nous appartenons plus, laissant au consumérisme de nos sociétés le pouvoir de définir nos directions.
Il n’y a pourtant pas de limite.
Pas de limite à ce que nous sommes.
Pas de limite à ce que nous pouvons accomplir.
Pas de limite à notre éternité.
Alors le fleuve me parle.
Il me parle de l’histoire des hommes au-delà des temps.
Car bien souvent les civilisations ont disparu.
Bien souvent l’artificialité des sociétés s’est éteinte sous le poids de l’histoire.
Car rien de ce qui n’est pas l’homme dans son Essence, ne peut durer.
Rien de ce qu’il n’est pas ne peut perdurer.
Car l’âme est immortelle.
L’Homme est immortel.
Et seul Lui peut accomplir son destin.
Point de sociétés.
Point de règles.
Point d’enjeux.
Simplement la dignité d’être.
Bagan (Birmanie), devant le fleuve Irrawady, le 10 Janvier 2011, 18h.
#1 par ries le 7 mars 2011 - 18 h 13 min
Juste Divin
merci !
Laurence