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MUTATIONS
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, HUMEUR le 4 janvier 2012
En cette année de puissantes mutations, il me semble urgent de comprendre les principes sur lesquels reposent la mutation des énergies de vie. Cet article est un premier pas dans la transformation de cette perception.
Fréquemment, la tendance, et il en est trop souvent fait mention dans certains ouvrages, lorsque nous nous trouvons face à une énergie à muter, est de « remettre » cette énergie au Ciel ou à la Terre pensant que nous pouvons nous dégager de cette charge énergétique par ce moyen. Il existe même des pratiques qui consistent à mettre les mains au sol ou à toucher un arbre pour cela. Imaginez ce que vous ressentiriez si votre voisin venait essuyer ses mains sales sur vos vêtements propres.
Il existe une grande perversité dans ce mécanisme. Il est important de comprendre qu’en tout premier lieu, cette « masse énergétique » (car il s’agit d’une véritable matière) vient se rajouter à celles de même fréquence et nourrir des égrégores, qui eux-mêmes alimentent des forme-pensées présentes au niveau de l’Humanité. Ces égrégores s’auto-alimentent et ont tendance à tourner en boucle. Comme nous conservons des scories de ces fréquences, même si nous pensons nous en être dégagées (nous en sommes bien les émetteurs), elles ont tendance à revenir se coller à nous et possèdent le pouvoir de nous ramener dans leurs énergies. Nous retombons alors dans le niveau antérieur à ce que nous pensons avoir été un dégagement.
Cette charge contribue à « plomber » la Terre et l’Humanité et n’est profitable pour personne, et surtout pas à nous, puisqu’elle est porteuse d’un effet boomerang surmultiplié par la puissance de tous les dégagements de même nature qui ont été fait par des milliers, voire des millions d’individus sur notre planète. Ceci est la première conséquence de ce positionnement.
Dans le même temps, les plans qui nous entourent deviennent de véritables poubelles. Imaginez une chape de crasse et d’énergies non intégrées présentes à quelques mètres au-dessus de nos têtes et juste sous nos pieds. Car, ne nous y trompons pas, compte tenu de la densité de ces charges, elles ne vont pas loin et restent à quelques mètres de notre corps physique. Rapidement, si nous renouvelons fréquemment ce type de pratique, notre environnement énergétique immédiat devient un véritable cloaque et il devient impossible de nous élever vers des plans vibratoires plus conscients, ni de bénéficier de l’énergie vivifiante que peut nous transmettre notre planète.
La deuxième conséquence (c’est probablement la plus dommageable pour notre évolution) est que nous déchargeons de la possibilité de muter nous-même cette énergie. Nous ne profitons pas de la conscience générée par cette expérience. En d’autres termes, nous n’apprenons rien, et cela nous amène à répéter sans cesse les mêmes situations inconfortables, les mêmes difficultés comportementales, les mêmes croyances. En résumé, nous tournons en boucle.
Nous sommes des organes de mutation. Notre corps est la plus vivante démonstration de notre capacité à muter.
Pensez aux milliards d’éléments que notre corps mute simplement pour assimiler notre alimentation et les centaines de pollution que nous recevons chaque jour.
Si nous souhaitons véritablement évoluer, il convient donc d’adopter un autre positionnement. Notre ventre, et notamment sur le plan énergétique ce que nous appelons Chakra Sacré, possède une faculté matricielle de transformation et de mutation des énergies. Nous pouvons donc tout ramener en nous, au niveau de notre ventre et laisser notre corps et surtout l’ensemble de notre système énergétique muter ce qui doit l’être. Ce positionnement présente de nombreux avantages :
1) Nous ne mutons que la fraction mutable de l’énergie que nous avons à dégager. Lorsqu’elle se transforme, cette fraction énergétique change de nature, devient assimilable et génère ce que nous appelons une « prise de conscience » (à lire dans le sens littéral du terme : prendre une fraction de conscience). Elle concourre à notre évolution et crée ainsi de nouveaux matériaux qui participent à notre développement.
2) La fraction non mutable demeure en nous et poursuit son processus de mise en conscience. Cette fraction ne se dégagera que lorsque le processus d’intégration aura abouti. Le grand intérêt de ce mécanisme réside dans le fait que nous ne nous défaussons pas de notre énergie tant qu’elle nous est utile. Nous ne sommes donc pas contraints de reproduire des énergies de tension à répétition, conséquence du fait que nous nous sommes dégagés sans intégrer ce que nous avions à intégrer.
3) Nous développons une véritable « écologie énergétique », agissant en conscience et en responsabilité de ce que nous émettons. Nous participons ainsi à l’équilibre planétaire.
Cet article me permet donc de lancer un appel à tous ceux qui demandent aux « Etres de Lumière », à leurs guides, aux Anges, à la Terre de prendre en charge leurs difficultés. S’il vous plait, arrêtez. Le temps est venu de se prendre en charge et d’intégrer les énergies que nous créons. Arrêtez de croire que vous pouvez ne pas muter ce que vous expérimentez. Arrêtez de croire que vous n’en avez pas les capacités. Prenez conscience de votre puissance. Prenez conscience de votre pouvoir de mutation et participez à l’élévation de notre humanité.
Merci à vous tous.
Sarlat, le 3 Janvier 2011, 11h54
GEO-BIOLOGIE, EQUILIBRAGE DE L’HABITAT ET MINERAUX
Publié par Daniel Briez BLOG dans CRISTAUX & SANTÉ, GÉOBIOLOGIE le 3 janvier 2012
Le travail d’équilibrage de l’habitat par le minéral est une activité qui s’est révélé le prolongement naturel du travail de conseil que nous pouvions donner sur les salons de bien-être où nous présentions les pierres de Lithothérapie. Sur ces salons, nous nous sommes rapidement trouvés face à certaines questions, sur le plan de la santé, touchant à des pathologies lourdes.
Ayant développé une grande sensibilité au fil de ces années, il est devenu évident pour moi que certaines pathologies ne trouvaient pas leur source dans le parcours de vie des personnes, mais résidaient dans une pollution majeure de leur habitat sur le plan énergétique.
C’est à Angers, en 2007, que je rencontrais le premier cas que j’eus à traiter dans ce domaine. Une femme d’une quarantaine d’années me rencontra sur un salon et me fit la demande suivante : « On vient de me diagnostiquer une polyarthrite rumathoïde. Le médecin m’a prescrit des injections quotidiennes en me disant que ma maladie est incurable. Je ne suis pas d’accord. Avez-vous une pierre qui soigne cela? »
Mes clients et lecteurs connaissent ma prudence pour tout ce qui touche au domaine de la santé. Les pierres-miracle n’existent pas. Je lui répondis alors : « Il est clair qu’il n’y a aucune pierre qui peut soigner une affection aussi sérieuse. Il faut être très prudent dans ce domaine. Néanmoins, je sens que votre problème dépasse largement le cadre pathologique. Je suis encore là quelques jours. Voulez-vous m’apporter des plans de votre maison. Je pense que la cause de vos difficultés se trouve à ce niveau. »
Je sentais sa fréquence cellulaire polluée gravement par la fréquence d’eaux stagnantes, mais avant de lui confirmer mon hypothèse, je voulais vérifier ces informations.
Le lendemain, elle revint sur le salon avec son époux et m’apporta les plans de sa maison ainsi qu’un relevé cadastral qui permettait de tester les terrains alentours. Sur plan, à ma grande surprise, je ne trouvais pas de pollution par les eaux stagnantes, mais seulement un petit cours d’eau passant dans la chambre et le salon. Rien qui ne permettait de comprendre une si importante dégradation de sa santé. Je fis état de ce résultat à ce couple. Dans la conversation, quelques instants plus tard, le monsieur m’informa qu’avant de faire construire la maison dans laquelle le couple habitait (depuis vingt ans), ils avaient logé dans une vieille maison qui comportait un puits comblé dans la cave (comme c’est souvent le cas dans les maisons de plus de 100 ans) et que leur lit était juste à l’aplomb du lit.
J’avais mon explication. Un puits comblé constitue une des plus graves pollution par eaux stagnantes qui soit. Le plan cellulaire de cette dame avait mémorisé une pollution majeure 22 ans auparavant. Son terrain de santé avait été affaibli durant les vingt années suivantes par la fréquence des eaux courantes qui passait sous son lit. Il n’en fallait pas plus pour qu’elle ait développée cette pathologie.
Je recommandais donc une neutralisation de la pollution par le cours d’eau présent sous la maison au moyen d’Apatites vertes brutes. Je lui proposais de dormir avec un bloc poli d’Apatite verte d’un peu plus d’un kg. Quelques mois plus tard, elle m’informait qu’elle allait mieux et qu’elle avait interrompu ses injections.

Apatite Verte brute, http://www.cristaux-sante.com
Ce fut le point de départ d’une intense réflexion sur la qualité de l’habitat et des moyens à mettre en oeuvre pour neutraliser ces pollutions majeures.
Dans les années qui suivirent, je constatais (en vrac):
– que près de 90% de l’habitat construit après-guerre portait des pollutions majeures, et notamment des pollutions par eaux stagnantes,
– que des géo-biologues ayant équilibré certaines maisons étaient, bien trop souvent, complètement passés à côté de ce type de pollution par l’eau (à croire qu’ils n’avaient pas été formés pour identifier ce type de pollution). Il n’existe pas de pollutions plus dommageables pour la santé que les eaux courantes et les eaux stagnantes,
– que les systèmes de neutralisation proposés sur le marché à base de céramiques informées étaient beaucoup trop souvent inefficaces, voire posées aux mauvais endroits,
– que la pollution par les eaux stagnantes masquaient souvent (comme un brouillard) d’autres pollutions majeures,
– que les minéraux constituaient d’excellents supports de neutralisation donnant d’excellents résultats, stables et d’une grande longévité,
– qu’il était essentiel qu’il y ait le moins d’influences humaines possibles dans l’équilibrage d’une maison (le minéral réponds à ce besoin)
– que les pathologies développées par les pollutions de l’habitat étaient extrêmement invalidantes et causaient d’immenses souffrances à de multiples niveaux.
Je ne puis donc que recommander à mes lecteurs de se préoccuper de la qualité énergétique de leur habitat. Nous allons mettre en place, par le biais de mon site cristaux-sante.com onglet géo-biologie , une formule de « diagnostic géobilogique » par correspondance à un coût modique (50€) permettant à chacun d’avoir un diagnostic précis sur l’état énergétique de son habitat. Bien évidemment, nous sommes à votre disposition sur tous les stands « Cristaux et Santé » sur les salons de bien-être pour vous informer.
Au moment où bon nombre d’entre nous se préoccupent d’élever leur niveau de conscience et d’accéder à de nouveaux champs de perception, l’altération du niveau vibratoire et énergétique de l’habitat constitue une des principales causes de stagnation du processus évolutoire. On ne peut à la fois s’élever par un chemin de conscience et se faire « plomber » par sa maison chaque fois que l’on rentre chez soi. Il est essentiel de poser une certaine cohérence dans nos démarches.
Merci du temps que vous avez consacré à cette lecture.
Sarlat, le 2 janvier 2012, 10h30
LE COMMENCEMENT DE LA FIN ET DU DÉBUT
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 2 janvier 2012
Depuis des années, je consacre ma journée du 1er janvier de chaque année à moi-même et surtout à un retour sur ce que j’ai accompli dans l’année et ce que choisit de faire dans l’année qui débute. La seule année où j’ai dérogé à cela était le 1er Janvier 2004, où j’ai senti une impulsion irrésistible me demandant d’aller passer le réveillon à La Turbale (44). C’est ainsi qu’à minuit, le 31 décembre 2003, j’ai uni ma vie avec Guylène. Ce texte est le reflet de certaines réflexions d’aujourd’hui.
Il est un mot que nous utilisons universellement et que nous prononçons sans conscience : REVEILLON. Peut-être pourrons-nous le prendre dans le sens littéral du terme : Réveillons-nous ? ou Réveillons-nous !!
Pour moi, nous avons passé l’année 2011 à nous réveiller. Trop souvent on dit que rien ne va, oubliant de regarder tout ce qui va. Ce qui va en semblant aller mal est bien évidemment toutes les transformations sociétales :
– instauration des « démocraties » au Moyen Orient (même si les Frères Musulmans ne semblent pas vraiment être démocrates, ils ont été élus par la majorité des électeurs de leur pays donc le reflet de leur société),
– grippage du système bancaire et financier mondial (prémices démontrant que ce système injuste vit ses derniers années),
– incertitudes politiques en France (quand nous déciderons-nous à avoir des gens responsables pour nous gouverner?).
Autant de facteurs et d’évènements qui démontrent que notre société arrive au bout d’un système de pensée, au bout de sa logique économique, au bout de la vision que nous avions d’un parcours de vie aux normes (études, mariage, carrière professionnelle, enfants puis retraite…).
Dans le même temps, vous êtes de plus en plus nombreux (vos témoignages le montrent) à vivre le même processus dans votre vie quotidienne : remise en cause de votre position dans la famille, le travail ou la société, questionnements sur le sens des choses et de la vie, questionnements sur le but de vie, remise en cause des modes de raisonnement ou de pensée, désaffection pour les religions, les écoles de pensée, les écoles ésotériques ou initiatiques…
L’observation de ces mouvements peut sembler préfigurer une trajectoire nous menant vers le chaos, l’écroulement d’un monde. Et cela est vrai, quelque part.
Le chaos des habitudes, le chaos du non-respect de soi, le chaos du mode de pensée unique, le chaos des soit-disants acquis qui ne le sont que dans nos systèmes de croyance. En d’autres termes, la façon de vivre et de penser en vigueur pour nous-mêmes et nos parents depuis 50 ans est en train de disparaitre.
Que reste-t’il alors ?
Quel monde allons-nous créer ?
Et quel monde vont construire nos enfants ?
Car ne nous y trompons pas, ce n’est pas nous qui détenons les solutions. Notre mode de pensée est sclérosé et manque d’idées novatrices. Notre énergie s’est usée à tenter de développer des solutions qui ne nous correspondent pas car personne ne nous avait appris à nous écouter nous-mêmes et à aller chercher en nous les réponses. Alors même si nous le faisons maintenant par la force des choses, il est clair que nous n’avons plus le même « jus » qu’il y a quelques années. Ce sont les générations à venir qui trouveront les solutions aussi bien au niveau de la science, des industries que des modes de pensée.
Alors comment aborder cette mutation ?
L’ouverture à de nouveaux champs de perception est la seule solution dont nous disposons. Il est certain que nous ne regardons pas au bon endroit avec les bonnes lunettes. Notre vision rationnaliste, et je qualifierai de rationnaliste également notre façon d’appréhender et de regarder les systèmes énergétiques qui est bien trop conforme à certains modes de pensée, nous masque la réalité d’un monde que nous avons toujours eu sous les yeux mais que nous n’avons jamais réellement regarder.
Alors, il est fort probable que l’année 2012, dans l’énergie d’alignement qu’elle apportera le 21 Décembre, verra une remise en cause et en questions de toutes les certitudes sur lesquelles nous avions construit notre vie. Nous pouvons le faire dans la douceur si nous acceptons toutes les remises en cause qui se présenteront à nous, ou dans la douleur si nous résistons au fait de ne pas avoir raison (la périphrase « avoir raison » étant pris dans son sens littéral : être dans le socialement raisonnable).
Alors je tiens à profiter de cette première lettre à mes lecteurs pour remercier chacun du soutien que j’ai pu recevoir depuis que j’ai ouvert ce blog en janvier. Au départ, pour moi, la création de ce blog était plus la réponse à un besoin personnel de libération de la communication d’un auteur qui se sentait frustré de ne rien pouvoir communiquer de son travail que tous les deux ou trois ans, à la sortie d’un nouveau livre. Très rapidement la croissance du lectorat et les commentaires que vous avez manifesté, m’ont témoigné du fait d’une certaine résonance de mes réflexions. J’avoue m’être pris au jeu et trouver aujourd’hui beaucoup de plaisir à diffuser la vision, qui parfois vous surprend ou vous choque, que mon oeil d’observateur pose sur le monde, notre société et les énergies en mouvement. Je prends l’engagement de poursuivre cette voie avec la même sincérité et la même éthique que celle qui me porte aujourd’hui.
Un immense merci donc à chacun. Le temps que vous consacrez à lire ces textes leur permettent d’exister.
Et surtout, les plus belles réussites et transformations pour cette belle année de mutation 2012.
Sarlat, le 1er Janvier 2012, 19h55
QU’EST-CE QUE L’EGO ?
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMANITÉ, SCIENCE DE SYNTHESE le 31 décembre 2011
A l’origine, l’ego est un outil indispensable à la reconnaissance de soi-même. Sans lui, vous ne pouvez prendre conscience que vous existez en tant qu’individu individualisé, unique et essentiel (essentiel pris dans son sens étymologique de : émanant de l’Essence). A l’Origine, nous faisons partie d’un vaste ensemble qui regroupe le/les univers, et au-delà, dans lequel évolue la Conscience composée de tout ce qui existe. Inclus dans ce Tout, vous avez choisi de vous incarner dans un corps humanoïde, dans un Espace et un Temps définis, en l’occurrence celui où vous êtes actuellement, afin de réaliser une expérience plus particulière de la Conscience que vous avez défini à travers différents paramètres que vous avez choisi consciemment avant votre incarnation (sexe, race, caractéristiques physiques, sociales, ethniques, historiques, principales prédispositions physiques, mentales et émotionnelles). Vous étant incorporé dans le corps dans lequel vous êtes actuellement, il vous a fallu, pour simplement prendre conscience que vous existiez séparément du Tout, vous regarder, vous tourner vers vous-même et pour ce faire établir une représentation de vous-même, un peu comme si vous vous regardiez dans un miroir. « Celui » qui a établi la représentation de vous-même et qui a dit « je suis cela » est l’ego.
La confusion de l’ego
Le problème dans ce mécanisme de représentation de l’ego est que l’ego est aussi celui qui met en œuvre les évènements concrètement : on peut dire « celui qui agit ». De là à penser que celui qui dit « je suis cela » et qui agit, soit celui qui est aux commandes de votre vie, donc VOUS, il n’y a qu’un tout petit pas à franchir, pas qu’ont franchit tous les systèmes éducatifs et religieux et bien des systèmes philosophiques, rajoutant à la confusion générale et vous amenant à penser que VOUS êtes l’ego.
IL N’EN EST RIEN ;
L’EGO ET VOUS SONT DEUX ENTITES DIFFERENTES ;
L’une (VOUS) est porteuse de la Conscience, en reliance étroite avec le Tout, et porteuse de toutes les codifications vous permettant d’accomplir le programme que vous avez établi avant votre incarnation. L’autre (l’ego) n’est qu’une représentation de vous-même vous permettant de vous regarder, donc de prendre conscience que vous existez et vous permettant de vous regarder exister, agissant pour VOTRE compte, mais en aucun cas le pilote du véhicule.
TOUTES LES INSATISFACTIONS QUE VOUS RESSENTEZ EN VOUS SONT LE FRUIT DE CETTE CONFUSION.
Toutes les difficultés que vous rencontrez dans la vie trouvent tout ou partiellement leur origine dans cette confusion. Le simple fait de remettre l’ego à sa juste place vous permet de dissoudre une grande partie des difficultés que vous connaissez, notamment sur le plan émotionnel.
Sarlat, le 28 Décembre 2011, 19h47
N’ATTENDEZ PLUS ! AGISSEZ !
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR le 30 décembre 2011
Céline, qui suit mes stages depuis 18 mois m’a rendu visite hier à Sarlat. La conversation que nous avons eu ensemble m’a inspiré ce texte.
Lorsque nous travaillons sur nous-mêmes et que, progressivement nous mettons à jour les mille et une croyances qui nous empêche d’être ce que nous sommes, il arrive un temps où nous devenons capables de définir précisément ce que nous portons en nous et les axes que nous avons à développer. Ces informations nous amènent alors à la conviction que nous devons profondément modifier nos structures de vie et nos options.
Nous sommes alors au seuil à ce que je qualifierai de « l’orée du chemin ». Le « chemin » est celui que nous avons défini au moment de notre incarnation. Avant de nous incarner dans le corps qui est le nôtre, nous avons choisi les principaux paramètres de notre expérience de vie, à savoir, le sexe, le physique, la race, l’époque où nous nous incarnons, les grandes lignes de nos résistances physiques et psychologiques qui nous aideront à comprendre la nature particulière de l’expérience de conscience qui sera la nôtre, en d’autres termes, ce que l’on appelle la réalisation.
Trop souvent, nous avons totalement perdu de vue cet axe, embrouillés que nous sommes dans une expérience matérialiste alimentée puissamment par notre société, par l’éducation que nous avons reçu, et les multiples niveaux des systèmes de croyance que nous avons fait nôtres, ou que nous a inculqué notre société ou notre environnement familial. Finalement, à un moment donné, nous prenons conscience de l’ensemble de ces parasitages et nous rencontrons enfin ce que nous sommes, avec l’absolue conviction du « connaissant » qui sait enfin ce qu’il a à faire.
C’est alors, que pour une raison qui ne s’avère jamais réellement définie, mais qui est sûrement de l’ordre de la peur de l’inconnu, de la peur de son propre pouvoir, ou de la crainte de remettre en question un quotidien qui ne nous nourrit pas vraiment mais qui est finalement assez confortable, nous nous mettons dans une position d’attente, attendant un « signe » (!!!) de la vie ou une impulsion venant d’on ne sait où !
On peut attendre longtemps cette impulsion ou cette « bonne » raison de se mettre enfin en mouvement. En fait, on peut l’attendre tout le reste de sa vie.
Ne pensez-vous pas qu’il est temps de vous mettre en mouvement si vous ressentez cela. Ne pensez-vous que l’état de la planète nécessite, d’une certaine urgence, que chaque être humain de cette terre, chaque être humain accédant à la conscience, chaque être humain en mesure d’améliorer la nature de son environnement dans sa sphère personnelle, fasse ce qu’il a affaire.
Et surtout, comment ressentirez-vous le fait de ne pas avoir agit, si pour une raison ou une autre, vous quittez votre corps physique et passez de l’autre côté. Il sera temps à ce moment-là d’établir le bilan de ce que vous saviez devoir faire et que vous n’avez pas eu le temps de faire. Malheureusement, il sera trop tard !!!
Sarlat le 22 décembre 2011, 19h03
REGARDER L’AUTRE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 29 décembre 2011
Il est parfois des blessures que nous infligeons à l’Autre sans même nous en apercevoir. Trop souvent, nous sommes centrés sur notre vécu intérieur, sur les sensations que nous pouvons percevoir en nous, notamment lorsque nous sommes dans une phase de compréhension de nous-mêmes qui entraîne une profonde mutation en nous et la mobilisation de notre attention.
Ainsi existe-t’il en nous des évidences qui ne peuvent pas être perçues par l’Autre, voire même qui peuvent être perçues à l’opposé de ce que nous pensons et ressentons.
Vous aimez celui ou celle qui est à vos côtés. Cela est indéniable, car si tel n’était pas le cas, vous ne pourriez supporter son énergie et sa présence à longueur de mois ou d’années. L’amour que vous lui portez fait partie de votre évidence, mais en est-il de même pour l’Autre?
Cela n’est pas certain. Chacun porte en soi une part de blessures, de déceptions et son lot de trahisons vécues. Il n’est rien de plus facile pour ces cicatrices de se réouvrir par un mot, une attitude, un geste qui ne sont que le reflet d’un instant de réflexion de votre part, mais qui peuvent prendre un tout autre sens pour l’Autre, s’ils viennent réactiver de vieilles souffrances.
Ainsi, parfois, il arrive que vous soyez dans une souffrance inconsciente qui vous ne descellez même pas. Elle est partie intégrante de votre inconscient mais imprime néanmoins, jour après jour, votre quotidien. Il suffit d’un tout petit évènement, d’un simple mot pour que votre inconscient s’empare de cette énergie, et réactive cette souffrance qui avait été le plus souvent oubliée, mais qui n’en altère pas moins votre plénitude. Alors vous vous retrouvez sur la défensive. Vous vous retirez dans votre « tour d’ivoire ». Inconsciemment, vous amalgamez la fréquence de l’Autre à cette vieille blessure, comme s’il en était la cause, alors qu’il ne fait pas partie de cette histoire. Et surtout, et c’est ce qui est le plus dommageable, vous ne vous rendez pas compte que vous avez fait un amalgame. Vous commencez à vous éloignez de plus en plus, posant vos centres d’intérêt dans d’autres directions. L’Autre le sent, vous sollicite tout d’abord en douceur puis d’une manière de plus en plus pressante et vous vous retrouvez tous les deux en situation de crise relationnelle alors qu’aucun événement n’est venu provoquer cette tension. Il est même possible alors qu’un événement sans importance serve de focalisation à cette tension et prenne des proportions qu’il n’aurait jamais dû prendre.
L’Autre reçoit votre énergie de plein fouet et ne comprends pas. Il ne peut comprendre puisqu’il s’agit d’un autre temps, d’une autre histoire qu’il ne connait probablement pas et qui peut, parfois, ne pas appartenir à cette vie. Elle provient d’un plan parallèle ou d’une « vie antérieure », autant dire qu’elle vient d’un autre monde.
Selon son niveau de conscience, selon sa propre histoire, l’Autre se sent profondément blessé, rejeté. Parfois même, il culpabilise, pensant avoir dit ou fait quelque chose qui vous a blessé. En fait, il ne sait pas ce qui se passe. Cela est d’autant plus pernicieux que vous non plus, vous ne savez pas pourquoi vous vous sentez comme cela. Vous sentez néanmoins que vous vous éloignez de l’Autre, insensiblement, inexorablement. L’écart se creuse. Si vous n’y prêtez pas attention, et n’entamez pas un dialogue approfondi, cet écart peut devenir définitif.
C’est ainsi que la magie de la vie à deux disparait et entre dans une routine morbide dans laquelle les mots d’amour deviennent vides de sens. Elle ne porte plus l’énergie de la rencontre. Alors vous vous dites: « Ce n’est pas grave. C’est dans l’ordre des choses. La magie des premiers temps s’efface et la vie reprend ses droits » (sous-entendu: il est normal que les sentiments s’usent et que nous ne partagions plus les choses comme au commencement).
Je viens moi-même de faire cette expérience avec un des êtres que je chéris le plus au monde. Je pensais bien connaitre ma psyché, avoir fait le tour de mes fonctionnements, connaitre mes équilibres et mes déséquilibres, en d’autres termes, être conscient de ma géographie intérieure. Je me suis pourtant retrouvé à émettre une certaine forme d’indifférence, une distance vis-à-vis de mes proches, sans même m’en rendre compte. Parce qu’une toute petite chose, un élément insignifiant en regard de toutes les informations que je reçois et traite au quotidien est venu éveiller dans mon inconscient une vieille blessure que je ne savais même pas être encore présente en moi, je suis rentré dans ma « bulle ». Je me suis enfermé en moi sans même m’en rendre compte.
En faisant cela, je n’ai même pas vu la distance que je mettais avec l’Autre, distance que je reconnais maintenant, après réflexion, comme étant la cause et le ferment de la rupture avec d’autres compagnes que j’aimais profondément et que j’aime toujours. Je me trouvais à des années-lumière d’imaginer que je pouvais être la cause de cet éloignement. Lorsque je regardais ma vie, je pensais simplement que chacun avait pris de voies différentes. Heureusement que dans le cas présent, l’amour et le partage nous ont permis de mettre ce piège en lumière.
Alors, si ces quelques mots et ce témoignage peuvent servir à quelques uns d’entre vous, regardez l’Autre. Faites l’effort de vous sortir de votre regard quotidien, celui qui s’est usé aux aspérités d’un cheminement que vous ne comprenez pas forcément mais qui érode lentement l’élan qui nous pousse dans les bras de l’Autre.
Prenez conscience que trop souvent (et je me parle à moi-même dans ces lignes), vous êtes enfermé dans votre espace intérieur et que vous ne laissez pas l’Autre y pénétrer, souvent d’ailleurs (c’est ce que vous pensez) par amour pour l’Autre. Soit-disant, vous ne voulez pas le (ou la) charger de vos soucis ou de vos questionnements, alors qu’il ne s’agit, encore une fois, que d’une stratégie destinée à vous protéger.
Réfléchissez ! Dans tous les cas, ne cherchez-vous pas à préserver un territoire intérieur, un espace personnel que vous ne savez pas défendre autrement, tout simplement parce que vous n’avez pas encore fait la paix avec tous les fragments de votre histoire !
Regardez comment vous pouvez vous isoler par le jeu de vos pensées. Regardez comment l’inconscient peut vous faire sortir de votre corps et de vos sensations quotidiennes et vous concentrer dans votre tête, vous coupant de votre vécu quotidien. Vous devenez un véritable « zombi » sans même vous en rendre compte.
Alors regardez l’Autre comme au premier jour et découvrez-le (ou la) dans la Lumière du Temps et dans la magie de l’être retrouvé.
Je vous souhaite un beau Noël et merci de votre écoute.
Sarlat, le 25 décembre 2011, 11h27
PRESENT, PROJETS FUTURS ET PROJECTIONS
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMEUR le 17 décembre 2011
Cher lecteur, désolé du manque d’articles, ces dernières semaines. Une longue tournée de salons et de conférences à l’extérieur qui m’a par ailleurs permis de rencontrer nombre d’entre vous, m’a maintenu à l’écart de mon clavier. Voici de nouvelles réflexions, qui, je l’espère, contribueront à votre réflexion. Merci pour vos témoignages et votre soutien.
« L’incapacité à rester dans le présent altère les projets et détruit le présent. » Réflexion issue d’une conversation avec mon épouse Guylène à l’origine de cet article.
Il est souvent fait référence à l’instant présent dans l’ouverture à la nouvelle ère qui s’annonce. Une des questions qui se pose alors est la compatibilité entre le fait d’être présent dans l’instant, et le fait de faire des projets puis de les élaborer.
Lorsqu’un humain n’est pas totalement stabilisé dans l’instant présent, il vit ce que nous pouvons appeler un état de « conscience ordinaire ». Le mot « ordinaire » n’est pas pris dans un sens péjoratif. Il qualifie simplement le fait que l’immense majorité de la race humaine et particulièrement les peuples issus de tradition occidentale ne vivent pas l’instant présent, et sont continuellement dans des alternances de référencement aux expériences passées, ou en train de projeter leurs visions dans le futur, allers-retours incessants ne leur permettant pas de voir la réalité de l’instant présent.
Pour comprendre le mécanisme permettant de rendre compatible l’élaboration de projets futurs avec la vie dans l’instant, il convient de se rappeler certains points fondamentaux de la physique quantique nous permettant de comprendre le fonctionnement du temps et de l’espace. Einstein, et les physiciens quantiques après lui, ont démontré que la notion d’espace-temps, et notamment d’un temps linéaire s’écoulant comme l’indique un chronomètre, est une convention mentale et sociale qui permet à l’humain de se situer dans le temps et l’espace. Cette notion ne repose sur aucune réalité physique.
Le temps définit un espace de perception. Il est discontinu.
Il s’agit de séquences discontinues, séparées des précédentes et suivantes de quelques micro-secondes, qui constituent des temps intersticiels par lesquels transitent toutes les informations concernant la totalité de nos champs d’expériences simultanés (passés, présents ou futurs). Les temps intersticiels sont connectés à la totalité des possibles et des vies simultanées (qui sont d’ailleurs innombrables chez les humanoïdes que nous sommes).
Le seul espace de connexion et de prise de conscience de cette multitude d’informations est l’instant présent.
C’est le seul. Il n’en existe pas d’autres et nous n’avons aucune possibilité de nous connecter à nous-même autrement que par cette connexion de notre corps physique avec l’instant présent.
Lorsque nous sommes dans notre réalité présente, Ici et Maintenant, sans aucune incursion dans un passé qui n’existe que dans notre mental et un futur qui ne peut qu’être hypothétique puisqu’il n’existe que dans notre tête, nous sommes connectés à la totalité de nos plans d’existence. Cela signifie que, sur un plan inconscient, notre corps collationne toutes les informations nous concernant, dans tous nos champs de réalité simultanés, sans que notre mental puisse avoir conscience des transferts qui s’opèrent. Cela est parfaitement adapté à ce que nous sommes, car le mental limiterait au un milliardième la masse d’informations reçues en quelques secondes s’il devait les visualiser et en prendre acte.
Ces informations s’enregistrent dans le corps et leur masse constitue le terreau sur lequel nait nos projets.
De ce point de départ, nous pouvons projeter l’image mentale d’un projet. Nous visualisons un projet que nous portons en nous, qui s’avère la convergence des informations contenues dans le « terreau » que nous portons, lui-même issu de ce que nous sommes, des codes qui nous composent et de toutes les informations que nous recevons des temps et des espaces dans lesquels nous sommes simultanément.
Nous le projetons dans un futur plus au moins lointain et nous le laissons libre de vivre son évolution. N’oublions pas qu’il s’agit d’un temps qui existe déjà simultanément à notre propre perception de l’instant présent et qu’il possède une autonomie en lien avec tous nos plans simultanés. Il est à la fois « nous » et il n’est pas « nous » dans l’instant présent puisqu’il s’agit d’un autre temps.
Nous pouvons y retourner régulièrement pour observer son évolution. Nous avons peut-être le sentiment qu’il s’agit d’une évolution élaborée par notre mental. En fait, il n’en est rien. Ce plan est simplement en reliance avec nous comme tous nos autres plans simultanés et il vit son évolution comme nous vivons la nôtre dans l’instant présent.
A un moment donné, les deux plans peuvent se rejoindre, c’est ainsi que le projet aboutit et s’inscrit dans l’instant présent. Le projet est alors arrivé à matérialisation.
L’autre façon de se positionner est la conscience ordinaire. Nous sentons une envie naitre en nous. Notre mental saisit cette idée et en élabore une forme mentale issue de son analyse et surtout du référencement à ses expériences antérieures. Cela signifie que le mental ne cesse de faire des allers-retour entre un passé qui n’est que le fruit de sa propre élaboration mentale (car qui se souvient? C’est le mental qui retient certaines éléments du « passé » et en rejette d’autres qui ne lui conviennent pas) et le futur qui devient un amalgame de matériaux que le mental met en forme, à force de volonté et surtout en maintenant une perception constante sur le futur.
Dans ce cas de figure, il n’existe aucune présence posée dans l’instant présent. Cela signifie que l’être est à la fois coupé des matériaux générés par l’instant présent, et notamment de l’énergie vitale que l’instant génère, mais aussi de toutes les sources d’informations simultanées existant dans tous les plans, tous les temps et les espaces dans lesquels nous sommes simultanément. Cette projection mentale, par sa force de projection, court-circuite les espaces interstitiels dans lesquels circulent les données et créé une sorte de ligne de force uniquement nourrie par la force du mental et de la volonté.
Autant dire que le projet devient une sorte de coque vide, dépourvue d’énergie vitale, qui, si elle nait un jour, ne sera porteuse que d’illusions créées par notre mental, sans reliance avec la réalité de ce que nous sommes et dépourvues de nos propres énergies.
La fiabilité de cette construction sera donc extrêmement limitée et par définition, vouée à la destruction car ne comportant que peu, voire pas, de reliance avec ce que nous sommes.
Le mode opératoire est donc le suivant :
– laisser naitre une idée de notre être (sa naissance est émise par ce que nous appelons l’intuition)
– la laisser grandir sans que le mental s’empare d’elle (il suffit simplement de l’observer au fil des jours)
– au moment où cela nous semble être le temps, la projeter dans un futur plus ou moins lointain (peut-être en profiter pour la verbaliser, cela lui donnera plus de forces et d’énergie)
– la laisser vivre sa vie en poursuivant notre action dans l’instant présent, tout en observant l’évolution de ce projet en nous
– quand l’échéance de matérialisation est arrivée, mettre en oeuvre le projet qui sera alors bien différent de l’idée première et qui aura profité de tous les apports de l’instant et des informations que vous avez collationné durant tout le temps de son élaboration.
Lavay (Suisse), le 14 décembre 2011, 12h24
CHEMIN DE LA CONSCIENCE STELLAIRE ET UNITAIRE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Daniel Briez, HUMEUR, SCIENCE DE SYNTHESE le 21 novembre 2011
19/11/2011 11h03
Ce texte canalisé par Guylène, mon épouse, est fondateur d’une nouvelle perception de l’énergétique et de la Matière. A sa lecture, me sont venus des compléments que vous lirez en italique dans le texte. Un conseil. Ne vous attachez pas uniquement au sens des mots. Laissez-vous porter par la fréquence et vivez l’expérience.
La descente en matière est, pour l’être stellaire, un choix qui lui permet d’insérer profondément la fréquence étherverselle.
A l’heure actuelle, bon nombre d’humanoïdes vivent un processus similaire. C’est la raison pour laquelle il est important de diffuser ces informations. La mutation terrestre et le changement de cycle initié par 2012 posent la nécessité d’introduire sur le plan terrestre certaines fréquences étherverselles dans la Matière. Cela s’active par la transformation cellulaire de certains acteurs-source. Il s’agit d’une mutation physique, induisant de profondes mutations sur les plans psychologiques, sensoriels et émotionnels.
Or, en intégrant le corps stellaire en matière, les champs de perception sont transmutés, et temps que l’intégration de la matière multidimensionnelle n’est pas insérée, la corporalité de l’être étherversel perçoit les résonances en disfraction, et il lui est difficile de l’ingérer sans l’équilibre de la synergie des ressources de fréquences matricielles.
Cette mutation induit une profonde transformation des champs perceptifs. Il y a alors lieu de quitter tous les modes opératoires que vous avez pu utiliser jusqu’à présent. Cela crée une profonde désorientation et une immense sensation d’isolement. Il vous est quasiment impossible de partager votre expérience avec votre entourage, dans la mesure où seuls des mutants de même fréquence que la vôtre sont en mesure de comprendre. L’utilité du moyen technique que vous utilisez présentement pour lire ce texte, constitue un des seuls vecteurs de communication. Attention néanmoins à la nature fréquentielle du réseau utilisé. Le canal par lequel je m’exprime a fait état de la nature fréquentielle des deux réseaux en vigueur sur votre planète. La mutation peut être vécue, dans un premier temps, comme un déséquilibre intérieur, notamment lorsque vous ne l’avez pas posée en conscience. Les conditions requises pour l’intégration et la fluidification de cette mutation sont :
– acceptation de l’existence de cette mutation
– abandon des systèmes de pensée et de systèmes de croyance sociétaux
– acceptation des nouvelles sensations vibratoires et corporelles créées par la mutation
– acceptation des dissonances qui ne sont que le reflet des mutations en cours de corporalité.
La corporalité devient alors un vecteur de convergence des énergies étherverselles et construit l’être stellaire.
C’est ainsi que lorsque l’absence de la source est trop importante, les êtres étherversels se retrouvent dans un champ d’énergie qui destructure leur corporalité.
Si la source de convergence est trop en décalage de la source d’émission, soit par rétention de mutation liée à des résistances de corporalité sur le plan émotionnel, soit par intrusion des facteurs environnementaux dans le champ vectoriel de l’être, la corporalité se déstructure brutalement. Il s’ensuit une surchauffe du champ aurique et cellulaire.
La maladie est un champ d’énergie qui infracture la corporalité et mène à la dissociation cellulaire et à une séparation des résonnances en matière.
Lorsque la charge en dissonance est trop importante, s’opère la fracturation de la matière. La cellule se dissocie du champ aurique et énergétique, entre en sur-chauffe et l’extrait de la matière. Il s’ensuit ce que vous appelez dans votre langage une « maladie ». La « maladie » est un processus naturel de dissociation de la matière opérant l’annihilation des champs d’extraction. Elle introduit à l’activation de nouvelles parcelles fréquentielles en instance d’activation.
La conscience est une fusion d’interception de la fréquence sourcielle.
La corporalité activée génère une fusion d’interception accédant à de nouveaux champs sourciels.
C’est une matière en résonnance continuelle
Il fallut bien des éons aux êtres étherversels pour insérer cette fréquence, et de cela, encore en ce jour, leurs présences explorent la matière et poursuivent l’instance.
Pourtant là, un mouvement de l’instance s’inscrit
Dans un nouveau plans de perception
Liaison atemporelle des cellules.
Le système instantiel de la matière
Permet la focalisation des circulations.
Les cellules se relient une à une à la connexion de la source étherverselle matricielle.
Reliance en captation multidimensionnelle.
Toutes les structurelles sont en différentiel.
Suspension.
14h40
Guylène
REPONSES A LA TRIADE
Publié par Daniel Briez BLOG dans Codes identitaires, Energies et Matérialisation, Daniel Briez, HUMANITÉ, SCIENCE DE SYNTHESE le 6 novembre 2011
Après la question posée par M. Van der Elst J. sur l’article LA TRIADE OU LA TRINITE NOUVELLE/ANCIENNE STRUCTURE DE CONSCIENCE, il me semble important de publier en article sa question et ma réponse qui vient compléter ainsi l’article.
question de Mr Van der Elst J. Envoyé le 04/11/2011
Voilà, comme par « Hasard », une réponse à mon questionnement en tant qu’homme, mais qui remonte la réflexion dans la structure de l’Univers plutôt que de la maintenir dans l’émotionnel. Merci beaucoup.
On entend, ces derniers temps, beaucoup parler des amours plurielles qui, je suppose, reflètent le même processus.
Ici, vous ne parlez que de l’homme (la femme apparaît en filigrane)… se pourrait-il cependant que la femme éprouve aussi le besoin d’un deuxième homme pour appuyer un processus énergétique ?
Dans le cas de couples homosexuels, l’un ou l’autre jouant le rôle de femme et d’homme, se peut-il quand même que ce soit celui dans le rôle de la femme qui ait ce besoin ?
Je vous rajoute des questions . Merci déjà pour cet article.
Merci pour vos questions. Je vais bien évidemment vous répondre dans les limites de ma « vision ». Ces propos n’engagent que moi.
Je ne crois pas un seul instant aux « relations plurielles ». J’ai même le sentiment qu’elles sont, elles aussi, encore un moyen que crée l’ego pour escamoter l’Essentiel.
La recherche du 3 repose sur une réflexion consciente :
– au préalable d’abord en localisant les points de tension du couple et en comprenant la nature du 3. Cela se fait très en amont d’une nouvelle rencontre. La nouvelle rencontre n’est que l’aboutissement d’un profond travail de maturation où elle s’impose comme un paramètre indispensable de l’évolution du 2.
– ensuite, l’embryon du 3 se pose alors par la rencontre, mais elle n’est que le point de départ d’un cheminement où les trois partenaires font l’expérience matérielle de l’amour inconditionnel. Cela n’est jamais simple car au-delà des « bagages » de chacun, la charge de l’inconscient collectif d’une part et de l’environnement social d’autre part est terrible. Si le préalable n’a pas été suffisamment maturé, on aboutit obligatoirement à l’échec.
La relation plurielle n’est donc pas de même nature. Elle est une fuite en avant, aussi insatisfaisante pour l’être profond que le 2.
La fidélité, qu’elle soit au 2 ou au 3 est donc essentielle.
Lorsque je parle de l’homme dans mes articles, je me réfère la plupart du temps, par facilité sémantique, à l’humain en général. Je devrais plutôt utilisé l’Homme. Pourtant l’homme est plus susceptible d’entrer dans ce processus, car il possède moins que la femme de possibilités de substitution à ce « manque ».
Dans le cas de couples homosexuels ou lesbiens, le processus est le même si les rôles sont bien marqués. Je n’ai malheureusement pas cette expérience de vie donc il m’est délicat d’en parler. Je peux simplement vous dire ce que j’ai pu observer. Il est clair tout d’abord que je suis sans tabou en la matière. L’axe hétérosexuel est celui qui me correspond dans cette vie.
Pourtant dans ce que je vois autour de moi, mon sentiment est que les « rôles » ne sont habituellement pas totalement « marqués ». Et cela n’a rien à voir avec la sexualité. Je pense donc que chaque partenaire a tendance à passer d’une énergie à l’autre. Ce qui n’est pas simple, évidemment, et peut générer des difficultés émotionnelles, des interrogations, des culpabilités. A moins que chacun soit conscient de cette « alternance ».
Comment la gérer ensuite… Mystère…
Peut-être pourrez-vous apporter vos propres axes de réflexions à mes lecteurs ? Votre sentiment est le bienvenu.
Un grand merci pour la conscience de vos questions.
Daniel Briez









CRISTAUX ET QUANTIQUE
Publié par Daniel Briez BLOG dans CRISTAUX & SANTÉ, SCIENCE DE SYNTHESE le 9 janvier 2012
Le minéral constitue le seul support quantique que nous puissions utiliser sur Terre en tant qu’outil de compréhension de soi et de cheminement de conscience. En effet, tous les moyens qui nous sont proposés actuellement sont empreints de l’énergie de l’homme notamment de ses intentions, tous sauf le minéral.
La raison pour laquelle les produits de la Nature perdent leur dimension quantique (absence d’espace-temps linéaire – celui de la montre) est le fait que systématiquement l’homme y imprime ses croyances ou ses intentions : croyance en la guérison, croyance en l’accession à un état de conscience modifiée, intention d’équilibrage des systèmes énergétiques, etc..
Le minéral, extrait de la planète sous certaines conditions (absence d’utilisation d’explosifs, transformation dans de bonnes conditions de travail, amour du travail de la pierre), ne perd pas cette dimension. La planète Terre ne possède aucune croyance réductrice. Elle est inscrite dans l’Univers, poursuit sa route et son évolution dans les étoiles et porteuse d’une énergie hors-temps.
Dans l’infinie conscience qui est la sienne (trop peu d’entre nous prennent réellement en compte cette conscience), la planète met à notre disposition, au fur et à mesure de l’émergence de nos nouveaux champs de conscience , de nouveaux minéraux ou de nouveaux gisements qui servent de support aux fréquences de mutation que nous vivons.
Mon propos n’est pas dans cet article d’en faire la liste exhaustive, mais de faire découvrir au lecteur quelques minéraux peu connus dans leur mode d’action quantique.
L’Hématite brute
(l’hématite polie, roulée ou sous forme de bijoux ne possède aucun des effets énoncés ci-dessous, elle doit impérativement être brute) – poids minimum 180/250 gr
Issue, grâce à sa montée au travers des cheminées volcaniques, du noyau terrestre totalement ferrique, l’Hématite brute possède la particularité de replacer le corps physique et énergétique en phase avec sa configuration d’origine à la naissance. En d’autres termes, cela signifie que le simple fait de la tenir en main induit un réalignement de toutes les structures énergétiques du corps et lui permet de retrouver son fonctionnement originel dégagée des empreintes qu’il a pu accumuler durant son parcours de vie.
Hematite brute, photo Serge Briez ©
La Barytine – poids minimum 200/300 gr
Pierre peu connue de la famille des Célestites, elle génère une fréquence qui connecte à la canalisation des plans de conscience supérieurs, et permet ainsi de recevoir des informations permettant de se mettre en phase avec une trajectoire de vie en conformité avec les codes identitaires. Elle possède une action quasiment miraculeuse dans sa faculté à générer des évènements en phase avec nous-même.
Oursin fossile – poids minimum 100/150 gr
Le dessin de ce fossile en forme d’étoile permet d’entrer en contact avec son étoile d’origine et de se séparer ainsi de l’énergie nostalgique d’un lieu perdu que l’on sent souvent en soi sans pouvoir en formuler l’origine. Elle connecte en prise directe avec les codes stellaires identitaires et génère des niveaux d’information difficilement accessibles par d’autres moyens.
Pierre de Lune Noire – poids minimum 150/200 gr (très conseillée sous forme de boule)
La Pierre de Lune Noire connecte à l’origine et à l’élaboration des structures de l’intuition. Son emploi permet de comprendre intuitivement le positionnement nécessaire à la véritable connexion à l’intuition et permet d’éviter les parasitages émotionnels polluant fréquemment ce mécanisme. Précieuse pour développer ses facultés de clairvoyance. Une remarque : plus la boule est de gros diamètre, plus elle est puissante.
Le Quartz multidimensionnel – poids minimum 100 gr
Ce Quartz Fenêtre possède la particularité de « choisir » son propriétaire. Ses multiples plans de cristallisation sont autant de portes d’entrée aux différentes dimensions de l’être. Ces plans entre en résonance avec le propriétaire du Cristal et permettent la libre accession aux multiples dimensions.
Le Sirius – poids minimum 200 gr
Onde de forme taillée dans dans un Cristal de Quartz ou d’Améthyste, le Sirius (grâce à sa structure construite sur le 12) permet la réintégration et la construction vibratoire de l’ADN en douze brins. Cette configuration énergétique sert de socle structurel pour la passage au corps de Lumière et l’accession à l’énergie de l’Ascension.
Le grand intérêt du minéral est qu’il met à notre disposition une fréquence constante qui se l’altère pas à l’usage s’il est correctement entretenu et qu’il réinitialise dans le corps cellulaire les dispositifs de connexion quantique et vibratoire qui y sont depuis l’origine.
ATTENTION NEANMOINS A L’ORIGINE DE VOS APPROVISIONNEMENTS.
Les conditions requises pour obtenir les résultats énoncés ci-dessus (comme définies dans le troisième paragraphe) sont rédhibitoires.
Daniel BRIEZ
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